Avis du vol entre Paris et Rodez en classe Economique avec Amelia

Bonjour à toutes et tous.

Me voilà au bout de mon retard de publication, ces deux FR sont les deux derniers vols en brouillon que j’ai depuis le début d’année. J’ai volontairement fait une pause dans mes voyages depuis deux mois (il faut bien avoir une vie professionnelle), mais ce n’est que pour mieux repartir (pas mal de projet sont en cours).

Nous sommes début février et je pensais que nous serions reconfinés, mais non. J’en profite donc pour m’organiser un week-end en France, pour changer un peu.

Et tant qu’à faire c’est sur une compagnie que je n’ai jamais prise, c’est bien plus amusant.

Le but est de visiter Albi et sa cathédrale, la région est fort belle avec de très beaux villages, ce qui est encore une des seules choses que l’on peut visiter, donc allons-y.

C’est donc avec Amélia et un vol pour Rodez qui va être sélectionné.

J’achète le billet chez AF (en partie avec mon avoir de 80€), celui-ci n’est pas donné mais le combiné nouvelle compagnie-nouvel aéroport dans mon flight log l’emporte haut la main.

C’est le train qui va m’emmener à la Capitale, le temps de déposer un colis chez un ami et me voilà dans l’Orly bus.

Au moins c’est assez rapide car il n’y a pas de bouchon, il est presque 18 heures avec le couvre-feu.

Aéroport de Paris-Orly

La première chose que je découvre, ce sont les affiches (cette fois ci bien voyantes) pour le centre de dépistage.
Je n’en ai pas besoin cette fois ci, ce n’est pas plus mal.

Contrôle d’un billet pour accéder à l’intérieur.

J’avais découvert le terminal en septembre pour aller en Corse, je me dirige donc vers le comptoir Amélia pour obtenir un renseignement. (J’avais déjà fait mon enregistrement sur le site).

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En effet le billet est vendu par AF, mais c’est le seul vol en propre d’Amélia et je voulais savoir si mes avantages SP étaient pris en compte.
L’agent me répond que non, à part 2 XP (et quelques miles), je n’ai droit à rien, c’est-à-dire l’accès au salon AF.

L’agent est fort sympa, il faut dire qu’il s’ennuie ferme, et du coup me propose de m’imprimer un BP cartonné, en m’indiquant que c’est plus pratique.

Après ces agréables échanges, je me dirige vers le PIF.

Là c’est de suite moins agréable, il y a un peu de monde et pas assez de lignes ouvertes.

Il faut donc être patient.

On nous demande de mettre nos liquides dans des sachets.

Et bingo la famille devant moi à des trousses de toilettes classiques et doit donc tout mettre dans des petits sachets.

En tout cas il y aura une stricte application du nombre de sachet autorisé (un) et des produits à l’intérieur.

Comme je suis très en avance j’attends mon tour.

Après avoir remballé mes affaires et que mon temps est suffisant, j’opère une visite du terminal pour voir où est le salon, on ne sait jamais sur un malentendu.

Mais avant cela c’est la traversée des produits à acheter et qui ne sont pas essentiels.

Allons-y

C’est une bonne petite marche qui m’attend, pour finalement avoir confirmation que le seul vol vendu par AF qui ne donne pas accès au salon c’est celui pour Rodez.
Ce n’est pas grave.

Je vais aller m’acheter de quoi manger.

Pour ensuite rejoindre ma porte et y prendre mon diner.

La salade était bonne et les macarons encore meilleurs.

Tout à coup je constate qu’il y a du monde au fond du terminal.

Ma porte a changé, et aucune annonce.

Et aucune annonce également pour dire que nous sommes en last call. 

Vérification du BP et je me retrouve dans un bouchon dans la passerelle qui est un leurre.

Car c’est un escalier pour accéder au tarmac qu’il faut prendre pour rejoindre à pied ce petit module.

Un sacré nez me direz-vous.

a bord du vol nl1229 direction rodez

Le vol est plein.

A l’intérieur il ne vaut mieux pas être trop grand.
Mais la cabine est agréable avec ces sièges couleur gris clair.

Je m’installe à mon hublot que j’ai choisi à l’enregistrement.
La fiche de sécurité pour les adeptes.

Le pas est très bon.

Le hublot avec un Transavia à nos côtés.

Le PSU.

La têtière qui n’est pas en papier.

Je respecte les consignes et met ma ceinture.

Ici aussi c’est Ki-Ose.

On nous présente Donia notre PNC.

C’est parti, on voit des modules un peu plus grands en chemin.

Décollage très lent et très doux, c’est agréable.

C’est beau la nuit avec toutes ces lumières.

Le trolley est prêt à proposer ses délices.

Sponsorisé par Carrefour.

Il y a le choix pour les boissons et un choix de snack sucré et salé.

Je choisi le salé.

C’est original, voilà une chose qui me plait bien.

Cela accompagne bien un jus de tomate.

Il fait bien chaud dans la cabine (cela me change de KLM) 

Aéroport de Rodez-Aveyron

L’atterrissage à Rodez est assez rude accompagné d’un freinage puissant.

Le temps est à la pluie.

Je ne perds pas de temps et me dirige vers le terminal sous les gouttes.

L’aéroport n’est pas bien grand et le fléchage efficace.

Pas de valise pour un week-end.

Direction la sortie

Il n’y a pas foule.

Un taxi réservé à l’avance m’attend, il n’y a de toute façon aucune autre possibilité pour rejoindre un hôtel ou la ville.

Un bonus pour les curieux à la suite de ce FR.

Merci pour la lecture et les commentaires.

bonus