#16 sur 22 Compagnies low-cost Un minimum de 10 flights-reports sur les deux dernières années est nécessaire pour apparaitre dans le classement.
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Bonjour à tous, bienvenu à bord d'une nouvelle escapade à destination de Split. Nous sommes en janvier lorsque je décide de quelques jours en dehors de l'Hexagone pour changer de mes habituelles navettes Air France, je ciblerai la Croatie comme destination de villégiature. Initialement je misais sur la capitale du pays, Zagreb avec la Lufthansa depuis Lyon, mais c'est finalement le littoral croate qui remportera mon adhésion, et Split était une très bonne destination pour quelques jours de vacances.
Pour la réservation, je tombe sur un aller avec Easyjet le samedi et un retour avec KLM le mercredi en 737 puis en ERJ 195, pour le tarif plutôt raisonnable de 160 euros avec l'ajout de la valise cabine chez U2, et cela me permettait de tester une autre compagnie que je n'avais jamais pris, KLM Royal Dutch Airlines, et d'essayer un nouvel appareil, l'Embraer. Cerise sur le gâteau, je crois que la liaison GVA - SPU n'a jamais été reportée. Malheureusement une annulation du vol vers Amsterdam liée à une grève aux Pays-Bas me contraint à avancer mon retour au mardi après-midi, cette fois avec des compagnies de la Star Alliance. Cependant, à défaut de l'E195, c'est encore un tout autre appareil que j'aurai l'occasion d'expérimenter et dont je vous réserve la surprise pour le dernier vol du routing (à cette occasion, je ne vous dévoilerai le détail du routing qu'à l'occasion du 3ème et dernier FR de cette série).
Il est à peu près 7 heures du matin lorsque je me lève à ma chambre d'hôtel située à Ferney-Voltaire. Je prends le bus 66 pour rejoindre l'aéroport de Genève. Il faut dire que la fréquence des bus desservant l'aéroport de Genève n'est pas ouf, un à deux passage toutes les heures à peu près. Arrivé au niveau des départs, il faut monter à l'étage pour franchir les contrôles de sécurité, la queue sera assez longue. Je vais être rapide sur l'aéroport de Genève car je suis littéralement à la bourre et le cheminement pour rejoindre la porte d'embarquement est une véritable course d'orientation.
Quand je déboule dans la salle d'embarquement, je me dirige vers la file Speedy Boarding et attends l'ouverture de la porte d'embarquement.
Rapide prise de vue de notre Airbus ainsi que de quelques voisins.
L'avion vu de plus près.
Instant porte pour l'ami Esteban.
Nous retrouvons les sièges Recaro utilisés sur les nouvelles cabines d'Easyjet qu'on ne présente plus. Je m'installe au 13F, mon siège étant situé en issue de secours, je prends le soin de ranger toutes mes affaires dans les coffres à bagages.
Le pas est royal.
Les dossiers des sièges sont équipés de publicités.
Les consignes spécifiques aux sièges en IDS sont imprimées sur le dossier du siège de devant;
Nous repoussons aux alentours de dix heures, le commandant de bord avait annoncé 1h15 de vol jusqu'à Split, ce qui me parait un peu short compte tenu de la distance entre les deux pays.
Les gouttes de pluie sur les hublots rendent difficile la prise de photos correctes des avions au stationnement.
Après quelques minutes de roulage, nous décollons sans tarder sous un ciel nuageux. Malheureusement mon placement côté droit ne me permet pas de vue sur Genève ni sur le lac Léman.
Nous traversons la couche nuageuse vers 10h20, pour le moment le spectacle est limité aux nuages.
Pour tuer le temps en attendant que ça daigne se découvrir, je fais un tour du contenu de la pochette du siège avant. A commencer par la classique carte de sécurité.
Je continue en passant en revue l'ami BOB, qui à défaut d'être gratuit est plutôt complet. Il propose même quelques produits dutyfree, dont des produits de beauté. Je passe mon tour, ayant déjà petit-déjeuné avant de partir.
Le ciel se découvre enfin, nous permettant une jolie vue sur les Alpes. Toujours un plaisir d'avoir ce genre de panorama, cela fait onze ans que ça ne m'est pas arrivé !
Une potenielle flight-reporteuse en devenir
Les Alpes laissent place au littoral méditerranéen, que nous longerons pendant le reste du vol.
Lorsque nous approchons les côtes croates, nous faisons un virage à gauche. Là encore, je suis du mauvais côté pour la vue sur Split. Mis à part quelques îles du bassin méditerranéen croate, je devrais me contenter de la Méditerrannée pour l'atterrissage.
Atterrissage en douceur sur le sol croate, sur l'unique piste d'atterrissage de l'aéroport
Ne ne tardons pas à rejoindre notre parking. Comme l'embarquement, la descente s'effectuera en faux contact.
Dès que l'avion s'immobilise, tous les passagers quittent leur place et récupèrent leurs bagages cabines et effets personnels.
Nous débarquons au moyen d'un escabeau couvert, pour ensuite rejoindre à pieds l'aérogare.
Petite particularité à SPU, nous empruntons une passerelle vitrée pour rentrer dans le terminal depuis le tarmac.
Passage sans arrêt dans la grande salle de livraison des bagages. Personnellement, je fais un détour pas les commodités pour y soulager ma vessie.
Les commodités sont modernes et propres.
Je me dirige ensuite vers la sortie pour aller prendre l'autobus.
J'aime bien l'architecture particulière de cet aéroport, avec notamment ces espèces de champignons qui servent de porche.
J'emprunte ensuite une passerelle surplombant la chaussée.
Décoration sympathique.
Vue de l'aéroport depuis le parking. Je vous laisse ici, de mon côté je remonte vers la chaussée pour attendre le bus avec deux francophones qui étaient sur le même vol. Merci pour votre lecture, je vous retrouve pour le FR suivant !
Du classique avec Easyjet sur un vol moyen-courrier, qui fait le job (petit bémol sur le wifi qui n'a pas fonctionné). Beau panorama sur les Alpes et sur le bassin Méditerranéen, équipage sympathique et professionnel. BOB varié même s'il ne m'a pas été utile me concernant. La compagnie de transports genevois devrait améliorer la fréquence des bus vers l'aéroport. Aéroport de SPU propre, moderne et lumineux.
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