Bonjour à tous. Veuillez accepter tous mes voeux pour 2014.
Dernier opus de la série hivernale (pour l’Europe) avec le retour à Madagascar : le devoir m’appelle !
Afin de respecter la logique narrative, le bonus malgache se trouve à la fin du reportage. Logique de voir Mada une fois arrivé à Mada !
Pour ceux qui auraient manqué les épisodes précédents…
[TNR-CDG : AF Business class : c’est ici]
[CDG-TLS : AF Economy : c’est ici]
[TLS-CDG : AF Economy : c’est ici]
A peine débarqué, la consultation rapide d’un panneau d’information m’indique que mon vol partira non du 2F mais des portes L. L’an dernier, c’était des portes M ce qui m’avait permis de découvrir le salon afférent.
Je me dirige vers la PAF, où la file d’attente grossie par l’affluence –mais peut-on reprocher à des voyageurs de voyager ?- s’écoule fort mal de par le faible nombre de PAFmen (toujours la recherche du service haute qualité en France.) Personne du côté PARAFE Allons- y ! Eureka ! Ça marche et me voilà airside avec pas mal de temps à perdre. Notons que l’on m’épargne dans ce sens de la correspondance un nouveau passage par le PIF.

Je déambule à travers le duty free à la recherche de babioles typiquement parisiennes promises à quelques connaissances Gasy.
Ici, ce n’est pas trop le genre.

Ici c’est moche (enfin kitch en langage politiquement correct) et encombrant.
Je trouve dans la même boutique quelques porte-clés à Tour Eiffel que je vous épargnerai.

Vérification de la porte : L46 ; nous sommes prévus à l’heure… ce qui peut permettre d’envisager une arrivée à l’hôtel vers 1h le lendemain matin. (Je compte deux heures pour débarquer, passer la PAF, recevoir les bagages et saluer ces messieurs de la douane qui demandent les étrennes…)

N’ayant ni faim ni soif, je déambule dans le couloir L et atteins la zone où sont traités les A380 AF.
A380 en cours de ravitaillement.

Le museau du même.

L’une de ses quatre turbines Engine Alliance si je ne m’abuse.

Un voisin à un stade différent de son nettoyage – ravitaillement.

Le dernier livré de la flotte AF dans sa livrée 80° anniversaire.

« Miroir, joli miroir… »Pour les mauvaises langues qui écrivent que les aéronefs d’AF ne sont pas propres. ;)

Son train.

Son nez.

Le même en plan large.
Mon spotting spécial A380 n’est nullement annonciateur d’un spotting baleines à Sainte-Marie.

Après cette promenade dans le terminal L et ce spotting peu favorisé par l’éclairage naturel il est temps de rendre visite au salon.

L’accueil est courtois à défaut d’être chaleureux. Pas de trace d’une offre Clarins.
Je prends le chemin de la douche. Pas besoin de laisser son BP à la Cerbérine, les cabines sont en libre service. Il suffit de toquer à la bonne porte.
Passage devant l’espace numérique.

La cabine est spacieuse et propre.
Kit l’Occitane et kit serviettes.

La douche est en bon état, son débit est très correct et il y a toute l’eau chaude dont vous pouvez rêver. Le concepteur de cet espace a donc été plus avisé que son collègue en charge du salon du 2F. Les lecteurs qui trouvent ce propos obscur peuvent se référer à mon FR CDG-TLS (lien en intro.)

Le plastique du lavabo a souffert.

Séchoir à cheveux et lavabo.

Ainsi rafraîchi et rasé –je n’en avais pas eu le temps avant de partir de mon Tarn d’origine – je me sens mieux à même d’affronter la longue journée qui m’attend.
Allons voir du côté de l’offre.
Chemin faisant on traverse une 2 X 2 voies.

Le salon est composé d’une alternance de modules : espaces repos, restauration, travail et on recommence.
Voici l’espace restauration et rafraîchissement.

L’offre de nourriture est rachitique. Pour être complet, il faut rajouter un réfrigérateur avec des yaourts.

L’offre de boissons est beaucoup plus conséquente mais c’est trop tôt pour moi. ? Surtout après les agapes de fin d’année.
Champagne Deutz.

Vins rouges.

Blancs et rouges.

Le petit-déjeuner de la Croix du Sud étant loin et l’embarquement pas encore appelé, voici ma sélection.

Photo corporate et reflets.
Je précise que je n’ai pas répondu à la proposition qui m’est faite au bas de l’écran.

Vue générale de la zone de restauration, peu fréquentée ce samedi à 10h.

Offre de presse.

Il est temps de quitter ce salon qui ne me laissera pas un souvenir impérissable.
Coup d’œil aux écrans : mon vol pour TNR est toujours annoncé et à l’heure et en porte L46.

Je me dirige donc vers le lieu idoine.

Pour dire les choses, je ne trouve pas cette zone L agréable et esthétiquement réussie.
Espace numérique en libre service et 747 en arrière-plan.

Gros plan sur le 747.

L’embarquement des Skypriorities est appelé.

En fait c’est la ruée générale, aucune file n’étant matérialisée. Pas grave en soi mais je trouve assez stupide d’annoncer une procédure et de ne pas se donner les moyens par un marquage adéquat des files de la faire respecter. Autant laisser faire l’embarquement général et appeler ensuite, au salon par exemple, les SP.

Notre B777-200 ER : F-GSPO a pris son envol le 15 janvier 2001.

Son train avant.

Prise sous cet angle, on a l’impression que la passerelle est interdite au public dans les deux directions.

Vu de plus près. Je vous rassure, il n’y a pas de P sur ce vol.

Je prends ma place tout en réalisant quelques photos d’ambiance de cette cabine J bien remplie et peuplée de pas mal d’enfants, comme à l’aller. On en viendrait presque à plaindre ces pauvres hères qui ont un risque statistique élevé de devoir rejoindre la bétaillère quand ils seront grands…

La cabine est équipée des célèbres NEV 4.

Mon siège, le 2A, pour les 11 prochaines heures.

La double passerelle vue du hublot.

Espace généreux et IFE riquiqui. Du grand classique AF.

Commande des sièges : simplissime et efficace.

Nous somme bien à bord d’un 777-200 ER : c’est écrit dessus… enfin, sur la carte de sécurité.

Verre d’accueil Billecart-Salmon servi par un équipage affaire exclusivement féminin type « mamies américaines » à l’exception d’une jeune PNCette.
Trinquons au 1° LC de l’année !

La trousse de confort des 80 ans.

Nous repoussons sous une météo bien triste. Le 747 n’est plus masqué par la passerelle.

A340 et engin de repoussage pour ceux qui lisent entre les gouttes.

Le voisin. Notons qu’en 2011, le CDG-TNR d’hiver était opéré en A340. Cela a changé lorsqu’AF a cédé deux de ces appareils à MD. Lien de cause à effet ?

Monocouloir au contact.

L’A340 de Mauritius est toujours là et guère plus net.

Notre prédécesseur…

… roule vers son envol.

Le même que nous nous apprêtons docilement à suivre.

Un coucou aux voitures et un dernier regard pour quelques mois sur une route décemment goudronnée.

Nous rendons visite au Terminal 1 et à l’univers One World.

Dérives CX et AC.

Un peu plus loin, CZ et Air Algérie (identifié par Numéro_2)

AA dans une livrée à mon goût très réussie.

« Tout le monde s’éclate, à la queue leu leu » !

Bye bye !

C’est notre tour de nous élancer vers TNR.
Au passage, dérives KQ et Saudi Arabia.

Air FlyingJapans.

Nous nous élevons au-dessus du grenier à blé français.

Le mitage urbain est très présent.

La couche nuageuse limite rapidement toute prise de vue.

Un petit tour pour se dégourdir –déjà – les jambes.
Galley avant.

Visite des commodités. Des serviettes surnuméraires sont posées à la droite du lavabo.

Les traditionnels produits Clarins.

Maman unijambiste prend soin de bébé jambes en l’air. Shocking !

Avant le tomber du rideau, l’ambiance, studieuse, en J.

La cabine en 2-3-2 offre 35 sièges. J’aime bien l’harmonie des tons mais beaucoup moins l’IFE timbre-poste.

Je reviens à ma place et découvre le menu dans sa livrée 80° anniversaire déposé sur mon siège.

Du côté du fruit de la vigne (et du travail des hommes) rien n’a changé en 2 semaines.
Billecart-Salmon et val de Loire.

Minervois et Saint-Estèphe.

Apéritifs et porto.

Bière solitaire, il n’y a donc pas de Numéro_2 ;)), « boissons hygiéniques » comme on les nomme à Mada (par antiphrase ?) et eaux.

Cafés, dont espresso, thés et digestifs.

Un premier apéritif est servi agrémenté de mini-gaufres. On note la disparition de l’amuse-bouche. Est-ce l’innovation du nouvel an ?

Les gaufres, mini-bretonnes.

Je sirote mon Billecart-Salmon tout en découvrant le menu. Du grand classique. Sauf que le trio de dessert a disparu.
L’instant fraîcheur annoncé « servi en cours de vol » ne le sera pas.

Le choix des plats chauds.
A peine le menu distribué, la chef de cabine affaire informe les PAX Elite + que le plat de viande a été chargé en très faible quantité et leur indique qu’ils sont prioritaires pour le choix. Un beau geste.

Les nuages. Pas le moindre paysage à se mettre sous l’objectif.

Deuxième apéritif pour bien m’ouvrir l’appétit.

Voici l’entrée en scène de la star AF : le trolley !

Le premier plateau. Entrée, salade et fromage. Pain aux olives et pain de campagne. Aucun des deux n’est chaud ; les deux sont frais : c’est donc parfait.

Ok ! J’enfonce les portes ouvertes, j’énonce un lieu commun, mais que voulez-vous : il est ridicule de servir les 2 bouts de fromage (tiens, Sofitrans en met 3 !) avec l’entrée ; d’autant plus que ce vol de jour est suffisamment long pour permettre aux PNC d’effectuer les passages cabines nécessaires.
Voici les 2 malheureux morceaux de fromage, quasi-expulsés de leur assiette. Accessoirement, je n’aime pas le chèvre et il n’y a bien sûr aucun autre choix possible.

Reprenons les choses dans l’ordre. « Pressé de gambas à la tomate (…) terrine aux deux foies gras (…) : le littéraire de service est en verve.
La quantité n’est pas gigantesque mais c’est excellent.

En attendant la suite, jetons un œil par le hublot. Toujours les nuages. Cette année, pas de beaux sommets alpins enneigés.

Pour le plat principal, j’adore l’agneau et je sais que je n’en verrai vraisemblablement pas pendant 7 mois. Néanmoins, je décide d’accorder à confiance à Thibault Ruggeri : Merlu, carottes et Verjus.
Le tout arrosé de Minervois, pour changer du Saint-Estèphe de l’aller et faire durer les vacances.

La présentation n’est pas une réussite : c’est dommage car le jeu des couleurs est intéressant. Ainsi, je lance une idée au DRH d’AF : dans le cadre des milliards affectés en France à la formation professionnelle, il conviendra d’organiser un stage pour valider auprès des PNC(ette)s de la Compagnie la compétence : « utilisation du four du galley. » Je suppose qu’il n’existe pas des milliers de références de fours sur le marché ; si de nombreuses compagnies aériennes parviennent couramment à servir à leurs passagers des plats joliment présentés, cela signifie que le hic ne provient pas du matériel mais de la capacité du personnel à l’utiliser. Je me permets même l’hypothèse audacieuse suivante : Thibault Ruggeri n’aurait pas remporté le Bocuse d’Or avec ce genre de présentation !

Présentation ratée mais plat excellent : les différentes variétés de carottes utilisées offrent des consistances différentes : fondantes ou craquantes. Les saveurs sont agréables, le poisson très bon. Je n’hésite pas à recommander la proposition de Thibault Ruggeri.
Je suis d’autant plus satisfait de mon sort que mon voisin a fait le choix de l’agneau et se voit servir une minuscule portion carbonisée.

Toujours des nuages, mais la densité semble moindre.

Le merlu est terminé lorsque nous nous rapprochons de Messine où les adeptes de paillardes savent que l’on pêche la sardine.

Malgré les nuages, la vue du détroit qui sépare l’Italie péninsulaire de la Sicile est magnifique.

Une seconde vue, pour le plaisir.

En attendant le dessert, quelques images de la péninsule captées du côté gauche de l’avion. Je suppose que mes homologues du côté droit peuvent admirer l’Etna et peut-être Taormine. Enfin, si le cache hublot n’était pas baissé.

Vallée calabraise.

Et nous voilà au large.

Notre aéronef a 13 ans et toutes ses rayures.

Voici le dessert : gâteau au chocolat et glace aux marrons. Je demande un espresso, proposé au menu ; la PNCette revient bredouille, la machine étant en panne. Je joue donc l’incrédulité ingénue, arguant qu’au départ de CDG ce genre de chose ne peut, ne doit pas être, et on me répond, certes courtoisement, que l’on ne cloue pas au sol un avion pour si peu… Je me contente donc de jus de chaussette.

Gros plan sur le fondant, délicieux.

L’Armagnac est servi en même temps que le dessert. On eut pu imaginer le protocole prévoir l’offre digestive lors d’un deuxième service de café. N’est-on pas en J ?

Mais il est vrai que le temps presse : il ne reste “que” 7h39 de vol ;-)

Vol au-dessus de la Méditerranée.

Les côtes de la « Lybie heureuse » comme disait la Pythie à Bathos approchent. Va-t-on entendre les sirènes du port d’Alexandrie, prêter serment à Koufra ou prendre un taxi pour Tobrouk ?

Les vents sont très favorables.

Les PNC passent pour demander de baisser les hublots de ce vol de jour. Je ne m’exécute que partiellement : je ferme pour regarder un programme sur l’IFE mais ouvre pour me laisser hypnotiser par la vue du la Terre, 10000 et quelques mètres en-dessous, tout en écoutant de la musique. Ambiance propice à la rêverie.
Nous survolons le désert lybien.

Paysage de steppe ?

Ou reflet des nuages ?

Je décide d’aller faire un tour à l’arrière à la recherche de connaissances.
Vue de la première cabine éco.

Je rencontre une famille d’amis avec un bébé. Certes, le rang permettant de fixer un berceau leur a bien été attribué, mais aucun berceau n’a été chargé sur ce vol. Service haut de gamme…
La discussion se poursuivant, je m’assois sur un siège libre et redécouvre l’exiguïté et la raideur d’un siège Y…
Deuxième cabine éco.

Je remonte à ma place non sans m’arrêter en Y+.
Les deux sièges latéraux gauche.

La comparaison des IFE et de l’espace disponible avec ce qui est offert en Y est sans appel. Ce produit Y+ serait un excellent compromis avec un siège un peu plus confortable et un catering plus soigné. J’interroge la jeune PNCette sur la réalité, sur ce vol, des améliorations promises en Y+. Elle m’indique que cela ne concernent pas la ligne CDG-TNR : pas de deuxième service chaud en Y+ ce soir.
Les 4 sièges centraux. Même configuration que chez UU en 777.

Nous continuons la discussion au galley. Sur certains aspects, elle me semble peu au fait des évolutions de son entreprise : elle m’indique que la classe Alizé sur les lignes COI existe encore avec un protocole propre (il me semble avoir lu le contraire il y a deux ans.) Nous évoquons ensuite AF, ses perspectives, les points à améliorer ; je mentionne la concurrence ; et mets un terme à la discussion lorsque cette jeune personne, blonde, m’explique qu'Emirates et ses consœurs du Golfe réussissent car elles ne payent pas le carburant ; non sans lui avoir fait remarquer que lorsque ces avions s’élancent de CDG, de JFK, de SYD ou de BKK, ils doivent avoir fait le plein et réglé la facture correspondante…
Tout n’est donc pas encore gagné au pays de Transfrom 2015.
Je retourne donc à mon siège, correspondant à la source de lumière principale sur la gauche de la photo.

GE 90 sur fond de désert.


Je regarde, ou plutôt essaye de regarder un film, mais la taille et la qualité de l’écran ne participent guère à rendre l’activité agréable.
Encore 4h31 de vol. Nous sommes attendus à TNR avec 18 minutes de retard. On a connu pire.

L’horizon devient orange.

Le réacteur aussi.

Encore le GE 90 pour les amoureux de la bête.

Fondu orange.

Lorsqu’il devient inutile de jouer avec le cache-hublot, nous naviguons entre Soudan et Ethiopie.

Un peu de lecture, de divertissements et l’heure de la collation arrive.
Le menu.

Le plateau. Le fromage blanc et la tasse tendent à rappeler que cette collation s’appelle « petit-déjeuner » en Y et en Y+ ! A 20h de Paris et 22h de Tana, cherchez l’erreur !

Gros plan sur le risotto, agréable à déguster.

Et sur la salade de fruit, aussi belle que bonne. ;)

Le service s’achève à l’aplomb de Moroni.

Les derniers kilomètres sont toujours les plus longs. D’autant que se bousculent les questions et les paris sur le temps nécessaire pour venir à bout de la PAF, récupérer le monticule de valises et les présenter aux douanes.

Nous voilà à Madagascar.

La descente se passe sans encombre.
Dernière vue de mon espace : toujours utile pour conclure un FR.

Au toucher de roues nous apprenons que TNR se situe à 1257 mètres au-dessus du niveau de la mer. Le décadrage est dû au freinage ;-)

Voici la seule image regardable de TNR prise pendant le roulage après demi-tour dans la raquette.

La passerelle est longue à arriver. Dès lors, une fois au pied de l’avion, c’est le sprint. J’arrive en tête à l’obstacle PAF que je franchis haut la main avec la complicité d’un PAFman qui se met au boulot en me voyant me diriger vers lui. Fiche PAF, fiche médicale, tout est promptement expédié.
Ne reste plus qu’à attendre les bagages. Cela dure une petite vingtaine de minutes : il faut d’une part extraire les conteneurs de notre 777 mais auparavant terminer la livraison des valises du MD 10 en provenance de CAN et BKK.
Les priorités seront presque respectées.
Et pour terminer sur une illustre citation…

Les courageux qui sont parvenus au bout de ce long reportage ont gagné le droit de découvrir un nouveau bonus malgache.
Ceux qui sont épuisés peuvent directement aller à la conclusion et, s’ils en ont encore la force, laisser un petit commentaire. Merci !
Place au bonus malgache. C’est la deuxième partie du voyage exploratoire présenté en introduction du FR aller.
Commençons par la riante cité de Fianarantsoa, créée par la puissance coloniale à la fin du XIX° siècle. Cette ville est avant tout une halte sur la RN7, grosso modo à mi-distance entre Tana et Tuélar mais aussi un carrefour entre la côté de l’Océan indien que l’on peut rejoindre par le train (un bonus à venir peut-être) quand il fonctionne et les hauts plateaux. Fianar (pour les intimes) n’a pas bénéficié d’un plan d’urbanisme général et se présente comme une juxtaposition de quartiers.
Vue panoramique avec, en arrière plan, l’aéroport qui accueillait encore des vols réguliers MD en 2001.

Vue générale du quartier « historique » : au sommet, la Rova (palais de la reine) aujourd’hui disparue, au pied, la cathédrale. Entre les deux, des ruelles et des maisons typiques.

La cathédrale catholique.

Rue escarpée.

Une ONG travaille à la restauration de ce quartier, à la préservation de l’architecture traditionnelle.
Un exemple de maison.

Notre jeune guide auto- proclamé : 12 ans, un très bon français, une bonne culture des départements métropolitains et un esprit vif. Le sens du commerce aussi.

Fontaine publique : la préposée encaisse les quelques ariary demandés.
L’accès à l’eau potable existe, mais l’eau courante n’est pas disponible partout dans les centres urbains. Imaginez dans des lieux plus reculés.

Comme souvent, ce sont les enfants qui s’acquittent de la corvée d’eau.

Le panneau indicateur du carrefour principal illustre bien des choses.

Je trouve celui-ci assez parlant, symboliquement du moins.

Place principale de la ville coloniale : jadis dénommée d’après un glorieux maréchal de France, aujourd’hui place de l’Indépendance. Au fond la mairie, modèle années 50, 100% d’origine.

Autre exemple de maison.

Madame prend gentiment la pose alors qu’elle prépare le repas du soir.

Rencontre au hasard de la rue.

Autre maison bien tenue.

Dans la ville basse, à proximité de la gare, le vahaza qui cherche à se rafraîchir d’une THB ou d’une Libertalia est fréquemment sollicité. Ici ce n’est pas seulement « vahaza, donne moi l’argent ! » mais on vous propose d’acquérir une carte postale en papier antaimoro décorée de pétales séchées.

La visite de Fianar serait tronquée sans passer par son emblématique hôtel qui crédite sur tous les programmes aériens et hôteliers.
Dédicace à Pititom, le maître incontesté et inégalé de la spécialité.

Dédicace à Marathon qui mesurera, avec son mètre à couturière ou par tout autre moyen à sa convenance, l’adéquation entre l’ouvrage d’art que nous espérons emprunter et le trafic qu’il doit supporter à la sortie sud de Fianarantsoa. Et peut-être aussi sa longévité théorique.

L’attente laisse bien sûr le temps de faire ses courses : pourquoi ne pas délester, contre argent, cette enfant d’une partie de sa charge ?

Paysage emblématique du sud de Fianarantsoa, avant d’atteindre des lieux plus désertiques en direction de l’Isalo.

Le laboureur conduit le soc de sa charrue : techniques ancestrales d’une agriculture de subsistance.

Repiquage dans la lumière argentée du matin.

Passage de la herse.

Rizières en terrasses et en fond de vallée. Parfois je m’interroge sur ce que découvrirent les premiers vahazas : je miserais sur un environnement forestier et des travaux agricoles similaires.

Nous parvenons au site d’éco-tourisme d’Anja en bordure de la RN7. Des communautés villageoises ont décidé de protéger un espace naturel et de le faire découvrir aux touristes. Cela crée des emplois de guides, de pisteurs et de receveurs pour les habitants des villages participants "/>
La promenade dans ce qu’il reste de forêt primaire permet de saluer les sympathiques lémuriens. Une aubaine pour qui veut recevoir des touristes.

Regard soupçonneux du maître des lieux devant ces envahissants intrus.

Alors que celui-ci se restaure paisiblement.

Imperturbable caméléon.

Mère et enfant lémur catta regardent encore dans la même direction.

Au sortir de la forêt, sur un rocher perché, panorama sur la vallée.

Jeune travailleur sous la chaleur de midi.

Tombe traditionnelle sakalava dans une grotte obstruée par des pierres plates : les sakalavas ne pratiquent pas le retournement des morts.

Un peu plus loin une tête de zébu veille.

Vie et mort sont inextricables à Madagascar.

Et je délègue à ces deux enfants la charge de vous dire au-revoir, non sans vous remercier d’être allé au bout de ce si long reportage.

A bientôt !
"/>
Superbe FR, comme d'habitude si j'ose dire. Je suis d'accord pour la zone L, je trouve qu'elle 'nest pas au niveau des autres terminaux, c'est banal et pas agréable.
C'est fou le nombre de petits loupé dans le service qui font qu'il en devient décevant alors qu'il n'est pas nul.
Magnifique bonus, ça donne vraiment envie d'aller découvrir ce pays. Merci.
Merci pour votre commentaire.
Le diable se cache en effet dans les détails.
N'hésitez pas à venir découvrir Madagascar, cela en vaut la peine et il y en a pour toutes les bourses !
Nous évoquons ensuite AF, ses perspectives, les points à améliorer ; je mentionne la concurrence ; et mets un terme à la discussion lorsque cette jeune personne, blonde, m’explique qu'Emirates et ses consœurs du Golfe réussissent car elles ne payent pas le carburant
Cette jeune blonde me fait penser aux Nord-coréens qui avalent sans mâcher (ou sans réfléchir) tout ce qu'on leur donne à manger. Affligeant
Encore une fois un hétérogénéité dans le produit Affaires. De plus, arriver d'un LC à onze heures du soir, c'est à l'évidence très pratique, surtout à Madagascar où les routes sont les plus sûres au monde.
Je suppose que comme AF a la monopole sur cette ligne (je sais qu'il y a Air Madagascar mais vu la réputation qu'elle traîne, on dira que), aucun effort n'est fait pour proposer un voyage sans défaut et que le prix demandé doit être exorbitant.
Pour les passagers qui n'aiment ni le poisson (proposé deux fois), ni l'agneau, y'a plus qu'à se rabattre sur le fromage ;-(
Merci pour ce beau FR
Pour la jeune PNCette : n'appelle-t-on pas cela des éléments de langage? Je suis sûr que ça peut marcher sur des PAX moins avisés. Les bases de la com ne sont-elles pas plus c'est gros, plus ça passe?
Les horaires AF sont pour moi mal commodes. Le départ aurait lieu vers 22H et le retour serait un vol de nuit arrivant entre 6 et 8 h ce serait parfait.
Vous avez raison : marché captif = service à la baisse. La logique COI.
Merci du commentaire et à bientôt.
Merci pour ce FR et le bonus.
sans le relever, je n'aurai surement pas remarqué le fromage en même temps que l'entrée, c'est original en tout cas.
Les couleurs du plat principal sont jolies, à ceci près qu'on a l'impression que des morceaux de charbon ont été placés dans l'assiette !
Etait-ce la même blonde qui vous a séché à propos de la machine expresso que celle évoquant la gratuité du carburant ?
A bientôt et merci encore.
Ben non ! L'info carburant venait de la jeune personne alors que l'info café venait d'une dame expérimentée.
La valeur n'attend pas...
Lol pour le charbon !
Merci du commentaire.
Superbe FR, très beau bonus. Merci beaucoup pour ce partage !!
Merci de commentaire enthousiaste !
Aïe... Comment fais-tu pour résister à l'appelle des bulles dès potron-minet ?
La douche est fonctionnelle, c'est le principal. Si leur attribution est en libre-service, comment s'organise le personnel pour leur nettoyage ?
Petit détail : La photo de la sélection a été échangée pour la photo corporate.
Tu n'as pas assez écouté Jacques Dutronc pour laisser la proposition de la publicité ciblée sans suite. ;)
Je ne sais pas pourquoi mais les enfants sont bien souvent plus silencieux en J qu'en Y...
La dérive inconnue à côté de CZ est Air Algérie.
Le siège n'est-il pas trop étroit en 2-3-2 ?
Merci pour la dédicace. En effet, l'Heineken n'est pas ma bière favorite et l'absence de Warsteiner sur la carte me rappelle que ce n'est pas un vol LH. ;)
Dommage pour l'apparence de l'explosion de merlu aux carottes, mais par chance gustativement c'est une réussite. Mon choix se serait porté sur le vivaneau, qui du moins sur le papier a l'air appétissant.
Je trouve la réponse de la PNC plutôt légère quant à la machine à expresso en rade : En effet, les équipements du galley sont modulaires et un remplacement d'une telle machine doit prendre une quinzaine de minutes au plus (à condition bien sûr de disposer d'un exemplaire fonctionnel). Une réclamation au service client AF en vue ? lol
La collation est un blague : je n'y aurais même pas touché.
Merci pour le FR et le bonus !
Je corrige cette impardonnable erreur due à un esprit corporate exacerbé ;) Tu me crois pas?
Pour les bulles matinales, je suggère que tu organises un training ;)
La J AF n'est évidemment ni full flat (de peu d'importance un vol de jour) ni full access mais elle me convient. Du moins tant que je ne suis pas coincé dans un siège du milieu.
Comme souligné par un précédent commentateur, AF s'y entend pour ne pas soigner les détails et aboutir à ce que le PAX ne retienne pas un vol somme toute réussi mais ces multiples petits hics
Merci de ton commentaire et à bientôt je pense.
Commencer sa journée de travail (si si) en lisant un FR comme celui-ci donne la pêche!
Que dire, sinon bravo, comme d'habitude, pour la qualité du récit et des photos. Tu as l'art de saisir les expressions des visages et ainsi de faire passer beaucoup d'émotions.
LOL pour la pub hôtesse de l'air, comme le souligne numéro_2. Je te verrai bien en talons et bas...comme Branson a su le faire. Toute ma vie...
Merci de ton touchant commentaire.
Je ne parle pas de la dernière remarque.
Ma crainte de l'épilation me condamne ... :((
Une deuxième carrière à la Branson, je suis pas contre ;)
Merci pour ce FR avec un magnifique bonus touristique! On dirais du Nev 4?
Le catering a l'air plutot appetissant, j'aime bien le foie gras donc je vais dire oui, bravo pour le catering! Et le pain avait l'air frais meme si pas chaud.
Sinon c'est toujours agreable de pouvoir discuter asvec des PNCs avenants et qui parlent de leur metier avec passion.
C'est bien du Nev4.
Les PNC ont fait aimablement leur travail mais sans le supplément d'âme qui confère d'excellents souvenirs.
Avenantes certes, mais pas toujours très ouvertes dans la discussion.
Merci du commentaire.
Merci pour ce Fr qui est indique d'une J :)
Entre l'IFE hors d'âge, la machine à expresso (modulaire comme 90 % d'un avion moderne:) ), le salon moyen-bof, le demi-catering, la prestation loupée, ...
C'est clairement une ligne où l'on constate l'absence de concurrence :)
Merci pour ce très fidèle inventaire des petits trucs qui, à la fin, font beaucoup...
Merci pour ce FR très complet et toujours aussi agréable à lire, tel un ouvrage
Salon peu enthousiasmant si ce n'est l'offre liquide
On ne voit pas votre sélection mais la photo corporate en double
L'inconnu au bataillon est Air Algérie
Vraiment incroyable de servir le fromage avec l'entrée : on se croirait en MC
Présentation honteuse du plat chaud comme d'habitude : heureusement que c'était bon
Le fondant est sans doute bon mais vraiment pas mis en valeur : même chez Flunch le sens artistique est plus développé
Protocole accéléré sans doute pour que les pax puissent dormir ;)
Lors de votre retour en cabine J on peut apprécier ce pax qui posent ses chaussures sur l'écran
Belles vues aériennes
L'avantage du risotto c'est que sa présentation ne peut guère prêter à critique ;)
Que dire du bonus ? Superbes portraits et témoignage passionnant sur cette région
J'en redemande !
A bientôt
Et bien sûr merci du commentaire.
Les PAX J ne sont pas forcément mieux élevés que les autres... La preuve.
+1 protocole accéléré pour que les PAX puissent dormir. C'est vraisemblablement la bonne hypothèse puisqu'il convient de baisser les cache-hublots à partir de 13h30 heure de Paris.;))
+1 pour Flunch et le risotto !
Je suis content que vous ayez apprécié le bonus.
A bientôt.
L'avantage du risotto c'est que sa présentation ne peut guère prêter à critique ;)
Faux ! Cf risotto by TK : http://flight-report.com/fr/report-5335.html ;)
Merci beaucoup pour ce FR très complet et le beau bonus qui suit.
Concernant le vol je ne sais que penser : Le catering me parait être de bonne qualité et assez original mais sa présentation est vraiment ratée.
Je ne sais pas ou se situe le problème mais c'est en effet récurrent sur AirFrance. Ce qui est génant c'est que cela ne semble pas s'améliorer alors qu'en général l'atitude des équipages a fortement progressé. L'histoite de la machine a expresso est aussi un problème récurrent sur AF : je n'arrive pas à croire que cela soit impossible à régler en escale à CDG !
Il faudra m'expliquer aussi pourquoi sur un vol ausi long il n'est pas proposé le trio de dessert ni l'amuse bouche avec l'apéro. Si ce'st parce que ce'st du COI c'est ridicule vu le prix des billets.
Le commentaire de la PNC sur les compagnies du golfe montre que les PNC n'ont pas tous compris de la menace de ces compagnies pour leurs jobs. AiFrance devrait mieux informer ses PNC sur l'offre et les prestations de la concurrence voir leur faire essayer. A eux aussi de regarder ce qui se passe autour d'eux : certains le font d'autres non apparemment.
Je n'avais pas pensé à l'effet COI pour expliquer l'absence d'amuse-bouche et celle du trio. C'est tout à fait plausible. Et scandaleux.
Je partage vos questionnements quant aux incompétences récurrentes de AF.
Je note que la qualité des interactions et des discussions avec les PNC est toujours fonction de la culture générale de ceux-ci et de leur ouverture sur le monde.
Merci de votre commentaire.
Je ne me lasserai je pense jamais de vos bonus touristiques. Alors quand en plus ils me sont dédicacés ;) !
Vol et prestation standards d'AF, jusqu'au plat principal explosé en assiette creuse. Heureusement que c'était bon, c'est ce qui compte (car de toute façon je n'ai pas espoir qu'il y aura un jour du progrès à ce niveau là).
Incroyable, j'ai vu une faute d'orthographe dans un FR de Papoumada : je ne pensais vraiment pas que ce fut possible ;)
Merci pour ce très beau FR !
Honte à moi pour la phote d'aurtograf ! Elle est où? (j'ai la flemme de relire...) :((
C'est vrai que AF -que j'aime bien quand même- a un côté désespérant. Un peu comme CDG et le manque de PAFmen.
Je ne pouvais rater la dédicade du Sophitel cantonais à l'expert en programmes de fidélité ;))
Merci du commentaire.
Bonjour à tous les FRistes dont je suis pas à pas les élucubrations aériennes depuis plusieurs mois. A cet effet, je décide de prendre ma plume (en forme de clavier) pour enfin faire un commentaire. Je trouve le commentire ci-dessous de papoumada très déplacé. Et je vais m'expliquer
On en viendrait presque à plaindre ces pauvres ères qui ont un risque statistique élevé de devoir rejoindre la bétaillère quand ils seront grands…
Je suis un quadra ayant grandi à la force de mon travail de de ma volonté ayant effectué depuis 20 ans quelques voyages plus ou moins lointains (nouvelle calédonie, polynésie, seychelles, maroc, maurice, guadeloupe, maldives, thailande, égypte ....) et ce à chaque fois dans la bétaillère !!!!
Tout le monde ne peut arguer d'avoir des voyages payés par sa société oui par la vente des cuillères argentées de leurs parents et consorts. Alors même si mes moyens sont disons dans les 1% des français gagnant le mieux leur vie je ne mettrai pas mes économies du livret A pour m'offrir 3 filets de boeuf entre les lounges et la carlingue et je ne dépenserai pas ma santé à me forcer a boire du Dom Pérignon 2003 a 100 euros la bouteille chez mon meilleur caviste.
Alors mesdames, messieurs, profitez bien de vos voyages mais soyez humbles et sachez qu'il n'y a aussi des gens très bien dans la bétaillère. A bientôt de vous relire
Nous pourrons laisser à Papoumada le soin de se défendre tout seul, mais je rejoins lagentsecret: ces propos ne sont ni méprisants ni insultants, et je ne vois pas ce qui peut les faire interpréter de la sorte. J'ai également beaucoup voyagé en Classe arrière (appellation politiquement correcte de la bétaillère?), y compris pour mon travail, y compris pour les LC, parce que même en tant que DG d'une PME on a pas les moyens d'un grand groupe et qu'un sou est un sou. Si j'ai eu, en de rares occasions, la chance de migrer en classe avant, j'ai (vraiment) apprécié, surtout sur LC, mais je ne me suis jamais plaint de faire Tokyo - CDG de nuit en eco et de bosser la journée suivante. Par ailleurs, et sans doute de manière très prétentieuse, je pense faire partie des gens biens (ou pas trop mal?) en éco, et je ne suis pas choqué.
Votre propos aurait pu être justifié mais avant de vous facher vous auriez du vous poser la question suivante : est-ce qu'il ne faut pas prendre ces propos au second degré ?
Connaissant la personne qui les a formulé je sais qu'il s'agit d'humour de sa part et qu'il est donc inutile d'enfourcher votre destrier.
Il semble, Mike2B, que vous vous soyez mépris sur le sens de la phrase incriminée :
On en viendrait presque à plaindre ces pauvres ères qui ont un risque statistique élevé de devoir rejoindre la bétaillère quand ils seront grands…
Mon propos tendait juste à faire remarquer que ces enfants ne mesurent (peut-être)pas la chance qu'ils ont de voyager dans ces condition optimales et que le jour où, comme tout un chacun, il voyageront en Y, ils risquent d'avoir du mal à s'y habituer. Car s'il est facile de monter en gamme, il est moins aisé de renouer avec des conditions de voyage plus spartiates. Pour être encore plus clair, je ne ferais pas voyager des enfants en J dans un souci éducatif.
Désolé si vous avez interprété mon propos comme une marque de mépris pour les passagers des classes économiques.
Par ailleurs, pour faire suite à la deuxième partie de votre commentaire, il en est des modalités de voyage comme de tout mode de consommation : chacun met ses sous là où cela lui apporte le plus de plaisir : maison, voiture, avion, hôtel, matériel HiFi et j'en passe. Il est également lumineux que l'on ne comprend jamais très bien pourquoi autrui ne fait pas les mêmes choix que soi.
Je me félicite d'avoir permis l'occasion de votre premier commentaire. J'espère qu'il sera suivi d'autres et, un jour, d'un premier FR, quelle que soit la classe de voyage. On a tous commencé ainsi.
A bientôt !
Merci pour ce FR !
merci !
A nouveau, merci pour ce FR et le bonus touristique.
C'est bon à savoir que le duty free ne propose que des horreurs made in China en souvenir de Paris.
Il y a comme une désagréable impression que le service à bord des vols AF COI est la dernière roue du carosse, et que les non-applications des améliorations sont nombreuses, alors même que ces vols sont souvent chers (à l'exception des Antilles).
Je ne savais pas que la corruption était si répandue à Madagascar, mais en même temps, vu la pauvreté du pays, c'est pas étonnant...
Si j'étais mauvaise langue, je dirais que la pratique que vous évoquez dans la dernière phrase se porte fort bien comparée à l'état du panneau de l'office en charge de la combattre.
Merci de votre commentaire.
Honte à moi pour la phote d'aurtograf ! Elle est où? (j'ai la flemme de relire...) :((
C'est vrai que AF -que j'aime bien quand même- a un côté désespérant. Un peu comme CDG et le manque de PAFmen.
Je ne pouvais rater la dédicade du Sophitel cantonais à l'expert en programmes de fidélité ;))
Merci du commentaire.
Joliment écrit ;)
Le pauvre hère auteur des PHAUTES s'est dûment puni à coups de hache d'avoir oublié son H : publication des preuves dans le prochain FR ;)
Merci ;)
baisser le hublot. Celui-là, je le laisse, c'est de la poésie. ;)
Du moins il mérite de concourir aux côté de l'espace entre les jambes par exemple.
Il s'agit justement des pauvres hères qui ont fait tant couler d'encre !
Je ne manque pas d'air pour me permettre de vous dire cela ou alors je me trompe d'ère peut être puisque ces temps semblent révolus où l'on pouvait tout dire avec franchise ;)
Je vole à tire d'aile me réfugier dans mon aire avant de susciter une réflexion désagréable
Papoumada merci pour votre commentaire éclairé qui n'a pas été bcp suivi par les autres FRistes ... mais j'apprécies votre franchise. En ce qui me concerne je me console avec ma carte PLATINIUM pour les salons et le SKY PRIORITY. Karl MARX disait a chacun ses moyens selon ses capacités à méditer. Je suis fort aise de faire partie de votre rassemblement de FRistes meme si j'ai fait bcp de voyages mais sans FR pensant que cela n'apportera rien a votre communauté. Maintenant si vos coreligionnaires désirent des FR sur des vols moins prestigieux je suis tout disposé.Pour info mon premier vol a lieu en 1989 pour rejoindre mon régiment et ensuite vers mes diverses missions dans les DOM-TOM puis en couple
On va dire une centaine de vols mais en amateur
J'apprécies tous les commentaires même ascerbes
Cordialement
Merci pour ce FR très complet comme à votre habitude.
Même si la présentation du catering est moyenne cela semble bon et le risotto m'aurait plu.
Bonus avec des photos magnifiques!
Merci vivement.
Quant à votre réponse à Mike2B le quinquagénaire que je suis la trouve très juste et très pertinente.
À bientôt .
Merci de votre commentaire.
L'essentiel reste que le repas fût bon.
A bientôt.
Merci pour ce FR + le bonus.
Cela aurait pu être un vol excellent vol sans les nombreux défauts que l'on relève durant tout le vol.
Dommage !
Merci. AF demeure AF.
J'attends vos commentaires et critiques, justifiées ou non, comme il s'agit de mon premier commentaire et n'en déplaise a Papoumada (je ne lui en veut pas) mais cela a été pour moi le déclencheur à force de lire des FR ou certains n'ont même pas ce confort ou cette cuisine chez eux !!! les pieds sur terre oserais je dire - faire in FR ne résume pas a s'épancher mais juste faire part de son appréciation - voila c'est dit
Certes nous avons tous commencé ici !! la remarque me semble pertinente comme monsieur Jourdain faisait de la prose sans le savoir ou comme si Richard Virenque était dopé à son insu en fait - j'ai eu l'occasion de voyager sur UTA à une autre époque avec partie fumeur et service haut de gamme même en éco - cigares et grands armagnacs un monde désormais inconnu mais qui sans FR peut laisser certains rêveurs ( ceci dit fumer 36 heures ds un avion vous laisse des marques !!!)
bonne soirée
j'essayes d'être aussi bon que vous en AUTOGRAPHE - LOL
Wouaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah ! SUper FR trés long et trés complets commme je les aime , les photos sont trés bien , j'ai eu plaisir à te lire ! a bientot !
Merci pour ce super FR très long et très complet :D !
Décidément, AF a vraiment du mal à bien présenter ses plats en J...
C'est vrai que le retrofit des 777 AF urge... y en a marre des petits IFE :(
Super spotting à CDG !!
Merci ! A bientôt !
Superbe FR.
Merci !
Merci pour ce FR :)
Beau spotting à CDG
Il a l'air bien abimé ce hublot. Dommage pour les photos.
Je suis fan de vos bonus touristique ! Merci !
Merci pour ce FR de retour! Wow, je n'ai jamais vu le salon su S3 aussi vide! Ca doit être beaucoup plus agréable! Je n'arrive pas à comprendre qu'une ligne sans P ait des NEV4 mais une ligne avec P comme CDG-IAD on se retrouve souvent avec des NEV2! Oui, je sais que c'est parce que la configuration en 77E sans P est nouvelle est donc a reçu des sièges plus récents, mais d'un point de vu commercial, avoir les pires sièges de la flotte sur une ligne phare, il n'y a pas de sens. Pas que la ligne Paris-Mada ne mérite pas des NEV4, mais il faudrait plus de consistance avec le produit, c'est la roulette des sièges J. Jolies vues aériennes; dommage que le hublot soit rayé. Très beau bonus de Mada, c'est très dépaysant, quels beaux paysages!
Je n'arrive pas à croire que je suis passé à côté de votre FR ! Honte à moi ;) !
Merci beaucoup pour ce très beau FR ! Quel plaisir, renouvelé, que de vous lire !
Bon, pour les bulles ... je ne suis pas satisfait. Il n'y a pas d'heure pour boire du champagne ! Surtout si celui-ci n'est pas mauvais.
Quelle offre délicieuse que l'offre des salons AF ... K et L du moins au 2F. Comme c'est triste.
Magnifiques vues en vol. Et ce malgré les rayures sur le hublot. C'est pas possible ... quelqu'un à l'extérieur s'est accroché au hublot pour ne pas tomber en vol ... #Pardon.
Prestation AF. Avec un bémol ... Pas de trio, pas de duo ... Uno alors ! Bon, le moelleux avait l'air très bon. Bonne attitude à mon sens pour la viande et les Elites + ! Le plat n'avait vraiment pas l'air bon ... S'il l'était, ce n'est clairement pas en raison de la présentation !
Le risotto ... et bien, ça passe visiblement.
Mon ami étant malgache, j'insiste pour me rendre sur place. Mais visiblement ... il n'en a pas l'envie. C'est dommage, surtout lorsque je vois ce bonus. - J'ai toujours rêvé d'aller au Sophitel en plus ;)
Merci beaucoup encore pour cet excellent FR !
A bientôt !