Introduction & routing
Bonjour à toutes et à tous et fáilte dans ce voyage à destination de Dublin !
Certes, je vous avais promis à la fin de mon précédent routing de nous retrouver sur une destination extra-européenne… Mais ces récits suivants ne viendront au mieux qu'au début du mois d'août et comme le jeu de la rédaction est plaisant, l'homme au pantalon écarlate revient pour une parenthèse, le temps de vous infliger un nouveau récit en invoquant souvenirs et photos remontant au mois d'août 2018 – où je m'étais rendu à Dublin, le temps d'un week-end prolongé, pour rendre visite à des parents distingués qui y étaient concomitamment de passage (concomitance non fortuite, vous vous en serez doutés). Partant de Brest, le routing était logiquement le suivant :
Enchainement de vols
- 1BES - CDG Air France en Économique
- 2CDG - DUB Air France en Économique
- 3DUB - CDG Air France en Économique
- 4CDG - BES Air France en Économique
Les autres vols ne seront pas reportés, faute de photos en quantité suffisante. Mais maintenant, place à la narration que je tenterai de rendre aussi intéressante que possible !
En correspondance à Charles-de-Gaulle
Étant coutumier du vol AF7737, plus connu par les brestois ayant suivi l'option Mogoy seconde langue sous le nom de vol de la muerte, c'est autour de sept heures du matin que j'atterris à Charles-de-Gaulle. À noter que l'application Air France dispose d'une fonctionnalité assez pratique pour les correspondances, puisqu'au-delà de l'itinéraire à suivre, le temps de parcours est indiqué. En ce qui me concerne, direction le terminal 2E et le satellite S3, puisque l'Irlande est une destination non-Schengen.


Pour tout vous avouer (et comme l'heure indiquée sur les captures d'écran le laisse supposer), j'ai découvert cette fonctionnalité une fois que j'étais déjà arrivé à bon port – par ailleurs, les 30 minutes annoncées étaient assez pessimistes, puisque d'après l'horodatage des photos il m'a fallu exactement 14 minutes pour parvenir au salon. Malgré tout, je trouve que c'est un "plus" très agréable pour les voyageurs qui ne pratiquent pas souvent cet aéroport… et qui offre un intéressant complément à la signalisation, déjà très bien faite.

Pour moi, c'est par-là. J'aperçois déjà un sous-titre qui me plaît bien !

Le lounge-report (2E, Portes L)
Et hop ! un petit coup d'ascenseur plus tard, me voilà arrivé au lounge du hall L. Il s'agissait de mon passage inaugural au salon depuis sa rénovation (les nouvelles installations avaient été ouvertes dans leur ensemble le 11 juillet 2018, soit un peu plus d'un mois plus tôt), et mon premier contact avec lui fut cette sémillante virgule…

… qui n'en finit plus de danser sur cet iPad géant.

Ensuite, en suivant ce long corridor (dont la signalétique ne laisse aucun doute quant au fait que ce n'est ni le moment, ni l'endroit pour revenir des courses), on arrive à la réception où l'on m'avait fait, dans mes souvenirs, un très bon accueil.

Parés pour l'exploration du temple ? Alors allons-y ! En tournant immédiatement à droite, on peut trouver à cette heure plusieurs buffets garnis de l'offre du petit-déjeuner.

… qui est complète, avouons-le. Les cloches n'apparaissent pas sur la photo, mais on y trouvait également des saucisses de non-porc comme dirait Quentin, du bacon, des œufs brouillés, …

… enfin bref, tout ce que l'on retrouve dans ma sélection ! En somme, je me mets à l'heure ultra-manchoise.

La qualité de l'ensemble était parfaitement honorable. Et étant donné que je suis désormais repu, je puis continuer à vous entraîner dans la visite des lieux. Un îlot central est aménagé au cœur de l'immense salle principale du salon (notez le présentoir à journaux, bien garni) :

J'aime assez son ambiance !

Et puisque je vous parlais d'immense salle principale, autant vous la montrer avec le plus de recul possible.

Mais les lieux regorgent de plein d'autres surprises. En s'enfonçant dans leur partie aveugle, reliée à cette grande pièce par des galeries convergeant vers une rotonde que je vous présenterai tout-à-l'heure, on peut découvrir cet espace…

… ou encore celui-ci (qui désormais est un espace dédié Ultimate)…

En attendant je m'installe non-loin de là, sur des fauteuils situés dans la galerie reliant ce petit salon à la salle principale. J'y entame la lecture de mon Canard en même temps que j'achève mon petit-déjeuner.


Le temps passe, et puisque j'ai un peu de temps devant moi, je décide de poursuivre mon expédition découverte. À partir de l'espace circulaire présenté quatre photos plus haut, on peut accéder à un long couloir desservant entre autres les douches et saunas (que je n'ai pas testés) et menant à la fameuse rotonde…

(la photo penche nettement mais rassurez-vous, le salon n'est soumis à aucun mouvement de roulis !)

… agrémentée de la désormais célèbre sculpture électro-luminescente, alias le totem comme dirait notre Okapi transalpin.

Sur l'autre rive se trouve l'espace de soins Clarins ; j'y passerai la tête et m'inscrirai (il y avait une vingtaine de minutes d'attente) auprès de la très sympathique esthéticienne, qui m'informera que le passager précédent n'étant toujours pas arrivé, elle m'invitait à repasser dix minutes plus tard et qu'elle me substituerait au poseur de lapins s'il ne s'était toujours pas présenté.

Et au final, les choses se sont passées ainsi ; ce fut détendu et agréablement rafraîchi après un excellent soin du visage que je sortirai de l'espace, non sans m'être vu offrir des lotions Clarins en complément du soin. Je ferai ensuite un crochet par l'espace relaxation mais en repartirai bredouille, tous les lits étant occupés. Qu'à cela ne tienne, poursuivons la visite avec ces lavabos du plus bel effet !

L'heure de prendre une légère collation avant l'embarquement a sonné : je me dirige donc à nouveau vers les buffets, dont l'offre a été changée. Voici sa partie froide ; je ne suis pas certain que l'offre chaude fût déjà servie à ce moment-là (il était autour de onze heures) :




Je ne résisterai pas à l'appel du Taittinger…

… et je vous présente donc la collation suivante, une fois de retour à ma place.

Cheers !

Une hôtesse passera ensuite voir les passagers avec un plateau garni de ces (excellentes) confiseries chocolatées, je n'en prendrai qu'une malgré son insistance attentionnée et sympathique qui m'a beaucoup amusé – "vous pouvez en prendre deux ! […] vous êtes sûr, monsieur ? Ils sont vraiment très bons !"

Et c'est sur cette agréable touche chocolatée que je prends congé, plutôt convaincu par le produit, de ce nouveau salon. Me rendant porte L35, je fais le seul choix raisonnable en pressant ce bouton dans l'ascenseur (Salons Air France – j'y suis ; Ouverture porte – elle est déjà ouverte ; Alarme – j'ai passé l'âge pour ce genre de facéties).

Et me voilà de retour dans la fourmilière !

L35 : c'est bien ma porte. L'appareil qui s'y présente n'est autre que F-HEPJ, l'A320 flambant neuf (il a été réceptionné par Air France le 21 octobre 2017 et avait donc moins d'un an à l'époque) qui m'avait pré-acheminé depuis Brest le matin-même ! Entre temps, monsieur s'était offert un aller-retour à Bordeaux.

Vous constaterez que les files sont bien séparées. Alors qu'à la porte d'en face qui n'embarque personne, le panneau est, vous en conviendrez, placé d'une manière d'inspiration Shadok non dissimulée.

Hello Again, F-HEPJ !
Et c'est donc avec le respect des priorités que l'embarquement commence, et je retrouve plutôt content la cabine de F-HEPJ pour la deuxième fois de la journée. Logiquement, elle est équipée des fauteuils Smart…

… et dispose des plafonniers dernier-cri.

Le pas – un peu juste – ainsi que l'instant pantalon incarnat.

Embarquement terminé, j'aurai le triplet pour moi seul (mieux que la Business, et toc) !

Détail des têtières ajustables.

Depuis le rang 10, j'ai une vue imprenable sur ce CFM56-5B4 (poussée maximale au décollage : 120,3 kN, taux de dilution : 5,7:1, diamètre de la soufflante : 1 735 mm, masse à sec : 2 381 kg, voilà pour les spécifications fournies par Safran) !

Et en levant un peu la tête, on aperçoit cet ERJ175 de Flybe, équipé quant à lui de CF34 General Electric et qui vient compléter une série d'A32x AF (au milieu desquels une dérive TAROM affiche fièrement sa singularité).

Repoussage…

… et début de roulage vers le doublet nord. Première mission, nous extraire du parking du satellite !

Roulage & Spotting
Heureusement, ce 737 est venu de Roumanie pour nous montrer le chemin.

Les consignes de sécurité sont expliquées aux passagers envoûtés ; j'en profite pour vous présenter cette notice de sécurité flambant-neuve et estampillée Joon.



Pendant ce temps-là, notre petit périple se poursuit : ici le satellite S4, avec un 773 AF en livrée Skyteam au premier plan, suivi d'un 767 DL, un A330 ME et un autre triple-sept tricolore.

Et tandis que nous contournons le satellite, nous pouvons admirer un A380 cerné par deux autres 777.

Oh, un A340 JN !

Et un A340 AF, paré de son ancienne livrée.

Vue sur l'aile et le sharklet alors que nous contournons le satellite 4.

Un superbe 787 ! Personnellement je trouve une certaine esthétique aux bords dentelés des nacelles de ses moteurs (pour ceux qui l'ignoreraient, l'intérêt majeur de cette géométrie est de réduire le bruit généré par les turboréacteurs).

C'est mon jour de chance : dans la foulée et sous un angle différent, voici un autre exemplaire du Dreamliner !

D'ailleurs, il me semble bien que c'est également en 787 qu'apparaît Aeromexico derrière cet alignement de codes-barre…

Nous approchons enfin du seuil de la 27L : le moins que l'on puisse dire, c'est que la concurrence est rude aujourd'hui… nous n'allons pas décoller de sitôt !

United semble être en pôle position…

… mais dès qu'il aura pris son envol, un 330 Air China et un 340 Mahan Air viendront apposer leur marque en bas de la liste d'attente !



À un moment, ça suffit. F-HEPJ est un petit qui a tout d'un grand, aussi s'avance-t-il vaillamment sur le seuil de piste (il nous reste plus de 4 kilomètres pour décoller, ça devrait aller)…

… et commence son accélération libératrice, frustrant nos quatre petits camarades qui patientaient derrière nous !

Au passage, nous sommes jalousement regardés par ces deux A330 TS et WW. Et toc !

Nous opérons une rotation dans la joie et la bonne humeur à hauteur du terminal 1.

France is in the air
Nous ne sommes pas seuls ! F-HEPJ est facétieux et s'engage dans une course avec son homologue qui s'élançait du doublet sud au même instant…

L'imprudent concurrent étant semé, nous pouvons maintenant nous attaquer à la couche nuageuse…

… franchie sans coup férir.

Silence, on tourne !


Après cet instant roulis, la Terre s'offre à ma vue dans toute sa beauté, masquée par quelques moutons farceurs.

Alors que moi, je m'essaie à cette photo de la patère en mode chiaroscuro. Rembrandt n'a qu'à bien se tenir !

Inconscients du miracle artistique qui est en train de se réaliser au rang 10, les pilotes entament la traversée de la Manche. Chers lecteurs, admirez la Baie de Somme !

"Les horizons de la mer, vaporeux, se confondent avec ceux du ciel." – François-René de Chateaubriand.

Ce n'est pas pour dresser des clichés, mais dès que l'on s'approche des côtes anglaises, les nuages se font particulièrement insistants…

Heureusement, c'est à ce moment que les PNC décident de procéder au service de la collation. À la bonne heure ! Je déploie donc ma tablette, à la propreté assez douteuse. Un petit coup de serviette rafraîchissante lui donnera une seconde jeunesse !

Et c'est donc nettement plus présentable qu'elle accueille ce club-sandwich et son cortège gastronomique.

Inspectons ce "saumon – fromage frais – baies roses"…

… ou plutôt, d'après sa titulature complète, ce "Club malté saumon fromage frais baies roses". Mazette !

La liste d'ingrédients m'informe qu'il "peut contenir [du] lupin". Mais Ricercare est intrépide, alors il se lance à l'assaut de son goûter ! Il n'en restera rien d'autre que ces emballages savamment compactés.

Petite pensée : très franchement, en ce qui me concerne cette collation tenait plus du vice que d'autre chose, étant donné le sérieux brunch que j'avais pris au salon ; mais pour un vol décollant à midi et quelques, cela demeure tout de même un peu léger.

"Notez toute la subtilité des paysages britanniques", dirais-je en dédicace à BESMRS (https://flight-report.com/fr/report/40635/hop-af7547-montpellier-mpl-paris-ory).

Eh bien, puisque les nuages semblent gâcher la fête, F-HEPJ décide que le niveau 300 n'est plus très intéressant et entame un plongeon contrôlé vers des altitudes moins célestes. Vous pourrez observer sur les photos suivantes les destructeurs de portance en action, puis les becs de bord d'attaque s'abaissant petit-à-petit afin d'augmenter la sustentation de l'appareil alors que nous diminuons progressivement notre vitesse.



Quelques gouttes commencent à s'accrocher aux hublots…

Et enfin, à basse altitude, la terre apparaît !






Kiss-landing avec les destructeurs de portance entièrement déployés :

Et à leur tour, les inverseurs de poussée entrent dans la danse.

Roulage & spotting, le retour
Ils auront vaillamment rempli leur office, et c'est à notre vitesse de roulage que nous croiserons ces chevaux…

… ce véhicule des pompiers aéroportuaires…

… et ces deux Airbus A300(/310 ?) de FedEx et DHL.

Le roulage vers notre porte nous permet également d'apercevoir quelques 737 de chez Ryanair (pas aberrant) :

Puis nous nous dirigeons vers cette joyeuse réunion entre un Q400 LG, un ERJ190 KL et un A320 LX…

… c'est d'ailleurs à côté de ce dernier que nous nous arrêterons.

La sortie de l'aéroport sera assez longue et pénible, du fait de l'engorgement de la PAF… Mais quand enfin je m'en extrais, je crois arriver au paradis !

Je rejoindrai ensuite les arrêts de bus permettant de rallier le centre-ville en empruntant ce passage.

Ce report bonus touche ici à sa fin ; merci de m'avoir lu et comme promis au précédent opus, Ricercare will return !
Pour les plus courageux d'entre vous, j'ai concocté une petite sélection de photos de Dublin ci-dessous.
Merci pour ce FR :o)
J'apprécie l’allusion à la subtilité des paysages anglois...
Mais je précise que quand je vais dans la perfide Albion, je ne sifflote ni God save the Queen, ni Rule Britannia, mais quelque chant de guerre typé napoléonien (La victoire est à nous, Le chant du départ, la marche consulaire, etc.). Et comme disait mon grand-père: "Un bon anglais est un anglais mort"...
^^
La preuve que je visite cette terre de Brexit: https://flight-report.com/fr/report/34674/Air-France-AF-1780-Paris-CDG-London-LHR
a+
Merci Didier pour le commentaire !
Cette rivalité bon-enfant est un sacré morceau de notre patrimoine binational. J'ai une fois entendu un marin français relever les propos d'un de ses homologues de la Royal Navy en disant "comme vient de le dire l'assassin de Jeanne d'Arc, ..." – c'était dans un cadre privé et en toute amitié, bien entendu. :-)
On ne pourra pas dire que je suis de mauvaise foi en ce qui concerne la météo : tu n'avais pas été plus gâté sur ton approche !!
À bientôt :-)
Rien ne vaut la célèbre réplique de Surcouf:
Un officier de la Royal Navy: « Vous, Français, vous vous battez pour l'argent. Tandis que nous, Anglais, nous nous battons pour l'honneur !»
Surcouf : « Chacun se bat pour ce qui lui manque. »
:o)
La météo anglaise ??? You said what ??? Cloudy ??? Is that French ? :)
Ah, ce dialogue est absolument flamboyant en effet...
Mais ils ont su avoir leurs moments de gloire : le 11 novembre 1940, me semble-t-il, de Gaulle et Churchill assistaient ensemble à Londres aux commémorations de l'armistice et le général s'étant ému du costume à rayures du petit-fils du duc de Marlborough ("c'est le carnaval !" persifla-t-il) s'était entendu répondre "oui, vous avez raison ! J'avais d'ailleurs souhaité me déguiser en soldat inconnu, mais vous en avez eu l'idée avant moi".
"I'm sorry for the time" comme dirait un ancien président polyglotte :-)
Merci Bastien pour ce FR.
le jeu de la rédaction est plaisant => on est vite addict.^^
soins Clarins => enfin un FR où le soin a pu être fait (merci le désistement d'un pax).
Club malté saumon fromage frais baies roses => je note qu'il ne faut pas le congeler.^^
Bonus d'une ville très agréable, et la bibliothèque du Trinity College est un must.
A bientôt
Merci pour le commentaire Valérie !
Oui !! Mais je bénéficiais quand même d'une grande chance lors de ce passage, outre le désistement de l'indélicat : le salon était relativement vide comme on peut le voir sur les photos.
N'est-ce pas ? De toute façon l'absence de congélateur, freezer, azote liquide, ... au rang 10 de F-HEPJ a mis fin à toute velléité de congélation de l'objet du délit. Ouf, nous ne sommes pas passés loin du drame !
Absolument. Je n'ai pas mis de photos du Book of Kells pour deux raisons : premièrement, parce qu'il est interdit de le prendre en photo ; deuxièmement, parce que tellement de personnes étaient agglutinées, jouant des coudes et des épaules, autour de sa cloche pour le prendre en photo que mes éventuels clichés n'auraient eu aucun intérêt :-)
Merci pour ce FR,
Par contre F-HEPJ n'est pas un A320neo mais un A320-214 avec CFM56-5B4 avec quele neo a des CFM LEAP-1A. C'est donc un A320 classique (mais récent) avec Sharklet. Je ne crois pas qu'AF est des neo en commande.
Merci pour le commentaire !
Mais vous avez absolument raison, très bien vu, et en termes de spécifications moteur, cela change tout !! Je m'empresse de rectifier cela dans le texte. Air France n'a en effet pour le moment pas encore lancé son appel d'offres (qui était initialement prévu courant 2018 il me semble) pour sa flotte moyen-courrier. Affaire à suivre...
Merci Bastien pour ce FR !
C'est bien de pouvoir monter à bord après un soin Clarin, merci qui ? ^^
Vol agréable vers une destination que j'apprécie particulièrement...
Catering sans fanfare ni trompette, ni même cornemuse ! :))
Je me souviens d'avoir attendu 30 minutes sous la pluie avant de pouvoir accéder à la bibliothèque de Trinity Collège, mais je n'ai pas été déçu par le lieu... Et évité un rhume d'extrême justesse ! Dx))
A bientôt...
Merci Hervé pour la lecture et le commentaire :-)
Oui c'est certain. Mais après mes excès dionysiaques au salon somme toute... c'est que la France qui est in the air prend soin de ma santé !
J'avais eu une bonne vingtaine de minutes d'attente également cette fois-ci, mais sous un ciel relativement clément (surtout pour un habitué du climat brestois)... et l'attente en vaut bien la peine en effet...
À bientôt !
Salutation FRiste au pantalon écarlate !
Merci pour cette nouvelle aventure rondement narrée, toujours un plaisir de te lire.
Je dois avouer que la version saumon fromage frais baie rose du sandwich est nettement plus appétissante que betterave fromage ou pomme céleri :)
A bientôt !
Moult salutations Stephan et merci pour le commentaire !
Merci, ça fait plaisir :-)
Ah c'est certain... c'est de loin celle que je préfère d'ailleurs (je me souviens d'une version végétarienne autre que pomme-céleri sur un vol vers Prague en avril dernier et qui n'était pas mal du tout, mais pas moyen de me rappeler sa composition... enfin bref on était à des lieues du betterave-fromage :-))
À bientôt !
Go raibh maith agat pour ce FR très bien rédigé!
Le salon est très agréable tout comme le vol dans un avion quasi neuf.
La prestation est en revanche peut être un peu light (70 gr) pour un vol à cette heure-ci mais semble appétissante.
A bientôt
Merci pour le commentaire Noellie !
Très bien résumé, très bon produit pour un vol de moins de deux heures (surtout avec un triplet pour moi tout seul alors que l'avion était tout de même bien rempli, hé hé).
Comme disait Stephan j'ai eu la chance de tomber sur une version très comestible des fameux club-sandwiches européens d'Air France :-)
À bientôt !
À bientôt !
Merci Bastien pour ce FR très complet !
Un très bon vol sur AF, à bord d'un de leurs rares avions moyen-courrier récent^^
Comme d'habitude l'approche sur Dublin se fait dans les nuages...
A bientôt !
Merci Nicolas pour le commentaire !
Oui... F-HEPJ est même dans le top 2 des petits jeunes de la flotte moyen-courrier d'AF (et de la flotte Airbus d'AF d'ailleurs, en attendant les A350), la première place étant tenue par F-HEPK livré début 2018... et c'est un des trois A320 sharklets appartenant à la compagnie parmi les six qu'elle opère (avec F-HEPK et F-HEPI livré lui aussi en 2017, et qui arbore la livrée Skyteam). Les trois autres (F-HEP{F,G,H}), qui datent de 2013, sont en leasing auprès d'AerCap (on reste dans le thème irlandais :-)).
À bientôt !