Avis du vol entre Madrid et Paris en classe Affaires avec Air Europa

Bonjour à toutes et tous.

Quoi de mieux que de varier les plaisirs ! Et pour se rendre à Paris il y a un vol qui s’y prête bien.

De nombreux FRistes l’ont déjà fait, mais moi non. Alors le plaisir est encore plus grand.

Un B787 entre MAD et ORY sur Air Europa.

Certes cette compagnie n’est pas dans mon podium des meilleurs, mais le plaisir est ailleurs.

Pour m’amuser un petit peu je réserve le billet en J.

Alors attention, le prix est très bas 146€ en aller simple, mais en classe O.

O pour ne pas dire zéro, mais c’est pourtant la même chose : zéro XP et miles dans cette classe. Et oui quel effroi mais bon, je vis très bien sans.

Donc oui je réserve, certes avec des points Amex (la normale pas celle d’AF). Il faut bien les consommer également.

Je choisis le 2K à la réservation.

J’ai pu faire mon enregistrement en ligne la veille.

On se retrouve donc le dimanche après une journée fort agréable en mode exposition pour moi, puis un bain de foule à la madrilène au parc du Retiro.

Pas de bus en raison du marathon, il nous faut donc opter pour le métro.
Le trajet est plus long.

aeroport de madrid

Arrivés au Terminal 2 nous nous séparons entre KLM et Air Europa pour passer au check in.

Le FIDS

Nous avons droit à deux personnes peu réactives devant nous et visiblement avec des soucis à régler, mais bon je vais les retrouver plus tard.
A aucun moment les agents de la classe éco n’ont fait passer la file SP chez eux.
Enfin c’est à notre tour, on présente nos passeports et attestation de vaccination.
C’est réglé en moins de 5 minutes par une agente pas franchement souriante.

On recommence à se promener dans les couloirs à la recherche du PIF. Décidemment ce terminal est très mal conçu.

Deux autres ralentisseurs sont devant nous car leur BP ne passe pas au pré-contrôle, mais cette fois ci nous pouvons doubler.

Récupération des affaires, avec un agent sympa et poli.

Après quelques portes et un duty free on poursuit notre chemin.

Le bâtiment est tellement bas de plafond que les plafonniers doivent être allumés alors qu’il y a un grand soleil dehors.

Le salon est par ici.

Il faut passer à l’étage supérieur.

salon puerta de alcala

Puerta de Alcala, une découverte pour moi.

L’accueil a été rapide.

Nous retrouvons Guillaume et Cyrille qui nous informent que le service du chaud s’arrête à 16 heures, c’est-à-dire dans 10 minutes.

On se pose vite fait à une table libre un peu plus loin, et on file au buffet.
Il faut se faire servir.

Je regarde rapidement le choix et j’opte pour une salade avocat quinoa, ainsi qu’un plat de porc en sauce avec une purée de patate douce.
La salade est bonne mais pas exceptionnelle, en revanche le porc est délicieux, il faut dire qu’en Espagne ils savent cuisiner cette viande.

Avec une bière fraiche qu’il faut aller faire décapsuler, je n’ai pas encore l’équipement complet de l’étudiante.

Pour la touche sucrée, le yaourt à la framboise est délicieux.

Quelques photos des deux avions en porte à l’étage inférieur, celui à droite est le nôtre.

Nous sommes rejoints par Vincent pour trinquer tous ensemble.

J’ai trouvé le salon agréable mais l’offre chaude devrait être à toute heure.
Quelques photos du salon.

Il nous faut cependant retourner à nos portes respectives.

Il y a une file SP, l’attente n’est pas trop longue, la plupart étant déjà en train d’embarquer.

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Quelques photos du museau depuis la passerelle.

Fuselage shot

A BORD DU VOL UX1025 DIRECTION PARIS

Vérification en porte de nos places, pour moi c’est à gauche.
Le siège est pas mal par contre ce sont des duos.

Je range mes affaires dans le coffre qui est bien grand.

Petit tour du propriétaire

Mon BP

La lingette désinfectante.

Du LH à côté.

La commande du hublot.

L’accoudoir.

Je retourne aux coffres cherchez mon PC et là le passager devant moi se lève et me salut.
Il s’agit de Stéphane aka sconnie83 qui était également au diner.
Nous nous amusons de nous retrouver l’un derrière l’autre sur ce vol.

Je continue mon exploration.
Les commandes du siège
Et les prises

L’écran

La boîte à pied, je précise que mes chaussures ne reposent pas sur celle-ci.

La safety card.

Une mouche s’amuse à l’extérieur.

AirBerlin s’en va vers AMS.

Des A380 de BA en stockage.

Les dernières passagères arrivent et l’une d’elle sera ma voisine.
Ce sont celles qui étaient devant nous au check in. Et elles ne sont pas ensemble. Du coup l’autre vient me voir pour me demander en espagnol, je lui réponds que je ne parle pas espagnol. Elle recommence en Anglais, en me proposant son siège couloir au milieu contre mon hublot.
Désolé mais non.
Elle passe en revue les rangs derrière moi, mais personne n’accepte.

Le PNC vient, cela parlemente en espagnol, puis finalement elle s’installe à son siège d’origine.

L’équipage n’est pas particulièrement aimable et ne fera aucun effort pour parler une autre langue que l’espagnol.

L’embarquement est un peu plus long et se terminera à l’heure théorique de notre départ.

On repousse et je regarde les consignes de sécurité sur l’IFE.

Le roulage est un peu long.

Prime Air d’Amazon.

Le T4, la prochaine fois je reprends IB.

Mais nous y voilà enfin.

On s’aligne et on décolle avec notre ombre.

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Mon rituel est toujours le même, je regarde les paysages et je mets en route l’IFE sur la géo vision.

Le trolley fait son apparition à 18 heures.

Le plateau est le même pour tout le monde.

J’opte pour un vin blanc pour accompagner ce repas.

Les couverts sont en métal, mais la serviette n’est pas de grande qualité.

En entrée des bâtonnets de légumes avec un fromage frais (je présume qu’il n’y a pas de menu)

On survole Biarritz à ce moment-là.

Le pain est chaud, et pas mauvais.

Le bocal contient une salade composée avec du saumon.
C’est frais.

Le dessert j’avoue ne pas en avoir gardé souvenir.

En tout cas le plateau est bon, sans être de la grande cuisine.

Une chose est sûre c’est que c’est mieux que le zéro de l’éco.

Les plateaux sont débarrassés, et la descente sur Paris est en bonne voie.

Je savoure de pouvoir zoomer sur la tour Eiffel.

Le temps est bien moins agréable qu’à Madrid.

AEROPORT PARIS ORLY

On se pose et on freine.

Visiblement il a plu il y a peu.

Frenchbee.

Puis les hublots deviennent inutilisables, pleins de buée.

Je profite pour faire quelques photos de la cabine.

Je récupère mes affaires dans le coffre et je sors parmi les dernières avec Stéphane.

Nous progressons dans la passerelle, puis nous nous séparons, j’attends Chules pour continuer.
Seulement voilà, il est au fond de l’avion et cela va prendre du temps.

Enfin.

Nous cherchons la sortie.
Aucun contrôle de papier ou pass sanitaire.

Direction les carrousels à bagages, puis la dernière porte.

On retrouve Guillaume et Cyrille.

Le temps de prendre mon billet pour l’Orlybus, puis Chules part prendre son RER, et nous ce sera le bus qui se remplit.

Je dis au revoir à ces deux amateurs d’avions rares et je file en direction d’un Arc de triomphe qui m’a bien emballée (à retrouver en bonus, off course).

Merci pour la lecture et les commentaires.

bonus