Depuis la reprise de la ligne Paris-Toulon par Transavia, mes trajets domestiques se font désormais au rythme de la low-cost d'AF. Nous profitons donc des week-ends prolongés de mai pour retrouver la compagnie tricolore, avec une virée niçoise. En s'y prenant un peu à l'avance, et avec la carte WE, le tarif est encore raisonnable.
C'est avec une certaine satisfaction que j'arrive donc à CDG, même si le FIDS du Grand Charles fait encore grise mine.

Après avoir montré patte blanche pour accéder au 2F, nous retirons nos BP au comptoir SP et enregistrons notre bagage.

Par contre le filtre Accès n°1 est fermé, il faut donc remonter tout le terminal pour emprunter le filtre principal. Peu de monde dans la file prioritaire, tout est très rapide.

Nous voici airside.

Ce n'est pas encore la folie, de nombreuses boutiques sont encore fermées malgré la reprise progressive du trafic.

Vue classique mais toujours du plus bel effet.

Depuis peu, les restaurants ont rouverts, ce qui permet de se restaurer un peu mieux qu'avec des sandwichs.

Direction le salon AF, en attendant le tout nouveau tout beau qui sera livré mi juillet.

Accueil souriant, nous sommes invités à scanner nos BP sur les bornes.
On est loin de l'affluence habituelle d'un vendredi soir d'avant Covid, et nous n'avons pas de mal à trouver deux places.
L'offre de presse a le mérite d'exister, même si le choix est restreint. Notons que l'appli AF Play permet d'obtenir un large choix de presse digitale.

Je m'empresse toutefois de récupérer le magazine AF de mai qui

Il est encore tôt et nous faisons le choix d'une sélection légère histoire de tenir jusqu'au dîner.

Nous remarquons un peu d'agitation sur le tarmac : manifestement, un comité d'accueil se prépare pour un hôte "de marque". Amusant, Pititom se trouvait aussi au salon au même moment et a assisté à la même scène, mais de l'étage inférieur. Nous aurions pu nous croiser !

Le moment d'embarquer arrive vite et nous rejoignons notre porte. Ce que j'aime bien à CDG, c'est que les files sont clairement matérialisées, contrairement à ORY où c'est toujours la pagaille.

Allez, on embarque !

Le museau de notre A318 qui nous amènera à Nice.

L'appareil étant prévu complet, certains passagers sont invités à mettre en soute leurs bagages cabine, qui se retrouvent à l'entrée de l'appareil.

Nous nous installons au rang 6, juste derrière la J qui sera pleine ce soir.

Notre babybus se remplit tranquillement.

Ah ! ça fait quand même plaisir de retrouver un pitch digne de ce nom ! Sur TO mes genoux touchent le siège d'en face.

L'embarquement se termine, et le CdB prend la parole pour nous indiquer qu'en raison du mauvais temps sur NCE, nous n'avons pas l'autorisation d'atterrir et que nous attendons le feu vert de la tour de contrôle.
L'attente sera interminable, puisqu'embarqués à 17h45, nous ne pourrons finalement décoller qu'à 19h05, soit 1h20 d'attente !
Très sympathique, l'équipage passera distribuer des verres d'eau aux passagers.

Je m'étonne quand même un peu, car sur FR24, on voit bien que les atterrissages sont autorisés (comme ce BA ou encore un Embraer de LH).

Après plus d'une heure d'attente donc, nous sommes enfin autorisés à décoller. Entre temps le mauvais temps est arrivé sur Paris.

Une éclaircie me permet de spotter le T1, qui sert de parking aux gros porteurs d'AF.

Nous retrouvons rapidement le ciel bleu au-dessus des nuages.

Le service démarre et je note le retour du champagne en J domestique, avec lequel nos voisins de devant n'ont aucun état d'âme à pavoiser.

Le trolley est tout de même plus fourni qu'il y a quelques semaines !

Ingénument, je demande un peu de vin de blanc (théoriquement réservé à la J), ce que le PNC m'accorde avec le sourire.

J'ai même droit à quelques glaçons, le breuvage étant à température ambiante.

A la santé des FRises, en espérant que l'on pourra bientôt planifier de beaux et lointains voyages !

Je m'étonne souvent du peu d'intimité procuré par les sièges AF (à l'inverse de TO par ex.), avec un grand jour entre chaque.
Notre voisine de devant nous gratifie ainsi de son abondante chevelure…

Nous arrivons sur NCE et l'approche se fait dans la grisaille.

Entre les nuages nous apercevons la côte.

Villeneuve Loubet.

On a vraiment l'impression de se poser sur l'eau.

Atterrissage sans encombre, comme toujours à NCE les jets privés sont nombreux sur le tarmac.

Diantre ! je suis poursuivi jusqu'ici, et il va falloir s'habituer…

Tandis que Madame récupère le bagage enregistré, je file cher le loueur de voiture récupérer notre carrosse du week-end. Avec le retard de notre vol, plus aucun restaurant ouvert (eh oui, le couvre feu était encore à 21h !).

A bientôt pour le retour.
Merci Stéphane pour ce FR.
J'élimine L.A. comme le prochain LC.^^
1h20 d'attente à bord, c'est long...
Le pitch est meilleur sur AF et le champagne est de retour (mais que devant).
A l'arrivée TO est également là, caramba...
A bientôt
Hello Valérie, et merci pour le commentaire ! Sur un CDG-NCE, je ne pensais pas avoir bcp de commentaires ;-)
Je suis démasqué pour mon prochain LC ^^
1h20 d'attente pour un vol d'1h30, je te confirme que c'est longuet...
A bientôt !
Merci Stéphane pour ce FR !
Un vol en mode galère avec cette longue attente... Mais effectivement AF n'y peut rien.
Toujours sympa de voler en A318, cet avion va se faire rare avec l'arrivée des A220.
A bientôt !
Merci Nico pour le commentaire.
L'avantage avec Nice, c'est que l'aéroport reste ouvert : je me suis déjà retrouvé dérouté de TLN sur MRS à cause de la fermeture de la tour de contrôle !
J'avoue attendre avec une certaine impatience l'arrivée des A220 chez AF ;-)
A bientôt
Merci Stéphane pour le partage
J'aime bien le babybus très adapté à ce genre de liaison.
Hélas une galère en cette période de Covid n'est pas la bienvenue, vivement le retour à la normale.
A bientôt !
Merci Hervé pour le commentaire !
A bientôt.