Avis du vol entre Ajaccio et Lyon en classe Economique avec Air Corsica

Bonjour à tous,

Retour de ce weekend en corse de septembre. Cette fois-ci, c'est en ATR72-500 et nous serons 4 amis à voyager ensemble, de quoi rendre ce vol sympathique :)

C'est avec les 3 autres joyeux lurons que nous prenons la direction de l'aéroport d'Ajaccio Napoléon-Bonaparte.
Notre taxi est fort aimable et la course se passe bien.

Nous arrivons pile au moment où l'EZY de l'ami Stephan s'en va alors que celui pour GVA restera bloqué pendant toute l'après-midi… pauvres passagers.

Allez, direction le terminal

Le cheminot préféré de Flight-Report vous montre avec son smartphone l'aérogare plutôt récente d'AJA.

Passage au check-in, je retire une carte d'embarquement et mes compères font de même.

Ma valisette est bonne pour l'embarquement, je suis en dessous des 12kgs réglementaires.

Nous nous dirigeons ensuite vers le PIF, passage rapide et sans soucis.
Le FIDS n'indique pas encore de porte pour notre vol vers LYS

Volotea a comme souvent des vols très tardifs vers la métropole.

Un 321 AF et un 320 Air Corsica qui se cache à gauche.

Le temps d'une pause café pour moi et d'un sandwich pour un compère, je vous propose également la carte d'embarquement, dommage qu'elle ne soit pas logotée Air Corsica, c'eut été joli :D

Les FRistes sont à l’œuvre, et nous attendons gentiment notre heure devant la porte B.

L'embarquement est appelé rapidement et nous pouvons suivre un employé sur le tarmac. Quel régal et pas de photophobie ici !

Après une courte marche notre ATR72-500 est en vue. A côté, un 319 Volotea pour Bordeaux.

Quelle belle bête :)

Celui-là, je le connais déjà bien ^^

La fameuse tête de Maure

On charge nos valisettes dans la soute avant.

Notre ange gardien nous a sécurisé le 1er rang à bord, il faut remonter la cabine qui est somme toute très moderne et agréable à la vue.

Le pitch est limité, mais pour 1h de vol, nous ne faisons pas les fines bouches.

Le savoyard et le cheminot sont également bien assis, et une démonstration du pitch est même pratiquée ! Quel luxe !

A notre droite les hangars d'Air Corsica, un très sympathique endroit :)

Repoussage à 13h25, soit 10 minutes d'avance ! Une constance ce weekend et je ne peux que féliciter Air Corsica pour la ponctualité !

Piste 20, 2141 mètres, ça devrait suffire pour fendre les airs à bord de notre coucou à hélices.

L'aérogare et deux A320

Décollage à 13h29, 1h15 de vol prévues jusqu'à Lyon. Soit 30 de plus qu'en A320…

Le Golfe d'Ajaccio sous le soleil, voici un petit florilège des meilleurs clichés

La cité Impériale et son arrière-pays montagneux

En tout cas, une chose est sûre, je reviendrai sur cette magnifique île

Nous poursuivons le chemin le long de la côte occidentale de l'île de Beauté.

Le Golfe de Sagone

La balade continue avec la cité de Cargèse

Piana et le Golfe de Porto

Nous quittons l'île ici… A prestu Corsica :)

Et nous arrivons après 20 minutes de traversée au niveau de la Côte d'Azur, de mon côté c'est Monaco, Menton et la côte italienne. Mes collègues de l'autre côté ont une belle vue sur Nice.

Une vue de Nice grâce à notre ptit cheminot !

Pour la suite, c'est plus compliqué, la perturbation ne facilite pas la vue sur les Alpes :(

L'arrière-pays niçois

La descente est ensuite amorcée vers Lyon, ici au niveau de Romans-sur-Isère et de l'A49.

L'approche finale est effectuée par le sud, ici l'A43 et le péage de Saint-Quentin-Fallavier

Puis l'A432

Nous touchons terre à 14h45

Roulage vers la jetée des petits navions

Et stationnement à côté de ce CR7 à 14h50, soit 15 minutes en avance !

Dernière vue de notre destrier du jour s'en ira à Bastia.

Nous nous séparons, un savoyard rentre chez lui en bombinette, un parisien par l'avion, le cheminot par le train (comme c'est étrange !) et pour moi, c'est en Julesmobile que je regagne mon Alsace, 4h et quelques de trajet, à l'heure pour le dîner ^^

Merci de m'avoir lu,

A très bientôt pour une nouvelle aventure, cette fois-ci très récente ^^

Jules