Avis du vol entre Mulhouse / Bâle et Marrakech en classe Economique avec easyJet

Bonjour à toutes et tous.

Ce routing date du mois de février, je n’avais pas eu le temps de le publier avant mes vacances colombiennes ayant encore des vols de 2019 à terminer.

Puis depuis le retour mon activité professionnelle ne m’a pas laissé beaucoup de temps pour rédiger un FR et cela ne va pas s’arranger sur les semaines à venir.

Ce FR sera court, le but n’est pas d’en faire un roman, ou une ode à qui ou quoi que ce soit, mais peut être juste d’en reproduire les aspects principaux, afin de vous faire découvrir le produit low cost (c'est du easyjet ^^).

Je ne détaillerai pas le pourquoi du comment de ce billet, ne voyageant pas seule pour ces 4 jours sous le soleil du Maroc.
La seule certitude c’est que mon compagnon de voyage et moi-même partageons les mêmes lubies de visite, n'avons pas peur de salir nos baskets pour explorer des lieux atypiques et c'est suffisamment rare pour le signaler.

Le vol est bien sûr de la muerte, faisons efficace, l’agent orange nous mènera à bon port pour un bon prix (de mémoire 90€A/R sans les suppléments).

Car oui il y aura un supplément afin de pouvoir avoir plus de confort et de voyager un peu moins léger (l’offre permettant d’emmener un bagage supplémentaire).
Le vol est un peu plus long que d’habitude.
Ce sera donc deux places en rang 13 (pour le porte bonheur on repassera) pour un coût de 30€ (ce qui inclus l’accès prioritaire à bord et un bagage supplémentaire).
On tente à nouveau le pari des marathons mais au fur et à mesure des jours l’avion se remplit par l’arrière jusqu’à compléter notre rangée.
Nous voilà averti nous allons devoir revoir cette stratégie.

Le jour J c’est très tôt que le réveil sonne, 4 heures du matin ce n’est finalement pas très loin de mon horaire coutumier.

Le trajet est rapide vers EAP.  

EUROAIRPORT

C'est bien calme.

Direction l'étage pour le PIF
 Peu de monde. Le contrôle est rapide avec des agents qui discutent entre eux et qui sont de bonne humeur.

Un babyfoot pour faire passer le temps.

Pas de salon, nous aurons un meilleur repas à bord, que des cloches d’une nourriture de cantine.

Passage de la PAF, les sas automatiques sont prêts, à cette époque je pensais les utiliser dans les semaines à venir, je ne savais pas encore que ce serait mon dernier passage par la colocation. 

Un message à l’attention de l’Okapi, au fait est-il vacciné ?

Il n’y a pas encore foule.

Nous prenons place à proximité de la porte, le temps de présenter à mon compagnon mes folles idées de mon prochain voyage en Amérique du Sud, nous voyons arriver une agente qui annonce que le vol étant plein, les bagages cabines seront mis en soute sans autres choix.
Je prête un tote bag à mon comparse pour lui permettre d’avoir sa panoplie électronique à bord.

Etant prioritaire c’est cette file que nous allons utiliser pour ne pas être les derniers à bord. 

Vérification de nos BP et de nos passeports.

Puis nous filons vers le tarmac pour quelques photos. 

L’instant porte pour le grand Maître.

a bord du vol DS1159

Bon ça coince un peu.

C’est un jour de générosité, ce sera porte bis.

Mon siège, à l’aller j’ai le hublot, au retour nous avons inversé.

Le pas est généreux et la moquette propre.
 Les consignes sont sur le dos de la tablette.

Les derniers finissent par arriver.

Petite blague de mon voisin.

Les consignes de sécurité sont faites par l’équipage, il est temps pour nous de rejoindre la piste.  

Un dernier au revoir à EAP alors que nous nous arrachons du sol.

Bâle est déjà en pleine effervescence.

Le plus beau des spectacles : le lever du soleil.

Et il est temps de manger, c’est l’heure du petit déjeuner.
Au menu de ce jour : un cake au yaourt fait maison, des bananes, des mandarines et les seuls éléments laitiers compatibles avec le passage du PIF que j’ai pu trouvé (rayon enfant). 

Pour la boisson ce sera le BOB qui nous fournira, et l’eau que j’ai mis en bouteille lors de mon passage aux toilettes avant d’embarquer.

Bon il est temps de travailler un peu, la carte des consignes de sécurité. 

Et l’intégralité des magazines de la pochette en une seule photo.

Cela aurait du être, et ce ne sera pas.

Il fait froid dehors.

Un passage aux toilettes s’impose.

Il y a du monde en pleine discussion devant la porte.
Est-ce la foule des grands jours pour attendre son tour ?
Eh bien non, le groupe est sympa et m’informe qu’ils font la causette ici car c’est bien plus agréable.

Très bien me voilà à me frayer un passage pour continuer mon reportage.

C’est propre, on n’en demande pas plus. 

Un hommage à Katia.

En sortant des toilettes, le sympathique groupe me demande, si je ne veux pas rester avec eux pour faire connaissance.
La proposition est amusante, mais je la décline pour rejoindre mon siège et mon voisin.

L’équipage procède à la collecte des déchets, j’en profite pour observer le paysage qui semble prometteur depuis le côté droit de l’avion. 

La descente est amorcée, et je suis collée au hublot pour profiter de la vue avec de la bonne musique.

Après avoir fait un demi-tour, nous voilà en alignement de la piste.

La ville se dévoile (et pour y avoir rouler, je peux vous dire que c’est sportif, mais je n’ai miraculeusement écrasé personne, mais nous avons chacun à notre tour été bon pour une amende pour excès de vitesse, voici ce qui est une parfaite égalité).

On se rapproche du sol.

Et nous nous posons.

La cabine reste sage.

Aéroport de Marrakech-Ménara

A l’arrêt nous récupérons nos affaires et quittons l’avion.

Mais avec un fuselage shot. 

Nous poursuivons en mode pédestre, j’apprécie après ces 4 heures d’immobilité.

Et surtout de profiter de la chaleur des rayons de soleil.

L’ancien terminal. 

Et les agents orange qui attendent leurs flots de passager.

L’architecture de l’aéroport est très belle.

Un transavia au loin.

Nous suivons le fléchage.

L’option pour les personnes fatiguées.

Et là on nous remet une feuille spéciale COVID à remplir.

Heureusement j’ai un stylo dans mon sac, je renseigne le numéro de vol et le nom de l’hôtel, et je coche non aux questions.

Et ensuite c’est le drame.
Plusieurs avions en même temps et l’attente à l’immigration est pénible. 

L’agent vérifie la fiche COVID et ne comprend pas le numéro de vol que j’ai mentionné, en effet avec Easyjet les deux premières lettres ne sont pas forcément les mêmes et je présente finalement à l’agent mon BP pour le satisfaire. La même chose arrivera à mon comparse, ayant fait usage de la copie de ma prose sur ce formulaire.
Puis un deuxième contrôle. 

Il nous reste à récupérer nos valises.
On se renseigne sur le carrousel, c’est le numéro 4 (regardez bien la photo et le nom de la ville sur carrousel numéro 5) et ne voyons pas nos valises (alors que l’attente à la PAF à été longue).

Mon comparse s’en va visiter les toilettes et moi je garde nos affaires.
A côté de moi une passagère remarque sa valise sur le carrousel d’à côté. 

J’en informe Mister à son retour et nous allons y faire un tour.
Et nos valises sont bien là.
Entre Mulhouse et Toulouse, la confusion pour les bagagistes a été de mise.

Nous pouvons enfin quitter l’aéroport avec un arrêt à un ATM pour récupérer des devises car là où nous nous rendons nous doutons d’en trouver facilement. 

Après un petit détour en raison d’un mauvais fléchage des agences de locations de voiture, nous nous retrouvons sur le parvis.

Il est quand même magnifique cet aéroport. 

Direction Sixt pour récupérer notre 4*4 et direction l’Atlas.

bonus