Avis du vol entre Rome et Johannesburg en classe Premium Eco avec Alitalia

Bonjour à tous,
Je vous retrouve pour continuer le périple qui m’emmène à la Réunion.
Ce vol est une grande première à deux titres : première fois que j’emprunte AZ en long-courrier et je découvre enfin leur cabine Premium Economy.
Je n’aime pas l’aéroport de Fiumicino mais il faut lui reconnaître une chose : le cheminement pour y réaliser une connexion est simple.

Le contrôle des passeports est facile, même si ça a un peu bouchonné.

Je me dirige, non sans impatience, vers le nouveau salon flagship : la Casa Alitalia.

Les néons verts m’indiquent que je suis près du graal.

L’entrée va poser problème : mon numéro Flying Blue n’est pas reconnu (?!), j’ai beau montrer ma carte Flying Blue faisant état de mon statut Elite Plus… et il me réimprime un BP au cas où, il n’en sera rien, ça ne marchera pas. Je lui montre le BP du vol précédent qui fait clairement mention d’un Elite Plus et il finira par me laisser rentrer.

Une fois ces élucubrations Skyteam-esques passées, je me dirige vers la grande salle et wow ! Que de progrès depuis mon dernier passage hors-Shenghen en 2017 !

Le salon est plein et les étals sont remplis de bonnes victuailles :)
Après la déception du vol précédent, on est sur une franche réussite ici !

Je craquerai pour un dessert, c’est vraiment à la hauteur de ce qu’on attend pour un salon italien !

La première impression de ce salon est positive mais le temps presse et je veux pouvoir me doucher avant de prendre l’avion : je me dirige vers le Passenger Lounge où les douches sont plus rapidement disponible, selon le cerbère à l’entrée.

Je n’y ai pas mis les pieds par le passé mais sa présence en sous-sol n’augure rien de bon.

On dirait une Casa Alitalia bis.

Je présente directement ma carte d’embarquement et ma carte Flying Blue digitale pour éviter le cirque – et je suis gentiment escorté par une des deux cerbères à l’aile dédiée aux douches.
C’est petit et propre mais on trouve tout le nécessaire.

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Je quitte le salon aussi rapidement que je n’y suis entré car j’entendais, pendant que je me rhabillais, que l’embarquement pour Johannesburg commençait.
J'en profite pour vous présenter la liste des compagnies envoyant leurs passagers dans ce salon.

J’arrive 15 minutes après le début du boarding. Qu’est-ce qui peut bien m’attendre comme embarquement ?

AH… paxbus ?

Eh non pas cette fois-ci !

C’est suffisamment rare chez Alitalia pour être souligné.
Je suis accueilli d’un « Bonsoir » et voici mon siège qui me semble bien meilleur que celui d’Air France et aussi confortable que celui de Cathay.

On y trouve un coussin et un casque.

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Une bouteille d’eau est disponible dans la poche du siège.

Le pas est plutôt bon !

L’embarquement prend du temps et on nous propose plusieurs boissons de bienvenue : je pars sur un jus d’orange sanguine.

La trousse de confort est distribuée comme tel.

Je découvre les vidéos de sécurité d’Alitalia et je la trouve particulièrement ringarde.

Enfin, on finit par repousser et nous décollons à 22H23.

Dès que les PNC sont libérés, ce bon pour 10MB de data nous est distribué.

Je passe aux toilettes et aperçoit que les choses se mettent en place en classe Affaires.

Les toilettes sont de taille standard.

Je vous présente le contenu de la trousse de confort.

Un oshibori chaud nous est vite distribué.

Un passager commence sa nuit et voici l’inclinaison du siège.

Le plateau nous est vite distribué, comme suit. On nous propose des lasagnes ou du bœuf. Je pars sur les lasagnes.

Voilà que ça rend mieux, sans tous les plastiques.

L’entrée semble être un méli-mélo de crudités, emmental et poulet froid.

La lasagne était meilleure qu’elle n’en a l’air. Mon voisin de gauche s’est orienté sur la pièce de bœuf qui avait l’air très bonne.

Le dessert tenait la route.

Je termine rapidement mon plateau et je continue à regarder le film une petite demi-heure, avant d’aller me brosser les dents et dormir…

Je me réveille 6 heures plus tard – j’ai dormi d’une traite et je me réveille plutôt en forme.

Nous sommes à ce niveau là quand j’ouvre les yeux.

Trente minutes plus tard, le petit déjeuner nous est servi.

Voilà le petit déjeuner Premium Economy d’Alitalia…

… correction : le voilà, enrichi de boissons chaudes. La viennoiserie est préalablement chauffée.

Autant le diner m'avait laissé une très bonne impression, autant le petit déjeuner s'apparente à un mauvais petit-déjeuner de classe économique. Je l'ai vite expédié.

Je fais un petit tour en classe économique. Le vol est assez plein.

La fin du vol se déroulera sans évenement majeur. Je suis l’atterrissage depuis la caméra qui équipe l’IFE.

On mettra 15 minutes pour quitter l’appareil… la faute à un roulage assez long.

Le cheminement pour rejoindre l’immigration n’est pas court non plus mais l’attente est très faible.

Je récupère ma valise parmi les derniers par contre, et j’ai la désagréable surprise de constater que la douceur des agents aéroportuaires a eu raison de ma Rimowa.

Il faudra 20 minutes pour remplir l’ensemble des papiers et enfin retrouver la lumière du jour.