Avis du vol entre Istanbul et Bucharest en classe Economique avec Tarom

Après un excellent week end de 11 novembre à Istanbul, il faut rentrer à Paris pour reprendre le travail.
Le trajet sera le même qu'à l'aller mais s'effectuera avec Tarom en A318 pour les deux segments. Tarom est avec Avianca, Air France et British Airways l'une des rares compagnies à avoir acheté le babybus. Si vous avez raté les FR du trajet aller, ils sont ici :
Paris - Bucarest avec Air France en affaires link
Bucarest- Istanbul en eco avec Tarom en ATR 72link
Le vol part à 11:40 mais le Marathon d'Istanbul bloque les routes en centre ville et le long du Bosphore à partir de 6:30 et du coup il faut prévoir de partir tôt.
L'aéroport d'Ataturk est encore calme à mon arrivée et je passe rapidement la PAF ou l'agent sera très sympathique et la PIF. Me voici donc coté airside en direction du salon Skyteam qui est situé assez loin de la zone centrale.
Je fais donc un peu de spotting en passant. C'est clairement Turkish qui domine même si Atlas Global est aussi très présente ainsi qu'Onur Air.

L'accueil au salon Skyteam n'est pas très chaleureux. L'hôtesse n'a qu'une envie : retourner le plus vite possible sur son portable. J'avais deja fait ce constat lors de mon passage précédent . Je reçois en meme temps que ma connexion internet un questionnaire de satisfaction à remplir : une bonne occasion d'indiquer que l'accueil est le point faible de ce salon.
Le salon n'est pas immense mais agréable et très lumineux. Dommage qu'il ne donne pas sur les pistes.

Je vais dans la zone télé ou il n'y a personne pour finir ma nuit et dors une heure. Ensuite je prends juste un café car j'ai pris mon petit déjeuner à l'hotel . Il y a une offre chaude et froide. C'est très bien et sera complété plus tard par d'autres plats.
Reposé, je me dirige vers la porte d'embarquement. Mon appareil du jour est bien là. Il s'agit du YR-ASA nommé Aurel Vlaicu un est un inventeur, ingénieur, constructeur et pilote d'avions roumain, l'un des pionniers de l'aviation mondiale.( à ne pas confondre avec AureLIL contributeur de ce site!)

L'embarquement est lancé en respectant les priorités. Je suis le premier à embarquer et suis accueilli en porte très chaleureusement par une hôtesse très souriante.

La cabine encore vide a un look classique avec des sièges en tissus.

Ma carte d'embarquement ( que j'avais également téléchargée sur mon portable).

Il ya des écrans sur lesquels la géovision sera diffusée et des commandes dans l'accoudoir pour écouter de la musique ( que je n'ai pas testé)

Je suis assis en rang 4 , le deuxième rang eco sur cet appareil. La partition entre la J et la Y est modulable en fonction du remplissage. La J consiste en un siège neutralisé avec une tablette entre les 2 fauteuils occupés. Il me semble que le pitch est meilleur aux premiers rangs ( dont le mien).

La cabine s'est remplie et nous allons pouvoir partir à l'heure.

Les démonstrations de sécurité sont faites à l'ancienne et voici la safety card.

Le pitch est bon et encore meilleur quand on a pas de voisins.

Le roulage permet de voir la ruche qu'est l'aéroport d'Ataturk

Il y a la queue pour le décollage avec une file d'airbus d'Atlas Global devant nous et un joli A310 de Mahan Air derrière nous.

Belle vue au décollage. On se rend compte qu'il y a beaucoup plus d'avions au large qu'au contact.

Le vol dure une heure et les PNC s'activent pour servir la collation.Elles sont très souriantes et proposent boissons chaude et froide avec le sandwich servi qui est le même que sur le vol aller.

La route est affichée sur l'écran.

Le vol passe très vite et nous arrivons dans la grisaille de Bucarest ou il a beaucoup plu.

Atterrissage et direction l'aérogare.

Notre porte vient à nous.

Merci de m'avoir lu et à bientôt pour le dernier tronçon vers Paris.