Bonjour à tous,
Arrivé hier, il est temps de repartir ce matin direction Paris, la "to do list" toulousaine ayant été épuisée.
J'aurai pu tenter de rentrer le soir même mais des fois, mieux vaut prendre son temps et surtout rester frais.
Apres donc une nuit à 2 pas du terminal, le trajet est lancé.
Enchainement de vols
- 1
- 2AF6113 - Economique - Toulouse -> Paris - Airbus A320
walking to TLS
Astuce quand même à savoir, c'est que plusieurs hotel ibis sont à porter de pied de TLS (car le dimanche, pas de navette dans le mien).
S'il fait beau et bon comme aujourd'hui, c'est une petite marche sympa de 20-25 min qui vous attends mais qui est loin d'être désagréable.
A la fin on retrouve les rails du tram et l'avant dernière station mais cela n'apporte aucun gain. Soyons sportif !





Une fois entré dans le terminal, la marche n'est pas finie pour autant.
En effet, il faut aller tout au fond retrouver le PIF et sa fast lane via une petite voie détournée à gauche.
Je survolerai tout cela dans mon élan en faisant coucou au passage aux comptoirs AF inutile puisque je n'ai qu'un petit bagage cabine.






airside
Le PIF est passé en un tournemain. Zero queue, zéro attente.
Je passe sans intérêt via les boutiques et tente sans succès le salon. Je crois que jamais j'y entrerai ici !






Je tente de vous dévoiler la vue des avions en attente de livraison mais c'est trop loin pour mon petit téléphone. Je profite néanmoins de mes yeux perçants pour apprécier toutes ces dérives multicolores au loin là-bas.


Puisque je ne suis pas équipé spotting longue distance et que le salon est fermé, direction la porte.
J'y retrouve les 2 navettes du matin prêtes à partir après leur nuit sur place je présume.


J'assisterai au départ de la première navette et au basculement de l'équipe sur le second avion.




embarquement et cabine
L'embarquement est lancé à 8h32 mais ce sera un peu cafouilleux car les scanettes ne marchent pas. un reboot plus tard, les fauves sont lâchés, enfin, le fauve !

Instants.


Retour dans cette cabine la navette bien connue.

Rien de notable donc si ce n'est que les hublots ne sont pas bien alignés avec le siège ce qui n'est pas pratique pour qui a l'habitude de flâner le regard au loin.




Porte fermée à 8h50, car on ne doit être que 50 PAX.

taxi, take off
Roulage court vers la 32 R.





Et décollage en 32R à 9h00 pile dans cet A319 très très bruyant en montée.
Je reverrai en plus gros mes bélugas !







Très vite, on atteint les nuages.
Petite gloire du pilote floue mais sympa a voir.




vol
Le wifi est opérationnel. entre temps, 2 pax ont perdu un téléphone.
Petite agitation à la recherche du dit précieux qui sera retrouvé à 10h après une heure de quête.

On est dans le bleu.

Et le trolley arrive (9h18). Toute ressemblance avec le voyage aller est…

De temps en temps, regard par la fenêtre. Tient une piste. La quelle ? aucune idée :)

Mais à l'altitude, vous en déduisez qu'on est déjà en descente depuis un moment (le captain avait annoncé début descente à 9h30 et une arrivée au parking 20 en avance sur l'horaire.).






Piste en vue !
Toucher à 10h01 en douceur.
Dans le lointain, un concorde, faut que je me renseigne sur qui il est !





Le parking approche vite. Comme prévu, on y arrive bien en avance sur l'horaire.



La sortie sera rapide, en suivant l'ancien parcours de sortie COI.








Pour conclure, l'oiseau du jour et la route suivie.


Petite émotion au moment d'aller au parking car le -3 a été inondé par les orages de la veille. Pour qu'il y ait eu environ 3 à 5 cm d'eau dans ce niveau (cf. trace sur les pneus), c'est que les orages on été monumentaux.
Inutile de dire que pour atteindre le -3, il ne restait que les bon vieux escaliers car tous les escalators et autres ascenseurs étaient en carafe.
Morale pour la prochaine fois : se mettre au -2….
Merci pour votre lecture.
Merci pour ce FR.
Navette classique, sans surprise.
Effectivement, 45 mm d'eau ⛈️ en 2 ou 3 heures sur Orly... C'est beaucoup !
A bientôt !
Merci pour ce report d'une navette classique. La prestation n'est pas originale mais a le mérite d'exister.
Je dirais qu'il s'agit de l'ancienne base aérienne de Brétigny-sur-Orge (LFPY).
LYSflyer