Après un fabuleux et magnifique voyage dans la ville cosmopolite et vibrante qu'est Shanghai, le moment est déjà venu de rentrer à la maison et de se retaper (avec bonheur) un quatorze heures d'avion vers le Québec! Et cette fois, urgence médicale (non-prévue) et visite du cockpit (prévue) sont à venir! En prime, vous aurez un léger aperçu de Shanghai à la fin!
Tranche de vie
Comme nous avions un vol tardif cette journée-là, on en a profité pour faire le tour de Shanghai une dernière fois. En marchant, out of no where mon garçon me demande à quoi ressemble le poste de pilotage du B787 (oui, il connaissait le modèle d'avion dans lequel il avait volé quelques jours auparavant). Ce fût comme une révélation : mais pourquoi ne pas demander une visite du cockpit une fois revenu au pays? Je lui lance donc l'idée et à en croire sa réaction, il a trouvé celle-ci excellente. On se fit donc une promesse de demander une visite après l'atterissage avec bonne espoir d'avoir une réponse positive.
Fin de la tranche de vie
Je vous rapelle le routing :
1. YUL-PVG, AC 017, 788, immatriculation C-GHPQ : par ici!
2. PVG-YUL, AC 018, 788, immatriculation C-GHPY : vous y êtes!
Pour connaître le pourquoi du comment de cet aller-retour dans le pays du soleil levant, je vous invite à consulter mon report du vol aller. Je ne décrirai pas ici en détail la cabine et le système de divertissement pour éviter la répétition. Bonne lecture!
Arrivée à l'aéroport et enregistrement
Avant de quitter la chambre d'hôtel en matinée le vol annonçait un retard de vingt minutes. Sachant très bien que ce vol allait être beaucoup plus en retard que cela (selon l'historique et le très court turn-around que l'avion possédait), nous ne nous pressions pas pour arriver à PVG. Malgré tout, on sera sur place à 14h15. Le taxi nous dépose au niveau des départs du terminal 2.

Nous rentrons dans l'aérogare par la porte la plus proche, soit la 21. Avant de rentrer, nous devons passer par un petit portique de sécurité et déposer notre valise dans une machine à rayon X. C'est long et il y a beaucoup de monde…


Une fois à l'intérieur je suis surpris par la grandeur et la hauteur de l'aérogare.



Le plan du niveau.

Je repère rapidement la section où se situe les comptoirs d'enregistrements d'Air Canada, soit la rangée B. Je remarque une file qui s'étire assez loin vers l'avant. Je décide de la suivre pour voir où elle va et elle me mène direct à l'entrée des serpentins pour… l'enregistrement du vol vers YUL! Il y aura donc seulement trois comptoirs pour tous les passagers de la classe économique, dont un qui sera fermé à mi-parcours. En complément, deux comptoirs seront disponible pour les passagers en enregistrement prioritaire (et qui ne seront pas très achalandé).

Bon bon, pas le choix! On se place alors dans la file d'attente.

Après avoir fait la file pendant cinquante minutes, l'agent en place nous enregistre, étiquette nos bagages et nous informe du retard prévu. Je lui répond tout bonnement que je sais et le remercie pour le service.
Les murs latérales de l'aérogare sont en fait des fenêtres avec vue sur le tarmac. Je prend donc le temps de jeter un léger coup d'oeil, ce qui me permet de constater à quel point la jetée s'étend en longueur.

On se dirige tranquillement vers le PIF et la PAF tout en faisant un petit tour d'horizon.


Le méga FIDS.


Il y a un deuxième niveau dans l'aérogare principal ou il semble y avoir surtout des restaurants. Je n'y monterai pas, trop pressé de faire du spotting.


L'accès à la zone sécurisé se fait tout au fond de l'aérogare, dans le centre.

On aura fait temponner notre passeport et passer la sécurité en moins de vingt minutes, très bien pour l'achalandage qu'il y avait à ce moment.
Post-sécurité
Une fois de l'autre côté, dans le secteur des portes D, on arrive devant cette boutique ou mon garçon trouvera un dernier souvenir à ramener à la maison.

Juste à côté il y a une petite aire commerciale avec une boutique hors taxes et des magasins de luxe.



On continue notre chemin et on découvre la jetée, immense avec toute sa longueur et ses aires ouvertes.
À gauche :

À droite :

Un peu plus loin.


Tout comme à YUL, il y a aussi de l'art à PVG.




La tour de contrôle.

Vu sur l'aérogare principal, secteur public. On comprend bien en voyant cela a quel point la jetée s'étend comparativement au bâtiment principal.

Et maintenant, allons voir des avions et des cies aériennes que je n'ai jamais vu! Les prochaines photos parlent d'eux-mêmes alors rafale d'avions!















Air Canada opère trois vols par jour sur PVG. J'ai pu tous les voir cette journée-là.
AC026, opéré en B787-900, qui quitte vers YVR.

AC088, opéré en B777-200, ici en porte et sur le point de quitter vers YYZ.

Et finalement notre avion en préparation pour son retour à la maison.


Dernière vue à l'intérieur, soit les portes C d'où partent les vols domestiques.

Embarquement et décollage
Après cette promenade, je retrouva mon garçon qui jouait sagement à la porte D67 pour que j'y attende (aussi sagement que lui) l'embarquement. En considérant qu'à ce moment il était 16h30 et que rien ne semblait bouger, je commença à douter (tel que je l'avais estimé plus tôt) que la nouvelle heure de départ du vol soit respectée (soit 17h10). Bref, à PVG au lieu de faire des annonces de pré-embarquement et d'embarquement par zone, on doit faire direct la file dans l'espace correspondant selon notre zone. Les cinq zones doivent donc embarquer en ordre, à tour de rôle. Il y aura donc des gens en files très longtemps avant que l'embarquement ne débute et ce ne sera pas très ordonné.

Le hic avec cela : je n'ai jamais entendu ne serait-ce qu'une seule annonce pour nous dire que l'embarquement avait débuté. J'ai juste constater par moi-même que les passagers commençaient à embarquer. J'ai trouvé cela bien ordinaire et honnêtement, pour une personne un peu lunatique et pas très attentive cela pourrait vite devenir un problème. Alors on se lève et on va faire la file dans la ligne pour la zone 4 (à ce moment, la zone 3 est sur le point de terminer). On passe le contrôle et on descend vers la passerelle.


Mon petit bonhomme essai de prendre de l'avance! Et il aura montrer sa carte d'embarquement au personnel de bord avant même que je ne soit dans l'avion, au point ou pendant une seconde l'agent de droite s'est demandé pourquoi il y avait un enfant de sept ans qui arrivait seul…



Notre rangée. On aura le siège 27A et 27B cette fois.

Le vol est affiché sur le IFE, contrairement au vol aller.

Le pitch, que j'avais omis de photographier la dernière fois. J'ai eu l'impression que celui-ci était plus élevé que lors du vol aller et j'y étais très confortable.

Une fois en place, on attend pour le refoullage.

Lorsque l'embarquement fût complété, une agente de bord essaya tant bien que mal de faire assir quelques passagers récalcitrants (tous des chinois malheureusement) : certains parlaient avec des amis, certains fouillaient dans leur bagage déjà rangé en haut, certains voulaient aller au toilettes… La pauvre, elle ne réussisait pas à maintenir l'ordre dans l'appareil et elle semblait plutôt découragée. Elle appela à la rescousse une autre agente qui parlait chinois et qui essaya aussi de faire assir les passagers qui étaient debout. Sans vous mentir, j'ai dû compter au moins sept demande de la part des agents de bord pour le seul petit groupe de passagers désobéissant assis près de nous. Éventuellement, un gars se tanne et ce fût à mon tour de sauter dans la situation. Je me suis donc tourné et j'ai dis assez fort : ''OK, sit down là. I wanna leave!''. Je ne suis pas sûr qu'ils m'aient très bien compris mais l'agente de bord du début oui et elle m'a sourie! On a finalement pu commencer le push-back à 17h38. Eh bo boy…
On se met en direction de la piste 34L…



…ou l'on se fait doubler par l'avion de KA qui était derrière nous, sûrement pressé de rejoindre HKG.

Enfin, notre tour viendra et on s'envolle à 18h10.


En vol
Notre route ce soir nous aménera à suivre la côte est du Japon jusqu'à la mer de Béring, puis nous passerons tout près de Anchorage pour redescendre tranquillement vers le sud.

À peine trente minutes après le décollage, on rejoint la noirceur et à partir de maintenant, il fera nuit jusqu'à ce qu'on rejoigne les côtes de l'Alaska.

Cependant, et à mon grand désarroi, les hubots resteront encore une fois opaque jusqu'à l'approche final sur Montréal. Ce système d'opactié électronique fût définitivement ma plus grande déception sur cet appareil.
Ce sera à 18h41 que le premier service se mettra en branle. On aura le choix entre le classique poulet ou boeuf servie avec une bouteille d'eau, un pain, une salade de patates et un gâteau aux pommes pour dessert. Je prendrai le boeuf, mon garçon le poulet. Le chariot des breuvages talonnera celui du repas, ce qui fût une bonne chose cette fois.



Et voilà mon repas une fois déballé, avec le vin rouge (le même qu'à l'aller).


Mon garçon a bien aimé le poulet; il a tout mangé. Quant à moi, les premières bouchées étaient excellentes. Par contre, lorsque j'eu presque fini j'esseya de piquer un des derniers morceaux de boeuf avec ma fourchette (caché sous le brocoli sur la photo) et je le trouva bien caoutchouteux, bien mou. À vrai dire, la fourchette ne voulait pas tenir dedans. Je m'y pris donc différement afin de porter ce que je pensais être de la viande à ma bouche… Sauf que au final, il s'agissait d'une boule de gras que je n'ai pas détecté sur le coup dû à la faible luminosité de la cabine. Pas besoin de vous dire que j'ai recraché ce morceau infecte qui ne contenait pas plus de viande que mon café de ce matin! Ça m'a enlevé le goût de finir le plat. C'est dommage parce que c'était très bon et j'aurais donné un 8 sur 10 à ce plat vraiment. Quant à la salade et au gâteau, ils étaient bien bon.
Quelques minutes seulement après le premier service, le personnel repassa avec le chariot à breuvages alors que la majorité des passagers n'avaient pas finit de boire ni même de manger; je trouva cela un peu précipité. Une fois les déchets récupérés, la cabine se mit en mode nuit et les lumières fût tamisées. Je crois que c'est à ce moment que les hublots ont été bloqués mais comme il faisait noir dehors, ce ne fût pas visible sur le champ. Il y avait un agréable mood-lightning cette nuit-là à bord.

Après cela, je me mis donc à l'écoute de Moana, que mon fils voulait vraiment que j'écoute. Au final, je n'ai jamais vu la faim parce que la fatigue me gagna plus rapidement que je ne le pensais…
Au réveil, on était ici…

…et on regagnait lentement mais surement la lumière du jour.

Il était 00h30 lorsque le deuxième service débuta. On aura droit à trois petits sandwichs rectangulaire : deux étaient à la dinde avec cornichons sur pain brun (vraiment très bon) et l'autre était au concombre et tomate sur pain blanc (plutôt bof comme goût). On aura droit à des biscuits pour accompagner le tout.

Ensuite, je voulu écouter Monster Truck mais à partir de ce moment mon IFE décida de ne plus transmettre le son correctement. J'avais donc l'image mais avec une bande sonore inaudible. J'évalua donc la pertinence de demander un reboot : il était 1h00, j'étais fatigué et je manquais de concentration. Allais-je avoir la force de finir un film? J'ai donc manqué de courage et de motivation puis j'ai juste laisser tomber l'idée. Après tout, la carte interactive fonctionnait très bien et c'est ce qui est important non?
On passera par la suite en heure de Montréal puisque la moitié du trajet sera complété à mon nouveau réveil.
Alors, THE THING! Je fût réveillé à 15h40 par un branle-bas de combat qui se déroulait juste en avant de nous, dans les sièges centraux. Il y avait une dame de 68 ans qui ne semblait pas bien du tout. Si j'ai bien compris, elle transpirait énormément, elle était faible et ne pouvait rester assise ni garder les yeux ouverts. Il y a eu pour commencer deux agentes de bord qui sont venues évaluer la situation. Ils ont décidé que c'était préférable pour la passagère qu'elle soit en position couchée alors ils ont réquisitionnée la rangée du milieu au complet; les deux autres sièges étant occupés par son mari et une passagère qui s'est déplacée sans broncher. Après avoir pris connaissance de la situation, deux autres agents de bord sont arrivés pour prêter main forte. Ils ont faits leur possible pour diagnostiquer le problème mais je crois qu'ils ne savaient pas trop si c'était grave ou pas. Alors ils ont passer une annonce pour savoir s'il y avait un médecin à bord.
Entre temps, une autre agente de bord à dit à son collègue : ''Bon, ça ne va pas très bien pour elle. Je vais aller aviser le pilote.''… C'est à ce moment que j'ai commencé à avoir peur pour un éventuel déroutement. Le seul fait de se poser pour sauver la vie de quelqu'un n'est évidemment pas un problème mais je m'inquiétais plutôt à propos du temps de vol de l'équipage. Au moindre contre-temps majeur, ils allaient dépasser les heures max et sur de longs vols comme celui-ci, il n'y pas vraiment de jeu pour atterir quelque part en fait. J'ai de la difficulté à décrir la situation mais c'était plutôt tendu en cabine à ce moment-là.
Bon, anyway on ne peut rien y faire alors continuons l'histoire. C'est alors que deux médecins se sont identifiées à l'équipage et se sont présentées sur place. Une parlait français et l'autre agnlais et ils arrivaient toutes deux d'en avant de la cabine, en classe affaire je crois. Il y en a une deux deux qui a dit d'emblée que ce n'était pas la première fois qu'elle était appelée à pratiquer à bord d'un avion. Les deux ont donc travaillées en équipe pour trouver un diagnostic mais à main levé comme cela ce n'est pas évident alors ils ont demandées la trousse midécal de bord. Et c'est la que je crois avoir une exclu : la photo n'est pas génial mais j'ai quand même pu la prendre subtillement.

Une des médecin a pris l'équipement pour prendre le poul ainsi que le stétoscope. Apparement, la passagère avait un poul de 52; pas très élevé! Ensuite ils ont amenés de l'eau, de la glace, des cachets etc. etc. Au final, la dame s'est endormie tranquillement couché sur les genoux de son mari. De concert avec les médecins, les agents de bord ont déterminés que la passagère pouvait poursuivre le vol jusqu'à YUL. J'étais rassuré pour le reste du vol et aussi content que la passagère aille mieux.
Afin d'évacuer un peu de stress et de me décourdir les jambes, je me levis dès que la situation fût revenue à la normale. J'ai donc été aux toilettes arrière et c'était propre même si le vol tirait déjà sur la fin. J'ai pris au passage de l'eau aisni que des pretzels sur le chariot libre-service.

Et enfin, vers 17h30 on nous sert un petit-déjeuner (un petit-déjeuner à cette heure? Ah bon!).

On avait le choix entre du congee (oh que non!) ou des oeufs et saucisses. Je choisis bien sûr ce dernier choix. Ce plat était accompagné avec des patates risolées, une tomate, des morceaux de melon et de cantaloup, un petit pain et de la gelée de fraise. Je n'avais pas très faim mais les oeufs était bon. En revanche, je n'ai pas du tout aimé les saucisses.


Tout comme à l'aller, j'ai demandé à l'agente de bord qui effectuait le service ce qu'il en était avec les hublots mais elle n'avait pas l'air très intéressé… Les breuvages sont arrivés beaucoup plus tard cette fois; il y aura toutefois un deuxième service autour de 18h25.

Puis la cabine sera ramassée, les cartes de douane canadienne seront déstribuées… mais les hublots resteront (encore et toujours) opaques malgré ma récente demande.


Atterissage
Notre cap sera vers l'est jusqu'à la fin, près de Mont-Tremblant. Là, on amoncera un virage sud-est qui nous amènera au-dessus de YMX puis plein sud jusqu'à Deux-Montagnes ou les hublots seront enfin débloqués (il commençait à être temps). Ensuite, on remontera vers le nord-est pour carrément couper l'île de Laval en deux puis on amorcera notre dernier virage une fois dépassé Terrebonne pour nous placer en final pour la piste 24R.



Et ce sera un atterissage tout en douceur à 19h19.



Lorsque l'on atterri sur la piste 24R en provenance de l'international, le roulage est très court jusqu'à la porte. Aussitôt sortie sur Bravo-2, on traverse la piste 10 puis sur Foxtrot pour une arrivée en porte 50 à 19h25, donc une heure dix après l'heure prévue.

On se remémore notre petit projet en attendant le débarquement…

Et on demandera à l'agente de bord en poste à la porte si on peut aller visiter le poste de pilotage. Celle-ci nous répondera d'aller voir, de demander direct aux pilotes et qu'il ne devrait pas y avoir de problème. Yes! On se dirige donc vers l'avant ou on rencontrera un des deux pilotes qui n'était pas à l'intérieur du cockpit à ce moment (donc pas en poste pour l'atterrissage) et on lui posa LA question. Sans même nous répondre, il se tourne vers ses trois collègues toujours dans le poste et lance : ''Eh eh, we have some visitors!''. Les deux pilotes et les deux co-pilotes (dont une était une femme) étaient tous contents de nous recevoir. Mon fils s'est installé aux commandes, on a jasé un peu puis on a pris congé et on est ressortis avec le sourire jusqu'au oreilles! Sérieusement, ça ne pouvait pas mieux se passer!


On sort donc de l'appareil tout en jetant un oeil sur la classe affaire internationale.

On monte à l'étage ou on arrivera dans un hall des douanes canadiennes plutôt vide.

On passe vite la douane et on descend chercher nos bagages. Encore une fois, la mienne arrivera bien après celle de mon fils. Quand même, avec le temps passé à bord de l'avion après l'atterrissage, je me disais que les deux valises allaient nous attendre sur le carrousel, mais non… Ensuite, on sort de l'aéroport pour reprendre la navette qui nous raménera au parking et on reprend le chemin de la maison, avec que des beaux souvenirs en tête et déjà un peu de nostalgie. C'est à ce moment que j'ai réalisé que notre aventure père-fils en Asie était bel et bien derrière nous. On avaient attendus plus de six mois pour cela et voilà, c'était terminé…
YUYUAN GARDEN





LONGHUA TEMPLE & JIN'AN TEMPLE









PUDONG







DANS LA RUE









DIVERS









50 minutes d'attente à l'enregistrement et une note de 5 en fluidité, c'est généreux à mon avis. A part ça, Air Canada ne me fait pas trop rêver.... Merci du partage et du bonus !
Vous avez bien raison. J'ai révisé la note à la baisse afin que cela reflète plus la réalité. Merci pour votre commentaire.
Merci pour ce FR de qualité !
Un peu laborieux l'entrée et le check-in à Shanghai !
A bord cabine classique et dommage pour le catering moyen !
Plus de peur que de mal pour la passagère ! Ouf !
Atterrissage sans encombres à YUL mais en retard
A bientôt !
En retard oui mais prévisible bien avant le départ tel que mentionné. En date d'aujourd'hui, le vol AC018 a une moyenne de retard de 1h06. D'ailleurs, dans les deux derniers mois il est arrivée à l'heure une seule fois et quatre fois avec un léger retard. Les autres fois, il aura eu plus de quinze minutes de retard (et même jusqu'à huit heures un soir!). Imaginez : il s'agit d'un vol quotidien!
Bonjour,
Merci pour ce 2nd FR toujours d'une qualité excellente!!!
J'ai déjà lu sur le site un PEK-CDG sur AF où un membre mentionnait déjà le comportement de nombreux PAXs chinois, ce doit être une culture chez eux?!?
Quelle chance d'avoir été accueillis d'une telle manière par le PNT dans le cockpit, votre fils devait-être très content!!!
Pas mal pour l'exclu de la malette médicale, heureusement que tout s'est bien terminé.
A bientôt !!! ;)
Je crois aussi que c'est un truc culturel. Ils sont tellement nombreux dans leur pays qu'ils n'ont pas le choix de bypasser certaines règles de courtoisie. Du moins, c'est mon interprétation de la chose. Merci pour le commentaire!
Je suis arrivé à la même conclusion que vous après avoir assisté à des situations semblables sur des compagnies chinoises ou impliquant des touristes chinois. Quand on est plus d'un milliard, avec un peu partout des villes de plusieurs millions d'habitants, si on est "trop poli" on n'avance jamais. Donc chacun pour soi. Le problème est quand on garde ce comportement en-dehors de Chine ou avec des étrangers... :)
Entièrement d'accord avec vous.
Merci pour ce FR retour ultra-complet !
Je vois que je ne suis pas le seul à râler sur l'opacification des hublots par les PNC sur 787 :)
J'ai eu une fois une urgence médicale sur un EWR-MXP avec Alitalia, j'avais eu moins de chance que vous car nous avions dû dérouter à SNN pour débarquer le pax malade.
A bientôt
Hello! Superbe FR et bonus qui donne le vertige. Très bien le coup de la visite du cockpit avec le gamin. J'ai fait la même chose plus d'une fois avec le mien, c'est toujours une excellent expérience. La fluidité de PVG mérite un zéro pointé entre fouilles à l'entrée du terminal et les 50 minutes pour s'enregistrer un bagage. Vive les bagages à main! Par contre le terminal est d'une beauté! Comme la ville.
Je file de ce pas lire la première partie du voyage. Merci pour ce partage!
Guillaume
Merci pour votre superbe FR, 787-8/9 et 777-200er on peut dire qu'Air Canada propose du choix au niveau des types d'avions pour rejoindre cette ville ^^.
"les hubots resteront encore une fois opaque jusqu'à l'approche final sur Montréal." J'ai vécu la même chose sur Air India, je trouve cela vraiment dommage on se retrouve avec des hublots verrouillés durant tout le vol c'est vraiment dommage. Alors qu'on pourrait penser à mettre l'opacité à 50% pour assombrir la cabine et laisser le reste à chaque passager.
Superbe FR en tout cas.
À bientôt
J'aime bien l'idée du 50%! Merci pour votre commentaire.
Merci pour ce récit d'un vol mouvementé !
Ce genre de situation médicale est assez fréquent semble il et heureusement souvent un médecin à bord pour porter secours au passager qui ne va pas bien. Vous avez évité le déroutement c'est bien mais comme vous el dite, s'il faut le faire pour sauver une vie la question ne se pose même pas.
Vous avez eu la chance de voler sur un appareil assez récent avec un bon IFE et un comfort ad hoc pour de l'eco. Question repas Air Canada n'a décidément pas la cote et semble investir le minimum dans cet élément. Les snacks sandwiches disponibles le long du vol sont en revanche une bonne chose.
Le manque de discipline des passagers chinois est souvent noté dans les FR . Il s'agit souvent de gens qui voyagent peu et ne se rendent pas compte des contraintes et règles de sécurité de l'aérien.
Merci également pour le bonus d'une ville que j'ai beaucoup aimé.
bonjour ,
merci pour ce tres bon FR,
les paxs chinois sont toujours indisciplines et bruyants malheureusement cela doit relever de leur education.
un belle aeroport , une bonne prestation confort de AC , par contre le repas que l on peut trouver suffisant sur un vol transatlantique est ridicule pour la duree du vol .
le reste semble correct a aprt les hublots opaques qui sont le principal probleme sur cet appareil.
bon week end
Bonjour et merci pour cet excellent FR retour.
Je crois que tout a été dit. Je trouve aussi la quantité assez faible au vu de la durée du vol.
Le siège est assez moderne et quelle chance vous avez eu de tomber sur des pilotes suffisamment sympa pour vous faire visiter le cockpit et laisser votre fils aux commandes.
A bientôt!
Encore un excellent FR
PVG est un aéroport gigantesque à l'ambiance plutôt froide, c'est l'impression que j'ai eu lors de mes deux passages dans ces lieux
L'attente pour l'enregistrement en éco est très longue, mais vous avez eu de la chance de passer en 20 minutes les autres différentes étapes
Les prestations sont correctes à mon humble avis, mis à part la boule de graisse de votre plat ...
J'ai pu régler l'opacité des hublots depuis mon siège que ce soit avec AI ou ET, peut être que c'est possible de le faire en J et pas en Y !?
C'est toujours angoissant de vivre une aventure concernant l'état de santé d'un pax à bord
Le bonus est très complet, la palette des sites visités est large
Merci pour le partage !