Avis du vol entre Brussels et Dubai en classe Economique avec Emirates

Bonjour à toutes et tous, voici un FR qui commence à dater un peu ( mars 2015 ) et qui n'était pas prévu au programme de base, d'où la piètre qualité et les peu nombreuses photos, veuillez m'en excuser d'avance.
Le routing est le suivant :
BRU - DXB ( Emirates, Economy class, Boeing 777-300 ER )
DXB - JNB ( Emirates, Economy class, Boeing 777-300 ER )
L'objet de ce report est consacré à la première partie : BRU - DXB
Les reports sur la classe éco d'Emirates ne manquent pas par contre la ligne est plus rare. Elle est exploité depuis le 5 Septembre 2014 avec une fréquence quotidienne en Boeing 777 - 300 ER mais il se peut qu'un -200 voir un 200 LR soit utilisé. Un A380 à été utilisé le 18 Septembre 2015 pour fêter la première année d'exploitation, ce qui marquait par la même occasion, la première venue commerciale d'un A380 sur la plateforme Bruxelloise.
Après ce prélude, place au Report proprement dit.
L'arrivée à Zaventem se fait environ 3h avant le départ afin d’être dans les premiers pour l'enregistrement, étant donné que le voyage jusqu'en Afrique du Sud s’effectuera avec 2 Valises à vélo sans compter les bagages en soute. Finalement l'enregistrement se passera rapidement et sans accro avec la surprise de savoir dans quel état on va récupérer nos précieuses montures à JNB.
Direction la jetée B d'où partent et arrivent les vols Emirates à Bruxelles, nous ne passeront donc pas par le Connector.
Une mauvaise vue sur l'avion du jour.

Pushback 10 minutes en retard sur l'horaire prévu.
Malheureusement, pas de photo du siège mais sur celui ci, le kit usuel en éco à savoir une couverture, un oreiller et des écouteurs. La cabine est propre, bien entretenue et assez récente, l'avion étant âgé de 4 ans. La cabine est aménagé en 3-4-3. C'est assez dense mais heureusement le vol n'est pas plein et nous sommes 2 sur une rangée de 3. L'aménagement en 2-4-2 est plus confortable voir même en 3-3-3 pour ceux de la rangée du milieu.
Comme à l’accoutumé, la cabine du 777 n'est pas réputé pour son silence, Aibrus à tout de même un avantage en terme de confort acoustique de ses cabines.
Concernant le pitch, pour un vol de 6/7 heures, il est agréable pour une personne mesurant 1m83.
Peu de temps après le décollage est servit le repas. Un menu cartonné est distribué à chaque passagers et 2 plats sont au programme.

Pour moi ce sera le poulet avec une sauce curry.

Le plateau est copieux. L'entrée est fraîche et appétissante, la viande sera servie chaude, comme il faut. Elle est tendre, correctement assaisonnée et le riz n'est pas sec ( c'est assez rare pour le souligner ) Le dessert n'est pas mauvais en soi même si il ne casse rien, il se laisse manger. Un plus sont les vrais couverts. Les couverts en plastique sont proscrit chez Emirates. En résumé, hormis le pain industriel emballé, un sans faute de la part d'Emirates pour ce plateau repas qui ne goûte pas le carton. Le service étant effectué par un personnel toujours aux petits soins, alliant bienveillance et sympathie.
Après ce repas, nous survolons L’Europe, direction l'Orient.

La cabine est à 70% remplie en ce mardi 23 mars.

Emirates fournit une série d'autocollant à place sur le dossier du siège devant vous afin que le personnel de cabine sache si il faut vous réveillez ou non lors des repas.

Le soleil se couchera aux environs de la Turquie.

Le personnel de bord est disponible et passe régulièrement afin de s'assurer que les passages ne manquent de rien.

L'IFR est bien complet. Emirates propose pléthore de films, séries et musiques et ce y compris en français.

Approche de nuit et directe sur Dubai, pas de circuit d'attente et malgré un touché un peu dur, l'atterrissage se fera à l'heure.

Débarquement sur le tarmac avec une dernière vue l'énorme GE 90-115 B avant un trajet en pax bus d'environ 20 / 25 minutes pour arriver au Terminal 3. l

Le vol pour Johannesburg n'étant programmé qu'en deuxième partie de nuit, c'est l'occasion de se dégourdir les jambes et d'effectuer le tours du terminal et qu'il est amusant de noter qu'à 2h du matin, les passagers en correspondance grouillent dans tous les sens.

Ici prend fin la première partie du routing. En résumé, un vol sans histoire et confortable avec un repas convaincant et un service en cabine irréprochable.