Avis du vol entre Frankfurt et Budapest en classe Affaires avec Lufthansa

INTRO

L'année dernière, avec le retraité le plus célèbre de Flight-Report, nous étions partis en duo aux USA et avions soumis l'idée d'y retourner à notre petit groupe d'amis. Clairement le but n'était pas de passer deux jours aux US, mais au moins une semaine.
Du coup New York et Seattle ont été proposés et une extension à Las Vegas pour ceux qui voulaient.
Certains feront NY, d'autres Seattle, d'aucuns NY et Seattle et un bouffeur de canaris fera Seattle et Las Vegas. Quant à moi, bien, je ferai tout :)

J'ai l'habitude de faire mes valises au tout dernier moment, genre à 20H00 pour un départ à 06H00, vieille habitude de vieux routard. Et pourtant ce coup ci je les fais le matin et tout content, à midi, tout est bouclé, j'ai donc une journée pépère avant de partir.



Le routing donne donc ça :

Donc je disais quand ça veut pas, ça veut pas :) Vous allez voir pourquoi

transit speedy gonzales a fra

Midi trente je suis dans le bus qui s'en va direction le terminal A et mon appli LH me dit qu'elle est ravie de me revoir à bord car l'embarquement vient de commencer. Ca va être chaud. Surtout que le bus lambine !
Il me permet un instant fesse d'A380 SQ et un instant face 333 TK (j'aime bien cette phrase ^^)

Pour Chris, le derrière d'un 789 AC :

Le bus nous lâche à 12H40 au Terminal A officiellement j'ai raté mon vol car il est toujours marqué à l'heure pour 12H30 mais je n'ai toujours rien reçu de LH. donc je m'engouffre dans l'ascenseur, plus rapide que les escalators.

Débute une course pour rejoindre la porte A24, heureusement pas si loin, mieux que la A41 qu'on avait au début. Je fais au mieux, me fends de "Sorry, Entschuldigung, Désolé" sur les travelators pour gagner quelques précieuses minutes quand, sur le dernier tapis, un vieux con me dit textuellement "No you will wait" et ne me laisse pas passer. Là je comprends pas, je ne vais rien lui voler, le gars a juste décidé d'être con. Et je ne vais pas me gêner pour lui lancer "you're just a stupid idiot" à la fin du tapis. Ce qui va déclencher une autre bordée d'injures que je n'entendrai pas car j'ai une course à finir :)

le vol

J'arrive à l'embarquement presque une MichelG. Même pas possible de prendre une photo, c'est last call :)

Je ne manque pas l'instant porte :

Et file à mon 6A. La chef de cabine vient me voir et me demande si je suis bien M. Esteban. Euh oui pourquoi ? Et là elle veut savoir comment j'ai fait parce que même avec leur retard (l'avion finalement est prévu pour 12H55) elle n'a jamais vu un transit pouvoir se faire comme ça. Je souris et je lui dis que je connais bien FRA ^^
Elle revient avec ça :

Et me félicite pour ma rapidité. Elle me dit que par contre pour la valise c'est cuit, ce à quoi je lui confirme que je m'en doutais :)
Le pitch et la rangée qui restera vide :

Safety Card :

Ma course :

Même mon téléphone me félicite ! J'ai atteint mon objectif "bouger" pour la semaine !
Puis rien ne se passe :

Le pilote nous prévient qu'ils n'ont pas de loadmaster. Donc il faut attendre. Une chance pour ma valise ?  Et oui je la retrouve "derrière" mon avion à 13H09

J'en profite pour un tour aux toilettes et une pensée pour Katia :

Petit Instant Galley :

Bon si j'en crois mon Air Tag et surtout … le retard que nous prenons de plus en plus, elle est là. Finalement, Moritz tu vois, je suis content de l'avoir :)

Finalement on repousse un peu avant 14H00 :

Instant fesse du 747 :

Les deux 787-9 de LH sont là, l'un part à New York, l'autre à Munich :

Allez encore pour Christophe :)

Un jumeau :

Nous nous alignons pour un décollage dans la foulée :

Allez, BUD, j'arrive !

Rapidement le service se met en place, c'est le retour des fameuses crevettes, pain chaud. Largement suffisant sur un vol court comme celui ci :

Et un Bailey's pour finir :

Avec un doublé de chocolats !

BUD est dans le brouillard :

Et sous la pluie :

Débarquement rapide, pas de temps à perdre, enfin, "plus" de temps à perdre :

Et l'instant suspense, est ce qu'elle est là ou est elle restée derrière l'avion :)
Et bien non elle est bien là.

Par contre 20 minutes de plus pour la livraison et ensuite les bouchons du vendredi soir. Posés à 15H15 et à l'hôtel à 16H45, c'est longuet.

J'ai préféré sauter l'option taxi, la queue était trop longue (il faut prendre un ticket à BUD et attendre son numéro de taxi) et commander un Bolt que j'ai eu bien plus rapidement que la file "taxi régulière".

bonus ritz carlon budapest

Promis la prochaine fois, j'y repasse au retour, je vous présente autre chose que la chambre, là, je n'ai fait que ça plus un massage. Rien visité des parties communes, dîner en chambre et réveil à 03H15.
J'ai eu la chance d'être surclassé dans une belle suite executive :

C'est juste immense :

Et la salle de bain :