Ce reportage concerne la première étape du retour vers Madagascar avec Air Austral depuis BKK.
Comme promis, je vous propose de débuter par un bonus touristique japonais. Pas de gratte-ciel ou d’espace hyper-urbanisé, mais une promenade dans une petite ville située à 50km au sud de Tokyo : Kamakura, capitale au XIII° siècle du premier shogunat.
Vue générale du site verdoyant.
Entrée du temple Engaku-Ji au nord de Kamakura.
Ce temple zen a été fondé au XIII° siècle pour remercier les divinités de la victoire contre les Mongols.
Rue à l’atmosphère campagnarde pour rejoindre…
La statue de Bouddha dans le pavillon Hatto.
La porte qui ouvre sur le pavillon Hojo.
Le jardin zen qui n’est pas un jardin sec traditionnel mais un jardin de contemplation autour d’un étang.
Un torii à une entrée secondaire du sanctuaire shinto Tsurugaoka Hachimangu.
L’un des chozuya destiné à se purifier la bouche et les mains.
Le Kami no Yama, pavillon principal reconstruit au XIX° siècle.
Tablettes votives.
Porte-bonheurs.
Un enchevêtrement de torii encadre le chemin vers un autel à l’écart du pavillon principal.
Chozuya.
Les torii principaux ouvrent sur la ville de part et d’autre d’une allée bordée de cerisiers sur 1km, présent d’un shogun de Kamakura à sa belle.
De jeunes enfants vêtus de tenues traditionnelles sont conduits par leurs parents au sanctuaire. S’agit-il d’un rite comme un baptême ?
Le pavillon principal depuis le pont qui relie le sanctuaire à l’allée de cerisiers.
Pousse-pousse à tireur à « patte d’ours ».
Marchand de galettes.
A 4 arrêts de train sur la petite ligne locale, le Daibutsu de Kamakura dont les 122 tonnes de bronze résistent aux typhons et aux tsunamis depuis 1252.
La position des mains indique la voie de la méditation.
Un peu plus loin, la station balnéaire d’Enoshima.
Le but de la promenade est de rejoindre l’île d’Enoshima.
Le port de plaisance de l’île, construit pour abriter les concurrents participant aux épreuves de voile des J.O. de 1964.
L’île abrite divers sanctuaires.
En cette fin de mois d’octobre, quelques courageux s’adonnent encore aux sports nautiques,
et aux joies des jeux de plage.
La suite et la fin de ce bonus japonais ouvrira le prochain reportage.
A présent, place au FR.
Il est midi et je prends un taxi pour rejoindre Suvarnabhumi. Le chauffeur met spontanément le taximètre en marche.
La circulation est dense en bas de Si Lom. On distingue à l’arrière plan à gauche la silhouette du G-Pullman ex-Sofitel.
Direction l’express way.
Le premier péage. 50 THB au lieu de 45 la dernière fois.
Le conducteur me demande l’heure du départ du vol et, de toute évidence, emprunte une route qui ne m’est pas familière. Néanmoins, nous semblons sur le bon chemin.
Cet A 340 Finnair confirme l’impression.
Nous abordons l’aéroport par le côté opposé à l’aérogare. Entrée surveillée.
Un 777 EK à l’atterrissage. Pour info, selon le Bangkok Post, EK ouvre un 3° créneau quotidien sur BKK et porte sa capacité à 2 500 sièges par jour.
TG règne en maître.
EK chemine vers sa porte.
Une partie du terminal.
Zone technique de TG.
Un mérou –pourquoi pas un Dugong- au repos.
Cette Honda semble s’être trompée de file.
Me voici à bon port. L’itinéraire emprunté s’est avéré très fluide et n’a pas accru le prix moyen de la course. A peine 30 minutes pour effectuer le trajet.
Geste royale.
Porte 3 pour accéder au check-in UU (et MD aussi).
Gros plan sur la devise de UU.
Il convient de se rendre rangée D.
L’enregistrement est rapide vu le peu d’affluence. Notons que BKK met à la disposition du check-in du 738 UU davantage de banques que CDG pour le 777…
Soyez attentif à la devise. Si rien ne vous surprend, utilisez la molette pour remonter de 3 photos.
La valise n’a pas grossi pendant son escale thaïlandaise. Elle perd même quelques hectogrammes car, étant enregistrée jusqu’à TNR, je prends quelques affaires vu que je dois passer la nuit à la Réunion.
Vue de la zone check-in.
L’enregistrement effectué, je me dirige vers les célèbres duettistes PIF-PAF.
Direction la Premium lane, UU offrant le coupe-file nécessaire à ses passagers Y+.
L’escalator mène à la zone PIF pour les PAX lambda.
Une fois les exigences de M. PIF satisfaites, on redescend pour dire au-revoir à M. PAF. Les files d’attente conséquentes rendent agréable la possession du coupe-file.
C’est par ici.
Le préposé à la Fast Track est éveillé, contrairement à mon précédent passage. Mais l’heure est aujourd’hui bien plus décente.
Aucune attente et me voilà airside, direction le salon TG le plus proche de la porte D1. Car UU offre le salon à ses PAX Y+.
Je chemine à travers la zone duty-free mais ne puis acheter de liquides puisque je ne pourrai les mettre en soute le lendemain à RUN.
Il va falloir penser à descendre.
Par hasard, je rencontre la CC chargée de la cabine avant avec laquelle je vais donc passer les 10 ou 11 prochaines heures. Elle m’explique que les équipages passent 3 nuits à BKK.
Notre 738 est bien là.
Je ne puis me défaire de Louis ! Help !"/>
Le salon TG le plus proche de la porte D1 se trouve être exactement au niveau d’icelle.
J’y suis aimablement accueilli.
Je vous propose de m’accompagner pour un petit tour du propriétaire de ce salon tout en longueur. Premier espace repos…
…à côté duquel se trouve un premier buffet…
… réservé aux en-cas sucrés.
Espace travail.
Espace jeux.
Au milieu de ce qui ressemble à un long mais large couloir, l’espace buffet principal.
Poulet en sauce et nouilles (réapprovisionnées peu après).
Sorte de raviolis, de mémoire au bœuf.
Machine à pancakes ou à pannequets.
Divers sandwiches.
Feuilletés chauds.
Je ne me souviens plus de ce que c’est. Cela m’avait paru appétissant mais en en découvrant la dénomination, cela ne m’avait pas fait envie.
Verres et eau plate.
Sodas et bières, seules boissons alcoolisées proposées. Je n’ai pas vu d’autre offre liquide. Est-ce parce qu’il s’agit d’un salon Royal Orchid et non d’un Royal Silk ?
Ma première sélection.
Et la deuxième. Vu l’heure j’avais faim, mais je me suis contenté de peu sachant que je n’aurais rien d’autre à faire qu’à manger pendant les 10 prochaines heures.
Photo corporate « Ronaldo Air ».
Avant de rejoindre mon bel oiseau blanc et bleu, je le photographie de mon siège dans le salon.
Plongée sur la porte D1.
Raphaël Barquisseau aka F-ONGB nous amène à la Réunion.
Première partie de la passerelle. J’aime bien le ton acier bleuté de cette image.
Deuxième partie aveugle et en descente : voyage au centre de la Terre ?
Poste de commande du « paxway » :
Raphaël et le cordon ombilical.
Bienvenue à bord.
Sièges D et F de la Y+ avec en arrière plan les sièges aux têtières turquoises de la Y en 3-3.
Symétrie sur A et C.
Ma rangée 4. Mon siège est le 4A mais je n’aurai pas de voisin ce qui est une excellente nouvelle. 14 sièges sur 18 sont vendus, un quinzième étant occupé par le 3° pilote.
Sur chaque siège sont disposés la trousse de confort, une couverture et un coussin identiques à ceux distribués par UU en J, ces deux derniers accessoires étant de moins bonne qualité que ceux distribués en J sur DL.
Verre d’accueil et signature au Nicolas Feuillatte.
La bouteille d’eau est disposée dans la pochette du siège.
Bien que nous soyons le 2 novembre, c’est toujours le numéro d’Escales australes de septembre-octobre qui est proposé.
Rappel de la flotte UU pour ceux qui n’ont pas lu les FR aller (en liens au début de ce reportage.)
Rappel du réseau Océan Indien pour les mêmes.
Rappel du pitch aka « espace entre les jambes » d’Icare.
Nous avons repoussé.
Un 777 TG stationné à notre gauche.
Tout n’est pas encore OK.
Pendant ce temps diffusion des consignes de sécurité.
Le roulage commence. Air DURIAN :
Austrian :
TG :
Tour et caserne des pompiers.
Pompiers sur le qui-vive.
Et nous voilà partis en direction de Madras, première étape de notre périple et sujet de ce FR.
Les autoroutes traversent un espace urbain discontinu.
Banlieue pavillonnaire. Celles-ci ne cessent de s’étendre devant la croissance démographique de Bangkok dont l’aire urbaine compterait aujourd’hui 19 millions d’habitants.
Mitage des rizières par l’urbanisation.
Winglet.
Nous prenons progressivement de l’altitude.
Nous jouons avec les nuages. A l’arrière plan, le cours du Chao Phraya.
Gros plan.
Pendant ce temps, les écrans diffusent des informations sur les destinations UU et le programme de fidélité Capricorne.
Et nous voici au-dessus des nuages.
L’IFE maison est distribué.
Ce doit être la programmation de novembre, les films proposés n’étant pas les mêmes qu’à l’aller.
La CC annonce le déroulement du service : une collation est proposée sur ce tronçon d’un peu plus de 3 heures. Oshibori.
Le spectacle est magnifique par-delà le hublot. Il me semble que ce sont les côtes birmanes.
Baie, anses, tout invite au rêve.
La collation est servie. Aucun menu n’a été distribué. Choix unique de poisson (Cet oxymore sonne mieux qu’imposé). En fait, il s’agit d’un véritable repas sur un plateau un peu étroit.
Entrée de poissons : en croute et sur un lit de salade. Des textures différentes, bon et rafraîchissant.
Poisson, tagliatelle, poivrons et citrouille. Excellent.
Fromage certainement sélectionné, mais par qui ?
Salade excentrée et dessert aux deux chocolats.
Nicolas se joint à moi pour l’apéritif.
Pinot, noir mais pas flic m’accompagne pour le repas.
Le repas, enfin la collation, se termine à l’ouest de l’archipel d’Andaman.
A environ 1h45 de la destination.
Les nuages offrent un spectacle dont je ne me lasse pas.
Tout en admirant l’IFE naturel, me vient l’idée de demander à l’hôtesse s’il est possible de jeter un œil dans le cockpit. Elle va se renseigner.
Le temps de prendre la photo suivante, elle revient et me dit que le commandant accepte… à condition qu’il n’y ait pas de photo. Désolé pour FR, mais j’accepte. Me pardonnerez-vous cet abandon de poste momentané ?
Je passe un peu plus d’une heure sur le jump seat, une première pour moi. Les deux PNT sont extrêmement sympathique et nous discutons à bâtons rompus, du vol, de la compagnie... Je ne me gêne pas pour poser toutes les questions qui me passent par la tête. Un vrai môme. Ils devinent que je participe à FR. D’ici à conclure que ceci explique cela, tout comme la disponibilité de la CC, il n’y a qu’un pas. En tous les cas, je passe un excellent moment et c’est à regret que je les quitte pour les laisser préparer la suite du vol avec le 3° pilote qui prend ma place… plutôt qui reprend la sienne. Non mais !!!
Pour moi c’est un petit passage par les toilettes, bien exigües et bien propres.
Cette association m’amuse toujours autant.
Nous sommes à 20 minutes de l’arrivée.
Mais nous allons longuement tourner avant de pouvoir nous poser.
Le littoral indien.
Un autre monde de rizières.
A l’aplomb de la côté.
Un lac.
Dernier jeu avec les nuages.
Autoroute pas encore en service.
Espace urbain et rural (à moins que ce ne soit le contraire).
La ville prend peu à peu ses droits.
Atterrissage et roulage jusqu’à notre point de stationnement. En chemin, cargo KQ.
Qui est aussi un cargo AF-KLM. Safari connexion doit être une filiale commune.
Les pompiers de Madras.
Le tarmac donne une impression de joyeux foutoir. On y trouve de l’Indigo "/>
Du Spicejet "/>
Pour ceux qui auraient mal vu "/>
Du Jet Airways "/>
Beaucoup de Jet Airways "/>
Et du Air India.
Vue floue de la porte où nous allons nous arrimer le temps de l’escale.
Une vue plus large de MAA montre que cette aérogare est constitué d’une partie ancienne et d’une partie plus moderne.
A suivre…
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La statue de Bouddha dans le pavillon Hatto.
La porte qui ouvre sur le pavillon Hojo.
Le jardin zen qui n’est pas un jardin sec traditionnel mais un jardin de contemplation autour d’un étang.
Un torii à une entrée secondaire du sanctuaire shinto Tsurugaoka Hachimangu.
L’un des chozuya destiné à se purifier la bouche et les mains.
Le Kami no Yama, pavillon principal reconstruit au XIX° siècle.
Tablettes votives.
Porte-bonheurs.
Un enchevêtrement de torii encadre le chemin vers un autel à l’écart du pavillon principal.
Chozuya.
Les torii principaux ouvrent sur la ville de part et d’autre d’une allée bordée de cerisiers sur 1km, présent d’un shogun de Kamakura à sa belle.
De jeunes enfants vêtus de tenues traditionnelles sont conduits par leurs parents au sanctuaire. S’agit-il d’un rite comme un baptême ?
Le pavillon principal depuis le pont qui relie le sanctuaire à l’allée de cerisiers.
Pousse-pousse à tireur à « patte d’ours ».
Marchand de galettes.
A 4 arrêts de train sur la petite ligne locale, le Daibutsu de Kamakura dont les 122 tonnes de bronze résistent aux typhons et aux tsunamis depuis 1252.
La position des mains indique la voie de la méditation.
Un peu plus loin, la station balnéaire d’Enoshima.
Le but de la promenade est de rejoindre l’île d’Enoshima.
Le port de plaisance de l’île, construit pour abriter les concurrents participant aux épreuves de voile des J.O. de 1964.
L’île abrite divers sanctuaires.
En cette fin de mois d’octobre, quelques courageux s’adonnent encore aux sports nautiques,
et aux joies des jeux de plage.
La suite et la fin de ce bonus japonais ouvrira le prochain reportage.
A présent, place au FR.
Il est midi et je prends un taxi pour rejoindre Suvarnabhumi. Le chauffeur met spontanément le taximètre en marche.
La circulation est dense en bas de Si Lom. On distingue à l’arrière plan à gauche la silhouette du G-Pullman ex-Sofitel.
Direction l’express way.
Le premier péage. 50 THB au lieu de 45 la dernière fois.
Le conducteur me demande l’heure du départ du vol et, de toute évidence, emprunte une route qui ne m’est pas familière. Néanmoins, nous semblons sur le bon chemin.
Cet A 340 Finnair confirme l’impression.
Nous abordons l’aéroport par le côté opposé à l’aérogare. Entrée surveillée.
Un 777 EK à l’atterrissage. Pour info, selon le Bangkok Post, EK ouvre un 3° créneau quotidien sur BKK et porte sa capacité à 2 500 sièges par jour.
TG règne en maître.
EK chemine vers sa porte.
Une partie du terminal.
Zone technique de TG.
Un mérou –pourquoi pas un Dugong- au repos.
Cette Honda semble s’être trompée de file.
Me voici à bon port. L’itinéraire emprunté s’est avéré très fluide et n’a pas accru le prix moyen de la course. A peine 30 minutes pour effectuer le trajet.
Geste royale.
Porte 3 pour accéder au check-in UU (et MD aussi).
Gros plan sur la devise de UU.
Il convient de se rendre rangée D.
L’enregistrement est rapide vu le peu d’affluence. Notons que BKK met à la disposition du check-in du 738 UU davantage de banques que CDG pour le 777…
Soyez attentif à la devise. Si rien ne vous surprend, utilisez la molette pour remonter de 3 photos.
La valise n’a pas grossi pendant son escale thaïlandaise. Elle perd même quelques hectogrammes car, étant enregistrée jusqu’à TNR, je prends quelques affaires vu que je dois passer la nuit à la Réunion.
Vue de la zone check-in.
L’enregistrement effectué, je me dirige vers les célèbres duettistes PIF-PAF.
Direction la Premium lane, UU offrant le coupe-file nécessaire à ses passagers Y+.
L’escalator mène à la zone PIF pour les PAX lambda.
Une fois les exigences de M. PIF satisfaites, on redescend pour dire au-revoir à M. PAF. Les files d’attente conséquentes rendent agréable la possession du coupe-file.
C’est par ici.
Le préposé à la Fast Track est éveillé, contrairement à mon précédent passage. Mais l’heure est aujourd’hui bien plus décente.
Aucune attente et me voilà airside, direction le salon TG le plus proche de la porte D1. Car UU offre le salon à ses PAX Y+.
Je chemine à travers la zone duty-free mais ne puis acheter de liquides puisque je ne pourrai les mettre en soute le lendemain à RUN.
Il va falloir penser à descendre.
Par hasard, je rencontre la CC chargée de la cabine avant avec laquelle je vais donc passer les 10 ou 11 prochaines heures. Elle m’explique que les équipages passent 3 nuits à BKK.
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Le salon TG le plus proche de la porte D1 se trouve être exactement au niveau d’icelle.
J’y suis aimablement accueilli.
Je vous propose de m’accompagner pour un petit tour du propriétaire de ce salon tout en longueur. Premier espace repos…
…à côté duquel se trouve un premier buffet…
… réservé aux en-cas sucrés.
Espace travail.
Espace jeux.
Au milieu de ce qui ressemble à un long mais large couloir, l’espace buffet principal.
Poulet en sauce et nouilles (réapprovisionnées peu après).
Sorte de raviolis, de mémoire au bœuf.
Machine à pancakes ou à pannequets.
Divers sandwiches.
Feuilletés chauds.
Je ne me souviens plus de ce que c’est. Cela m’avait paru appétissant mais en en découvrant la dénomination, cela ne m’avait pas fait envie.
Verres et eau plate.
Sodas et bières, seules boissons alcoolisées proposées. Je n’ai pas vu d’autre offre liquide. Est-ce parce qu’il s’agit d’un salon Royal Orchid et non d’un Royal Silk ?
Ma première sélection.
Et la deuxième. Vu l’heure j’avais faim, mais je me suis contenté de peu sachant que je n’aurais rien d’autre à faire qu’à manger pendant les 10 prochaines heures.
Photo corporate « Ronaldo Air ».
Avant de rejoindre mon bel oiseau blanc et bleu, je le photographie de mon siège dans le salon.
Plongée sur la porte D1.
Raphaël Barquisseau aka F-ONGB nous amène à la Réunion.
Première partie de la passerelle. J’aime bien le ton acier bleuté de cette image.
Deuxième partie aveugle et en descente : voyage au centre de la Terre ?
Poste de commande du « paxway » :
Raphaël et le cordon ombilical.
Bienvenue à bord.
Sièges D et F de la Y+ avec en arrière plan les sièges aux têtières turquoises de la Y en 3-3.
Symétrie sur A et C.
Ma rangée 4. Mon siège est le 4A mais je n’aurai pas de voisin ce qui est une excellente nouvelle. 14 sièges sur 18 sont vendus, un quinzième étant occupé par le 3° pilote.
Sur chaque siège sont disposés la trousse de confort, une couverture et un coussin identiques à ceux distribués par UU en J, ces deux derniers accessoires étant de moins bonne qualité que ceux distribués en J sur DL.
Verre d’accueil et signature au Nicolas Feuillatte.
La bouteille d’eau est disposée dans la pochette du siège.
Bien que nous soyons le 2 novembre, c’est toujours le numéro d’Escales australes de septembre-octobre qui est proposé.
Rappel de la flotte UU pour ceux qui n’ont pas lu les FR aller (en liens au début de ce reportage.)
Rappel du réseau Océan Indien pour les mêmes.
Rappel du pitch aka « espace entre les jambes » d’Icare.
Nous avons repoussé.
Un 777 TG stationné à notre gauche.
Tout n’est pas encore OK.
Pendant ce temps diffusion des consignes de sécurité.
Le roulage commence. Air DURIAN :
Austrian :
TG :
Tour et caserne des pompiers.
Pompiers sur le qui-vive.
Et nous voilà partis en direction de Madras, première étape de notre périple et sujet de ce FR.
Les autoroutes traversent un espace urbain discontinu.
Banlieue pavillonnaire. Celles-ci ne cessent de s’étendre devant la croissance démographique de Bangkok dont l’aire urbaine compterait aujourd’hui 19 millions d’habitants.
Mitage des rizières par l’urbanisation.
Winglet.
Nous prenons progressivement de l’altitude.
Nous jouons avec les nuages. A l’arrière plan, le cours du Chao Phraya.
Gros plan.
Pendant ce temps, les écrans diffusent des informations sur les destinations UU et le programme de fidélité Capricorne.
Et nous voici au-dessus des nuages.
L’IFE maison est distribué.
Ce doit être la programmation de novembre, les films proposés n’étant pas les mêmes qu’à l’aller.
La CC annonce le déroulement du service : une collation est proposée sur ce tronçon d’un peu plus de 3 heures. Oshibori.
Le spectacle est magnifique par-delà le hublot. Il me semble que ce sont les côtes birmanes.
Baie, anses, tout invite au rêve.
La collation est servie. Aucun menu n’a été distribué. Choix unique de poisson (Cet oxymore sonne mieux qu’imposé). En fait, il s’agit d’un véritable repas sur un plateau un peu étroit.
Entrée de poissons : en croute et sur un lit de salade. Des textures différentes, bon et rafraîchissant.
Poisson, tagliatelle, poivrons et citrouille. Excellent.
Fromage certainement sélectionné, mais par qui ?
Salade excentrée et dessert aux deux chocolats.
Nicolas se joint à moi pour l’apéritif.
Pinot, noir mais pas flic m’accompagne pour le repas.
Le repas, enfin la collation, se termine à l’ouest de l’archipel d’Andaman.
A environ 1h45 de la destination.
Les nuages offrent un spectacle dont je ne me lasse pas.
Tout en admirant l’IFE naturel, me vient l’idée de demander à l’hôtesse s’il est possible de jeter un œil dans le cockpit. Elle va se renseigner.
Le temps de prendre la photo suivante, elle revient et me dit que le commandant accepte… à condition qu’il n’y ait pas de photo. Désolé pour FR, mais j’accepte. Me pardonnerez-vous cet abandon de poste momentané ?
Je passe un peu plus d’une heure sur le jump seat, une première pour moi. Les deux PNT sont extrêmement sympathique et nous discutons à bâtons rompus, du vol, de la compagnie... Je ne me gêne pas pour poser toutes les questions qui me passent par la tête. Un vrai môme. Ils devinent que je participe à FR. D’ici à conclure que ceci explique cela, tout comme la disponibilité de la CC, il n’y a qu’un pas. En tous les cas, je passe un excellent moment et c’est à regret que je les quitte pour les laisser préparer la suite du vol avec le 3° pilote qui prend ma place… plutôt qui reprend la sienne. Non mais !!!
Pour moi c’est un petit passage par les toilettes, bien exigües et bien propres.
Cette association m’amuse toujours autant.
Nous sommes à 20 minutes de l’arrivée.
Mais nous allons longuement tourner avant de pouvoir nous poser.
Le littoral indien.
Un autre monde de rizières.
A l’aplomb de la côté.
Un lac.
Dernier jeu avec les nuages.
Autoroute pas encore en service.
Espace urbain et rural (à moins que ce ne soit le contraire).
La ville prend peu à peu ses droits.
Atterrissage et roulage jusqu’à notre point de stationnement. En chemin, cargo KQ.
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A suivre…
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Verdict
Air Austral
9.5/10
Cabine9.0
Equipage10.0
Divertissements10.0
Restauration9.0
Thai Airways Royal Silk Lounge At Concourse D
7.0/10
Confort6.0
Restauration6.0
Divertissements7.0
Services9.0
Bangkok - BKK
9.2/10
Fluidité10.0
Accès10.0
Services7.0
Propreté10.0
Chennai - MAA
5.0/10
Fluidité5.0
Accès5.0
Services5.0
Propreté5.0
Conclusion
Air Austral : un excellent vol de BKK à MAA :
-UU considère ses PAX Y+ comme des J : coupe-file, salon ;
-le siège et le pitch conviennent parfaitement pour un vol de jour ;
-le catering est excellent. On peut toutefois regretter qu’un menu ne soit pas distribué et que le plateau ne soit pas plus grand –ou que le plat soit servi dans un deuxième temps. Mais souvenons-nous que nous ne sommes qu’en Y+. -la PNC en charge de la cabine avant est aux petits soins, très professionnelle et efficace.
-Cerise sur le gâteau pour ce vol, j’ai eu droit à une longue visite du cockpit : je remercie les PNT et je gonfle artificiellement la note divertissement car cette heure vaut bien des IFE.
BKK : toujours aussi agréable, en particulier lorsqu'il n’y a pas besoin de faire la queue.
Salon TG Royal Orchid : l’offre n’est pas pléthorique mais elle m’a suffit. Le salon est confortable et calme, d’autant plus qu’il n’y avait pas grand monde quand j’y suis passé. Le hasard a fait que notre porte se trouvait en face, ce qui accroît le confort.
MAA : la notation est sans objet.
Merci d’être allé au bout de ce reportage et à vos commentaires !
A bientôt pour le vol sur RUN précédé du dernier bonus japonais. Le délai dépendra en grande partie de la normalisation, ou pas, du fonctionnement de la liaison internationale Telma…
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Merci pour ce FR, très agréable à lire ! Le bonus touristique est très beau ^^ Je pense que c'est bien le deuxième slogan et non le premier (La compagnie française de l’océan Indien)enfin je pense.. Sinon visiblement le vol devait être super avec cet équipage.
Bon point pour le chauffeur de taxi qui aura mérité son pourboire. ;) La croissance d'EK sur une destination archi-touristique comme BKK montre à quel point leur politique de prix bas a du succès.
Cette Confort Class est décidément bien pourvue, avec tous les avantages (file expresse, accès au salon, champagne en verre d'accueil) d'une classe affaires. J'adore le fait que le coupe-file soit ouvert aux moines bouddhistes. ^^ Pas de lounge hopping dans les différents salons Royal Orchid de BKK ?
Teasing : Qu'il est beau, ce 777-200 OS ! ;)
Repas complet et intéressant, bien qu'il faille aimer le poisson pour l'apprécier !
Vous voulez dire que les PNTs connaissaient FR ??
En conclusion un excellent vol pour terminer ces vacances.
Je pensais à vous en me servant une Chang vu que peu de temps avant je venais de lire un de vos FR de la série automnale ;)
Les PNT connaissaient FR puisqu'ils m'ont demandé, dès que je fus assis avec eux,si je faisais un reportage pour FR. Ils ont aussi explicité la raison pour laquelle ils ne souhaitaient pas de photos.
Le chauffeur de taxi a en effet mérité son pourboire à double titre : l'évitement des bouchons et l'approche par derrière de BKK. Et 5 THB de péage en moins ;)
Je n'ai pas pensé à faire du lounge-hopping : j'avais envie de me poser, de répondre à quelques mails et de commencer le FR de mon retour de NRT.
Le nom inscrit sur l'avion est très stylisé. Il s'agit de Raphaël BarQuisseau, écrivain né à la Réunion. On a encore la preuve ci-présent qu'Air Austral est une très bonne compagnie et qu'elle mérite d'être mieux connue. Dommage qu'elle ait du fermer plusieurs lignes. Mais un vol aussi long à bord d'un monocouloir ne me tente pas.
UU a une la bonne idée d'inviter ses passagers chez Thai et non chez le très fameux Louis.
Les bonus touristiques du Japon sont toujours les bienvenus donc merci pour tout.
Beau bonus touristique très intéressant et complet Leur classe Y+ est une J ancienne version, pas mal du tout pour un vol de jour. Si j'ai bien suivi on vous a démasqué tel l'inspecteur du guide Michelin, au moins vous avez gagné un tour dans le cockpit :) Merci pour ce FR!
Miam, le bon catering ;) Encore un vol très sympa !
Mais bon, je regrette quand même qu'il n'y ait plus de 777 sur cette ligne (mais je sais que c'était vital pour la survie d'UU)...Un peu juste 10 heures en 737...
Dommage pour les photos, mais on ne peut pas tout avoir ;)
L'agrément que savent donner les équipages à leur vol (et s'il y a la cerise sur le gâteau c'est encore mieux) permet de mieux faire passer le produit 738 sur LC.
Peut-être qu'un 330 serait mieux adapté qu'un 777 sur cette ligne? En même temps, je suppose que les quelques PAX qui ont pour destination MAA participent à la rentabilité à moins que cela ne soit gommé par le surcoût de l'escale pour avitaillement?
Merci pour cette suite! Encore un beau FR avec un beau bonus touristique. J'aurais pensé avoir un bonus Thaï dans ce FR plutôt je Japonais par contre. Un belle cabine avec un bon confort pour un vol de jour et un catering sans faute. À bientôt pour la suite!
Pas de bonus Thaï dans la mesure où mes escales à BKK sont peu touristiques. J'en profite pour faire des trucs que je ne puis faire à Mada : des courses, aller au cinéma... Eh oui ! Cinéplex Paragon c'est moins loin que Gaumont-Labège ;)
Merci pour ce FR :) Moi aussi je ne me lasse pas du spectacle donné par les nuages en vol. Je peux y passer des heures parfois. Concernant l'équipage, j'en conclus qu'ils connaissent FR et qu'en plus de ça ils arrivent à en remarquer un (bien que ce ne soit pas très compliqué :D)
Merci pour ce FR très agréable à lire, comme toujours. Le bonus touristique est très beau, et donne envie de retourner au Japon. Sympa les PNT, et a ma connaissance vous êtes le 1er Flight Reporter à être démasqué par un équipage! Merci également pour l'analyse détaillée de la situation et des rapports de force dans cette partie du Monde. J'ai hâte de lire la suite
joli bonus Je viens de faire une recherche fictive en vol direct et même en Y+ UU est moins chère que TG en Y. Grâce à votre FR en cas d'opportunité je me laisserai tenter par Air Austral
Combien UU facture ce vol de 3h en Y+? Franchement, avec accès salon à BKK et la qualité de la nourriture qui m'a été proposée, ça se tente sereinement !
Merci pour ce récit complet. Le bonus touristique est doublement conséquent ;) Lors de mon passage récent à BKK, le chauffeur a aussi emprunté cette route...je pense qu'il s'agit néanmoins d'une arnaque car après avoir vérifié, il me semble que rien ne le justifiait à part faire tourner le compteur (le tour de BKK, c'est pas rien !). C'est sûr qu'au prix des taxis à Bangkok, on n'est pas très regardant...
Très jolie prestation à bord. Evidemment, la limite du B737 sera le vol de nuit dans ces fauteuils.
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211 avis
38 Commentaires
Pour l'anecdote dans leur revue , Air Austral a inversé les caractéristique du B777-200LR et du 300-ER !
Quel coup d'oeil ! ;)
Le bonus touristique est très beau ^^
Je pense que c'est bien le deuxième slogan et non le premier (La compagnie française de l’océan Indien)enfin je pense..
Sinon visiblement le vol devait être super avec cet équipage.
La suite prochainement :)
Le vol fut en effet un excellent moment.
Merci de votre commentaire.
Encore un bonus touristique alléchant.
Bon point pour le chauffeur de taxi qui aura mérité son pourboire. ;)
La croissance d'EK sur une destination archi-touristique comme BKK montre à quel point leur politique de prix bas a du succès.
Cette Confort Class est décidément bien pourvue, avec tous les avantages (file expresse, accès au salon, champagne en verre d'accueil) d'une classe affaires.
J'adore le fait que le coupe-file soit ouvert aux moines bouddhistes. ^^
Pas de lounge hopping dans les différents salons Royal Orchid de BKK ?
Teasing : Qu'il est beau, ce 777-200 OS ! ;)
Repas complet et intéressant, bien qu'il faille aimer le poisson pour l'apprécier !
Vous voulez dire que les PNTs connaissaient FR ??
En conclusion un excellent vol pour terminer ces vacances.
Je pensais à vous en me servant une Chang vu que peu de temps avant je venais de lire un de vos FR de la série automnale ;)
Les PNT connaissaient FR puisqu'ils m'ont demandé, dès que je fus assis avec eux,si je faisais un reportage pour FR. Ils ont aussi explicité la raison pour laquelle ils ne souhaitaient pas de photos.
Le chauffeur de taxi a en effet mérité son pourboire à double titre : l'évitement des bouchons et l'approche par derrière de BKK. Et 5 THB de péage en moins ;)
Je n'ai pas pensé à faire du lounge-hopping : j'avais envie de me poser, de répondre à quelques mails et de commencer le FR de mon retour de NRT.
Restent encore 2 vols pour finir !!!
On a encore la preuve ci-présent qu'Air Austral est une très bonne compagnie et qu'elle mérite d'être mieux connue. Dommage qu'elle ait du fermer plusieurs lignes. Mais un vol aussi long à bord d'un monocouloir ne me tente pas.
UU a une la bonne idée d'inviter ses passagers chez Thai et non chez le très fameux Louis.
Les bonus touristiques du Japon sont toujours les bienvenus donc merci pour tout.
A plus tard pour la suite.
En mono-couloir de jour et sans voisin direct ça passe très bien.
Je serais plus critique sur : le fait de devoir passer la nuit à RUN sans prise en charge ; le vol aller de nuit.
A bientôt.
Leur classe Y+ est une J ancienne version, pas mal du tout pour
un vol de jour.
Si j'ai bien suivi on vous a démasqué tel l'inspecteur du guide
Michelin, au moins vous avez gagné un tour dans le cockpit :)
Merci pour ce FR!
Merci de votre commentaire.
Question de génération?
Miam, le bon catering ;) Encore un vol très sympa !
Mais bon, je regrette quand même qu'il n'y ait plus de 777 sur cette ligne (mais je sais que c'était vital pour la survie d'UU)...Un peu juste 10 heures en 737...
Dommage pour les photos du cockpit...
L'agrément que savent donner les équipages à leur vol (et s'il y a la cerise sur le gâteau c'est encore mieux) permet de mieux faire passer le produit 738 sur LC.
Peut-être qu'un 330 serait mieux adapté qu'un 777 sur cette ligne? En même temps, je suppose que les quelques PAX qui ont pour destination MAA participent à la rentabilité à moins que cela ne soit gommé par le surcoût de l'escale pour avitaillement?
Je reconnais qu'en vol de nuit c'est éprouvant.
Merci de votre commentaire.
Pas de bonus Thaï dans la mesure où mes escales à BKK sont peu touristiques. J'en profite pour faire des trucs que je ne puis faire à Mada : des courses, aller au cinéma... Eh oui ! Cinéplex Paragon c'est moins loin que Gaumont-Labège ;)
Ou alors ce serait le bonus Fashion week ;;))
Moi aussi je ne me lasse pas du spectacle donné par les nuages en vol. Je peux y passer des heures parfois.
Concernant l'équipage, j'en conclus qu'ils connaissent FR et qu'en plus de ça ils arrivent à en remarquer un (bien que ce ne soit pas très compliqué :D)
Ensuite, ils ont été perspicaces pour me repérer... puisque je ne suis pas dans la moyenne d'âge des contributeurs réguliers... ;;))
En même temps, un gars qui photographie ses genoux, c'est pas courant non plus ;)
Merci de ce commentaire.
Sympa les PNT, et a ma connaissance vous êtes le 1er Flight Reporter à être démasqué par un équipage!
Merci également pour l'analyse détaillée de la situation et des rapports de force dans cette partie du Monde.
J'ai hâte de lire la suite
Il va falloir un peu patienter pour la suite, pour des raisons indépendantes de ma volonté.
Ce n'est bien sûr pas 007 qui se ferait démasquer ;)
Je viens de faire une recherche fictive en vol direct et même en Y+ UU est moins chère que TG en Y.
Grâce à votre FR en cas d'opportunité je me laisserai tenter par Air Austral
Sur quel itinéraire porte votre recherche?
En attendant d'en lire le FR :)
D'un autre coté je n'ai pas la moindre de ce que vaut TG (type d'appareil, horaires...)
Beau bonus
Récit complet et agréable à lire
De belles photos aériennes
Le produit est excellent mais l'absence de prise en charge de la nuit à la Réunion est un grand moins
À bientôt
Je me suis renseigné en son temps pour une prise en charge à RUN mais il m'a été opposé une fin de non recevoir.
A bientôt.
Très jolie prestation à bord. Evidemment, la limite du B737 sera le vol de nuit dans ces fauteuils.
Encore un très joli FR !
La limite a été le vol de nuit à l'aller où les notes sont moins dithyrambiques...
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