Avis du vol entre Zurich et Paris en classe Affaires avec SWISS

Après un agréable week-end à la découverte de Zürich, retour à Paris. Notre vol est à 18h, ce qui nous permet de bien profiter du dimanche sur place. Je vous propose un bonus en fin de FR.

Rappel du routing :

L'arrivée à ZRH

Les transports zurichois (et suisses généralement semble-t-il ;-) étant ponctuels et efficaces, nous arriverons à ZRH par le train en moins d'un quart d'heure depuis la gare de Stadelhofen, non loin de notre B&B.

Des comptoirs LX ont été aménagés à la sortie du train, mais ils ne sont guère engageants et nous préférons nous rendre au check-in principal.

Le remplissage du FIDS reste bien modeste eu égard au rôle de hub de ZRH.

Nous arrivons au rez-de-chaussée où se trouvent les comptoirs d'enregistrement. Il y a une longue queue devant le guichet de ticketing LX, sans doute en raison d'un vol annulé.

Côté comptoirs J, c'est désert.

Nous serons immédiatement pris en charge par une agente LX. N'ayant pas de bagages à enregistrer, elle nous remet nos BP.

Je lui demande si le salon LX est ouvert, elle me répond qu'hélas non, mais que nous pourrons nous rendre au salon Aspire. Pas très engageant mais surtout très surprenant. Un peu comme si AF à CDG envoyait ses pax dans un salon tiers…

Le PIF est passé très rapidement. A noter qu'à ZRH, contrairement à CDG, il n'y a pas de PAF. Autre différence, ici le duty free est ouvert.

Et c'est heureux car pour le reste, c'est rideau tiré.

Bon, direction le salon Aspire… le salon First est dans la même direction, peut-être que sur un malentendu ?…

Nous arrivons à l'étage, l'architecture est réussie.

Le salon Aspire

C'est donc au salon Aspire que LX envoie ses pax J et encartés, salon qui accueille également les pax AF. L'accueil est sympathique.

L'entrée se fait par la gauche, même si le cerbère m'indique que nous pouvons si nous le souhaitons aller nous installer dans l'autre partie du salon. Je découvre donc ce salon.

Il n'est pas très grand, mais la fréquentation n'est pas excessive. Nous nous installons à un mange-debout, qui nous permet d'avoir une (petite) vue sur les pistes.

L'offre de boissons est basique, tout comme celle de nourriture.

L'offre de presse est plutôt famélique.

Au fond du salon, un espace est dédié aux passagers la Première.

Quelques bulles de prosecco nous suffiront pour trinquer à cette sympathique escapade suisse.

L'embarquement

Nous ne restons qu'une petite demi-heure, et il est déjà temps de quitter le salon. Direction les portes A, dans une ambiance pas folichonne.

Etonnant quand même que les salons LX soient fermés…

Lorsque nous arrivons en porte A62, les pax prioritaires ont déjà embarqué et l'embarquement général ne va pas tarder.

Grâce à une file dédiée, nous accédons directement au jetbridge, qui nous permet d'apercevoir notre destrier du jour, un A220-100.

Jetbridge vitré, dans lequel il fait une chaleur étouffante.

L'accueil en porte est très souriant, avec comme pour le vol aller une panière de lingettes (mais sans chocolat).

Le vol

Arrivée dans cette cabine bien connue ici.

Suite à notre expérience du vol aller, nous avons changé nos sièges (initialement au 1er rang) pour le 3e rang (le 2e étant déjà pris).

Par contre le ménage a été fait à la va-vite, voire pas fait du tout…

Je ramène ces effets indésirables au maître de cabine qui se confond en excuses.
L'IFE semble fonctionner cette fois-ci, avec la géovision active.

Bouteille d'eau et lingette de rigueur.

L'embarquement ayant été rapide, nous repoussons avec un peu d'avance, sous un beau soleil.

Les PNC nous distribuent des fiches de traçabilité, différentes de celles remises à l'aller.

Décollage !

L'IFE fonctionne, mais semble capricieux. Notre A220 viendrait-il de Sardaigne ?…

Les paysages sont superbes.

Nous passons au-dessus de Bâle et d'EAP.

Là encore le vol sera court et le service démarre. Notre maître de cabine sera très prévenant et souriant. Voici notre plateau.

Choix de pains.

Le tout était excellent et très frais. Pour accompagner cela nous essayons le vin rouge du bord, un vin du canton de Genève et à l'étiquette flatteuse.

Ca rend quand même moins bien qu'avec le champagne…

Voilà qui est mieux ! ^^

Ah voilà les chocolats ! parfait pour la fin du repas avec le champagne.

J'aime beaucoup ce winglet.

Nous arrivons sur Paris, et comme pour nous rappeler avec insistance que le week-end est terminé, la grisaille est au rendez-vous.

L'atterrissage se fait sous un ciel bas.

Pendant le roulage, je spotte ce 777 de la JAL.

Nous arrivons au parking vers 19h15, avec 5 minutes d'avance, mais voilà que notre place est occupée. Le CDB nous annonce entre 15 et 20 minutes d'attente. Je m'occupe en spottant ces collègues *A.

Après pratiquement 30 minutes d'attente, le CDB nous annonce que CDG nous octroie finalement une nouvelle place. Grrr… c'est pas comme si les places au contact étaient rares en ce moment… Voici d'ailleurs l'auteur de ce retard, un chétif E190 de Finnair.

Petite consolation, ce bel A320neo d'Aegean, avec sa nouvelle livrée.

Instant Danette, tout le monde est pressé de sortir.

Un dernier regard à cet A220. Si tout va bien, je remets les pieds dedans dans quelques semaines.

Et là, la bonne surprise made in CDG : le passage de la PAF avec une queue d'enfer !

Bien évidemment, aucune file accès n°1. J'en avise un agent ADP mais le pauvre bougre ne peut pas faire grand-chose.

Ca avance assez vite malgré tout, mais entre l'attente au parking et la PAF, il se sera passé 1 heure depuis de notre atterrissage lorsque nous passons landside.

Nous pensions prendre le RER pour rentrer sur Paris mais las nous opterons pour le VTC.
@ADP (s'ils nous lisent) : la signalétique depuis les arrivées du 2A n'est pas claire et il n'y a rien d'évident pour trouver la direction du RER.

Merci de m'avoir lu et à bientôt !

Bonus touristique