Avis du vol entre Amsterdam et Vancouver en classe Economique avec KLM

Bonjour à toutes et tous.

Cet été, le Canada annonce la réouverture de ses frontières en septembre pour les européens vaccinés (enfin seulement ceux avec deux doses, c’est un point que pénalise certains).

J’attends que cela soit effectif, les changements de dernière minute, on connait.

Le 7 c’est donc officiel, et je regarde les différentes options qui s’offrent à moi.

Je ne connais pas Vancouver, alors que j’ai fait plusieurs séjours au Québec et Ontario. C’est donc la découverte de la destination qui va primer sur mon choix. Vu la distance et le décalage horaire de 9 heures, c’est parti pour une semaine et pas moins, c’était déjà bien trop court à mon goût.

Google flight est mon ami, et le meilleur prix/horaire depuis BSL revient sans surprise à KLM/AF pour un prix de 502€. Au départ de Paris le prix tombait à 361€, pour finir en province on est quand même bien pénalisé niveau tarif, puisqu’il nous faut un préacheminement.

En plus cette fois ci c’est un A330 à l’aller que je n’ai pas encore pris sur KLM et le retour est sur AF en 787 que je n’ai également jamais pris (la veille il y aura un changement d’appareil….. pfff)
Et gros avantage de KLM c’est que je peux bénéficier gratuitement des places en éco plus, à 140€ la place hublot c’est une sacrée économie.

Je réserve donc dans la foulée.

Pour pimenter ce séjour il y aura quelques vols intérieurs, et un programme en mode intensif que vous retrouverez en bonus, je n’ai perdu aucune seconde durant ces vacances.

Je ne reporte pas le vol EAP-AMS, ce n’était d’ailleurs pas prévu au départ, et puis la veille lors d’un déjeuner d’affaires l’un de mes clients me demande ou je pars en vacances et comment je m’y rends, en parlant de KLM depuis l’EAP, il m’informe qu’il est sur le même vol que moi jusqu’à AMS.

Je l’inviterai donc au salon le lendemain matin, à 5 :30, ce qui lui fera très plaisir, du coup raison de plus de ne pas faire un FR.

Mes documents de voyage ont été vérifiés à l’EAP, à savoir un test PCR de moins de 72 heures, ma déclaration sur arrivCAN (que l’on peut faire 72 heures avant d’arriver et dans laquelle on charge son certificat de vaccination, et mon autorisation AVE)

Aéroport d'Amsterdam-Schiphol

Fraichement débarquée à AMS, je file vers la PAF.
Ce sera les bornes automatiques, et l’affaire est rapidement terminée.

Sur le FIDS il est indiqué une porte E1 : cela sent le contrôle post vol et la porte définitive sera annoncée plus tard.
Mais chaque chose en son temps.

salon klm non schengen

Direction le salon, que je commence à bien connaitre, quatrième passage en moins d’un an.

L’entrée est quand même très jolie avec ces maisonnettes.

Le buffet a retrouvé son aspect d’avant avec une partie en self-service.

Pour la tireuse à bière c’est bien trop tôt.

Mais pour un café c’est le moment.

Les jus de fruits y sont plus présentables que dans le salon Schengen.
Je m’installe devant un bar qui plait énormément à un contributeur du Bas-Rhin.

Après avoir pris un petit déjeuner en mode pancake et « Baked beans », et fruits, je change de lieux pour plus de confort.

Allez, il est temps, de bouger un peu.
Me voici en porte E1 : il n’y pas grand mode.

Une agente aiguille les passagers : c’est au fond.

La il y a deux guérites : une agente fort peu aimable me réclame mon test PCR : je lui donne l’ensemble de mes documents.

Mon test est en premier, elle va surligner la date, l’heure et le résultat.
Puis elle me lance : Arrive can : sans même faire une phrase.
Comme je lui ai donné l’ensemble de mes papiers celui-ci est juste après mon PCR, ce que je lui réponds.
Dommage ce fut une personne bien peu aimable.
Elle met un stickers sur mon BP. Et m’indique la porte définitive.

Je me dirige vers les portes F et je fais une rapide visite du musée, bon ce n’est pas extraordinaire mais l’idée est bonne.

3 vols pour le Canada.

Ne voyant pas l’utilité de retourner au salon, je m’en vais attendre en porte.

Les informations sur l’avion du jour.

Qui est là.

L’équipage arrive.

Mes documents.

Des agents passent pour contrôler les BP des passagers assis à proximité de la porte pour vérifier que les stickers sont bien là, certains passagers se verront renvoyé en porte E1 ne l’ayant pas.

L’embarquement sera lancé avec 10 minutes de retard, et la zone une en premier.

Puis la zone deux. (je serais la seule)

Ce n’est pas la grande foule.

Non ce n’est pas pour moi à gauche.

Mais bien par cette porte là.

a bord du vol kl681 direction vancouver

Une sympathique PNC à l’entrée me demande mon siège, je lui répond le 7J et lui montre mon BP. Elle me répond qu’elle veut bien me croire, en effet le stickers du contrôle est collé dessus.

Il y a une autre porte en face.

La cabine a été retrofitée.

Elle est plutôt agréable.

Il n’y a que des couvertures, si on veut un coussin il faut le demander.

Le pas est extra.

L’IFE et le dos du siège.

Bon je l’avais vu sur le plan cabine, mais pas de voisin sur ce vol, je vais pouvoir prendre mes aises.

De la buée.

Je travaille un petit peu, le vol est annoncé avec un peu de retard, en raison d’un petit souci informatique.

La safety card bien vécu.

On nous distribue des écouteurs et un adaptateur.

Finalement le problème est résolu est nous pouvons partir.

Les consignes sont diffusées le temps de rejoindre la piste de décollage.

Transavia.

Du cargo.

Garuda (lui je le vois assez souvent, il est à demeure ici)

Et voilà c’est parti pour presque 10 heures de vol.

Et un transatlantique qui a un goût de liberté retrouvée.

La saison ne se prête pas à un vol très scénique, plutôt en mode : nuage, nuage, nuage..

On nous distribue une bouteille d’eau et un oshibori (il est revenu…).

Une semaine d’absence c’est une semaine de cours à rattraper au retour, j’ai donc emmené de quoi réviser, car j’ai mon premier contrôle 4 jours après mon retour.
Bon je dois dire que je prends beaucoup de plaisir à mes cours, cela me demande pas mal de travail après le boulot, et pour l’instant les notes sont bonnes (bon ce n’est que le début…).

En tout cas jamais je n’aurais parié à me retrouver à lire The Economist, comme quoi tout arrive.

Surtout que les articles sont très intéressants : notamment celui-là : Andy Warhol en Iran… que des centres d’intérêts qui me sont chers.

Les menus spéciaux sont distribués en premier.
Et c’est mon cas.

Ayant lu un FR sur KLM vers le Canada, je constate que c’est le même plateau que j’ai eu à plusieurs reprises lors de mes LC de l’année. Donc là je sature.

Impossible de commander les menus payants, j’ai donc pris un menu « low-fat », en misant sur des légumes et fruits au lieu des pâtes grasses et du dessert en mode morceaux de sucre.

Bingo, voilà quelque chose qui me convient bien mieux.

Présentation du plat chaud sans l’opercule : du poulet, petit pois carottes et du riz au fenouil.
Et bien c’était très bon.

Salade verte avec de la carotte en entrée, mais sans vinaigrette.

Et des fruits en dessert.

J’ai une longue journée à l’arrivée alors il faut que je dorme sur ce vol.

Un réveil à 3 :30 et un vin blanc vont m’y aider.

Après ce repas je file aux toilettes pour un brossage de dents.

Ce flacon me rappelle quelque chose.

Un cachet d’homéopathie pour dormir et me voilà en mode marmotte.

Sur deux places c’est quand même assez petit.

J’ouvre un œil au-dessus du Groenland.
Bon je ne loupe rien.

Je constate qu’il y a un service en cours avec le sandwich que l’on retrouve en CC/MC : non merci je ne le connais que trop bien.

Une petite vue de l’inclinaison du siège.

Je replonge dans mon sommeil jusqu’à la distribution de la seconde prestation chaude.

A nouveau j’ai droit à être dans les premières : je note quand même que nous sommes 5 en éco plus à avoir fait de même.

Au lieu du panini ultra gras j’ai droit à un chausson aux légumes (pâte brisée), un yaourt nature et des agrumes… c’est juste parfait…

Les boissons arrivent avec le service normal : ce sera coca.. il faut maintenant que je me réveille…
J’ai un autre vol après celui-ci, et une voiture de location à récupérer à ma prochaine étape, puis conduire celle-ci jusqu’au studio que j’ai loué (et dans mon programme il y a même l’option de devoir faire des courses), bref pas de repos en vue.

Il reste 1:44 de vol.

Les nuages font place à des paysages. Bonne nouvelle.

.

Je regarde un peu l’iFE le temps de la descente.
Les films sont un peu plus récents qu’il y a quelques mois.

Les dernières montagnes avant l’arrivée sur Vancouver, les nuages sont de retour.

On dépasse Vancouver et on opère un demi-tour pour se positionner vers la piste.

La météo n’est pas tip top mais c’est très courant en BC.

On se rapproche du sol.

Aéroport international de Vancouver

Et me voilà au Canada.

Au loin l’aéroport.

C’est quelque peu humide.

Korean Air est là.

Etant à l’avant je ne perds pas de temps pour quitter l’avion, ne sachant pas ce qui m’attend à l’immigration.

Oh une passerelle avec de la moquette.

Bienvenue à Vancouver, merci !!! je suis très contente d’être là également.

Suivons les indications.

Du Air Canada.

Même si j’ai un vol dans la foulée, je ne vais pas vers les correspondances.

La suite c’est en bas. La décoration est en rappel avec les premières civilisations (Je suis également venue pour cela donc vous aurez un bonus spécifique).

Les totems que l’on retrouve un peu partout dans cette région.
On ne peut pas dire qu’il y a foule.
Au milieux les bornes sur lesquelles il faut s’enregistrer et récupérer un papier (ou sera mentionné si on a gagné un test à l’arrivée ou pas (c’est juste une lettre A ou B)
Et au fond l’immigration.

Je n’ai plus pris de photos après.

Après avoir récupéré ma feuille je passe chez un agent de l’immigration qui me demande si la conversation peut se faire en Anglais. Je lui réponds que oui.
Il me demande le but de mon séjour.
Je lui réponds : vacances.
Et il me rend mon passeport avec la documentation que voici.

5 minutes top chrono.
Ensuite je récupère la petite Bretzel valise que j’avais enregistrée pour avoir les mains libres.

Ensuite passage devant un agent qui récupère mon papier et qui m’oriente vers les files A ou B.
Ce sera sans test.

Il y a un très grand emplacement avec des tentes pour les dépistages, mais c’est bien vide.

Au bout de ce hall, j’ai le choix entre la sortie définitive ou reprendre le chemin des correspondances vers les vols domestiques, ce que je vais prendre.

La suite au prochain FR pour savoir sur quelle compagnie je vais voler, et pour la destination, une petite aide pour ceux qui vont ouvrir le bonus.

bonus