Avis du vol Cathay Dragon Chongqing → Hong Kong en classe Affaires

Bonjour à tous et bienvenue dans ce nouveau FR que je publie très en retard.

Fraîchement arrivé à CKG, me voilà reparti pour un nouveau voyage, vers l’île de Bali. Chez CX, la différence de tarifs entre la Y et la J était minime, et les prix étaient plutôt attractifs pour de la J, et pour cause : aller et retour nécessitent un transit d’une nuit à HKG. Finalement, cela permet de passer une bonne nuit à HKG et éviter d’avoir un red-eye comme CZ le propose et ce n’est pas une si mauvaise chose.
Pour le retour à CKG, il y a le choix entre deux vols : KA le matin et CA le soir ; je ne suis pas fan de CA, mais son horaire permet de rentabiliser le transit en faisant du shopping par exemple.

Voici donc le routing final :



Au niveau des exclusivités du jour, vous aurez droit à la découverte du tout nouveau terminal de CKG (bon, il a un an déjà, du salon international de celui-ci et quelques autres surprises :)

Me voilà donc parti pour un nouveau vol au départ de CKG.



Au loin, on aperçoit déjà les bâtiments du T3.



Cet A321 3U au décollage confirme que nous sommes proches.



Rapidement, on découvre ce nouveau terminal habillé de verre qui fait très moderne à première vue.



Le taxi me dépose devant la porte dédiée aux vols internationaux ainsi que HK/TW et Macao.



D’extérieur, le terminal paraît gigantesque.



Cela signifie qu’il y a beaucoup de trolleys à bagages, lesquels ne sont plus indiqués par un panneau « trolleys for free » comme au T2.



L’aéroport de CKG nous accueille avec un contrôle anti-explosif qui est l’occasion de se rendre compte que par rapport à avant le T3 est d’une toute autre dimension.



Comme CKG a prévu qu’on puisse se perde, des plans pas interactifs sont prévus pour s’y retrouver.



La belle vue d’une aérogare tout en verre…



…explique peut-être l’absence de personnel à ce stand d’emballage des bagages ?



En tout cas, CKG a fait un effort pour ne pas discriminer les passagers étrangers non sinophones en indiquant les mêmes prix dans les deux langues…



Il faut dire que ce n’était pas le cas quelques années auparavant où l’anglophone devait parfois payer le double du prix que paye un sinophone…
En s’éloignant des « ponts » de contrôles, on découvre une zone gigantesque et très belle.



Pourtant, en regardant ce tableau qui indique toutes les compagnies opérant des vols internationaux depuis/vers CKG ; on constate que de compagnies « lointaines », il n’y a qu’AY et QR…



Ce FIDS affiche tous les vols internationaux (+HK/TW/Macao) de 2h15 à 22h00, qui occupent seulement une petite page sur les 4 qui sont prévues à cet effet… En étant plus attentif, on constate qu'en plus, tous les numéros de vols en partage de codes sont affichés sur une ligne indépendante (le mien est affiché sur trois lignes : CA6505/CX5841/KA841) ; en fait, il n’y aura que 18 vols internationaux aujourd’hui.



En étant encore plus attentif, on se rend compte qu’il reste encore trois quarts d’heure avant le check-in de mon vol… certains diront que c’est long, mais ce sera juste suffisant pour découvrir ce terminal que j'aurais préféré visiter à sa mise en service l’an dernier.
CKG a prévu qu’on n’ait plus de monnaie locale et qu’on puisse en changer à l’aéroport.



Une fois la monnaie changée (ce que je n'ai pas fait), on peut peut-être faire quelques achats dans ce supermarché.



Il est plus proche des zones d’enregistrement des vols intérieurs…



…ils peuvent donc espérer avoir plus de clients vu le nombre de vols bien plus important que les long-courriers…



En étant attentif, on note que ces FIDS pour vols domestiques affichent seulement l’heure limite d’enregistrement car la plupart des compagnies chinoises sont très présentes à CKG, ce qui permet de s’enregistrer dès le matin du vol.
Je suis légèrement déçu de la signalétique : il faut se contenter de petits panneaux comme celui-ci pour toute autre indication que les zones d’embarquement…



Cela permet néanmoins de trouver les toilettes facilement…



Celles-ci sont très propres, mais je signale quand même cette aberration ergonomique de placer le savon aux deux extrémités des lavabos… C’est bête…



Après une petite vidange, on peut continuer l’exploration du T3A et constater que CKG cherche vraiment à promouvoir les produits de la ville avec plusieurs boutiques de spécialités (j’en ai vu 3 ou 4) comme celle que vous voyez à gauche : « 山城特产 » qui signifie « spécialités de la ville-montagne » (le surnom de Chongqing)



Vous y trouverez surtout des aliments (qu’est-ce que vous voulez, vous n’êtes pas sûrs de trouver votre dose quotidienne d’épices autre part qu’à CKG et dans le Sichuan ^^)



…mais aussi des boissons qui n’ont rien d’exclusif à CKG…



Les commerces sont très variés, et vont du café Starbucks à la boutique high-tech en passant par les boutiques de spécialités locales comme un énième « 重庆特产 » (spécialités de Chongqing) tout à gauche de la première photo.



Vous pouvez aussi dépenser l’argent provenant du bureau de change à l’entrée du terminal en achetant des produits plus ou moins sains à droite ou des fruits secs dans la boutique de gauche…



En attendant, la Chine de 2018, c’est surtout beaucoup de high-tech et de publicités, comme celle-ci qui orne un bon nombre de piliers de l’aérogare…



C’est aussi des robots qui se déplacent à proximité de boutiques de haute technologie…



Tous ces appareils peuvent décevoir s’ils ne sont pas bien conçus, mais ne doivent pas être jetés dans ces poubelles, même tri sélectif friendly ^^



Ils doivent être chargés grâce à ces prises de courant qui sont présentes en nombre suffisant.



Mais il vaut mieux qu’il y ait des sièges à proximité pour utiliser son n’importe quoi portable en chargement plus confortablement… Comment ça, « On lui demande de s’asseoir sur la poubelle ? » ^^



A l’étage, on peut passer le PIF pour son vol s’il est domestique, comme l’indique l’écran au fond.



…ou celui-ci dont l’affichage n’est pas impeccable.



Au niveau supérieur, il y a aussi une aire de repos bienvenue, car en bas, les sièges manquent cruellement.



Il faut donc monter grâce à cet escalier mécanique.



La zone n’apporte pas grand-chose en plus que des groupes de sièges très espacés et de piliers non décorés de publicité.



Bon, cette visite landside me fait oublier que j’ai un check-in à faire, moi…
Il ne se fera pas là puisque c’est la zone prioritaire de CZ et OQ.



…mais en 3C où on apprend que le vol vers LAX enregistra également ici.



Les priorités sont bien respectées et les files bien indiquées.



Deux comptoirs sont destinés à la J (et aux membres Marco Polo)



Pas de tapis rouge comme chez CZ, mais ce n’est pas le hub de KA et ce tapis CQA (Chongqing Airport) suffit amplement.



Les bagages sont envoyés directement à DPS malgré la nuit de transit et très vite, je me dirige vers les contrôles PAF/PIF.



L’entrée est dédiée aux vols internationaux/HK/TW/Macao.

Une horloge mondiale rappelle que nous sommes à un peu plus de deux heures du départ, ce qui permettra d’explorer la zone airside de la partie internationale du T3A, destinée à concurrencer des aéroports bien plus réputés comme CAN, PEK, PVG etc.



Il y a d’abord un contrôle des bagages qui n’est pas le PIF.
Ensuite, il faut passer à l’étage inférieur pour la PAF où il y a pas mal de monde, mais pas de file prioritaire.

PAF et PIF seront relativement rapides, 15 minutes tout au plus, c’est bien.
Voici une photo des documents de voyage.



Mon BP tamponné comme il faut avant le PIF ainsi que l’invitation pour le salon.



Par contre, il vaut mieux laisser le BP plié comme il m’a été remis juste après être tamponné, car « le tampon sèche lentement, une fois j’y ai touché et ça a mis des jours à partir », m'a dit une policière.



A première vue, la zone airside fait bonne impression ; c’est lumineux et propre.



Quelques boutiques sont présente ici et là.



La signalétique est bien faite, et on ne risque pas de se perdre.



Une fois passées les quelques boutiques à la sortie du PIF, c’est un peu plus décevant : de nombreuses pièces n’ont pas trouvé de locataire et cela crée un certain vide.



On peut peut-être demander des explications à ce point d’information, mais mieux vaut prendre plus de temps à explorer la zone internationale avant de se reposer au salon.



Au niveau des portes d’embarquement, on constate que de nombreux sièges sont inoccupés, la faute à un faible nombre de vols…



En étant un peu attentif, on découvre que nous sommes séparés des baies vitrées par une autre vitre dont on ne doit pas s’approcher « pour des raisons de sécurité »



Cela ne m’empêche pas d’immortaliser ce 320 thaïlandais ; on note que TG a passé la liaison CKG-BKK à sa filiale « souriante »



De ce côté de l’aérogare, ce sont les portes H.



En avançant un peu, on peut changer son bébé, ou lui donner son biberon.



En avançant encore plus, on peut accéder aux portes G d’où mon vol décollera.



Si l’on trouve que marcher peut être ennuyeux, on peut faire une pause en regardant l’un de ces écrans de télévision, dont le volume n'est pas réglé à un niveau incompatible à l'ambiance calme de l'aéroport.



Sinon, on peut aussi spotter ce 330 d’Air China en livrée spéciale.



Ils sont marrants à CKG de donner des numéros de porte à 2 chiffres, alors que la plupart permettent d’aller au large…



CKG est vraiment enthousiasmée à vendre ses spécialités, puisqu’on peut observer de nombreux stands comme celui-ci où il n’y a personne pour vendre les produits qui n’existent pas.



Comme tout aéroport chinois qui se respecte, CKG dispose aussi de distributeurs d’eau tiède ou bouillante, au choix.



En consultant ce FIDS, on apprend que le vol est toujours à l’heure.



En direction du salon, les commerces sont un peu plus nombreux.



Vous ai-je déjà dit que CKG cherche à promouvoir ses spécialités ?



En avançant, on peut accéder à l’unique salon du hall international.



Voici son entrée à droite, décorée du logo CQA qui gère ce salon.



Et voici l’intérieur, qui ne fait pas rêver.



Avec l’ouverture du nouveau terminal, on peut espérer une amélioration au moins côté catering…
Voici le buffet côté plats chauds…



Mais en s’approchant, on constate qu'au niveau des plats chauds, il n’y a pas de plats chaud : à l’image du salon du T1, ils ne sont disponibles qu’aux heures de repas.



Le salon fait bien la promotion de la cuisine locale (ici les nouilles de Chongqing) à travers cette cuisine ouverte, ce qui est très appréciable, mais il n’y a personne pour vous la servir, la cuisine locale, puisqu’il faut là aussi attendre les heures de repas…



Si l’on veut des nouilles, il faudra donc se rabattre sur les nouilles instantanées (c’est sûr que c’est autre chose qu’un plat préparé sur place)



On pourra les consommer grâce au distributeur d’eau bouillante à droite.



Sinon, on peut toujours remplir son estomac avec quelques snacks ou viennoiseries.



Côté liquide, voici les alcools…



…et les softs.



Le salon nous donne quelques recommandations concernant l’usage que l’on fait des aliments buffet.



Près du buffet, il y a un couloir qui nous mène à l’espace IT.



Il y a bien des ordinateurs équipés de Windows 7, mais il y a surtout un code pour y accéder et personne pour vous le donner…



En attendant que quelqu’un vienne à notre secours, on peut peut-être s’asseoir en face ou aller fumer une cigarette que je ne consomme pas à l’espace dédié à cet effet ;)



La décoration du salon est très réussie.



Il y a quelques bonnes idées comme le book bar



On rappelle aux petits malins que les livres ne doivent pas malencontreusement glisser dans son sac.



On pourra lire le livre choisi sur ce fauteuil, ou consulter ces journaux mis à disposition.

Des sièges libres, ce n’est pas ce qui manque dans ce salon :)



Ceux qui ne les trouvent pas assez confortables peuvent utiliser ces fauteuils massants.



Bon, par contre, l’activation de ceux-ci est laborieuse. Il faut obligatoirement avoir un compte WeChat (j’ai), scanner le code QR collé au fauteuil (ah ?), s’abonner à la marque du fauteuil (nan mais oh) et le massage commence (il était temps)
Proposer des fauteuils massants, c’est bien, ne pas pousser le bouchon du partenariat trop loin, c’est mieux.



Si on cherche une autre forme de relaxation on peut regarder la télévision qui affiche un programme absolument passionnant : « veuillez brancher le câble HDMI à votre appareil »



Jusqu’ici, le salon est très sympathique. Le catering est très décevant, mais le reste est vraiment pas mal.
Les toilettes pour hommes sont impeccables et adaptées à toutes les tailles.



Pas étonnant puisqu’elles sont vérifiées régulièrement.



D’ailleurs, le salon dispose aussi de douches que je n’ai pas testé.



Vous avez probablement remarqué un couac sur la photo précédente : la planche sale et l’adhésif de part et d’autre de la porte.
C’est que les travaux ne sont toujours pas terminés, et cela fait très mauvaise impression dans un salon où tous les PAX haute contribution partant à l’international vont passer.



Bon, ce n’est pas tout, mais mon vol va bientôt embarquer, là !



L’annonce de l’embarquement se fait via les haut-parleurs, et il faut donc y aller.
On note que CKG a prévu des trottoirs roulants pour se déplacer, mais aller simple uniquement ; si vous sortez du salon, vous pouvez alimenter le compteur de pas de votre smartphone en vous rendant en porte à pied.



De toute façon, la porte n’est pas si éloignée que cela.



Au loin, on aperçoit le 330 CA qui repousse.



Ici, des fauteuils massants sont disponibles, mais en accès payant : jusqu’à 30 RMB les 36 minutes.



Cette livrée spéciale est bien sympathique.



Les priorités sont respectées et l’on peut s’engouffrer dans la passerelle, laquelle n’a pas (encore) été ornée de publicités d’une certaine banque, ce qui est plutôt une bonne chose.



Cela permet notamment d’immortaliser l’A320 du vol, ainsi qu’un cousin aux couleurs locales.



L’immatriculation : B-HSK, le HSK étant d’ailleurs « le seul test normalisé de la République populaire de Chine pour tester les compétences linguistiques en mandarin des personnes ne l'ayant pas comme langue maternelle » (merci à Wikipédia pour l’explication que je connaissais déjà)



Quelques informations bonnes à savoir.



Le 320 qui n’a pas encore été repeint aux couleurs de Cathay Dragon.



L’instant porte



Et l’engin permettant d’ajuster la hauteur de la passerelle.



Voici mon siège au 1er rang



Il comporte 3 hublots, lesquels sont tous impeccables.



Le PSU n’est pas dernier cri



Devant, il y a une accroche pour tablette qui commence à être assez connue ici.



A gauche, on retrouve un rangement pour téléphone, datant d’une époque où les téléphones n’avaient pas la taille qu’ils font aujourd’hui. Notez tout de même la colle séchée dégoulinante sur les bords du rangement…



Très vite, un verre d’accueil est présenté.



Ensuite, c’est au tour d’une serviette rafraîchissante d’être offerte.



Ensuite, c’est une tablette de la marque à la pomme qui est distribuée.



Evidemment, KA nous rappelle que ce n’est pas un généreux cadeau qui nous est offert et qu’il faudra le rendre à la fin du vol.



Le plus pratique, c’est d’enlever la coque et d’accrocher la tablette devant.



Chongqing Airlines à l’aéroport de Chongqing, devant des silhouettes montagneuses : voilà la meilleure description de la ville-montagne.



Pendant ce temps, le 330 de CA décolle.



Nous repoussons très vite et croisons ce 738 de CA



La tablette proposée par Cathay Dragon est disponible en 3 langues : Anglais, Chinois traditionnel, Chinois simplifié.



Au premier démarrage, nous avons droit à un tutoriel nous expliquant comment on utilise ce système.



Dans la foulée, les menus ainsi que les cartes d’immigration sont distribués.



Le roulage commence à l’heure.



Nous nous éloignons du nouveau terminal de CKG, ainsi que de la nouvelle tour de contrôle.



C’est la première fois que je vais décoller de cette nouvelle piste qui n’a même pas un an.



On peut peut-être s’inquiéter des incendies qui peuvent survenir à bord, mais il semble que c’est plutôt la condensation due à la climatisation.



Nous nous élançons à l’heure.



Derrière nous, c’est un 319 de CZ.



La nouvelle tour de contrôle



Le T3A, qui est bien trop grand pour que je l'aie en entier.



Au loin, c’est l’ancien T2.



Quelques vues de Chongqing que vous ne voyez quasiment pas.



Là, c’est le wingtip que vous voyez un peu mieux.



On peut se demander pourquoi j’ouvre ma tablette dès maintenant ?



C’est pour vous montrer le contenu de la pochette à magazines, qui contient un casque, une carte expliquant l’usage de « Studio KA » et des magazines.



Il y a également un vomibag et la carte de sécurité.



Voici ensuite la carte « Studio KA » en version anglophone, puis sinophone.



Petit tour aux commodités lesquelles sont propres.



Elles sont pourvues de produits Jurlique.



Contrairement aux compagnies de Chine continentales, le signal « retournez à votre siège » n’est pas activé par défaut.



Je profite du départ de mon voisin pour prendre le siège dans sa position maximale. C’est pas mal du tout pour une cabine régionale.



Très rapidement, le plateau est distribué. C’est du tout en un, mais sur un vol de cette durée, ça ne me choque pas.



Au niveau du raffinement, on regrettera la présence du beurre en barquette et de d’une serviette rafraîchissante à la place d’un oshibori, mais sur un vol aussi court, on l’accepte volontiers.



L’entrée était plutôt bonne.



Pour le plat, je me suis rabattu sur le poulet et les pâtes. La présentation pêche un peu, mais j’en garde un assez bon souvenir.



Pain à l’ail pour moi, chaud ; le pain est servi chaud.



Et comme je l’avais noté l’année dernière, il y a maintenant deux jeux de couverts, ce qui est appréciable.



Et comme on est chez Cathay, ce sera glace pour le dessert.



Ce qui est très appréciable en termes de divertissements, c’est le nouveau casque lequel est maintenant le même que sur les vols long-courriers, et qu'il est de bonne facture.



On peut l’utiliser avec la tablette, dont on notera qu’il est intéressant de constater la présence de deux pages d’applications alors que la première est vide.



Il s’agit d’un dossier marqué « do not use »



Mais comme vous le savez tous, quand on nous dit de ne pas faire quelque chose, c’est exactement l’inverse que l’on fait, me voilà donc à explorer les applications contenues dans le dossier.
C’est d’ailleurs une application étrange que l’on a là : elle n’a ni nom, ni icône.



Il y a aussi une application qui s’appelle « start », mais que je n’ouvrirai pas ; vous imaginez si ça explose ? ^^



Pfff… En fait, le dossier était juste destiné à masquer les paramètres de l’appareil… Je crois que les passagers voyageant en J sont suffisamment responsables pour ne pas aller pirater la tablette de toutes les façons pour qu’il faille les masquer…



Sinon, au niveau du contenu, il s’agit de l’application StudioKA, laquelle peut être téléchargée sur son n’importe quoi portable aussi.
Les menus sont présentés sous forme d’une liste à gauche faites d’icônes très explicites ;



Celles-ci ouvrent des sous-menus qui sont en nombre important pour chaque catégorie…



Bon, je crois qu’on peut faire une exception.



Cette exception montre que dans un sous-menu, il existe aussi de nombreux sous-sous-menus ; mais on m’a toujours appris à ne pas faire de paraphrase à l’école, aussi, je ne vous ferai pas une liste extrêmement détaillée de ces sous-sous-menus.



En tout cas, rien qu’en voyant la barre en haut à droite, on sait que la sélection est très importante, et on ne s’ennuiera pas pendant ce court vol de 2h.



Au rayon enfant, on constate que les menus sont soudain devenus beaucoup plus simples, sans doute parce que les enfants n’ont pas envie de se fatiguer à sélectionner difficilement l’un des sous-menus dont le mot vous horrifie déjà, puisque vous l’avez déjà lu un bon nombre de fois dans ce FR et que vous n’avez pas envie de recommencer.



On note aussi que KA tient à vous faire acheter ses produits (ou plutôt de ses partenaires), et en fait un classement très détaillé.



La compagnie fait aussi des vidéos dont peu me concernent pendant ce voyage.



Si l’on veut apprendre une langue étrangère avec l’application, on ne sera pas gâté : seules trois langues sont proposées, dont le chinois simplifié et le traditionnel.



Vous avez besoin que je vous refasse le tour de l’IFE en chinois pour vous occuper ? ^^



En attendant, le vol a bien avancé et nous nous approchons de HKG.



Il est peut-être encore temps que j’achète des produits de luxe avec 15% de réduction ?



Comme l’atterrissage d’un avion peut être périlleux, il convient peut-être de consulter la carte de sécurité.



Comme tout cela peut être bien stressant, on peut se reposer en appuyant sur l’un de ces boutons (devinez lequel)



Dehors, il fait encore jour.



Dedans, on note que les coffres à bagages ne sont pas ceux que les Airbus A320 ont « de série », et ils sont bien plus agréables.



La preuve que les rangements pour smartphones datent d’un autre temps, c’est que mon téléphone rentre à peine dedans (je n’imagine même pas une phablette des années 2018)



Je ne me lasserai jamais de cette vue…



Comme vous pouvez le constater dans les trois photos suivantes…

…si les nuages se rapprochent, ce n’est pas parce que le temps se fait de plus en plus menaçant, mais plutôt parce que la descente a commencé (comment ça, « dommage » ?)



Nous allons donc traverser la couche.



Ça secoue un peu…



…mais très vite, nous apercevons la mer.



Au loin, on aperçoit la piste (d’accord, peut mieux faire pour la photo)



Nous nous approchons.



Quelqu’un m’explique ce qu’est cette infrastructure ?



Qui nécessite de traverser ce pont pour y arriver…



On aperçoit des avions plus ou moins locaux.



CX, je crois que c’est local.



Bon, nous atterrissons avec quelques minutes d’avances, ce qui m’est rarement arrivé sur ce vol…



Mon voisin profite de l’atterrissage pour se mettre dans une position « très sexy »



Nous voici dans l’empire de Hong Kong Airlines, dans lequel se glisse deux intrus.



Là-bas, ce sont des avions modernes, tels que des A350 ou des A380.



Voici de beaux Airbus régionaux.



En voilà de gros et lointains.



Il faut bien que quelques Boeing soient représentés ici…



Mais, la place de notre avion est parmi ses semblables (parce que qui se ressemble s’assemble), c’est-à-dire des monocouloirs locaux.



Par exemple ce 321 KA.



Ou encore ce 737 CZ.



Puisque le CZ est à gauche du KA, et que nous voyons le KA sans voir le CZ, j’en déduis donc que nous serons stationnés entre les deux.



Pendant tout ce temps, mon voisin a gardé sa position très classe… Oui, mais il va falloir partir, maintenant.



La passerelle est sponsorisée par la banque habituelle que nous retrouvons dans presque tous les aéroports.



Voilà mon siège pour la dernière fois (notez que mon voisin n’a pas l’air pressé de partir mais qu’il m’a gentiment laissé quitter mon siège.



Une dernière vue de l’avion est possible, mais il faut aimer les reflets.



Une vue meilleure du 737 CZ est possible aussi, mais il faut toujours aimer les reflets.



Si l’on souhaite se diriger vers les arrivées, il n’y a qu’un seul chemin possible.



Il faut aller tout droit que ce soit pour l’immigration, que ce soit pour l’immigration ou le transit, et braver courageusement les difficultés indiquées par les panneaux jaunes qui précisent que le sol peut être glissant.



Bon, je pense ne pas avoir à vous apprendre à suivre les panneaux…



Vous vous demandez peut-être la présence de cet appareil au beau milieu de photos de l’aéroport ; c’est que les monocouloirs 737/320 ne sont absolument pas prioritaires pour occuper une porte au niveau du terminal principal, et qu’ils sont donc relégués soit au large, soit en satellite, ce qui est notre cas aujourd’hui.



Au moins, cela permet de spotter quelques avions depuis le PAXbus, comme ce 320 KA.



Au roulage, il y a de 77W qatari.



Une belle brochette de dérives asiatiques.



Bon, il faut de nouveau suivre la signalétique…



Elle nous emmène à la grande salle d’immigration qui ne dispose d’aucune file prioritaire et qui est peu efficace.



Je me demande comment je dois prendre le fait que « j’ai pris du temps pour remplir ma fiche d’arrivée avec soin et amour » et que le policier regarde à peine mon papier et appuie 5 fois sur enter, puis, au suivant.
Nous voilà donc au niveau de la livraison des bagages, mais de toute façon, ça ne me concerne pas, puisque mes bagages attendront sagement à HKG le vol du lendemain.



En avançant un peu, je pourrais me diriger vers les navettes d’hôtels…



Mais vous vous souvenez du début de mon FR ? J’avais dit : « Au niveau des exclusivités du jour, vous aurez droit à la découverte du tout nouveau terminal de CKG, du salon international de celui-ci et quelques autres surprises :) »
La surprise, c’est la découverte du salon The Arrival de CX, puisque tous les PAX J (et P) ayant un long transit à HK ou dont la destination finale est HK y ont droit.



On vérifie mon éligibilité à l’entrée, puis je pénètre dans un endroit peu lumineux et calme.



Il y a quelques ordinateurs qui me permettent de consulter la page d’accueil du site.



Ça, c’est pour ceux qui n’aiment pas Windows, ce qui n’est pas mon cas.



L’intérêt principal de ce salon, c’est de pouvoir avoir un repas complet totalement gratuit parmi l’un des plats de la carte suivante.



C’étaient juste les plats chauds, pour le reste, on peut se servir au buffet qui est plutôt bien fourni.



Il y a quelques salades.



Une soupe (très bonne, d’ailleurs)



(Il y a aussi une machine à café, des fromages, du pain, des fruits, et quelques pâtisseries, mais vous les voyez sur la première photo)
Mon choix s’est porté sur le Five Spices Beef Noodles Soup with Stewed Egg, plat très bon et très recommandable.



Après une bonne demi-heure dans le salon, il convient quand même d’en sortir…



On note que HKIA fête ses 20 ans cette année.



Mais pour avoir une description plus détaillée de l’aéroport, il faudra revenir pour mon prochain FR :)
Merci de m’avoir lu !