Avis du vol Air France Marseille → Paris en classe Economique

Bonjour à tous,

C'est parti pour le retour après cette escapade au soleil. 
Le routing, insolent de simplicité s'impose à nous.

Mine de rien, c'est un peu retour vers le futur car il y a longtemps, j'ai écumé le ORY-MRS et je me souviens de moment d'errance dans l'attente de ma navette de retour. Autrement dit, je ne m'attends pas à du fun mais du pur utilitaire.

Voyons ce que cela donne ! Mais je vous informe que par rapport à SkyteamCHC qui vient de publier le même routing, zéro originalité ou rebondissement (et là, je viens de perdre tous mes lecteurs ! :)

L'âme charitable de l'aller me redépose à la porte des airs. A ce moment, je suis encore marqué de l'insouciance…
Quelques travaux, le fameux escalator traveling du 1B et déjà cette sensation de "c'est bien calme tout ça".
  

J'avoue que m'avait traversé l'esprit, étant quelque peu en avance, les options suivantes :
- je resterai tranquille au salon, 
- ou, finalement, sur un malentendu, je pourrai prendre un vol avant… 

Et là, c'est le drame… sur le FIDS, un seul vol pour paris à l'horizon. Il est loin le temps de la navette toutes les 30 min (ou 1h, j'ai un doute).
On aurait pu penser qu'avec l'été, il y aurait eu plus de fréquence sur cette destination sud, et bien non.
 

Il faut donc patienter un peu avant d'enregistrer, et la, le deuxième couperet tombe bien sûr, pas de salon (vu l'affluence, on s'en serait douté et puis depuis j'ai appris qu'il y avait des travaux).
Un cafetier de Seattle  et un magazine plus loin feront passer le temps avantageusement tant du coté landside que airside.
 

Un fois libéré de mon poids à roulette, passage PIF fluide car on ne se bouscule pas.
Un coup d'œil par la fenêtre en allant à la porte 27, on ne va pas être occupé à temps plein par les mouvements de piste.
 

Ndlr : j'ai bien aimé le petit Voh-la-la..

Très vite, mon magazine se rappelant a moi, les minutes passent et puis de toute façon, rien d'autre à montrer.

Enfin, notre oiseau du jour se présente. F-HBNE en provenance d'Athènes (qui direct verra passer dans son dos Aegan).
  

L'embarquement approche !
un peu long à se mettre en place, et pour ne pas aider la préposée AF, le PIF a laissé passer une maman avec une poussette de la taille d'une kangoo incompatible avec la cabine bien sûr.
Sauf qu'a priori, il n'est pas prévu en nominal de récupérer la poussette en porte à MRS.
Heureusement pour la maman, un arrangement sera vite trouvé.

On libère ensuite les impatients pour retrouver la porte des airs, la vraie et son fuselage shot, avec un environnement dans son jus. 
 

A bord, cabine idem qu'à l'aller. Point donc besoin de détailler plus que de raison.
 

Tout était tellement idem, que la collation n'a pas changé, en dépit de l'horaire tardif.
 

Le wifi à bord est opérationnel et permet de chatter avec ceux restés au sol, le temps que les minutes défilent (puisque j'ai laissé passer ma chance au hublot).
 

Enfin le temps de la descente est venu, touché en douceur sur CDG où un 25 degrés nous attend, autrement plus accueillant que le 34 du départ.
Par contre, de retour à Paris, c'est pop-up général à l'annonce du "désarmement des toboggans, vérifications de la porte opposée"…
:)
 

Après une cheminement plutôt calme, on retrouve un peu de vie au tapis bagage.
Livraison rapide et dans les 15 min après la sortie de la première valise sur le tapis, me voila au parking prêt à retrouver mes pénates. 
 

Fin du premier tour estival.

A bientôt.