Bonjour à tous et bienvenus pour ce vol retour d'un routing renversant.
On ne change rien puisque c'est le même doublet (844/845),
Enchainement de vols
- 1
- 2AF0845 - Affaires - Fort-de-France -> Paris - Boeing 777-200ER
et même, le même avion 15 jours après, mais celui-ci vient de terminer un petit tour par NYC histoire de ne pas succomber à une routine lassante d'ORY-FDF.
Donc pas de sel, pas de surprise !

Aeroport aime cesaire
Comme d'habitude, je bénéficie d'un petit taxi maison.
Après une petite prise de tête entre P1 et P2 (séparés par la voie du TCSP), nous voici au P1 et plus que le dépose minute à traverser.
Pourquoi ne suis je pas en face de la porte AF me direz-vous (la première du bâtiment) ? C'est à cause d'une petite affluence qui a comme des airs de fin d'été.
Les Parking sont donc pleins et de façon contre intuitive le P2 est plus blindé que le P1 (l'explication tiendrait à une différence tarifaire que je ne connais pas mais qui doit rester ténue… car on ne parle pas d'un PR à Roissy situé à perpette…).

Parking plein, terminal plein qu'on dit.
Il faut donc se rendre tout au fond après avoir tourné à droite et remonter les queues Corsair/Air Caraibes que je qualifierai pudiquement de "montres".
Chemin faisant, j'entends un message Air Caraibes faisant état de problème de tapis bagages.
Serai-je rattrapé pour mon dernier vol par la malédiction des PAX europe ?

Arrivé dans la zone AF, on sent que c'est plus serein.
Le peu de monde m'étonne tout de même car on est à h-2 et il est peu probable que cet avion soit vide…

Arrivant ici, je me dis que ce sera fluide.
Les agents AF, dont on devine un bras sur la gauche, ne nous ont rien demandé. Visiblement, j'avais l'air assez assuré.
Peu de queue mais attente ici aussi car bingo, le tapis AF est aussi en panne.
Un échange rapide avec une agente m'apprendra que ce type de bug est assez fréquent mais elle n'a pas précisé depuis quand car moi, je n'ai jamais vu ça. Vu qu'il y a des travaux, ceci explique peut être cela.
16h50, on attend toujours et en bonus, une famille devant nous (qu'on retrouvera en J) semble empêtrée dans de la paperasse.
Peut être un upgrade au comptoir?
bref, 10 min plus tard (ca reste au poil quand on est arrivé devant un tapis en panne…), nous sommes délestés de tous nos bagages dont le carton que vous devinez au premier plan.
Ma valise principale touchant le 25 kg, elle sera étiquetée "heavy", elle sera vexée ! ?
PS : Ce carton (initialement celui d'un écran LCD de PC) nous a servi à rapatrier nos chaussures de randonnées. Il est donc tout léger, tout beau. Il sera méconnaissable à l'arrivée (mais ayant atteint le quota des 150 photos, je vous zappe la preuve de la brutalité de son traitement).

En montant à l'étage pour la PAF, vous constatez comme moi que ma demi-heure pour réussir à me délester de tous mon équipage n'aura pas grandement amélioré la situation pour SS et TX.

Mais qui dit embouteillage à l'enregistrement, dit fluidité totale à la PAF.
PAF passée "une main devant, une main derrière" puisque nous sommes légers comme l'air (juste quelques malheureux sac à dos pour l'électronique).


De fait, le PIF sera aussi expédié car peu à checker.
Même copax junior qui pratique désormais la ligne souvent avec moi s'en émeut. Quelle fluidité ! ?
airside
Nous voici donc direct au petit duty free.
Cette fois-ci, j'ai un achat de dernière minute à effectuer.
Je laisse donc Mme et copax junior rejoindre le salon le temps que je choisisse le liquide qui convient.

Une fois mon petit sac en main, je fais un petit tour rapide pour évaluer la situation.
TX est à sa porte habituelle, mais nous, on est porte 2 (la porte 6 sera pour le 809 direction CDG). Autrement dit, à l'opposé du salon.


Il y a des travaux d'extension de l'aéroport aux 2 bouts.
Du côté de la porte 2 donc, c'est pour le terminal régional.

Et à l'opposé, pour les futurs PAX en gros porteurs.
La Martinique avance ! ?

Passé ce constat d'activité, direction l'entrée des artistes.

salon
La salon de FDF est petit. D'habitude je trouve ça très cosy mais avec une J à 28 places + les autres PAX W et Y pouvant être éligibles, et bien, il est bondé ce soir.
Ceci explique probablement le petit buffet quelque peu sinistré bien qu'il n'ait jamais été pléthorique.
L'expérience du jour ne restera pas dans les annales mais pour éviter de partir tout penaud, je relèverai le caractère inattendu de ce sandwich "Jambon de noël / ananas" en plein mois d'août. Il fût néanmoins très bon.
Nous quitterons le salon parmi les premiers peu avant 17h35, autant dire qu'on ne se sera pas éternisé.






embarquement
A 17h40, l'embarquement est lancé.
En porte 2, il y a pas mal de monde mais magie de la zone 1, il n’y aura aucune attente.
On se lancera dans une passerelle baignée de lumière.
Ce soir, une seule passerelle en 2L.


Donc, juste après les instants play, porte et fuselage shot,



Ce sera à gauche toute.
cabine
Le léger flou pourrait faire croire à une émotion, mais non, c'est juste la précipitation. ?
Finalement, vu que c'est le même avion, à quoi bon tout redétailler ?
Rien n'a changé.

Mais pour qui n'a pas lu l'aller, quelques vues de mon environnement, avec hublot cette fois ci ! (mais au prix d'une négo très serrée avec Mme qui avait mis une option…).
Le coffre du rang 3 est encombré par les tablettes de séparation mais point de gène pour mon petit sac à dos et mon sac duty free qui reste très modeste.



Vu que c'est un vol de nuit, je file mettre ma tenue d'artiste pour le sommeil, ce qui me donne l'occasion d'immortaliser les commodités dans leur état de départ.
Le petit jaune traduit l'ambiance vintage de la place bien que pleinement fonctionnelle et efficace.
On est bien à son aise pour s'y changer.



Une fois mon habit de lumière revêtu, je retourne à ma place et à 18h, ça pousse toujours dans la passerelle.

Je lève la tête, je baisse la tête : PSU check et Supply check.
La bouteille d'eau était initialement dans le petit coffre rouge, je l'ai déplacé sur sa place d'antan aux côtés du vomi bag (nommé aussi sac confort si on veut rester corporate).
Copax junior a gagné le jackpot, il en aura 2 (une dans le coffre, une dans l'accoudoir).


C'est pas tout ca, mais avion connu, cabine connue, il manque quoi comme info ? ah, le temps de vol.
Affiché 8h, mais il ne faut pas toujours croire ce qu'on lit !
Entrée dans l'IFE pour trouver le film qui accompagnera le diner sans trop mobiliser l'esprit.

18h05, la passerelle devient clairsemée. Ca dépote. La J est complète.
Le protocole démarre au sol mais avant, je fais ma princesse et obtient gracieusement un second coussin pour une nuit de folie.

Distribution du kit sanitaire que je décline…
Puis de la trousse, le dernier modèle en cours.
Grande et fonctionnelle, discrète, elle pourra être réutilisée avantageusement (#jesuistoujourstraumatiséparlatoussedoudoune).
Au jeu des 7 erreurs avec l'aller d'il y a 15 jours, on note :
- la disparition de la petite pub papier (useless)
- un tube de dentifrice différent en forme ET en poids ! On est passé à 10g au lieu de 20g… Y a pas de petites économies.
- et la couleur du stylo (perso, je préfère le bleu).


Pour me remettre de mon émotion dentifrice, un petit verre fera l'affaire, tout comme le choix d'un film régressif.
En alternative au champagne, il y avait du jus de cerise.

18h20, la passerelle est retirée.
Message du commandant, vol tranquille de 7h45 ! (je viens de perdre 15 min de sommeil !).

Push back à 18h24 et superbe vue sur le TX511, si si, celui de 17h20.

Vidéo des consignes tout ça tout ça.

taxi et montée
Et nous voilà prêt pour le taxi.
On se lance avec ce suspens de tous les diables : piste 28 ou piste 10 ?
Début roulage à 18h30.


Ben, ce sera 10…
Remontez donc la piste avec moi.






On finit notre tour de raquette et la 10 s'offre à nous !

Ici, on ne trainera pas.
A peine aligné, le poste envoie la sauce, il est 18h35, on est on time, le doigt sur la couture.
Ca fait plaisir.
Pensée émue pour les PAX TX511 (qui finalement décolleront à 19h16 selon FR24…).






Good bye my friend, Good bye my lover. ?

Pendant la montée, on survole de part en part l'île, donc autant jeter un petit coup d'oeil.
On atteint rapidement la baie du Robert avec ses îlets et au second plan, la caravelle.



La caravelle de tout son long, jusqu'au bout, y compris l'ilet lapin.




Et très vite, il ne reste plus que l'océan et le couchant.



Lumière de feu.

croisiere et cuisine
Le menu est distribué.
Ce soir, c'est Marcel Ravin aux fourneaux.

De mes photos en carton de l'aller, je revois mon cadrage pour plus de lisibilité.
Champagnes et vins sont identiques à ceux de l'aller.






Dehors ca continue de varier en couleurs.
Si je ne lis que d'un oeil distrait la carte, c'est que j'ai déjà choisi mon plat en avance (ce qui est une très belle avancée car point de frustration !). Par contre, je me rends compte que personne n'est à sa place parmi nous 3. Nouveau challenge pour les PNC…

18h53, Oshibori sous les yeux concentrés des artistes du soir.

Le temps que l'ami cahuète arrive, connexion wifi histoire d'envoyer quelques messages (il fonctionnera correctement tout le long du vol, ou du moins, pour être sûr, mieux vaut dire "quand j'étais réveillé").

Je dois dire définitivement adieu aux noix cranberries.

Lancement du service à 19h23 soit moins d'une heure après le décollage.

Qui dit vol de nuit, dit peu d'image de hublot, alors, détaillons ce catering.
Ici, tout est sur le plateau, j'imagine pour gagner du temps.
Grâce à l'espace côté hublot, on peut tout redresser.
Je ne suis pas fan de courgette, mais c'est passé. Les crevettes étaient bien citronnées.
Vu qu'à l'aller c'était pouilly, au retour, je tente le languedoc qui me fera meilleure impression (attention, les goûts et les couleurs…)


Le plat arrive ensuite : Médaillon de veau, sauce roquefort, risotto crémeux et asperges sautées.
Mais avant, refill et arrivée du Médoc pour faire le tour de la carte, ayant prix le Crozes à l'aller.

Le temps qu'il arrive ce médaillon, vue sur les coulisses.

Tadaaaa !
Je n'ai qu'une chose à dire : ils auraient dû en mettre plus car c'était vraiment très bon. ?
J'ai un temps pensé à demander s'il n'en restait pas un en bonus, mais avec Mme sur ma droite, le mouvement était trop risqué. ?
La sauce était parfaite.

Et mes copax ?
Finalement, tout le monde aura bien eu son plat mais cette fois ci, les PNC auront un peu plus galéré puisque qu'arrivant selon le plan de cabine initial (ce qui est logique). Mais on est flex, on s'en amuse et on fait tourner non pas les serviettes mais les assiettes.
En gros plan, le plat de Mme : Tortellini quatre fromages crème de champignon, pommes rôties.
Finalement, son cadrage est raccord avec son ressenti : très bon, mais elle en avait trop… (quand je vous dis que mon bis avec le médaillon ne serait pas passé ?).

Du coté de copax junior, les choses se présentent bien aussi avec le "Thon sauce aigre douce au rhum vieux, pommes grenailles poêlées au romarin".
J'avoue, j'avais hésité.
Il en sera satisfait mais je serai trop loin pour pouvoir y goûter.

Vient ensuite le fromage et celui ci fût très bon, ce qui m'a presque surpris (qui a dit "combien de verre au compteur ?").
Il vivra très bien sa vie avec son amie salade.

Ensuite, le trio qui a perdu une jambe.
Autant l'entrée sans grand relief ne m'a pas choqué, autant le dessert est décevant.
Le financier était un peu sec et ce palet chocolat blanc framboise loin d'être renversant pour moi.
Il arrive quand le petit coup de main de Michalak, de Conticini ou autre chef pâtissier de renom pour redresser tout ça ?

Pour faire passer cet incident, je me rabats sur un rhum avec le café.
Mais là, c'est le drame… C'est du Damoiseau ! (Rhum guadeloupéen).
L'occasion d'un échange plein d'humour avec la PNC sur cet incident diplomatique.
L'émotion fût telle, que j'en oublierai la photo.
20h40 : fin du service et il est temps de passer en mode lit.

Qui dit lit, dit gros dodo.
In fine, celui ci ne durera qu'un peu plus de 3h malgré mon duo de coussin.
et une fois réveillé, impossible de retrouver Morphée.
Je tenterai un petit tour au bar pour me réhydrater (avec de l'eau cette fois) mais cela n'aura rien donné.
J'aurai dû demander un lait chaud !

J'ai recroisé le responsable de l'incident diplomatique.
Vous savez quoi ? Il est très bon.
Il mérite donc son heure de gloire et sa photo.

Tiens, une porte… ?

J'ai tenté le chemin le plus long au retour mais celui ci ne m'a point épuisé.

Il faut enfiler des perles, compter des moutons…

Finalement, ma délivrance approchera.

A cet instant précis, lumière et second service en approche.

J'ai hésité et fini par m'assoir sur un principe de sauvegarde : j'ai pris les oeufs (d'habitude ca ne me réussi pas).
Pourquoi ? Parce qu'en terme technique : "j'avais la dalle !"

Une fois les idées éclaircies, je peux savourer ce petit déjeuner.
Appréciable mais le pain au chocolat aura un peu grillé (ahhh les viennoiserie en avion…).

Un petit expresso viendra conclure cette tentation du diable.
Ndlr: je survivrai totalement à cette omelette.

Dehors, la lumière aussi est revenue.

Mais pour la lumière à tous les étages, mieux vaut un doublé.

En bas, c'est laiteux.

Terre en vue, passage en heure parisienne et début descente à 7h45.
y a comme une odeur d'avance.

J'ai du couper sur les photos de descente pour donner priorité à un petit bonus touristique.

landing
J'ai coupé les photos, mais il y en a quand même un peu en finale.
8h28, on roule sur la piste.






Le taxi sera bref.



Car très vite, notre porte se dessine, au coin.



Installation rapide des 2 passerelles en 1L et 2L.
Et en quelques minutes, nous voici en passerelle : il est 8h37.
On a bien notre quart d'heure d'avance.


Petits portraits de l'oiseau chemin faisant.


Puis direction la PAF.

Tout au bout au fond.

Petit coup d'œil à droite.

et PAF, nous voilà.
Tous les paraphes fonctionnent, il n'y a personne, on passe ici aussi vite qu'à FDF.

Direction le tapis bagage où nous auront une attente d'un peu plus de 15 min (normal, on est arrivé au tapis en un claquement de doigt).

Fin des aventures d'été, lundi, c'est bureau, il est temps de rentrer à la maison pour tout remettre en ordre de bataille.
Heureusement, pour nous accueillir, c'est un bienveillant 18 lorsqu'on franchit les portes d'Orly.
Merci pour votre lecture.
Et pour ceux qui ont encore quelques minutes, quelques photos bonus.
See you soon.
Merci pour ce FR au ton enjoué. Je me suis bien amusé du début à la fin. Rentrant d’un LC sur la concurrence (quoique partenaire) je dois dire qu’il n’y a pas photo. Un superbe repas avec de bons vins qui montre bien qu’AF reste parmi les meilleurs dans ce domaine. Après je préfère les cabines des B787 et A350 dans lesquelles justement… on dort mieux! Mais bon l’A350 arrive en nombre sur la compagnie. A bientôt.
Merci pour le commentaire. C est vrai que j attends encore de le faire une opinion sur 787 et 350. Pour le moment, je n ai pas gagné au tirage et le covid a amputé nombre d’occasion de voler LC autrement vers la Martinique pour moi. Les champs des possibles s élargit désormais, la roulette est lancée.
Merci pour ce très beau FR que j'ai eu plaisir à lire et bien ri par moments
Merci ☺️
Merci pour ce partage. Prestation de bon niveau sur ce vol retour avec un catering qui fait envie , une cabine confortable et des PNC souriants. Air France gagne en régularité dans la qualité.
Merci pour le commentaire. Oui, je peux dire que le service et la qualité associée est contant depuis quelque temps. Ce qui fait plaisir. Maintenant, pour moi, début d’une petite traversée du désert pour les LC en J ?
Merci pour ce FR très agréable à lire !
Le salon est clairement moins agréable qu'il y a quelques années. Serait-ce dû à la forte fréquentation ou à des économies mais la proposition solide et liquide est nettement en dessous de ce qui se faisait avant.
Cette horrible trousse doudou... j'en garde un très mauvais souvenir !
Sinon ce vol fut manifestement un bon vol en J malgré ce très grave incident diplomatique avec cette bouteille de rhum vieux...
Merci pour le commentaire.
Effectivement, je susi d accord avec vous, il y a comme une petite baisse de plaisir… je pense que c est clairement lié à l affluence car quand on était moins de 10, c était autre chose ?
A parti le buffet qui semble plus triste rien d autre n a changé a part le nombre, alors voici le coupable ?
A noter que le personnel est toujours aussi sympathique.
je me demande quelles sont les plans pour le salon autour des travaux en cours.
Quant au rhum, passée l’émotion, il fut très bon. Comme quoi une expérience avec un pas de côté a du bon ? (comme mon passage chez TK). A renouveler mais j’avoue que c était cocasse ? on va devoir envoyer le responsable des spiritueux faire un stage diplomatique.
Ps : je vois qu on partage la même passion pour la doudoune ?
Merci Jeff pour le partage et pour l'exploit de mettre 150 photos sur un avion identique qu'à l'aller et un vol de nuit (et avec aussi tous les verres que tu as descendu pendant la nuit ^^)
Mine de rien, j'aurais bien voulu voir la tronche du carton en arrivant !
FDF fluide, à part un petit temps d'attente au check in mais ce n'est pas bien grave et ensuite tout roule, pas mamouth sous caillou finalement !
Les prestations font plaisir à voir, ça à l'air bon, c'est bien présenté (bon les pâtes un peu moins mais c'est des pâtes). Effectivement incident diplomatique grave en servant du Rhum de Karukéra sur un vol au départ de Madinina (j'ai toujours aimé les deux anciens noms, même si il en existe encore d'autres versions ^^ et c'est le moment de placer un peu ma culture ^^)
Quel beau bonus de cette île que j'aime beaucoup et où je ne suis pas retourné depuis trop longtemps. Les salines sont toujours aussi belles même si pour moi, Anse Céron reste ma plage préférée.
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
? moi aussi je me suis surpris ? tout est lié au hublot… car ça conduit à du plus ? et puis j étais motivé ?
Car finalement tout a été comme sur des roulettes passé le problème de tapis.
Enfin, côté rhum, on ne rigole pas ? tu as du pouvoir t en rendre compte sur place. Mais comme ce n était pas hier, je compte sur toi pour revenir « a tè Madinina » en premier ?
Néanmoins, entre le rhum vanille que j ai bu a l aller au salon (Maurice je crois) et le damoiseau, j me ne peux dire qu une seule chose de ces péchés d infidélité : c est la faute d’AF ?
Merci pour le FR, vous avec plus de chances que vos voisins en A350 avec un beau retard au départ. Comme quoi c'est parfois dans les "vieux" avions qu'on arrive le plus vite ahah. Je vois que le F-GSPP a eu le droit aux nouvelles couleurs, j'ai eu l'occasion de le FRisé sur une ligne bien plus longue car j'ai volé à son bord en classe éco depuis Santiago du Chili en 2017, à l'époque on avait le droit aux cabines Best mais à l'ancienne livrée. La prestation de votre repas à bord donne clairement envie, le tout semble en plus généreux. Vous avez joué à cache-cache avec l'équipage pour les plats ahah.
À bientôt !