Avis du vol entre Amsterdam et Paris en classe Economique avec Air France

Bonjour à toutes et tous.

Voici un petit FR digressif dans la chronologie mais qui n’aura plus de sens dans un mois, encore que certaine choses peuvent aller au-delà des 3 semaines de restrictions sanitaires actuellement en place.

Comme annoncé fin décembre, l'interdiction de manger et de boire dans les transports collectifs.

De l’art de savoir lire entre les lignes et d’interpréter les décrets. Notamment celui du 31 décembre 2021 qui indique : «Dans les transports, la vente et le service pour consommation à bord d’aliments et de boissons sont interdits lors des trajets au sein du territoire métropolitain.»

Devant me rendre à Paris pour souhaiter de vive voix la bonne année à mes amis je choisis l’option EAP-AMS-CDG en raison du prix, le vol direct était bien trop cher.

Me voilà donc sur un vol qui n’a rien de métropolitain, voyons voir ce qu’il va en être.

Aéroport d'Amsterdam-Schiphol

Je vous épargne la énième visite du salon, pas de changement à part que maintenant on peut se servir soi-même pour les plats chauds.
Sur le FIDS mon vol est annoncé en retard.

Autant attendre encore au salon.

A 9 :15 je quitte celui-ci pour rejoindre ma porte.

Pour les LC il y a foule pour passer le contrôle de la PAF.

Voilà un escalator qui est à nouveau en marche.

Les commerces ne sont pas accessibles aux passagers, mais on peut quand même consommer avec une caisse éphémère en bordure de chaque boutique.

retard de 26 minutes précisément.

Finalement mon avion arrive à peine, cela me permettra avec un autre passager ( un avgeek ?) de faire du spotting.

Tui en 737 max 8.

Vous noterez le splendide lever de soleil avec un ciel oscillant entre le doré et l’orange.

Voici l’A321 qui va m’amener à Paris.

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A l’heure retardée pour l’embarquement on nous annonce 15 minutes supplémentaires car le ménage n’est pas terminé, il y a tant de miettes que ça à aspirer ?

Finalement l’embarquement commence avec appel des zones une et deux, mais seulement en mode, j’attends dans la file.

Il y a beaucoup de monde et une agente vient vérifier si les passagers sont éligibles, seulement voilà elle ne contrôle pas tout le monde, et même ainsi elle fait ressortir de la file un passager sur deux.

Nous avons le feu vert pour scanner nos BP et là encore trois passagers avant moi sont refoulés par la machine.

A savoir que sur ce voyage je n’ai pas eu de ready to fly (ce qui ne m’a pas inquiétée puisque c’était un transit par AMS) mais à l’enregistrement en ligne j’ai obtenu directement mes BP.
Et comme je ne voulais pas prendre le risque d’une valise fugueuse à AMS, je ne suis pas passée aux comptoirs d’enregistrement.


Et bien ni à l’EAP, ni à AMS je n’ai eu à prouver ma bonne fois de voyageuse non dangereuse.
Etonnant !! Voir angoissant !

Donc passage en vert pour moi à ce portique.

Direction la passerelle.

Le CC nous accueille en porte.

a bord du vol af1241 direction paris

Pour changer un peu j’ai choisi ce siège que Chules aime tant.

Je comprends que les grands l’apprécient la place est immense.

Un PNC est à côté des sièges, et m’indique ou mettre ma valise cabine car le coffre au dessus de cette rangée est plus petit que les autres.
Mais l’interaction va se limiter à cela.

Il a un i pad qu’il compulse activement, et d’ailleurs il ne fera que cela durant le vol, à l’arrivée et en attendant notre départ. Bref un désintérêt total pour les passagers.
A se demander d’ailleurs ce qu’il pouvait être consultable sur celui-ci car moi le WIFI à bord, ce sera « nada ».

Gros plan sur l’issue de secours.

A côté c’est le vol suivant pour AMS.

La littérature se trouve à mes pieds.

Comme il est indiqué en tout petit : prière de ne pas emporter cette carte.

L’instant poisse : le vol suivant part avant nous.

En effet, après avoir enfin embarqué les passagers et réglé un problème avec l’un deux qui à du faire demi-tour à AMS car il n’avait pas les papiers requis pour sa destination finale, il avait vérifié avec un vol en provenance de la France et non pour un vol en provenance des Pays-Bas, et cela change la donne (j’avais déjà eu le cas avec des passagers pour la Russie au départ d’EAP).
Et qui a fait tout un speech au chef de cabine pour être certain que ses valises étaient bien chargées sur le vol.

Suite à cela : plus de slot, il va falloir attendre.
Au moins 20 minutes.

Cela commence à râler pour les correspondances.

Passé le délai nous voilà enfin en mode repoussage.

Au revoir le crabe.

Du spotting sur le chemin avec ce Singapour Airlines au décollage.

Puis un Aer Lingus que je vais dédicacer à tatie Eva.

Deuxième avantage de ce siège, il y a un véritable hublot.

Au revoir AMS à dans un mois.

Le décollage est vif.

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Ensuite les PNC sont libérés et le rideau interclasse est mis en place.

Annonce habituelle, puis une nouvelle : en raison des restrictions sanitaires en France, il n’y aura aucun service (dans les deux classes) et il est interdit de consommer à bord sa nourriture et boisson personnelle.

Bien il va falloir que je revoie ma géographie et le mot : métropolitain. = Larousse : Qui appartient à la métropole, à la mère patrie. Nous venons donc d’annexer les Pays-Bas.^^

Alors pour moi ce n’est pas un souci mais celui qui a payé 79€ de surclassement, il doit rire jaune.

(Et encore pire sur mon CDG-EAP ou c’est pareil mais avec un surclassement à 179€).

Enfin c’est le tarif que l’on me demande car visiblement je suis plutôt dans le haut du panier à ce niveau là.

Il y aura quand même un passage pour proposer de l’eau avec une bouteille de Cristaline grand format et gobelet en carton.

la crevette ^^

Même le WIFI est en mode restriction.

Le vol est court, la descente vers CDG est déjà amorcée.

Le temps est à la pluie et aux nuages.

Aéroport de Paris-Charles-de-Gaulle

A peine posé, je peux ôter le mode avion.

On roule un certain temps, avec des passagers en mode : dans les starting block pour opérer leur connexion.

Le commandant nous informe que comme nous serons au 2F toutes les connexions sont faisables, mais qu’il va ne pas falloir trainer.

Je laisse donc la priorité à mes voisins de derrière qui doivent courir pour un vol vers Lyon.

Je quitte après eux l’avion.
A quelques minutes près nous avons une heure de retard.

Pour moi c’est plus tranquille, j’informe mes amis que j’aurai du retard sur le premier déjeuner de ce week-end.

Il fait 4 degrés, c’est l’hiver.

La sortie c’est par ici.

Pas de valise à récupérer, cela m’évitera une attente supplémentaire.

La suite c’est par le RER B.

Passage devant le grand Charles avec une longue file d’attente pour le centre de test Covid.

C’est parti pour un superbe week-end en mode repas à profusion, et surtout en très bonne compagnie.

Petit bonus d’une des seules activités non culinaires de ce week-end.

bonus