Avis du vol entre Milan et New York en classe Affaires avec Delta Air Lines

Bonjour à tous !
Me voici de retour pour une nouvelle série de FR, avec quelques exclusivités pour le site. Pour ceux qui souhaitent aller directement au FR, vous pouvez passer l'intro sur le comment-du-quoi-du-pourquoi.

Introduction

Comme chaque année, nous cherchons une destination hivernale alliant autant que possible l'intérêt culturel, le climat et si possible la plongée. Cela faisait plusieurs années que nous souhaitions aller au Mexique, et plus précisément au Yucatan, qui a l'avantage de cumuler ces différents critères. Air France dessert 3 fois par semaine Cancun depuis Paris, mais après une période estivale ayant pu bénéficier des appareils en B&B, la saison hivernale est bien moins lotie, avec des configurations COI et un tarif absolument prohibitif, dans les 3.000 € en J (je n'ai jamais compris cette politique tarifaire avec une offre aux prestations dégradées…). Les options sont finalement assez limitées, même en passant par Mexico (j'avais notamment regardé avec le B789 d'Aeromexico). Je privilégie Flying Blue dans mes recherches, essayant de profiter autant que possible du gain de miles plus avantageux avant la dégringolade annoncée pour la refonte du programme, mais reste ouvert aux autres possibilités. Hélas, les tarifs restent toujours assez dissuasifs.
Je sais (merci FR) que les départs depuis les pays limitrophes sont parfois plus intéressants. Je reste à l'affût et finis par trouver une solution intéressante : au départ de Milan, DL propose un vol quotidien pour JFK, avec une correspondance correcte pour CUN. C'est parfait, cet aller me permettra de tester DL, dont j'ai entendu beaucoup de bien. Pour le retour, je m'arrange pour faire le tronçon JFK-MXP par le vol AZ. En effet, à la lecture des quelques FR sur le sujet, la J d'Alitalia semble très intéressante, et c'est là une bonne occasion de l'essayer, d'autant que l'avenir est assez incertain pour la compagnie transalpine. Autre point positif lié aux vols JFK-CUN-JFK : DL propose une vraie cabine affaire sur ses vols moyen courrier, contrairement à bon nombre de compagnies européennes.
Bon, tout cela est très bien, mais on reste encore à des tarifs de l'ordre de 900 € en éco et 2.500 € en business. Je me dis qu'on peut trouver mieux ;-)
Patience est mère de fortune, je checke régulièrement via le site d'AF et un jour, bingo ! En jouant un peu sur les dates, je trouve le combo gagnant pour 1.800 €. On casse donc la tirelire et nous voilà partis pour le Yucatan !
Tout content de moi, je présente ce routing à Madame, qui ne manque pas de me faire remarquer que c'est un peu compliqué, alors qu'on aurait pu partir de Marseille ou Nice et passer par Paris. Mais elle est compréhensive et se range à mes arguments.

Le routing

Le routing est donc le suivant :
MXP - JFK : DL - business - vous y êtes !
JFK - CUN : DL - business
CUN - JFK : DL - business
JFK - MXP : AZ - business
A noter qu'un Français rencontré au Mexique (en l'occurence le gars qui fait les guides du routard pour l'Amérique Latine) a trouvé que nous avions bien du courage de passer par les US en transit. Honnêtement je n'avais pas prêté attention à cet aspect et cela n'a pas été plus gênant que ça, d'autant nous disposons déjà de nos ESTA.

L'arrivée à MXP

Bon, tout ça c'est bien mais nous n'habitons pas à Milan, il faut donc s'y rendre en voiture. Nous partons donc la veille pour 5 heures de route, heureusement il n'y a personne sur la route et l'Atéon-mobile avale rapidement ces kilomètres. J'avais eu la présence d'esprit de réserver le parking à l'aéroport de Milan. 80 € pour 2 semaines, c'est correct, mais ça reste plus cher qu'à MRS, qui est de ce point de vue imbattable.
Nous arrivons donc vers 23 heures sous une véritable purée de pois à MXP. Le chemin pour rejoindre l'aérogare (6 minutes dixit le panneau… mouais…) n'est pas très glamour. Il nous fait emprunter une longue passerelle. Avec le brouillard, c'est un peu surréaliste, d'autant qu'à cette heure tardive c'est désert.

Nous arrivons à l'aérogare. Grande, blanche, déserte.

Le brouillard ne semble pas perturber le trafic (je garde le souvenir du CDG-SIN de l'an dernier perturbé par le brouillard…).

Nous avons réservé au Sheraton, qui a l'avantage d'être directement dans l'aérogare et qui propose un tarif très correct. Avant d'arriver à l'hôtel, des oeuvres sont exposées, en lien bien sûr avec l'aéronautique.

Seulement 10 minutes après avoir garé la voiture, nous arrivons dans le hall d'accueil, très vaste et bien décoré.

Il y a un peu d'attente pour le check-in, mais nous sommes accueillis avec le sourire.

J'ai bien aimé ces horloges.

L'accès aux chambres est un peu long, mais toujours avec une décoration soignée.

Le lendemain, direction la salle des départs. Le vol est prévu un peu avant 10 h, mais nous prévoyons de prendre le petit déjeuner au lounge.

Un grand escalator nous conduit directement au niveau des départs.

Il y a déjà un peu plus de monde. En bas c'était vraiment glauque…

Dans un FR, j'avais lu une remarque comme quoi MXP assumait le statut de Milan comme capitale de la mode. Je confirme, il y a des pubs de mode partout !

Notre vol est bien prévu à l'heure.

Pour les vols à destination des US, le check-in se fait dans une salle dédiée, forcément isolée du reste de l’aerogare…

On retrouve les comptoirs DL. Très peu de monde, pourtant nous ne sommes qu'à 1h15 du début de l'embarquement.

L'agente présente dans la file nous pose les traditionnelles questions concernant nos bagages. Ces formalités sont expédiées rapidement. Le choix des sièges avait été effectué dès la réservation du billet et j'avais procédé à l'enregistrement en ligne la veille. L'agente DL m'imprime les BP jusqu'à CUN et m'indique que nous devrons récupérer nos bagages à JFK pour passer la douane puis les redéposer. Soit…
Ceci étant fait, nous prenons la route du salon. En chemin, je tombe sur notre oiseau du jour, un bel A330, qui accueille les premiers rayons du soleil.

De plus près. Je vous présente N803NW, un A330-300 de près de 15 ans.

Nous nous dirigeons vers le PIF. Le fast track est bien indiqué.

Accueil charmant par l'agent italien qui vérifie l'éligibilité des pax. La dame à gauche n'est non seulement pas éligible, mais en plus elle s'est carrément trompé de terminal !

Peu de monde côté file classique.

Nous nous retrouvons airside en moins de 5 minutes.

Forcément, passage obligé par le dutyfree.

Beaucoup de boutiques de luxe, mais à cette heure matinale, c'est plutôt désert.

Nous trouvons l'entrée du salon. En gros, c'est le salon de toutes les compagnies, hormis AZ bien sûr et LH.

Le salon Montale

Le Sala Montale se trouve à l'étage. Accueil souriant par 2 cerbérines italiennes.

L'entrée est plutôt accueillante, avec un grand écran. Le mobilier est en cuir.

Le salon offre une vue imprenable sur le tarmac. Tiens, mais c'est notre avion !

A droite, après la partie restauration, des tables hautes, avec le FIDS.

Un espace est dédié pour les familles avec enfants, un peu à l'écart. Bonne idée.

Il y a même un espace pour les fumeurs (d'ailleurs, à côté de l'espace pour les enfants).

Tiens, le plus simple c'est de vous montrer le plan du salon ;-)

Vous noterez l'espace "VVIP" (je n'ai pas eu l'outrecuidance de demander aux cerbérines les critères d'éligibilité).
L'offre liquide n'a rien d'exceptionnel, mais a le mérite d'exister.

L'offre solide est assez consistante en quantité et variété, mais il n'y a rien de bien folichon.

Ah, les fameuses viennoiseries italiennes recouvertes de sucre ou de chocolat… :-(

Ma sélection. J'ai eu du mal à trouver mon bonheur, sauf pour le café, avec la machine à expresso à disposition.

Dehors, il y a pas mal d'activité. A gauche, AZ, QR et SQ un peu plus loin.

En face de nous, EY (comme partout…) et un B767 de la compagnie Neos. Celui est bientôt rejoint par B737 Blue Panorama au nez tout noir.

Sur la droite, à côté de notre A330 DL, un A350 TG.

Avant de partir, petit tour au WC, impeccables.

Il est temps de se diriger vers la porte d'embarquement. En chemin, nous découvrons une manière originale de nettoyer les tapis roulants à moindre effort !

L'embarquement

Le chemin vers la zone d'embarquement permet de profiter de la vue sur notre A330.

A quelques minutes de l'embarquement, pas de queue devant les comptoirs.

Mais rapidement, les annonces commencent à être faites et certains passagers essaient d'embarquer en priorité. Du coup ça rameute du monde devant l'entrée des files.

Les passagers prioritaires sont appelés, avec manifestement une priorité pour les pax J, les autres SkyPriority (comme les voyageurs Y+) étant gentilment priés d'attendre.
Nous découvrons les magnifiques couloirs verts conduisant à notre appareil.

Malheureusement le finger cache l'avion.

Le finger en question est plus classique, mais hélas pas vitré.

Accueil en porte chaleureux.

Le vol

Arrivée dans la cabine J. L'embarquement se faisant en 2L, tous les passagers J sont orientés sur la gauche en entrant.

Nous avons réservé deux sièges l'un derrière l'autre, l'expérience vécue lors de notre dernier A/R à NY nous ayant convaincus de cette option. Cette capture d'écran a été prise lors de l'on-line check-in, 24 heures plus tôt. Les sièges auront été réservés dès la réservation des billets. Lors de l'OLCI, il restait encore 6 sièges libres, mais la cabine J sera pleine.

Mon siège pour les prochaines 9h30. La couverture, l'oreiller, la trousse, le casque et une bouteille d'eau sont déjà mis à disposiiton.

Vue générale de la cabine. L'agencement est identique à celui des cabines B&B d'AF. Les tons bleus et crème font un peu vieillot je trouve.

L'écran, avec la télécommande et les boutons pour le siège.

Sans surprise, le pitch est royal.

J'appuie sur le bouton "push" et me voilà avec l'écran devant les yeux. Immédiatament, j'ai le choix de la langue.

La télécommande fait penser à une gameboy des années 90…

Un verre d'accueil est rapidement proposé. Jus ou cava. J'opte pour les bulles. Madame me rappelle qu'il n'est que 9h du matin, mais je lui dis qu'il n'y a pas d'heure pour les braves ;-)

Le cava trouve tout juste sa place à côté de mon bazar…

On est bien sur une compagnie américaine. Je ne suis pas fan de ce genre de publicité.

La cabine se remplit tranquillement.

Tiens, un mot d'accueil est disposé sur un billet cartonné. C'est assez anecdotique, mais j'apprécie ce genre de détail.

Bon j'entreprends de faire le tour de mon espace vital pour les 9 prochaines heures. L'espace pour la documentation.

Les commandes de siège.

La trousse de confort (shame on me, j'ai oublié d'en photographier le contenu). A noter qu'elle contient un petit stylo et un tube de dentifrice de taille généreuse.

L'emballage du casque audio.

Amusant ce parement en faux bois.

Une bouteille d'eau.

L'accoudoir rétractable. Celui-ci brinqueballait un peu. D'ailleurs, aucun PNC n'aura veillé à ce qu'il soit replié pour le décollage.

Enfin, la tablette, rétractable sur le côté facilement.

On n'a jamais trop de prises !

A y regarder de plus près, on voit tout de même quelques signes d'usure.

On pushback à 9h45, soit avec 5 minutes d'avance. Bon point !

A nos côtés, on retrouve ce bel A350 de la Thaï.

Derrière lui, un Ricain.

On retrouve également notre ami EK. Entretemps, un SU est arrivé au parking.

Les consignes de sécurité sont lancées sur l'IFE. Celles-ci sont également reprises sur un écran central à l'avant de la cabine, pour ceux qui n'auraient pas sorti leur écran.

Pendant le roulage, j'en profite pour faire la connaissance de cet IFE. Mon premier réflexe est bien sûr de voir s'il y a une géovision.

Les détails de l'appareil ne sont guère… détaillés !

Il y a une géovision, mais à l'ancienne, c'est-à-dire nullement interactive. Dommage !
On continue à rouler. Au loin, les Alpes enneigées.

Tiens, mais c'est un Antonov ! A côté de lui, les autres avions font vraiment pitchounes.

Le temps est clair, nous partons sous un beau ciel bleu !

Nous arrivons au bout du taxiway, tandis qu'un Tui décolle.

Nous ne décollerons pas tout de suite, étant donné les conditions météo, un dégivrage s'impose.

On retrouve notre Antonov.

Pendant ce temps, on se fait griller la priorité par un B787 EY.

Bon, j'en profite pour essayer de prendre quelques photos de l'aérogare. Pas mal de trafic, et toujours les blanches Alpes en arrière-plan.

Après le dégivrage, nous nous présentons enfin pour le décollage.

C'est parti !

La vue est alors saisissante : la brume entoure l'aéroport, qui semble miraculeusement épargné !

Dans la mer de nuages bas, émergent quelques structures (des antennes ?). Cela semble assez surréaliste.

Je pars à la découverte de la littérature de bord.

Pas de doute, nous sommes à bord d'une compagnie US, avec toutes les nuances et subtilités afférentes. Avec cet encart, au moins, le message est clair !

Un pub pour le Mexique : plongée + pyramides mayas, ça c'est prévu !

On retrouve une présentation assez détaillée des A330-200 de DL.

Les cartes du réseau DL sont assez impressionnantes.

Le réseau est si vaste qu'il faut une carte par zone géographique. Ici un focus sur le Mexique. On voit bien le facteur héliotropique suscité par CUN…

Le réseau transatlantique.

Les consignes de sécurité.

Le gros point fort de DL, c'est d'offrir un Wifi gratuit pour les applications de messagerie (whatsapp, emails, FB messenger…). J'aime bien me dire que je peux déconnecter quand je suis en l'air, mais il est vrai que c'est quand même sympa de pouvoir échanger en plein vol avec des amis.

La procédure est bien expliquée, et le wifi est rapidement opérationnel.

Dehors, c'est magnifique.

Le service commence 20 minutes après le décollage. Distribution d'un oshibori.

Le menu.

L'apéritif et l'offre solide - à noter la présence d'un cocktail signature.

Les boissons.

Passage au-dessus des Alpes, splendide !

Installation d'une nappe, puis service d'apéritif. Pour moi ce sera champagne et eau pétillante. Un petit ramequin de noix est également déposé.

Santé à tous les FRistes !

C'est à la mode de cacher les trolleys sous un voile de pudeur…

A ce moment, nous survolons le Limousin.

C'est à ce moment que je me rends compte que les sièges DL sont assez différents de ceux des cabines B&B d'AF. En effet, les deux sièges du milieu sont beaucoup moins isolés, non seulement du couloir, mais également entre eux. C'est mieux pour les couples, beaucoup moins bien pour les autres. Il n'y a pas non plus de cloison séparative amovible, comme chez AF.

Les sièges devant sont eux beaucoup mieux isolés.

Pendant que je devise tout seul sur les configurations de siège, le service continue.

J'en profite pour faire une remarque concernant mon PNC que l'on voit à droite sur la photo précédente. Il n'a pas été désagréable bien qu'assez peu souriant. Côté physique, il m'a fait penser à Zangief ! (les amateurs de Street Fighters comprendront ce que je veux dire…)
Avant…

Après !

Ah mais le beurre s'était caché…

Couverts en métal siglés DL.

C'est bon et plutôt goûteux. Choix de pain, servi tiède.
Puis vient le plat. La CCP était passée prendre nos choix préalablement.

Ce n'était pas extra, la viande n'était guère tendre… Je me rattrape avec l'IFE naturel.

Puis fromage. C'est tout de même agréable lorsqu'il est servi après le plat.

Par contre je demande du vrai pain et non ces crackers. La CCP vient elle-même me servir. Lorsque je lui demande du pain aux graines, elle sourit et me dit : "that's so french !"
Pendant le repas, je me regarde un film. En introduction, une vidéo assez surprenante, vantant le mérite des soldats Ricains et la reconnaissance de la compagnie à leur égard.

Puis la cabine passe en mode nuit. Je termine tranquillement mon film et m'installe confortablement.

Puis je décide de me dégourdir les jambes. Direction le galley. Le bar, minimaliste.

L'instant porte.

La cabine business, en plein dodo.

Je retourne me reposer un peu et mets mon siège en position allongée.

Le full flat c'est quand même sympa.

A ce moment, nous sommes au milieu de l'Atlantique. Je constate que nous suivons une route sud.

Après un petite somme réparateur, je me réveille. Un mid-flight snack a été proposée par l'équipage, avec cookie et chocolat chaud, mais j'étais plongé dans les bras de Morphée. Madame m'a confirmé que le cookie était très bon !
Puis vient la seconde prestation, avec prise de commande par la CCP.
Distribution d'un oshibori par mon ami Zangieff.

Puis service de boisson, pour moi ce sera un chardonnay californien et une eau gazeuse.

Rib ou arabic mezze, j'opte pour ce dernier choix. La présentation est sympathique, avec fruits et légumes.

Malheureusement le pain arabe étant au contact des autres éléments sera ramolli. L'ensemble était toutefois très correct et frais.
La boutonnière sur la serviette.

Un peu de négligence dans la présentation, mais là on est dans le détail ;-)

Pendant ce temps, je regarde le film Kingsman, dans laquelle on trouve une scène désopilante avec Elton John himself déguisé et délirant.

En dessert, distribution d'une délicieuse glace Ben & Jerry's.

On s'approche des States.

Je lis un peu. Ca sent la fin.

Avant l'arrivée, passage en cabine de la CCP, qui saluera chaque passager individuellement. Elle aura été au top pendant tout le voyage.

Au passage, elle remet un chocolat, encore une petite attention sympathique. Décidément, sur DL on ne meurt pas de faim !

L'arrivée sur JFK est bien nuageuse.

On arrive en vue des côtes américaines.

Ma bouteille en plastique, qui supporte mal la recompression de la cabine.

L'arrivée sur NY est toujours superbe, malgré le mauvais temps.

Au loin la skyline de Manhattan est bien visible (mieux que sur la photo !).

En approche sur JFK.

Atterrissage !

Pas mal de monde sur le tarmac.

Le Norwegian aperçu tout à l'heure en approche.

Roulage jusqu'au point de contact. Ici, DL est en force !

Un coup d'oeil au magazine de la compagnie pour repérer la correspondance pour notre vol pour Cancun. On continue avec DL donc on reste au T3, mais en perspective du retour, je note qu'AZ est au T1 (comme AF).

Au loin j'aperçois un AF, à côté du vol SV. Cela me rappelle notre vol JFK-ORY de septembre dernier !

Arrivée à notre point de stationnement.

Le calme du voyage se dissipe avec le branlebas des passagers s'apprêtant à sortir. Moi je serais bien resté encore un peu…

Prise de congés souriante par les PNC, retenant le flux des passagers Y et sortie par le jetbridge, aveugle.

Un dernier regard à notre destrier du jour.

Passage assez rapide de l'immigration.

Rendez-vous très bientôt pour la suite !