Avis du vol entre Strasbourg et Bordeaux en classe Economique avec Transavia

Bonjour à toutes et tous.

Enfin un peu de changement. Je dois dire que les aller retour vers la capitale avec KLM ont commencé à me lasser, mais ce ne sera que pour mieux revenir après cet épisode découverte des Low Cost françaises.

Je suis la dernière à publier mon récit, mais bon je voyage nettement plus que mes « jeunes » camarades de jeu pour ce périple vers Bordeaux, je travaille aussi accessoirement, et même avec deux jobs, ce qui explique un retard aussi important dans mes publications.

Étant assez active sur l’oiseau bleu, je vois passer un post informant l’ouverture de ligne saisonnière à SXB par TO.
Cela fait un bail que j’espère l’arrivée de Transavia en Alsace mais visiblement je ne crie pas assez fort.

Ni une ni deux je transmets l’information à un membre du 67 qui roule en Subaru.

Je lui propose de faire le vol inaugural, histoire de s’amuser un peu en ces temps de disette aérienne.

Jules67500 ne dit jamais non, et c’est en pleine période de confinement que nous proposons le deal à nos amis. Certains peuvent venir d’autres pas (ne pas oublier de les châtier).

C’est ainsi que nous nous retrouvons 3 Alsaciens et un parisien sur ce vol aller.

Pour le retour nous choisissons une autre compagnie pour varier les plaisirs.

Deux compagnies et un aéroport à mon flight log, voilà qui me donne le sourire.

Allons-y pour apporter ma version en mode féminin de ce vol et parce que je les aime bien je remets leur FR en avant pour ceux qui ne les aurait pas lus.

Schtroumpfette

Tikoulou

Chewbacca

Le prix du billet n’est pas trop onéreux 43€ avec le choix du siège (oui je n’aurais pas eu besoin de payer mais bon c’était ma manière de soutenir la compagnie).

La veille, je certifie que je suis en bonne santé et je valide mon siège : je trouve le site très ludique.

C’est de bon matin que je quitte le Sud ensoleillé de l’Alsace pour une centaine de kilomètres vers le mauvais temps du nord, et ses bouchons.

Aéroport de Strasbourg-Entzheim

Je retrouve à l’entrée du parking souterrain une Jules mobile.

Après un check du coude nous cheminons à travers les couloirs pour retrouver un cheminot parisien égaré à SXB.

Première surprise c’est le monde.

Je n’en ai jamais vu autant à SXB (certes je n’y viens pas souvent), c’est pour un vol vers Tunis.

Nous achetons des éléments liquides, et nous trouvons une table à pic nique au fond du terminal.
Voilà de quoi apprécier pleinement les petits pains fournis par l’un des Bas-rhinois.
Nous nous rendons ensuite au check in afin d’avoir des BP cartonnés pour les collectionneurs.

L’agente nous demande si nous avons fait la déclaration sanitaire.
Nous lui répondons que oui sur nos téléphones respectifs.

Les destinations domestiques sont bien présentes à SXB.

Nous nous dirigeons ensuite vers le PIF qui sera passé rapidement, nous n’avons pas d’éléments subversifs à sortir de nos sacs.

Cet affichage mériterait d’être mis à jour, ce sont des fainéants à SXB.

Nous faisons visiter l’aéroport à notre camarade de la capitale.

Avec quelques produits locaux.

Un tour à l’étage pour tenter de voir l’arrivée de notre avion, mais la météo n’est clairement pas avec nous.

Nous décidons donc d’aller nous positionner en pole position à la porte pour être les premiers à photographier notre but de ce jour.

Les documents de voyages.

Cela commence à bouger en porte.

Il y aura au moins deux journalistes de France 3.

Ca y est les festivités peuvent commencer, nous scannons nos BP et nous pouvons suivre un agent qui nous guide jusqu’à l’appareil.

On ne croisera pas beaucoup de passagers en provenance de Nantes.
Je laisse les garçons devant moi.

Et voici ce 737 Transavia.

Un nez bien pointu.

Le fuselage.

J’aime bien ce mot de bienvenue dans une multitude de langues.

Une porte.

a bord du vol to4503 direction bordeaux

Je trouve la cabine plus attrayante que celle d’Easyjet et ces sièges verts sont rigolos.

J’arrive à ma place.

Je m’installe et je constate que plus personne ne monte à bord.
Zut alors nous sommes très peu nombreux, mes camarades comptent 12 passagers dont nous 4.

Cela me laisse le temps d’observer la cabine.

Le pas est bon (mais je ne suis pas une géante).

La carte de sécu spécifique Covid.

Et la plus classique.

Avec surprise je découvre qu’il y a un BOB à bord.
Et celui-ci est bien complet, cela fait plaisir d’avoir une prestation qui n’est plus réduite à néant avec ce fichu virus.

La carte des destinations.

Les gadgets mais ça c’est pour les plus jeunes du groupe.

La moquette est propre et d’un bleu pétant.

Le mood lighting.

C’est quand même triste une cabine vide.

Une petite dédicace.

Le pilote nous souhaite la bienvenue sur ce vol « privé ».

Nous pouvons maintenant rejoindre la piste.

Question brouillard c’est pas mal quand même.

Allez on fait tourner les moteurs et on s’élance vers le ciel.

C’est râpé pour les photos de SXB.

Franchissement de la couche nuageuse avec même une gloire du pilote.

Au-dessus des Vosges il fait beau et nous apprécions le paysage.

Un magnifique winglet.

Le service commence et nous décidons de nous faire plaisir avec un test du BOB, après tout on est là pour évaluer le service à bord, non ?

Je commande un thé (kusmi) et des madeleines pour 4,00€

J’ai droit à un service au plateau, c’est royal.

Je suis agréablement surprise car le prix est vraiment correct pour une marque qui est qualitative.

Mes amis commencent à dévaliser les maquettes et les flammes, finalement c’est leur séance shopping à eux.

Voilà un accessoire qui trahit l’âge de l’avion.

Petite visite des toilettes avec un instant Katia.

C’est propre.

Retour sur la cabine.

Nous papotons avec la PNC qui est surprise de notre expédition aéronautique.

Le recline du siège.

Une centrale au loin.

Le pilote nous annonce que nous sommes en attente (numéro 4) à BOD, en raison du mauvais temps également, les atterrissages sont plus espacés.

Ce sera l’occasion de faire quelques petits tours.

Puis nous nous préparons à atterrir.

L’approche se fera dans le brouillard.

C’est la banlieue bordelaise.

Un Air Caraïbe qui n’est pas chez lui.

L’atterrissage est doux

Aéroport de Bordeaux-Mérignac

Ici aussi il y a du stockage, c’est triste.

Un roulage assez long.

Et nous nous garons à proximité d’une saucisse Hop.

Il est temps pour nous de quitter l’avion en remerciant l’équipage qui a été adorable.

Fuselage shot.

Jules attend nous !!

Un peu de spotting avec la compagnie qui sera celle de notre retour (une première pour moi également)

Je ne trouve pas BOD très esthétique.

Il a été très sympa ce vol.

Ce couloir est laid.

L’intérieur à été rénové heureusement.

Un FR.

Et un A319.

On est parmi les derniers dans ces couloirs.

Mais Bordeaux nous souhaite la bienvenue.

Pas de valise à récupérer mais un arrêt aux toilettes s’impose.

Il va falloir que je revienne un jour pour visiter les caves.

A l’extérieur le ton est donné, nous sommes bien dans une terre viticole (comme en Alsace).

C’est en taxi que nous rejoignons la ville.

Et ce sera l’occasion d’un bonus (sur le prochain FR) d’une ballade bordelaise en mode musée, et restaurants fermés, ce qui rend l’expérience bien moins agréable. Mais c’est ainsi. Cela nous permettra également de faire la connaissance d’un local de l’étape à savoir Alcam.

Merci pour la lecture et les commentaires.