Avis du vol entre Paris et Toulouse en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous,

Point d'exotisme ce jour, juste un petit saut à Toulouse pour à peine plus de 80 euros l'A/R (en tarif mini).
Je ne sais pas comment cela se positionne par rapport aux concurrents low cost (j'ai pas cherché à savoir) mais pour l'objectif à atteindre, ça rentre dans le budget.

Donc, ce matin, à la fraiche, départ pour Orly que je n'ai pas fréquenté depuis 2019 du fait du fameux covid : ça sera Orly 3.
 

orly3

Alors, autant à CDG j'étais ravi de voir du monde, limite une petite cohue, autant dès l'arrivée en voiture à Orly, c'est un peu la tempête.
La circulation n'est pas limpide et plusieurs automobilistes rament comme moi à trouver le bon passage, le tout dans un bouchon sur la plateforme digne d'un WE de juillet.
Les retrouvailles continuent d'être mouvementées… car une fois dans Orly 3, c'est le boxon.
  

Je suis ravi de mon choix de voyager telle une feuille dans le vent et me dirige directement au PIF.
Vous remarquerez que dans la cohue ou la précipitation, c'est selon, plusieurs de mes photos seront floues.
Le PIF sera efficace mais c'est dans ce type de situation qu'on remercie la ligne SP.
Une question : ai je raté un événement expliquant cette foule un samedi matin ?
  

airside et salon

Une fois airside, ca va mieux. 
En fait, cette partie du 3 (le hall d'enregistrement) est l'ancien hall 3 d'orly ouest qui a été redécoupé / aménagé et ce n'est pas des plus lisible pour les PAX aujourd'hui. 
Après, heureusement, on retrouve des espaces plus aérés et je me mets en quête du salon bien indiqué pour le coup.
 

Chemin faisant, on voit bien un avion : je suis au bon endroit.
Grand beau temps et soleil qui se lève sur la plateforme (il est déjà bien levé cher poète).
  

Here we are !
Faut monter, oubliez l'ascenseur qui a la tension d'une limace énervée.
  

Une fois dans l'antre de la débauche et de la luxure, check du timing (suis large) et attaque du buffet.
Une petite sélection light (et puis au passage, la bière au petit dej, ca ne passe pas).
A droite du frigo des boissons, il y a les 2 fontaines à eau qui fonctionnaient bien (dédicace à celle du 2F qui selon plusieurs FR était en rade un moment).
Ce petit salon est sympathique (l'ancien salon AF pour les vols COI si je ne me trompa pas) mais sa taille semble avoir réduit comme neige au soleil. Je n'ai pas cherché s'il y avait des toilettes sur place mais je crains fort qu'il faille redescendre (avec l'ascenseur énervé).
C'était sympa, propre et neuf mais ca ne casse pas 3 pattes à un canard (esprit Toulouse).

Edit : Je présume qu'ici il s'agit du salon Orly 2 d'AF puisque celui du 3 est celui avec le bar à champagne.   
 

Après ce petit encas breakfast, retour à la case salle d'embarquement en passant par cette vue en sortant du salon si je ne me fourvoie pas à la rédaction de ce FR.
 

retour en salle d'embarquement

Arrivé en salle, je vois l'oiseau du jour, F-GTAP qui arrive bientôt dans sa 14e année.
Tout semble aller pour le mieux, mais en fait, c'est le drame.
 

Contrairement à CDG, ici, point de file pré organisée (même symbolique) et donc, à 9h36 (horodatage de la photo), la situation c'est ça !
Finalement je le vois comme un hommage aux embarquement COI de l'époque.
 

Mais au moment du top départ, retentit la mention zone 1 et 2, et la foule se décante, se divise, bref, s'ébranle.
Comme sur un CDG-AMS, il y a du PAX SP mais finalement, on s'en sort très vite à moi le finger façon tunnel vers l'inconnu.
Mais en passant, souci pour une famille dont les billets pour les enfants semblent avoir 2 fois le même prénom et la sanction tombe immédiatement : il faudra patienter pour le vol suivant car cela ne peut être réglé en porte.
Bad karma sur ce coup là avec 2 petits. Je compatis.
 

Instant porte et fuselage shot.
En revoyant cet instant porte, je me dis que si j avais un peu mieux travaillé ma composition, elle aurait été entière ainsi que la crevette.
Vous avez raison, à vos tomates.
  

cabine

Entrée dans le royaume d'un vol A321 national.
C'est propre, les sièges sont convenable pour une heure de vol, y a de l'usb (perso, je les préfère au pied comme cela en fait).  
Le gilet est en bien place, la fiche sécurité en bon état mais ondulée. 
Il a tout de même LA miette cachée sous le siège (la faute aux gâteaux sablés probablement).
 

Maintenant vient l'instant pitch.
Sur la base du physique de votre rédacteur, on pourrait se dire ça passe, mais, selon dame nature (qui a horreur du vide), dans certain cas, c'est juste, même très juste…
Finalement, c'est pas plus mal que je n'ai pas toujours fini ma soupe pour bien grandir.
  

roulez jeunesse, decollez maintenant

C'est parti pour le taxi.
Les 777 COI impatients de revoir le soleil et un aimable arrivant nous laissant passer.
 

Le taxi n'aura pas été bien long et on s'aligne derrière un partant en pleine course d'élan.
A nous la 07.
  

Et déjà Orly s'éloigne.
 

la Haut

Le wifi fonctionne bien et permettre de faire un bout de suivi du vol avec lui.
 

Très vite la petite collation arrive.
Après la brioche au fruit rouge, la galette bretonne est en plein moment de gloire !
  

A peine avalée, digérée que Toulouse s'offre à mes yeux ébahis (enfin les environs).
 

arrivee

Arrivée à TLS avec un retard modéré qui sera sans conséquence pour moi.
De suite, je profite de la vue sur la plateforme Airbus.  
 

Et très vite le regard retrouve les environs d'un taxi classique.
 

Arrivée en porte aux cotés d'un irlandais.
 

Arrivée qui sera suivie d'un débarquement plus que rapide.
 

Le séjour toulousain flash peut commencer mais encore faut il mettre la main sur le uber.

Merci pour votre lecture.