Avis du vol entre Paris et Warsaw en classe Economique avec LOT Polish

Bonjour tout le monde ! Aujourd’hui un petit flight report direction la Pologne avec LOT Polish Airlines ! J’ai décidé de rendre visite à une amie juste avant les fêtes de fin d’année. Voici, le routing, très simple :

Avec les grèves, j’ai pris mes dispositions pour être sûr de ne pas louper mon vol : en effet j’avais prévu de prendre le Transilien jusqu’à Saint-Lazare puis le RER B depuis Gare du Nord pour me rendre des Yvelines jusqu’à Charles-de-Gaulle. Cependant, avec le mouvement social le voyage est tout bonnement impossible et me rendre en voiture le jour même à l’aéroport m’aurait fait lever très tôt en plus d’être très stressant au vu des embouteillages sur les routes franciliennes. Ainsi, mon père m’a déposé à l’hôtel à Roissy-en-France la veille au soir pour dormir dans une chambre à 40 EUR (Hôtel Première Classe). Le prix de la tranquillité. Arrivée sans encombre à CDG depuis l’hôtel grâce à la navette bleue, à Roissypôle, la navette ne desservant pas directement le terminal 1. Descente jusqu’au CDGVAL puis direction le terminal 1.

Le vol est annoncé à l’heure.

J’ai cherché une machine pour faire imprimer une carte d’embarquement mais je n’en ai pas trouvé et au vu de la queue pour l’enregistrement aux comptoirs LOT je file directement en salle d’embarquement. Rien de spécial à signaler dans le T1, passage à travers les fameux tubes et couloirs puis passage rapide des contrôles de sécurité, peu de monde. Direction les portes 60 à 68.

Pas grand-chose en terme de spotting ici, l’endroit ne s’y prête que peu, et je n’ai pas le matériel adéquat. Un 737-800 de KLM arrive d’Amsterdam au loin, un A320 de Swiss se prépare à partir pour Zurich tout comme cet A330-200 d’Air China dont je ne connais pas la destination.

Notre 737-800 arrive avec quelques minutes de retard à CDG, rien de bien méchant.

C’est donc SP-LWB qui sera notre appareil aujourd’hui, un Boeing 737-800 de 14,7 d’âge, arrivée en 2017 chez LOT en provenance de China Eastern Airlines. Voici la bête à sa porte.

L’embarquement commence avec 5 minutes de retard. Il se révèle être assez lent : je suis obligé de patienter un long moment sur la passerelle mécanique, ça coince à l’intérieur de l’appareil.

Notre 737 de plus près.

Instant porte, j’ai lu qu’on en était friand ici.

Accueil avec le sourire par les hotesses du vol. A bord, l’embarquement est toujours lent. Voici la Business class, à l’européenne avec siège central « bloqué ».

Et voici la classe économique et mon siège, le 18E.

La vue depuis le hublot, même si je n’ai pas réussi à obtenir le 18F (Ni aucun siège avec hublot, tous complet lors de l’enregistrement).

Le pitch est tout à fait correct pour mon mètre 77. Le siège semble même offrir un léger recline, il est globalement confortable.

Décollage avec 30 minutes de retard, ça devrait pouvoir se rattrapper en vol. N’étant pas pressé à l’arrivée à Varsovie je ne fais que peu attention à la ponctualité. Mon voisin, un prêtre polonais très sympathique, me laisse prendre une photo avec le soleil sous la grisaille francilienne.

Le siège possède une tablette de taille moyenne mais non ajustable.

La pochette n’est pas trop remplie, c’est plutôt bien, elle contient juste un sac à vomi, les consignes de sécurité et un seul magazine (Certaines compagnies mettent trop de choses dans ces pochettes, cela en devient gênant). Les prix du BoB semblent tout à fait raisonnable.

Vient le moment du service qui se déroule en deux temps : on récupère d’abord la fameuse barre chocolatée de LOT puis un chariot passe avec le BoB. Je pensais d’ailleurs que c’était le seul catering du vol, ce qui me semblait logique mais plutôt logique pour compagnie possède une carte BoB. Cependant, plus d’une heure après le décollage, un deuxième chariot passe : cette fois ci, les PNC nous offre une vieinnoiserie à la pomme et la cannelle que je trouve tout à fait correct, ainsi qu’une boisson (Parmi eau, jus d’orange ou de pomme, café ou thé). J’opte pour le café, de qualité quelconque. Finalement, je suis satisfait du catering pour la durée du vol, surtout pour une compagnie qui propose également du BoB.

Compactage simple mais réussi !

Le catering a eu lieu tardivement dans le vol, donc la descente est annoncée seulement 20 minutes après le service du café ! Descente sur Frédéric Chopin, sous le soleil polonais.

Atterrissage et taxiing, ce dernier prendra un certain temps, puisque nous attendons près de 20 minutes à l’arrêt en attendant une aire de stationnement !

Malgré la passerelle mécanique, le débarquement se fera par bus. Cela permet au moins d’admirer le Boeing 737 sous toute ses coutures.

Le hall de livraison des bagages est plutôt vide.

Sortie rapide de l’aéroport pour récuperer un bus vers le centre-ville.

Merci pour votre lecture, à très bientôt pour le vol retour !