Avis du vol entre London et Paris en classe Economique avec BA Cityflyer

CFE

CJ - BA Cityflyer

Vol effectué le 02 septembre 2018
BA8757
19:30 01h 15m 21:45
Appareil Embraer E-170
Classe Economique
Siege 10D
marathon
838 · 145 · 31 · 15

Je ne prévoyais pas du tout de reporter les trajets de ce week-end allongé à Londres prévu de longue date, pour la simple raison qu’ils devaient être en Eurostar.
Mais nous venions déjà de passer une journée fort agréable à Londres quand la mère de Madame a pris de manière impromptue cet aller simple sans franchise de bagages que nous effectuerons tous un jour tôt ou tard, ce qui a justifié de désallonger subitement ce week-end pour accompagner à son ultime embarquement celle qui fut une bonne mère bien avant de devenir une belle mère.
Plusieurs mois à l’avance, l’Eurostar est deux fois moins cher que l’avion, mais au dernier moment, il est deux fois plus cher : il n’y avait pas photo, d’autant plus que LCY est beaucoup plus près que LHR de l’appartement de l’amie qui nous accueillait à Londres.
Le routing final est donc
XPG – QQS : Eurostar, ne sera pas reporté
LCY – ORY : E-170 BA Cityflyer – vous êtes ici
La mise en service de LCY a coïncidé avec celle de la première branche du DLR = Docklands Light Rail.
Le DLR est un métro automatique qui a la particularité plutôt rare d’être exploité en mode GoA3 (Grade of Automation 3), ce qui veut dire que la présence d’un chef de train est obligatoire à bord, moins pour appuyer sur un bouton de fermeture des portes et départ que pour reprendre la conduite en manuel en cas de panne. Wikipedia n’en recense que douze dans le monde : les exploitants veulent de nos jours des métros automatiques en mode GoA4, sans aucun personnel à bord (ce qui permet une exploitation beaucoup plus souple et aussi d’économiser le salaire de ces chefs de trains).


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Il y a donc, non pas un conducteur, mais un chef de train quelque part dans ce train qui nous emmène à LCY.


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Vues sous un certain angle, ces structures blanches évoquent des tours de refroidissement miniatures.


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Je n’ai pas trouvé d’information à leur sujet, mais je pense qu’il pourrait s’agir d’installations de ventilation et de filtrage de l’air du tunnel de l’autoroute A106 qui traverse la Tamise précisément en dessous.


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Cet oursin ayant perdu la plupart de ses piquants est le Millenium Dome, renommé The O2.


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Voyager Emirates Air Line au départ de LCY ? Oui, c’est possible… avec le télécabine Emirates Air Line qui franchit ici la Tamise. Il n’est que partiellement intégré au système de transport en commun de Londres : la tarification est séparée, mais le trajet est payable avec une Oystercard.


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Inaugurée en 1857, l’église St Marc a survécu à la guerre, mais pas à la dégradation de l’environnement des docks et à l’exode de sa population avant la réhabilitation de ce quartier à l’époque de la création de LCY. Désaffectée en tant que lieu de culte en 1974, elle a été transformée en salle de concerts et de spectacles, sous le nom de Brick Lane Music Hall.


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Arrivée à la station London City Airport


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Les bornes automatiques d’enregistrement ne sont pas loin du quai de la station


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La France exigeant de savoir tout des PAX qui frappent à sa porte, j’avais fourni une foultitude de renseignements administratifs à notre sujet sur le site de BA… bien inutilement, car la borne automatique nous les demande à nouveau.


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Ça passe pour moi…


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Et ça casse pour Mme, dont la borne refuse obstinément de valider le profil. (Nous devions initialement faire l’aller-retour en Eurostar, pour lequel avoir un passeport biométrique n’a pas d’intérêt significatif. Mais ici, la lecture optique de nos cartes d’identité est beaucoup moins efficace.)


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Donc passage à la case « enregistrement manuel », mais bonne nouvelle : non seulement l’écrasante majorité des PAX s’est enregistrée en ligne ou aux bornes, ce qui veut dire que l’attente est minimale


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… mais cet intitulé au-dessus de deux des comptoirs n’est pas trompeur : l’employée nous aide effectivement à nous enregistrer, ou plus précisément elle le fait pour nous qui n’avons pas réussi à le faire nous-même.


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A l’achat du billet, je n’ai pas alourdi la facture de 7 GBP par personne pour choisir nos sièges respectifs (et avoir quelques autres avantages mineurs que j’ai oubliés). Sièges 10C et 10D : ce seraient des sièges de part et d’autre de l’allée centrale d’un A32x, mais l’employée m’annonce que c’est un couloir et un hublot, donc dans un Embraer dont nous apprécions le diagramme 2+2.
Il faut ensuite se frayer un chemin à travers une queue de PAX (c’était un enregistrement Skyteam, KLM je suppose) pour prendre un escalier, mécanique ou non


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Et en haut, un long arrêt pour nous ici, juste avant l’auto-scan des BP… pour manger des sandwiches et éviter ainsi qu’ils ne nous suscitent des difficultés au PIF pour cause de fromage indiscutablement pâteux.


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Le PIF est remarquablement bien conçu pour une efficacité maximale.
L’approvisionnement en continu par un tapis roulant de bacs vides se voit ailleurs (mais pas partout). En revanche, à chaque file de contrôle, il y a quatre positions clairement marquées au sol pour quatre PAX mettant en parallèle leurs affaires dans les bacs, et un employé qui oriente les PAX pour optimiser le flux.
Après le franchissement sans encombre du PIF et de la PAF Mme s’est assise initialement ici, immédiatement après le PIF et les boutiques duty-free : un espace aveugle et très bruyant.


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Mais après une reconnaissance rapide, je lui propose de s’installer ici, à l’une des portes d’embarquement. Non seulement il y a beaucoup plus de place, mais aussi de larges baies vitrées fournissant une ample lumière naturelle (pour Mme) et un point de vue idéal sur le tarmac et la piste (pour moi).


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Si j’en avais besoin, il y a aussi le bonus de prises USB et secteur de type G.


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Mes lecteurs habituels auront compris que je n’allais pas laisser passer une telle occasion de spotting. Comme à mon habitude, les photos ne sont pas dans un ordre chronologique, et je n’ai conservé qu’un appareil pour un type donné.
On commence par les étrangers : E-190 KLM Cityhopper


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Un E-190 Lufthansa rentre chez lui


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S’appeler DAECH, de nos jours, ça doit être un peu lourd à porter, en allemand comme en français


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Départ d’un Bombardier Cseries 100 Airbus A220-100 Swiss


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Demi-tour sur place à l’extrémité de la piste


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… et décollage


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Arrivée d’un Dash 8-400 Luxair


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Arrivée au point de stationnement


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Full turn, est-il écrit sur le tarmac


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C’est donc ce qu’il fait, comme tous les autres


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Il est danois, mais en livrée britannique : ce Dornier 328JET est exploité par Sun Air pour British Airways


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C’est une transition idéale vers les compagnies aériennes britanniques :
La livrée est identique à celle de la maison mère, mais ces Embraer appartiennent à sa filiale BA Cityflyer : E190


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E170


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La piste de 1508 mètres et l’approche à 5,5° ne pose pas de problème aux biturboprops de Flybe, comme ce Dash 8-400


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ATR72 Flybe


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Arrivée au point de stationnement


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Et départ une heure et demie plus tard


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LCY est le hub de Cityjet, dont les Jumbolinos sont bien adaptés aux contraintes de cette piste courte à approche pentue.
Cadrage créatif franchement raté de l’atterrissage d’un Avro RJ85 Cityjet


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Son jumeau arrivé une demi-heure plus tard est mieux cadré, mais la photo est floue à cause de la lumière faiblissante


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Revenons au premier, beaucoup plus net une fois au sol, aérofreins déployés bien visibles : ce sont eux qui lui permettent une descente à 5,5°


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Le voici qui revient vers le terminal


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Éclairage de soleil couchant après qu’il ait tourné vers sa porte


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E-170 Eastern Airways


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Le voici qui repasse pour rejoindre son point de stationnement


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Saab 2000 Eastern Airways


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LCY est aussi fréquenté par des jets privés : Bombardier BD-700


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Arrivée d’un mignon petit Cessna 560


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Le voici qui passe devant le terminal


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Dassault Falcon 2000EX


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LCY, comme d’autres aéroports britanniques (tous ?), affiche tardivement la porte d’embarquement: cela facilite la vie des exploitants de l’aéroport au détriment du confort des PAX qui doivent guetter l’affichage pour rejoindre la porte où ils embarqueront, mais pas tout de suite. Cela n’empêche même pas les changements de porte au dernier moment, car vous voyez que c’était le vol BA3227 pour DUS qui était prévu à la porte 3.
Mais coup de chance pour nous : la porte 3 que j’avais choisie pour maximiser les opportunités de spotting est affichée comme étant celle de notre vol. Il est 18h50, soit STD – 40’, et l’embarquement est dans 20’.


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… et on ne peut pas dire que c’est l’effervescence à la porte 3


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Mais voici le héros du jour qui arrive


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Vue de face


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« Nous n’avons pas encore atteint notre point de stationnement »


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… car le personnel au sol interrompt le mouvement.


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Je soupçonne qu’il ne faut pas avoir de souffle de réacteur perpendiculaire à la piste toute proche pendant un mouvement sur celle-ci ; c’est après que l’E-170 Eastern Airways montré précédemment aura fini d’atterrir que notre avion peut terminer son stationnement. Il avance,


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… puis braque à fond à droite le train avant


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Dans ces conditions, un avion, ça tourne sur place


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Terminé !


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L’avion a fait deux tiers de tour sur lui-même pour être prêt à repartir : il n’y a ni passerelle, ni engin pousseur à LCY.


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Mme Marathon m’a demandé à quoi correspondent ces graduations. Je n’y connais rien en aviation, mais je lui ai promis que je demanderais à des spécialistes, par exemple à vous, lecteurs !


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Les PAX descendent par les deux extrémités de l’appareil.


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Winglet et PAX en arrière-plan


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Ah oui, ne pas oublier l’instant porte arrière de cet incontestable E-170


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Et porte avant, pour faire bon poids.


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Le vol BA8757 est affiché Boarding


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… mais ce n’est pas pour autant que l’embarquement a commencé.


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L’embarquement se fait par zone : nous sommes en zone 5 (la dernière), ce qui nous vaut de patienter un peu dans l’escalier vers le tarmac


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Fuselage shot


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Les PAX embarquent par les deux extrémités, sans contrôle des BP et sans erreur d’aiguillage par les intéressés.


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Aurai-je oublié d’inclure un instant porte dans mon FR ?


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La cabine encore peu remplie (le taux de remplissage sera de l’ordre de 75% au plus)


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Aïe : le hublot est très mal aligné au rang 10. Il faudra faire avec.


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Les superstitieux ont-ils investi 7£ dans le choix de leur siège pour éviter d’être au rang 13 de cet appareil ?


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La moquette n'est pas impeccable


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La fiche de sécurité, un peu fatiguée


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Et le magazine de bord, franchement fatigué, car c’est l’édition d’aout (nous sommes le dimanche 2 septembre, mais il faut probablement attendre la fin du week-end pour avoir le numéro de septembre)


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L’instant F-OITN


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SI l’avion avait quitté le bloc à l’heure, nous aurions pu avoir un coucher de soleil juste après le décollage. A défaut, en voici un, signé par Mme Marathon qui a fait ce qu’elle a pu depuis son siège.


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Une dernière prise locale une fois installé à bord : Saab 2000 Loganair


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Passent ensuite deux Embraer BA Cityflyer, en version courte


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Et en version longue


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Et un Avro RJ85 Cityjet


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Les appareils rangés en épis devant le terminal, comme pour un départ des 24 h du Mans à l'ancienne, vus en cours de départ du terminal


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Au départ, il y a du monde : nous sommes troisième au départ derrière cet E-170 Eastern Airways.


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Et cet E-190 BA Cityflyer


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La piste est encore occupée, mais c’est très bientôt à nous


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Il a fallu aussi attendre pour des atterrissages, comme celui de cet Embraer Phenom 300


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Le Dash 8-400 Luxair décollera derrière nous


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Décollage


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La Tamise, avec le quai du ferry à North Woolwich à droite, et moins visible, le quai symétrique en face sur l’autre rive, à Woolwich.


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Pourquoi faire simple quand on peut faire compliqué ? Il faisait trop sombre pour suivre la trajectoire en temps réel, et j’aurais sans doute eu un peu de mal même en plein jour, car voici ce que m’a révélé Flightradar24.


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Le zigzag au sud-est de Londres est certainement un point erroné au milieu d’une perte de données, d’autant qu’il y a deux segments rectilignes autour de ce point. Voici à quoi a ressemblé la trajectoire plus réaliste du vol BA8757 du surlendemain :


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Il n’empêche que l’avion a commencé par partir au dessus de la rive gauche de la Tamise, ici au dessus de Dagenham


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L’avion a ensuite virer pour croiser la Tamise et passer rive droite


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Trainées de condensation éclairées par le soleil couchant en altitude


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Reflet de winglet sur l’aile


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Le cours inférieur de la Tamise, au moment de la croiser


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Au premier plan, le Medway, un fleuve côtier dont l’embouchure jouxte celle de la Tamise


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En éco, c’est BOB sur les vols européens de British Airways, et j’avais annoncé à Mme qu’il nous n’aurions rien à manger à bord, mais c’est en fait un vol BA Cityflyer, qui n’a pas (encore ?) raboté cette prestation de son offre.


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Voici donc le sucré-salé (de droite à gauche) à la mode britannique, accompagné de café pour l’un et d’eau gazeuse pour l’autre.


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Le fournisseur en fait des tonnes sur le caractère écologiquement correct de sa production qui a parcouru 800 km en camion depuis le nord de l’Écosse… en supposant bien sûr qu’elle soit livrée directement à LCY, ce dont je doute un peu.


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Le bilan carbone est donc un peu mitigé, tout comme le goût – je suppose que mon palais est encore plus exigeant que prévu dans leur cahier des charges. Cela dit, on ne fait pas un vol de 350 km en éco pour vivre une expérience gastronomique, même si ces deux sablés ont fait deux fois plus de trajet que moi depuis mon propre domicile pour arriver au siège 10D.


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Compactage conjugal des reliefs de ce festin


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L’île de Wight, à gauche, et la Manche au premier plan


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Derniers aperçus de l’Angleterre avec l’île de Wight


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Les dernières lueurs du jour à l’ouest.


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Si ma mémoire est bonne, il y avait trois rangs de J devant le rideau.


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Descente vers ORY : non seulement mon appareil n’est pas assez sensible pour les atterrissages nocturnes, mais Paris est à gauche de l’appareil.


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Un 738 Norwegian Air Shuttle vu après l’arrêt au contact


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L’instant Danette


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La classe affaire a droit à des repose-tête blancs, mais il n’y a rien en éco, laissant apparaître une bien inesthétique bande Velcro inévitablement encrassée.


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Un E-170 se vide vite, surtout quand il n’est pas complet.
Deux issues de secours sur l’aile dans les deux cas, mais celui-ci est un A319 Easyjet Switzerland


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Et celui-là un A320 AF


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Ce n’est plus l’heure d’embarquer à ORY


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Le cheminement est désert


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Tout comme la salle de livraison des bagages


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Mais il faudra un quart d’heure d’attente à cette exiguë station de taxis qui n’a que cinq positions en épi. Maigre consolation : nous avons eu un chauffeur à la conversation aussi fournie qu’intéressante.


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C'est la fin du récit de ce vol; je vous propose maintenant un court bonus sur Londres, un peu en dehors des sentiers battus : combien d’entre vous ont eu l’occasion de voir Londres par le hublot d’un Airbus A300 ?


Contenu masqué : Cliquez pour afficher
Le quartier de Docklands a fait l’objet dans les années 1980-90 d’une reconquête massive d’un environnement urbain fortement dégradé : sans surprise, les infrastructures ont tourné le dos aux architectures traditionnelles.
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Cette passerelle piétons à Canada Square fleure bon la science-fiction de cette époque là.
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La voici au crépuscule et de nuit
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Il faut un peu connaître les lieux pour découvrir ce calme jardin suspendu.
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Où peut-on voir un un panorama sur Londres ? Plutôt que la fort chère plateforme d’observation de The Shard (environ 25 GPD en ligne, 31 GBP sur place)
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…il est possible de monter au sommet de la tour du Novotel Excel en plein quartier de Docklands, donc non loin de LCY.
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Cela ne vous coûtera au plus qu’une consommation au bar
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Comme ce point de vue est à l’est de Londres, on est en plein contre-jour en fin d’après-midi : il faut y aller soit tôt le matin, soit après la tombée de la nuit. Voici donc de nouveau cet hôtel au crépuscule, à l'extrême droite.
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La vue est spectaculaire sur le quartier de Docklands
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…et sur le centre de Londres dans les lointains
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On est certes un peu loin du cœur de Londres, mais on aperçoit très bien des structures remarquables comme ici le London Eye (la grande roue éclairée ici en rouge) et The Shard.
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En revanche, on ne voit pas de si loin l’immeuble du 20 St Mary Axe, mieux connu sous son sobriquet de The Gherkin (« Le Cornichon ») par les Londoniens.
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Il apparait ici à travers une fenêtre un peu particulière.
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Mais dites moi, je vous avais promis un Airbus A300 ?
Regardez à nouveau ci-dessus la photo de Mme Marathon, qui n’a pas peur de s’attaquer à des cadrages difficiles… ou à la mienne ci-dessous.
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Eh oui ! A deux pas du Gherkin, il y a une authentique section d’un Airbus A300 anonyme, que nous devons à Michail Pirgelis, un sculpteur allemand qui affectionne l’utilisation de pièces d’avion récupérées notamment dans les cimetières aéronautiques de l’Ouest des USA.
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Merci de m’avoir lu !

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Notes des produits

Compagnie aérienne

BA Cityflyer 8,3

  • Cabine9,0 / 10
  • Equipage8,0 / 10
  • Divertissements8,0 / 10
  • Restauration8,0 / 10
Aéroport de départ

London - LCY9,5

  • Fluidité10,0 / 10
  • Accès10,0 / 10
  • Services8,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Paris - ORY8,3

  • Fluidité9,0 / 10
  • Accès6,0 / 10
  • Services8,0 / 10
  • Propreté10,0 / 10

Conclusion

LCY est un aéroport secondaire comme je les aime : facile d'accès, car desservi par un métro dont le matériel roulant est compatible avec le transport de bagages, aux cheminements courts, et offrant de larges baies vitrées donnant au nord (donc jamais à contre-jour) sur un tarmac au trafic plutôt soutenu et diversifié. Mention spéciale pour l'efficacité de la partie amont du PIF : mes souvenirs de mes cours de théorie des files d'attente approuvent l'organisation ! Le beau temps qui contredisait les stéréotypes locaux ne gâtait rien. Ce n'est pas un bémol, tout juste un comma : la manie britannique d'afficher tardivement la porte d'embarquement, mais la chance avait été avec nous et j'avais choisi au hasard la bonne.

Pas de fausse note au sujet de la compagnie aérienne; la note de confort de l'avion aurait été encore meilleure si le hublot n'avait pas été malencontreusement très mal aligné.

Fluidité sans problème particulier à ORY, mais de très longs cheminements déserts, pour aboutir à une station de taxi sous-dimensionnée, même en heure creuse. Il faudra hélas attendre encore de longues années avant que la ligne 14 du métro n'atteigne ORY

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Commentaires (31)

  • Tout d’abord permets-moi de te présenter mes plus sincères condoléances… même si je sais que les mots ne peuvent pas grand-chose face à la peine et à la douleur….

    Sur la tarification :

    Eurostar est deux fois plus cher car il est presque totalement indifférent aux conditions climatiques ; les jours où la liaison a dû être perturbée pour raison météo doivent pouvoir se compter sur les doigts !

    Mais je note que XPG-QQS aurait pu être reporté :o) TMST ou Velaro ?

    Sur le DLR :

    Il ne faut se souvenir que lors de la conception du DLR il a été volontairement exclu les solutions continentales (lisez le VAL de chez Matra)… or une telle technique ne s’improvise pas (dois-je évoquer ARAMIS ? ou les départs du VAL expérimental en 1972… portes ouvrtes ???)… Ce qui leur a valu de très gros déboires (en 1987, une rame de test ne s’est pas arrêtée en bout de ligne et à défoncer le butoir en mode manuel !) à tel point qu’aux débuts les chefs de trains devaient être en loge, pupitre ouvert prêt à taper l’urgence ?

    Sur le PIF :

    Ah la mécanique des fluides :o)

    Sur les navions :

    Le D-AECH ressemble furieusement à Boeing heu un Embraer ?

    Le Dornier est né en Allemagne, domicile au Danemark et peint en breton grand : Brexit powered ?

    Le Bombardier Global 6000 (F-HFIP) est celui d’Artemis… François Pinault était donc à Londres ce jour là !

    Les graduations sur l’arrière sont liés aux positions de l’empennage horizontal qui est sur les avions modernes mobules. Cela permet de moduler l’incidence du plan horizontal aux configuration du vol (équilibre, centrage, vitesse, masse) ; sinon il faut jouer sur les gouvernes et cela augmente la traînée et donc la consommation de A1… Sur les appareils récents c’est l’informatique qui gère et optimise le tout en temps réel.

    Je crois que c’est les volants à damier du piédestal qui permettent de régler cela.

    Sur ORY :

    L’arrivée au Hall 3 est particulière ici : en zone sous douane, le hall 4 est de chaque côté (et oui le hall 4 remplace le hall3 Schengen désormais) le passage est prévu pour des 747/777 COI…

    • Eurostar est certes presque invulnérable aux aléas de la météo, mais quand il y a le feu à bord d’un avion, il n’embrase pas tout l’aéroport, contrairement au tunnel !

      J’ai suffisamment de difficultés avec les avions sans devoir aussi identifier des trains :)

      Le VAL à Taipei, ce furent vingt ans de déboires techniques : un an après la mise en service du prolongement de la ligne, elle était encore exploitée en GoA3, avec de charmantes jeunes cheffes de train qui aidaient les PMR en attendant la panne.

      En première approche, l’étude des flux de PAX ou de véhicules routiers relève en effet des lois de la mécanique des fluides visqueux, mais c'est plus compliqué que cela.

      Se tromper de Créateur face à D-AECH : cela ne relève plus du fouet, mais de la décapitation !

      J’avoue très mal connaître ORY que je fréquente bien peu.

      Merci pour les explications techniques que j’ai transmises à Mme, et plus généralement pour ce long commentaire !

  • Hello François,

    Une grande pensée vers vous deux dans ces moments difficiles ...

    Jolie prestation proposée par BA Cityflyer en espérant que la gratuité du service reste longtemps.

    Aucune erreur de spotting, mais bon, partir de LCY aide aussi à la non- diversité des avions et à une meilleure lisibilité des immatriculations pour éviter le fouet.

    Je ne sais pas si je t'avais déjà donné le truc pour reconnaitre plus facilement un 319 d'un 320 Easyjet: lire le nom de la compagnie peint sur le fuselage. Si le E t le T entrent pile poil entre la porte et l'issue c'est un 319, si il y a beaucoup de marge : c'est un 320 :)

    A bientôt !

    • Toujours la même mansuétude de ta part quand un lecteur corrige ma copie avant qu’elle n’arrive sur ton bureau ;)

      Je me souvenais vaguement que le logo d’Easyjet permet de différencier ses A319/A320 ; j’essaierai de retenir le truc. Les choses vont se compliquer quand Easyjet revendra ses A319 qui continueront leur carrière avec d’autres livrées ici et là.

      Merci pour le commentaire, à bientôt !

  • Merci François pour ce FR.

    Sincères condoléances.

    LCY est très pratique avec ce DLR qui le dessert rapidement.

    Le spotting n'est pas trop varié en termes d'appareils mais le trafic est dense à la City.

    A bord, le service ex-LCY n'est pas contaminé par le BoB mais le service n'est pas des meilleurs avec ce sucré-salé.

    Pour l'avion D-AECH, il avait fait scandale à SXB lors d'un vol spécial pour les députés européens vers FRA... Mais l'organisation terroriste en question s'écrit avec un -s en allemand, d'où la validation de cette immatriculation.

    A bientôt !

    • Les contraintes de LCY limitent le trafic aux petits modules, mais en une heure, je ne me suis pas ennuyé, d’autant que les conditions d’éclairement étaient idéales.

      J’apprécie toujours d’avoir un café à bord, mais dans un vol aussi court, avoir un petit quelque chose à manger ne m’est pas indispensable.

      Non seulement il y a un S en allemand, mais cette lettre change la prononciation dans cette langue, contrairement au français. Merci pour l’anecdote qui montre que je ne suis pas le seul à avoir remarqué cette immatriculation un peu embarrassante !

      Merci pour le commentaire, à bientôt !

  • Merci François pour ce FR!

    Un aéroport tellement plus pratique que LHR et un tres beau spotting.

    Cabine confortable avec un pitch correct.

    Ce FR passe au second plan par rapport à la tristesse de la situation.

    Toutes mes pensées pour madame et toi.

    A bientôt

    • Ce n’était pas le moment de subir des conditions de transport désagréables : le confort de ce trajet de bout en bout ont été particulièrement appréciées dans ces circonstances.

      Merci pour le commentaire !

  • Bonjour Marathon et merci pour ce report, toujours difficile de voyager pour faire son dernier adieu à un être cher, toutes mes condoléances à Mme et vous François.

    LCY est vraiment l'aéroport le plus pratique pour rejoindre la capitale Londonienne bien qu'il soit souvent plein comme un œuf. On notera avec plaisir le service gratuit maintenu par BA Cityflyer

    Bon courage pour cette épreuve.

    • Dans ces circonstances, le confort du voyage nous importait : il a été au-delà de nos espérances à LCY et en vol. Le trajet de porte à porte n’est pas plus rapide que le train, mais le faire en avion ne se refuse pas, qui plus est par beau temps !

      Merci pour le commentaire !

  • Bonjour, et merci pour ce FR :)

    Pour la petite question technique : quand le commandant de bord reçoit son plan de chargement, le centrage de l'avion (c'est a dire le point exact ou son centre de gravité se situe est alors indiqué). Le commandant peut alors grâce a une molette régler le centrage pour le remettre à l'horizontal et donc éviter de jouer sur les commandes durant tout le vol.

    En tout cas, vous semblez content d'avoir choisi LCY. Il est vrai que l’immatriculation de nos amis de LH fait un peu tiqué mais bon, ils ne l'ont pas fait exprès alors on les pardonne

    • J’ai trouvé LCY très agréable, et Mme a apprécié de pouvoir être à côté de moi pendant mon spotting pré-embarquementqu’elle sait être non-négociable quand nous prenons l’avion ;)

      D-AECH a été immatriculé en août 2010, avant que Daesch ne soit dans tous les média notamment allemands.

      Merci pour le complément d’information technique !

  • Alors qu'on attend de Marathon une nouvelle navette (difficile de se débarrasser d'une étiquette, hein?) c'est un vol aussi atypique que familier qui nous est présenté ici. Ironie du sort, le départ vers de nouveaux horizons n'est pas toujours aussi agréable à vivre pour ceux qui restent mais le souvenir de ceux qui partent est ce qui définit notre conscience. On aurait pu croire à un vol BA pur jus mais là encore, les apparences sont trompeuses. C'est ici que j'apprends que le Saab 2000 opère de l'autre côté de la Manche. La perfide a encore quelques secrets bien gardés qu'il me tarde d'aller (re)découvrir.

    Intéressante sculpture qui n'est pas sans rappeler le slogan de Red Bull, sponsor involontaire de ce bonus atypique dont le slogan était : "Red Bull donne des ailes". Et ses mêmes ailes nous mettent sur le chemin de notre destin. Qui mieux que les Italiens pouvaient glorifier la mamma dans ses efforts de protection? Célébrons le souvenir de ceux qui nous ont accompagné plutôt que leur départ vers d'autres horizons.

    https://youtu.be/HqXmTMcJWyE

    Merci pour ce partage.

    • J’ai été successivement surnommé « l’office du tourisme taïwanais », puis « le navetteur », et j’encourage vivement mon employeur à coller une étiquette supplémentaire sur mon bagage de cabine :)

      Je dois ce FR à ma belle-mère à laquelle je devais déjà tant, à commencer par Mme !

      BA Cityflyer n’est pas une nouveauté sur le site, mais pour moi oui, et cela faisait une éternité que je n’avais pas remis les pieds à LCY. N’ayant, et pour cause, guère eu le temps de réviser avant d’arriver à l’aéroport, c’est sur place que j’ai découvert les appareils fréquentant les lieux.

      Je dois bien sûr à un panneau explicatif l’identification de cette œuvre d’art : j’ai déjà suffisamment de mal quand l’appareil est entier !

      Merci pour le lien ; nous avons bien ri !

  • Merci François pour ce récit, même si la raison du voyage aérien est fort triste…

    L’aéroport de LCY est très efficace, en arrivée comme en départ. Ces nouveaux PIF avec des emplacements pour plusieurs passagers sur chaque ligne se développement rapidement, et c’est tant mieux, la fluidité est vraiment bien améliorée.

    Jolies vues sur le tarmac… J’aime bien le cadrage « franchement raté », car si l’appareil a été émasculé du bout de sa queue, le fait qu’il ne soit pas au centre de l’image et ce fond « filé » rend le tout particulièrement dynamique…

    La séance de spotting aura aussi eu deux mérites :

    - Me rappeler qu’il y a des Dornier Jet chez Sun Air et que je me dois de les prendre

    - M’apprendre qu’Eastern Airways existe encore, alors que j’étais quasiment persuadé que la compagnie avait disparu (pour une raison que j’ignore).

    J’aime bien le positionnement des avions à LCY, ça change de d’habitude ^^

    Cityflyer n’est donc pas au BoB ! J’étais persuadé que c’était comme la maison-mère pourtant… Il vaut donc mieux privilégier LCY pour aller à Londres avec BA !

    « Mais il faudra un quart d’heure d’attente à cette exiguë station de taxis qui n’a que cinq positions en épi » : Encore une magnifique aberration de chez AdP… Du même niveau que le nombre très limité de bornes Transilien à CDG.

    Londres est une ville que j’adore et que je suis loin d’avoir totalement découverte… Ton bonus me le prouve une fois de plus, je n’ai jamais été bien loin dans le quartier des Docks !

    A bientôt !

    • Il y a suffisamment de place pour les PAX à LCY, moins pour les avions : pas de taxiway le long de la piste, pas de hangar de maintenance. Les gestionnaires des aéroports ne se donnent malheureusement que rarement la peine d’optimiser les PIF, alors que des solutions efficaces comme à LCY existent.

      J’aime faire des photos filées, mais la réussite n’est pas garantie !

      En France, Eastern Airways dessert encore notamment RDZ, aéroport majeur s’il en est ;)

      Embarquer à pied sans PAXbus est idéal pour photographier l’avion, mais j’ai surestimé la lumière à cette heure-là : ma photo est trop bougée pour être publiable.

      Deux sablés ne permettent quand même pas à eux seuls de privilégier cette ligne si CDG est plus facile d’accès qu’ORY ;)

      Ajouter des bornes Transilien à CDG serait certainement beaucoup plus facile et bon marché que d’agrandir la station de taxi à ORY, mais Paris Aéroports ne fait ni l’un ni l’autre :(

      Quand il s’agit d’une ville où il me sera facile de revenir, les « incontournables » ne sont pas une priorité absolue pour moi, comme l'illustrent souvent mes boni.

      Merci pour le commentaire, à bientôt !

  • Merci pour ce reportage.

  • Merci pour ce retour François! Tout d'abord toute mes sincères condoléances...

    Un vol vraiment sympathique que d'emprunter un Embraer 170 BA Cityflyer au départ d'LCY.

    Tu as spotté 2 jets privés que j'ai régulièrement l'habitude de m'occuper sur la plateforme niçoise: Le CS-DXV et le CS-PHL, qui sont deux avions de la très bonne compagnie Netjets ?

    Content que BA Cityflyer ait fait le choix de conserver un catering gratuit à bord de ses appareils ^^

    A bientôt!

    • Un appareil en 2+2, pas complet, par beau temps, au départ d’un aéroport facile d’accès et spotter-friendly : que demander de plus ? (Réponse : une raison différente d’effectuer ce vol)

      Mieux vaut que ces deux jets soient bien entretenus, car les installations à LCY sont limitées.

      Merci pour le commentaire !

  • Merci François pour ce FR bien malheureux dans sa finalité, toutes mes condoléances.

    Un vol pratique pour les urbains de Londres et Paris. Je vais tester début octobre. Et ce sera mon premier passage à LCY.

    Mais je crois que je préférais la solution ORY LHR surtout que maintenant je travaille temporairement dans le sud parisien.

    BA cityflyer a beau avoir conservé un catering, il n'est plus que l'ombre de lui même. Et à tout prendre mieux vaut un BoB varié qu'un cache misère. C'est moins hypocrite.

    J'aimerai également souligné l'absence de salon à LCY ce qui est fort regrettable pour qui peut en bénéficier habituellement.

    • Il en va du choix CDG-ORY comme du choix LHR-LCY-LGW, sans parler des aéroports très excentrés desservis par des LCC : tout dépend d’où l’on part et où l’on va ;)

      Je suis toujours très réticent à préconiser le passage au BOB, car les contraintes de conservation de la nourriture… et le caractère captif de la clientèle ont une influence souvent calamiteuse sur le rapport quantité-prix.

      Pas de salon en effet : n’ayant pas de statut chez OW, je n’y ai pas fait attention.

      Merci pour le commentaire !

  • Mme se joint à moi pour remercier ici collectivement tous ceux qui nous ont exprimé, ou exprimeront plus tard, chacun avec ses mots, leur soutien et leur compassion.

  • Merci pour ce FR , et toutes mes condoléances.

    LCY est bien pratique, il va falloir que je teste un jour pour changer de LHR ou LGW.

    Un vol qui conserve encore une petite collation, j'aurais parié sur le BOB de la maison mère.

    A bientôt

    • LCY n’est pas une plateforme de correspondance, contrairement à LHR, mais mérite le détour… et si l’on va au centre de Londres, ce n’est même pas un détour.

      Merci pour le commentaire, à bientôt !

  • Merci pour ce récit. Toujours agréable de partir ou d'arriver à LCY, son ambiance très business et bien entendu sa situation géographique.La collation a le mérite d'être facilement "marathonable" ( mot qui finira certainement par entrer dans le dictionnaire)

    Malheureusement les raison de ce retour via LCY sont tristes et je vous présente à tous les deux toutes mes condoléances dans ce moment difficile.

    • Pas de « vols vacances » à LCY, mais les avions aptes à s’y poser sont néanmoins suffisamment gros pour permettre des tarifs raisonnables.

      La quantité de nourriture pouvant être espérée sur un vol aussi court ne justifie pas d’apporter son propre sac poubelle pour libérer la tablette avant le retour du chariot ;)

      Merci pour le commentaire !

  • Merci François pour ce FR

    On aurait préféré une autre raison pour revenir en avion à la maison ... Ainsi va la vie, toutes mes pensées vont vers Madame et toi

    Superbe spotting à LCY, un petit aéroport bien pratique !

    Les sablés anglais sont très nourrissant, j'en raffole ...

    Merci pour le partage, à bientôt !

    • La vie continue; nous rentrons ce dimanche soir d'un mariage en province...

      Ce vol imprévu aura au moins été agréable en lui-même, tant de mon point de vue que celui de Mme.

      Merci pour le commentaire !

  • Merci pour le joli FR depuis LCY qui m'a rappelé de beaux souvenirs et je suis navré pour votre perte.

    Très beau spotting sur le DLR canary wharf. Je confirme pour les deux petites tours blanches c'est bien cela j'ai deux amis qui habitaien@t à côté.

    LCY est l'aeroport le plus efficace à Londres au niveau des departs, à l'arrivée c'zst une autre histoire.

    Très beau spotting.

    • C'était l'époque où il était facile d'aller à Londres et d'en revenir de manière impromptue.

      Merci pour la confirmation de mon hypothèse architecturale, et pour le commentaire !

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