Ce FR inaugure la série retour de mon escapade automnale à Bangkok et à Tokyo.
PREVIOUSLY :
TNR-RUN [C'est ici!]
RUN-MAA [C'est ici!]
MAA-BKK [C'est ici!]
BKK-NRT [C'est ici!]
Pour ne pas déroger aux bonnes habitudes, je vous propose un bonus touristique ; pour être précis, il s’agit de la première partie d’un bonus nippon qui, je l’espère, ne heurtera pas par les erreurs qu’il est susceptible de contenir les sensibilités de nos camarades FRistes japonais, spécialistes du Japon ou résidant au Japon. Bien au contraire, leurs précisions ou corrections sont les bienvenues.
Pour ouvrir ce 1° bonus, direction le Skytree.
Pas de file d’attente aux guichets contrairement au dimanche où, à 13h, des invitations…. à acheter son ticket à 18h étaient distribuées.
La vitesse de pointe de l’ascenseur qui rejoint le niveau 350 mètres est de 600 m/minute (Merci N°2).
Quelques exemples de panorama, ici direction Shiodome.
Au premier plan, « l’étron doré » commis par Philippe Starck pour le siège des boissons Asahi. Au second plan, le parc d’Ueno.
En amont de la Sumida. Asakusa est au coin gauche de la photo.
Ne comptant pas à la dépense, je m’offre le niveau 450… Devinez donc d’où il tient son nom !
L’ombre du Skytree plane sur la ville…
Des laveurs de vitres font partie de l’attraction.
Un angle de vue sensiblement identique à l’antépénultième photo : Asakusa et le parc d’Ueno.
Les nuages arrivent : il est temps de redescendre.
Promenade dans Asakusa, le quartier où j’ai élu domicile.
L’allée qui mène au temple Senso-Ji comprend une multitude de boutiques.
En chemin pour le temple, le croyant se purifie aux vapeurs d’encens.
Le temple.
Une pantoufle traditionnelle géante, ex-voto offert par une communauté de croyants.
La pagode à 5 étages.
La même vue d’en haut.
Toujours la même, la nuit.
Le temple la nuit.
Antsirabe n’est pas la seule ville adepte du pousse-pousse.
La technique ne semble pas tout à fait identique.
Tokyo a remporté le concours pour l’organisation des J.O. de 2020.
Ces distributeurs de boissons, omniprésents dans toute la ville, permettent d’évaluer la « petite délinquance » du lieu.
Terminons la 1° partie de ce bonus par des images « typiques » : Un melon à 50 euros (mais où est-ce la saison en ce moment ?)
La Tokyo Tower qui célèbre ses 55 ans.
Soleil couchant sur les montagnes entourant la plaine du Kanto.
Cette escapade est aussi l’occasion d’un très agréable dîner avec OlriK. Qu’il en soit chaleureusement remercié.
Désormais, place au FR.
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Et ses volées de marche. Pas d’escalator ni d’ascenseur en vue. Fort désagréable avec armes et bagages.
Plus que 70 mètres à parcourir pour rejoindre la Toei Asakusa line.
Avant de franchir les portiques, il faut acquérir le ticket idoine.
Une agente Toei anglophone viendra spontanément m’aider à trouver la bonne tarification et me donnera tous les renseignements nécessaires.
Un ascenseur me conduit au bon quai.
L’attente commence sur le quai. L’Access Express de 13h38 n’arrive pas. L’agente sus-évoquée parcourt les quais et indique à chaque passager muni de bagages de prendre le prochain train et de changer à Aoto.
J’embarque donc mais descendrai à Osiaghe lorsque je vois qu’un train direct pour NRT est annoncé à 14h22.
A bord du train.
Comme prévu, nous sommes à quai à 15h17.
Skyteam occupe l’aile nord du terminal 1 de Narita.
Avant d’entrer il faut montrer patte blanche : l’agent, bien évidemment courtois, jette un œil distrait à mon passeport et je suis étonné qu’il ne demande pas à voir le billet. Je dois donc avoir le droit d’acheter un billet à l’aéroport.
Il suffit de suivre les flèches.
Logos des compagnies représentées. Pour KQ, il me semble que c’est un partage de code avec KE.
Ne reste plus à emprunter que quelques volées d’escalators.
La North Wing est dédiée à l’alliance Skyteam comme le démontre la signalétique. Ce n’est pas l’affluence des grands jours.
Pour accéder à la zone d’enregistrement Delta, il faut se présenter avec la carte d’embarquement imprimée aux bornes ou chez soi.
Je m’exécuterai sans trop de difficultés –je confesse m’y être repris à plusieurs fois pour introduire le passeport dans le bon sens….. ?
Muni du précieux sésame, je suis dirigé vers la file Skypriority tout aussi déserte que la file Economy.
Ma valise a pris 2 kg au cours de ce séjour.
Toujours pas foule.
La plupart des vols de cette fin d’après-midi sont des vols Delta.
Premiers échantillons Delta.
Je me dirige vers la PIF réservée aux pax SP. Je suis accueilli par un personnel très aimable et serviable. J’ai presque failli être aidé à remettre ma ceinture !
Là encore, on est en pleine bourre "/>
Un peu de spotting après le passage PIF : du Fedex à ma droite :
Et du Delta à ma gauche.
La PAF c’est par là.
Espoir partagé.
L‘espace immigration où j’attendrai 3 bonnes minutes. Au final, il ne se sera pas passé plus de 30 minutes entre ma descente du train et mon arrivée airside.
On dirait un cœur dans la version japonaise de Bangkok.
Petit tour dans les boutiques, pas très nombreuses.
Direction le salon.
Le Sky club c’est au premier.
Avant de m’engager sur l’escalator, je fais le tour des portes d’embarquement afin de voir qui est là. Ici tire-t-on ou repousse-t-on ?
Un plus gros plan : y a-t-il un pilote ?
Au passage je constate que mon futur appareil n’est pas encore en porte. Un peu plus loin :
N’ayant rien d’autre à immortaliser, je me présente donc au Sky club où je suis aimablement accueilli. « Welcome to Sky club Mr Papoumada ! »
A mon arrivée, le salon est à peu près désert. Je le trouve spacieux, bâti en cercle au-dessus des portes d’embarquement, bien éclairé. Le jeu de couleur des sièges et quelques claustra bien placées donnent sinon un sentiment d’intimité du moins un coté cosy fort agréable.
Des Macs le long de la baie vitrée
Coin lecture, assez pauvre.
Ayant un petit creux et une petite soif, je me dirige vers le buffet en libre service.
Détaillons l’offre : crudités colorées "/>
Sandwich à l’œuf et au thon "/>
Gâteau au chocolat "/>
Sous la cloche, des nouilles avec des morceaux de viande.
Deux types de soupes et services de verres.
Côté rouges "/>
Source à Saké "/>
Alcools forts "/>
Verres à bière réfrigrés"/>
Tireuse automatique en action : phase 1 :
Phase 2 : rotation. La machine voisine, également testée, propose de la Sapporo (plus à mon goût).
Ma sélection.
Une fois ragaillardi, je m’adonne à un peu de spotting. United et un Air Canada perdu.
Air Marathon.
Géolocalisation.
Photo corporate. Puis je m’installe pour rédiger… le précédent FR.
Alors que l’heure de l’embarquement approche, je décide d’explorer l’autre côté du salon symétrique par rapport à l’entrée. En chemin je trouve un coin enfants sans enfants.
Sans surprise, symétrie oblige, on découvre le même espace buffet.
Le même mobilier dans la même disposition.
Par la baie vitrée on voit du Delta,
Et du Delta.
Il est temps de descendre du Ciel pour rejoindre la porte 23 où semble régner un joyeux désordre fort peu nippon.
L’embarquement, annoncé une heure avant, n’a pas commencé 41 minutes avant le départ théorique.
Le pre-boarding concerne les PAX Skypriority. A condition de se frayer un chemin jusqu’à la file idoine.
La passerelle se dédouble : une entrée pour les PAX J ici dénommés “business elite” ce qui flatte toujours l’ego "/>
Pas de banque à l’honneur mais un célèbre réseau de cartes bancaires.
Me voici arrivé en porte. L’accueil est du genre mécanique : voici comment atteindre votre siège.
La cabine J est agencée en épi 1-2-1. Une première pour moi. Les hublots sont déjà baissés et le resteront pendant la phase de décollage.
Voici mon siège pour les 7 heures à venir.
Comme à l’aller ont été disposés dans leur emballage plastique couette, oreiller, pantoufles, trousse de confort et casque audio.
La têtière ciglée.
Les espaces de rangement ou sur lesquels poser quelque chose sont rares. Où entreposer oreiller et couette par exemple ?
La disposition des sièges conduit au torticolis qui veut regarder par le hublot. Ceci dit, il n’y a pas grand-chose à voir.
Vue du galley avant où l’hôtesse prépare les verres d’accueil.
Vue du siège de ma voisine depuis le mien. Cette disposition favorise l’esprit participatif et chacun se fait prendre en photo par son voisin. Une « facebook session » selon le mot de l’un d’entre nous.
Le verre d’accueil est servi. Champagne !
Safety card du 777-200.
Visite aux toilettes toujours fournies en produits bas de gamme.
De l’occupation pour papa.
Distribution du menu.
Pour ceux qui souhaitent dormir le plus rapidement possible.
Service principal.
Deuxième service.
La carte des vins est toujours aussi absente. Ce qui va avoir son importance.
Nous repoussons et nous mettons en route.
Puis nous attendons longuement notre tour.
Pour patienter : commandes du siège, pas si ergonomiques que cela.
Un de nos devanciers s’élance.
Puis un autre. Mais entre temps, un certain nombre d’atterrissages ont eu lieu.
Voici la piste.
Est c’est parti !
Nous prenons de l’altitude.
Un peu plus de 6h de vol selon la géovision bien mal commode à utiliser contrairement à celle présente sur le 767 de l’aller.
Je ne résiste pas à faire une photo du sac vomitoire multi-usages.
Cette fois-ci, je découvre par le plus pur des hasards cet excellent exemple d’humour américain au verso.
Pendant ce temps débute le service de l’apéritif. Otsumami.
Champagne.
La charmante hôtesse repasse proposer un second verre. Curieux ou soupçonneux, je lui demande de quel champagne il s’agit. Elle va chercher la bouteille et là…. c’est un mousseux, agréable certes, mais pas du champagne. Or, qu’indique le menu ? Champagne et non Sparkling wine. Je puis boire du mousseux et il en existe de convenables. KLM sert du crémant de Limoux en verre d’accueil. Cela ne fait pas forcément plaisir au pax J mais cela demeure honnête. Se rendant compte de ma déception devant ce qu’il faut bien appeler un mensonge, PNCette emporte la coupe et revient avec une nouvelle coupe propre et une bouteille de Duval Leroy qu’elle ouvre pour moi.
Je déguste mon désormais champagne en regardant Hitchcock (en voilà un qui s’y connaissait en champagne !) dans lequel Anthony Hopkins est excellent.
Tout en gardant un œil sur la geovision.
Le service principal débute assez rapidement. Une minorité de PAX demandent à être réveillés : la plupart en effet de mes compagnons viennent de LAX et ont déjà quelques heures de vols et de décalage horaire à écluser.
Je dînerai au Duval Leroy. Puisqu’il a été ouvert pour moi…
Le plat de poulet est très bon.
Du pain à l’ail est proposé. Le goût est bon mais la texture se rapproche de la biscotte. Un réchauffage raté ?
La salade est fraîche et craquante. Très agréable. Je choisis de l’assaisonner d’une sauce japonaise, moins écœurante que la Ceasar.
La pâtisserie conclusive est bonne sans être exceptionnelle.
La serviette enveloppe les couverts …
… que voici.
Le bilan de ce premier service est positif.
Ainsi rassasié, c’est allongé que je terminerai de regarder Hitchcock.
Accompagné de ma bouteille d’Evian.
Le siège est parfaitement confortable à défaut de permettre l’intimité.
La cabine est plongée dans l’obscurité. Je fais donc la marmotte. A mon réveil, la PNC japonaise chargée de ma rangée commence à s’affairer pour la seconde prestation.
La voici.
Même en zoomant, cette prestation apparaît comme elle est : proche de zéro. Le chef de cabine s’excuse à demi-mots de l’insignifiance du service.
Je mangerai le fromage à la texture de savon avec un reste de pain…. A l’ail !
Les fruits sont quelconques.
Les plateaux sont débarrassés alors que nous sommes à 15 minutes de BKK.
Les lumières de la ville apparaissent à travers le hublot que je suis seul à relever.
Ma voisine tente de communiquer avec son mari assis pourtant à côté d’elle "/>
L’atterrissage est proche.
On peut apercevoir et grossièrement mettre au point sur quelques spécimens TG.
Nous nous garons au poste 402… au large…. Pourtant, il ne manque pas des passerelles libres à BKK !
Les équipes au sol se mettent en place.
Dernier regard sur mon fort confortable siège. J’anticipe le vif reproche de Durian de ne l’avoir toujours pas photographié en position allongée et le prie de me pardonner "/>
Je quitte l’avion chaleureusement remercié d’avoir choisi Delta par ma PNCette encore confuse de l’affaire du champagne et de la congruité de la portion du second service. Je lui demande s’il n’existe pas un coupon d’accès à la Fast Track, elle se renseigne auprès du chef de cabine qui répond que ça n’existe pas à BKK. Décidément ce soir, DL les accumule…
La deuxième passerelle est mise en place.
Le museau de notre triple 7.
Oui ! C’est moi ! Allez ouvre ! J’ai pas que ça à faire !
Les PAX débarquent.
Direction le Paxbus. Notons qu’il n’y aura pas de bus réservé aux PAX J. Boulette !!!
Le bus se remplit et nous ne démarrons qu’une fois en configuration RER A à l’heure de pointe.
Le flot ne cesse de s’écouler.
Après un assez court trajet, nous débarquons.
Et c’est le rush vers l’immigration que l’on espère pas trop bondée.
Un coup de rein pour doubler quelques concurrents "/>
Puis un autre !
Sur la ligne d’arrivée. Par chance, l’attente sera courte.
Duty free pas pris d’assaut.
Les bagages mettront du temps pour arriver. Néanmoins, les prioritaires sont livrés en premier. Bon point.
Bienvenue en Thaïlande !
Merci pour ce FR.
Le bonus touristique me rappelle bien des souvenirs.
Petite erreur de restranscription : L'ascenseur du Skytree monte à une vitesse de 600m/min, et non 600m/s (environ Mach 2). ;)
Etonnant que le Sky Club donne sur une brochette de dérives UA. ;)
L'offre de ce salon est plutôt moyenne et n'a pas grand chose à envier à ses homonymes US !
Personnellement j'ai beaucoup de mal avec la configuration en épi. Les américains aimant tant le concept de privacy, pour le coup c'est plutôt raté !
Le champagne a eu l'effet escompté si l'on en juge par la qualité des photos extérieures qui suivent. ;)
Catering honnête sans coup d'éclat particulier, si ce n'est la surprise liée à la seconde prestation décevante.
Parking au large, pas de paxbus dédié et pas de fast track : Décidément DL cumule les faux pas sur ce vol.
lol pour les 600m/s ;) Je devais être pressé d'arriver !
Le mélange de mousseux et de champagne est dangereux pour la santé ;)
Le point fort de DL est full flat full access. Les épis ne sont pas très private.
J'essaye de corriger quelques erreurs mais la connexion internationale étant [une fois de plus] perturbée, je ne sais pas si j'y parviendrai tout de suite.
Merci de ton commentaire.
Merci Thierry pour ces instructives précisions.
Si je peux me permettre, mes 2 cents:
1) les producteurs de champagnes ont perdus plusieurs procès aux USA.... Là-bas l'appellation champagne est autorisée même pour un vin non élaboré en champagne (dommage mais c'est comme cela). Aussi pour tout américain moyen, un vin pétillant peut être appelé Champagne (hélas hélas hélas).... C'est certainement la raison de cette dénomination sur le menu.....
2) le salon Delta à Tokyo est luxueux en terme d'offre par rapport à son homologue à Atlanta siège de Delta !!!
Cordialement
En vol direct, aux dates choisies et en J, Delta était 50% moins cher que les autres.
Seul MU était moins cher de 100 euros avec escale à PVG.
Merci de ce commentaire.
Merci pour ce beau FR!
Ce 772 est-il basé à NRT?
Par ailleurs, c'était drôle devoir que les sous-titres du film étaient en hébreu!
Je ne sais pas où est basé ce 772. Vient-il de LAX, est-il affecté au hub de NRT?
J'avais aussi remarqué les sous-titres ;)
Merci pour ce FR !
Très beau bonus touristique !
L’ascenseur qui fait du 600m/s, ca fait un peu beaucoup, non ? ;)
Ce qui me fait rire a chaque fois est la forme des pieds des chaussons des pousse-pousseurs ;)
Les escaliers interminables du métro sont une des raisons pour laquelle je préfère le limousine bus, direct hôtel-NRT sans galère de bagages !
Les meubles du Sky Club me font penser a un salon AF, non ?
A bord, la forme de l’appui-tête est vraiment unique !
Le mousseux a la place du champagne c’est vraiment petit….
Le plateau en simili-formica fait vraiment cheap.
Lorsque tu regardes Hitchcock après ton repas, la vue sur le siège a cote est royale, vraiment aucune intimité…
Vif reproche, il ne faut pas exagérer lol mais ne compte pas sur moi pour emprunter cette route pour prendre cette photo manquante et oh combien cruciale ;-)
Les chaussons font en effet un peu patte d'ours. Un effet inexistant ici. Les pousses japonais ressemblent davantage à ceux de Tamatave que d'Antsirabe.
Le côté phalanstère de la cabine en épi est désagréable à la longue car on peut donner le sentiment d'épier (ouaf!!!) sans qu'il n'en soit rien. Or, un regard de trop.... ;)
Merci de ton commentaire.
Merci pour ce FR!
Merci pour ce FR ! PS: superbe photo corporate ! ^^
Merci pour ce vol de retour. Dommage que le vol ce soit moins bien passé. C'est bien la première fois que je vois du mousseux en BusinessElite. Normalement c'est toujours Duval-Leroy. Bizarre. Je suis déçu de la prestation mais en même temps il faut se dire que c'est un vol plus court encore qu'un transatlantique et qu'il part vers 18h pour arriver à destination à minuit--l'horaire y est sûrement pour quelque chose.
J'essaie de corriger. Merci de la relecture :)
Ces accrocs sont décevants mais je maintiens que le rapport qualité-prix est bon sur cette destination.
Malheureusement, le tarif dont j'ai bénéficié semble avoir disparu.
Merci de tes commentaires.
p.s. ton avion était un 777-200ER DL n'a pas de -200 non ER
Une autre petite correction pour l'horaire, départ 18:45 et non 17:50
Merci pour ce FR qui est globalement positif. Je ne suis pas fan des sièges en épis mais ils donnent pas mal d'espace à défaut d'initimité. La catéring du premier service est bien ( c est a dire bonen qualité avec des produits simples à la mode delta) mais le deuxième est vraiment trop léger pour une J ! Le coup du champagne / mousseux est certainement du à un manque de formation de l'équipage a qui Delta n'apprend pas la différence . C'est assez inné en France mais moins dans d'autres cultures ou l on pense que des bulles suffisent à l'appelation chmapgne. heureusement cela a été corrigé ! Merci pour le très beau bonus touristique
Merci d'avoir apprécié le reportage et de votre commentaire
merci pour ce fr! tres beau bonus! delta confirme une amélioration globale dans son produit (enfin ca dépend de l'appareil...) mais comme toi je ne suis pas fan des configuration en épis... par comparaison avec les autres J que tu as pu effectuer tu la classerai comment du coup?
Côté catering, UU tient le haut du pavé.
Côté siège, avec ses full flat full access DL est très bien.
J'ai volé une fois en 380 sur EK mais c'était seulement un BKK-HKG donc je n'en tiens pas compte pour la comparaison. Dans ce cas, c'est l'espace bar que j'avais trouvé génial.
Je n'ai pas une grande expérience des compagnies asiates en LC.
Merci de ton commentaire.
Merci pour ce FR:
j'aime pas non plus cette configuration en épis.
Très beau bonus de cette escapade automnale,sans doute la température est plus agréable qu'en août?
La température est fort agréable. Cependant, comme Denzee le remarque dans ses reportages, les restes de typhons ont induit une météo pluvieuse désagréable pour qui aime déambuler la tête en l'air un jour sur 2.
Merci de ce commentaire.
La vue en haut de la tour est dingue !
Le spotting à NRT donne l'impression d'être dans un aéroport américain :D
Merci pour ce FR :)
Merci !
Merci pour ce FR
Très beau bonus touristique
L'offre salon est tout de même très moyenne
LH sert aussi du mousseux en boisson d'accueil LC avant de passer au champagne
Le siège en épi ne me gêne pas et je le préfère à n'importe quel toboggan
La collation est ridicule et c'est vraiment dommage de devoir finir son vol sur cette mauvaise note :(
À bientôt pour la suite
Je préfère moi aussi l'épi au toboggan !
LH ouvre les hostilités au Sekt? Bof Bof...
L'offre du salon m'a suffit en milieu d'après-midi. Elle devient insuffisante à l'heure du déjeuner et du dîner puisqu'elle ne change pas.
Merci de votre commentaire.
Merci pour ce FR très complet !
Beau spotting à NRT et belles photos nocturnes à BKK !
On retrouve le service classique d'une compagnie US, même en J, peut mieux faire...mais ne veut pas ?...
Merci :)
Merci beaucoup pour ce FR.
Merci pour le bonus. J'adore tes photos de la Skytree tower que je n'ai pas encore eu l'occasion de faire. Merci pour cette découverte !!
Je n'aime pas trop cette configuration en épi mais au moins on a un full flat qui est confortable.
La prestation est quand même moyenne pour un vol de cette durée et je ne parle même pas de la collation qui est ridicule.
Le point fort est le full-flat.
Pour le reste, la prestation du vol aller et la disposition classique étaient meilleures.
Enfin, le rapport qualité-prix reste bon.
Merci de ton commentaire.