Bonjour à tous !
Voilà le vol retour de Monastir à Lyon, après une petite semaine passée à Sfax.
Le rappel de la construction du routing se cache dans le spoiler ci-dessous :
Le routing obtenu est donc le suivant :
Forcément, ce voyage étant mon premier en Afrique, ça sera pour moi une découverte de la ligne Monastir - Lyon, et de l'aéroport de Monastir dans le sens des départs.
Pour la base de données, pas de nouveauté, la ligne a déjà été reportée, mais en 2017. Ca date un peu donc… Et c'est aussi le dernier report au départ de Monastir, une mise à jour ne fera pas de mal !
Pour ce 3e vol sur Transavia (pour moi), je me décide à tester le rang 1, plus précisément le 01A, histoire d'avoir un hublot. Du côté droit, le premier rang semble en effet moins bien aligné avec le hublot…
Il n'est pas possible, en Tunisie, de s'enregistrer en ligne au départ, le passage au comptoir est obligatoire à l'aéroport.
Après six jours extrêmement agréables passés en compagnie de mes collègues, il est déjà l'heure de repartir…
Pour moi, c'est via Monastir, donc. La collègue qui était venue me chercher à l'aller me remmène aussi. On arrive à l'aéroport un peu après 13 heures, la circulation à Sfax étant bien difficile en cette avant-veille de début de Ramadan.
Après un rapide contrôle des bagages à l'entrée de l'aérogare, direction les comptoirs. Un peu de monde, mais une file "Max" est dématérialisée avec moins d'attente.
Il y a six comptoirs ouverts, ça fait beaucoup, mais comme l'enregistrement en ligne n'est pas possible, l'intégralité des passagers doit passer par là…
Pas de tapis pour les bagages, juste une balance ici !
Titine a pris un peu de poids, pas tant que ça, le plus lourd devant être les deux litres d'huile d'olive. Une partie de mes souvenirs de Tunisie sont aussi revenus avec un autre collègue, qui avait une valise plus imposante.
L'agent est très sympathique, mais il ne sait pas me dire si mon vol sera à l'heure. Je viens en effet de voir que l'appareil est parti avec plus d'une heure de retard de Lyon.
Une vue de la zone de check-in, dans un style très blanc ! C'est bien vide, et c'est normal : La photo a été prise la veille quand on a amené mon collègue partant pour Nantes, et nous sommes arrivés à la toute fin de son check-in, l'aéroport était donc vide.
Des boutiques de type "bazar" sont alignées au fond de la zone, masquant à moitié l'entrée de la billetterie de la compagnie aérienne locale, Syphax Airlines. La compagnie a fait faillite en 2017, elle devait renaître de ses cendres en 2019 en louant deux CRJ à Air Nostrum, mais rien n'a bougé depuis… Le Covid n'a pas du aider.
Passage aux sanitaires, le ménage vient d'être fait, c'est donc propre. Le reste de l'aéroport est correct.
Hors-saison, le FIDS de Monastir est pour le moins… Vide !
Seulement deux vols cet après-midi (Lyon et Orly par Transavia), et demain matin, un vol Tunisair pour Orly et un vol Buraq Air pour Misrata en Libye (Buraq Air est une compagnie libyenne sur liste noire européenne, je vous pardonne si vous ne connaissez pas, j'en apprends moi-même l'existence en écrivant ces lignes).
Mon vol est toujours indiqué à l'heure, mais Flightradar me confirme que le vol est en retard, ma collègue et moi reprenons la voiture pour nous rendre sur le littoral de Monastir.
Quoi de mieux qu'une petite citronnade au bord de la mer pour attendre son vol ?
Retour à MIR un peu après 14 heures, l'aéroport est totalement vide.
Passage de la PAF avec un peu d'attente malgré tout : Je suis seul, mais les policiers étaient déjà partis en pause ! L'agent me dit avec le sourire que j'ai de la chance que le vol soit retardé, sinon je l'aurais loupé.
Pour le PIF, c'est assez artisanal, une seule ligne ouverte, pas besoin de sortir les liquides et juste un coup d'œil à l'électronique. Mais les agents sont sympathiques, en train de fumer leur clope en sirotant un café.
Et voilà la zone d'attente principal airside. Elle est entourée de quelques cafés et boutiques duty-free, où j'achèterai quelques bouteilles de pinard local !
La zone est plutôt grande, mais il n'y a qu'un vol à partir. En été, ça ne doit pas être la même marmelade niveau entassement des pax…
Les portes s'alignent le long de la baie vitrée, mais les places assises sont ici nettement moins nombreuses.
Les toits sont peints en vert, pour nous faire croire qu'ici, ce n'est pas le désert.
Tout au bout du terminal, une salle de prière, qui est plutôt fréquentée.
Sur le tarmac, les escaliers et les bus sont prêts à accueillir notre appareil. Le vieux côtoie le plus récent, avec ces Cobus récents Nouvelair, et sur la gauche des antiquités roulantes.
Un salon est présent, mais je ne m'y rendrai pas. Je ne sais même pas s'il est ouvert, vu le peu de vols prévus…
Je retourne m'asseoir dans la zone d'attente principale…
Un peu avant 15h, une file se forme, je la rejoins quand un appel à pré-embarquement est lancé.
La priorité des passagers Max est annoncée, mais aucune file n'est matérialisée. Il faut visiblement se présenter sur le côté du comptoir, par un petit portillon, c'est assez peu intuitif.
Notre appareil est bien là, les bus font des rotations pour le vider de ses pax.
Les PMR sont embarqués par la porte voisine, c'est assez bien vu, ça évite de bloquer l'embarquement principal.
Le billet du jour, avec ce Seq Number peu glorieux, 110.
Je passe par la "file prioritaire", mais lorsque je tends mon billet à l'agent, il appelle son collègue en lui pointant mon numéro de séquence, justement. Son collègue, une armoire à glace armée, me demande mon billet et mon passeport, et me dit "Il y a un problème, attendez ici, ne bougez surtout pas". Avant que je n'ai eu le temps de lui demander des détails, il part avec mes précieux documents… L'autre agent qui reste en porte se contente de me redire "Vous ne bougez pas" quand je lui demande des détails. Inquiétant, je dois l'avouer.
Au moins, j'ai tout le loisir de regarder la liste des passagers qui défile sur l'ordinateur, vu ma position. 177 passagers sont prévus à embarquer sur le vol.
Après une dizaine de minutes qui m'auront semblé être une éternité, l'agent revient avec mes documents, me les tend, et me dit "C'est bon". Pas plus de commentaire, pas d'explication, mais au moins je peux enfin embarquer, dans le dernier peloton de passagers.
Comme je le disais, les bus sont parfois… antiques, à MIR. Le compteur de vitesse monte jusqu'à 120km/h, ça me semble très audacieux.
Après quelques dizaines de mètres en bus (ici, on n'aime pas faire marcher les passagers, même quelques mètres), me voilà devant l'appareil du jour !
Il s'agit du 737-800 F-HTVD livré neuf à Transavia France il y a tout juste 6 ans.
La livrée, au demeurant sympathique, laisse peu de doute quant à la compagnie du jour !
Et en plus, on nous souhaite la bienvenue de manière multilingue.
Fuselage-shot avec vue sur l'escalier arrière…
Et les passagers montant à l'avant, vus depuis ma place !
Accueil très souriant à bord, et direction mon siège au 01A.
Bien que l'appareil ne dispose pas de galley entre l'entrée et la cabine, une cloison réduit la place pour les jambes.
Mais ça reste (un tout petit peu) plus généreux que sur un A320 Air France, autant dire que le pas n'est pas terrible.
En plus, la ceinture n'est pas siglée. Satanée low-cost !
Le plafonnier est récent, et l'allée est survolée par un moodlighting bleuté qui témoigne de la présence du Sky Interior de Boeing dans cet appareil.
Allez, pendant que l'embarquement se termine, jetons un œil à la notice de sécurité, et son format particulier, carré.
Et son verso. Les gilets de sauvetage pour enfants se ferment à l'arrière, ce qui est plutôt bienvenu vu la capacité de ces créatures à tripoter tout ce qui passe à leur portée.
On trouve aussi le menu du BoB et le magazine de la compagnie !
Comme je le disais à l'aller, la présence d'un magazine sur une low-cost, en 2023, c'est vraiment top !
La page de la flotte est par contre assez peu originale, un peu uniforme, dirons nous.
La carte du réseau, avec un focus sur la Méditerranée assez clair (et, l'Europe centrale, un peu).
Tiens, il y avait quelques infos sur Sfax ! Bon, je le vois au retour, mais mon séjour fut totalement authentique avec mes collègues tunisiennes.
On a même été manger à Dar Baya, dans la médina, que le magazine conseille également.
Passons au BoB : Le menu commence avec le petit-déjeuner, à un tarif correct, même si, en soit, une boisson chaude en avion c'est un peu de poudre instantanée ou un sachet et de l'eau chaude, soit un coût de revient de 10 centimes à tout péter.
Les "en-cas", auxquels il manque selon moi un peu de choix, même si ça reste raisonnable.
Les boissons sont assez classiques aussi, on pourrait apprécier la présence de vins un peu plus "haut de gamme" (même si je n'ai pas goûté ceux proposés), à l'image des bières.
Au dos du BoB, on a le menu, qui propose des tarifs que je trouve correct.
Pour les mômes, Transavia a tout prévu, et propose des petits trucs pour les occuper, avec un tarif avantageux dans le menu. Pas bête :)
Et enfin, les snacks !
Allez, la lecture de ce BoB aura permis à l'embarquement de se terminer ! J'ai récupéré deux voisins, malheureusement.
Après un comptage des passagers, la porte est fermée à 15h43, soit une grosse demi-heure après le début de l'embarquement.
Le cockpit prend la parole pour nous annoncer 1h45 de temps de vol. Le retard du jour est du à une panne sur l'appareil initialement prévu, il a donc fallu changer d'avion au dernier moment.
Au final, une heure de retard, ça reste raisonnable pour ce genre de problème, heureusement que TO avait un appareil disponible sur le tarmac lyonnais !
On repousse à 15h45, avec donc aussi une heure de retard au départ.
On approche du seuil de la piste 07, ses 2.900 mètres nous enverront directement vers la Méditerranée.
Les lignes du marquage de la piste ne sont pas très droites, on dirait moi qui tente de colorier un dessin sans dépasser.
On s'aligne, avec au fond les hotels et resorts de Monartir.
Le terminal dans son intégralité !
Et décollage à 15h56 ! Au centre, un Airbus Afriqiyah, et un autre appareil, un peu à gauche, qui ne devrait pas revoler rapidement vu qu'il lui manque ses deux réacteurs.
Enfin, au bout de la zone aéroportuaire, un hangar Sabena Technics qui abrite un Airbus Nouvelair. Et à gauche, un appareil Libyan Wings. Cette compagnie n'opère pas sur Monastir, mais elle vient visiblement y faire sa maintenance.
Un lac au nord du marais salant qui entoure l'aéroport, traversé par la ligne ferroviaire "Métro du Sahel", qui relie Sousse à Mahdia via Monastir et Moknine. Elle s'étend sur 73 kilomètres, avec un écartement métrique, et a été inaugurée en 1984.
Sur la droite, le cap de Skanès, où se trouve le palais présidentiel d'Habib Bourguiba, premier président de la république tunisienne, et bénéficiant toujours d'un culte de la personnalité certain, vu comme mes collègues en parle (alors qu'elles n'étaient même pas nées quand il était président).
Le nord de Monastir, la ville est vraiment très blanche !
Curieusement, au lieu de virer à gauche vers le nord, on part vers le sud. Le long du littoral, des formes rectangulaires dans l'eau. Aucune certitude sur ce que c'est, mais je suppose que ce sont des bassins piscicoles, utilisés par l'institut de recherche sur le milieu marin situé à côté.
Sur la droite, l'embouchure canalisée de l'oued El Maleh.
On continue de virer sur la droite, jusqu'à être plein Nord, après un virage à 270° donc. On est juste au-dessus de l'aéroport, on passe juste à l'est des marais salants de Sahline.
Le long du littoral, ici, il n'y a que des resorts, hôtels et résidences.
On passe au large de Sousse, troisième ville de Tunisie, et dont la médina, datant du IXe siècle, est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco.
Un peu plus au nord, la sebkha Halk El Menzel, d'une superficie de 15.000 hectares. Une sebkha est, grosso modo, un bassin d'eau salé à proximité de la mer…
Juste au nord, le grand et moderne aéroport Enfidha–Hammamet, inauguré en 2009. Il est situé à plus de 40 kilomètres d'Hammamet (et "seulement" 30 de Sousse), et sert principalement pour les voyageurs européens ralliant les resorts de la région.
Un deuxième terminal était initialement prévu, pour porter la capacité de l'aéroport de 9 à 22 millions de passagers par an (soit 4 à 5 fois celui de Tunis tout de même !), mais ça ne semble plus être à l'ordre du jour actuellement.
Les nuages reprennent le dessus alors que l'on repasse au-dessus des terres. Un gros quart d'heure après le décollage, on approche du littoral nord de la Tunisie, vers Bizerte.
Le service commence d'abord par la boutique, dès que l'on quitte l'espace aérien tunisien (sans doute juste une coïncidence, non ?). Il a assez de succès, notamment avec les cigarettes détaxées.
Puis c'est au tour du BoB de parcourir l'allée centrale, il a beaucoup de succès aussi.
Voilà donc ce que l'on a pour 10€ : Des sandwichs triangle, une boisson, et un snack.
Le sandwich est bien garni, et n'est pas trop mauvais (je n'irai pas jusqu'à dire que c'est bon, on parle d'un sandwich triangle, c'est pas vraiment de la haute gastronomie).
Et les Michel & Augustin sont… classiques. Le tarif est correct pour ce qui est proposé.
La première partie de la traversée de la Méditerranée se fait rapidement, en moins d'un quart d'heure nous rejoignons le sud de la Sardaigne, avec la baie de Cagliari.
Et… C'est la sieste ! Ma prochaine photo est exactement une heure plus tard, notre descente a plus que débuté, on survole le plateau de Chambaran, à la frontière entre Isère et Drôme.
On passe ensuite la large plaine de Bièvre, où l'on trouve notamment l'aéroport de Grenoble (mais de l'autre côté de l'appareil).
La vallée n'a pas été creusée par une rivière, mais par le glacier de l'Isère, pendant plusieurs glaciations successives.
Un peu au sud de Saint-Georges-d'Espéranche (sur le côté droit de l'image), on effectue un léger virage sur la droite pour s'aligner sur les pistes de LYS.
Juste après, c'est Diémoz, petit village situé au bord du plateau du Bas-Dauphiné.
On passe au large de Grenay, dernière commune avant la zone aéroportuaire…
Nous y voilà d'ailleurs, en finale sur la piste 35R !
Un A320 easyJet s'apprête à s'aligner sur la 35L, en direction de Bristol…
Et toucher à 17h37, après 1h41 de vol !
On sent qu'on est chargés, le freinage me semble bien long. Au fond, la gare TGV dépasse du reste de l'aéroport.
Et de l'autre côté, l'église de Saugnieu !
Du monde sur le tarmac lyonnais, avec plusieurs easyJet, des dérives Air Algérie, Turkish, et un charmant 737-500 de Comlux Malta, en configuration VIP, offrant 56 fauteuils en 2-2.
Un A319 easyJet repousse pour Porto…
Et dernier virage et parking à côté de ce beau 737 MAX 8 de Turkish ! Il est 17h43, nous avons donc 48 minutes de retard, rattrapé dix minutes environ pendant le vol.
Je débarque rapidement, je sais que l'obstacle de la PAF est souvent compliqué à LYS.
Voilà la PAF dans le sens des départs, c'est bien chargé, avec seulement deux comptoirs ouverts et les Parafes fermés.
Et du côté des arrivées… La cata ! Pas possible de faire une photo du bordel, mais la queue dépasse allègrement les filoguides (et il y a tout mon 737 qui arrive derrière), c'est donc très, très confus, il faut jouer des coudes pour atteindre les Parafes qui heureusement sont ouverts.
Et pour gérer tout cela, seulement deux agents, une affectée aux Parafes, l'autre qui essaie de repérer les PMR et assimilés pour les faire passer dans une file prioritaire.
Forcément, ça se double, ça se bouscule, et ça en vient presque aux mains… Et je peux le comprendre tant c'est n'importe quoi et mal/pas géré.
Avec Parafe, il ne me faudra qu'un petit quart d'heure pour passer, je peux m'estimer heureux, je pense que les derniers passagers de mon avion n'ayant pas un passeport compatible attendront plus d'une heure, voire deux…
Et le calvaire n'est pas terminé… Direction la récupération des bagages.
Déjà, on peut noter que malgré ce que dit ce panneau, les sanitaires ne sont pas "nettoyés régulièrement". Bientôt 12 heures depuis le dernier nettoyage, et vu le nombre de passagers en arrivée, c'est dégueulasse.
Et… Voilà l'état du tapis bagages. Ca va, me direz-vous ! Sauf que non, les passagers qui attendent leurs valises, là, ce sont les passagers du vol d'Oran, arrivé une demi-heure avant le notre ! Leur vol n'est plus affiché sur aucun écran, donc les passagers qui arrivent au compte-goutte de la PAF ne savent même pas où ils doivent aller pour récupérer leurs bagages.
Heureusement, ici, il y a quelques agents pour renseigner les passagers totalement perdus.
A 18h40, la livraison des bagages du vol Transavia commence enfin (alors que le carrousel est encore bien rempli de valises des pax d'Oran, qui sont toujours loin d'être tous sortis de la PAF. Du coup ça sort au compte-goutte (et encore, parce que des passagers regroupent les valises pour faire des espaces libres sur le tapis et permettre l'insertion des nouveaux bagages).
Et il reste des valises d'Oran qui sont livrées, mais désormais sur le tapis d'à côté, toujours sans la moindre indication sur les écrans ou la moindre annonce.
Le seul truc bien fichu, c'est le grand miroir que l'on voit au-dessus du tapis, qui permet d'apercevoir de loin si sa valise est là…
Ma valise sera finalement livrée à 18h55, soit 1h10 après l'arrivée en porte de l'appareil. Il me semble que c'est à ce moment là que mon tag FB Gold a été à moitié pété, mais je ne suis plus à cela près.
L'avantage, c'est que les passagers bloqués à la PAF n'auront eux pas besoin d'attendre pour la récupérer…
ENFIN ! La sortie ! A noter qu'aucun douanier n'est présent, des filoguides barrent la file "Marchandises à déclarer"… Alors qu'il y a tout un tas de vols à l'arrivée hors UE. Si on veut être respectueux des lois et déclarer des marchandises, impossible !
Pas mécontent de quitter cet endroit, à 19 heures…
Au moins cette attente m'aura permis d'admirer les jolies couleurs du soleil couchant !
Direction le Rhônexpress, qui sera bien rempli…
Et voilà pour ce séjour en Tunisie !
En guise de conclusion, vous prendrez bien un délice de Mme Hadriche ? :)
Ou pour les plus avgeeks d'entre vous, une trace radar du vol ?
Merci pour votre lecture, et à bientôt pour un autre vol !
Vol Transavia que je qualifierai d'efficace, conforme à la réputation de la compagnie : Un bon équipage, un BoB tout à fait correct, mais une cabine qui commence à dater dans ses équipements (ou son absence d'équipements, plutôt : Pas de Wifi, pas de prises USB).
A Monastir, pas grand chose à redire sur la fluidité check-in, PAF et PIF (pour ces deux derniers points, mon retard a joué). Par contre, le coup de "Je te prend le passeport à l'embarquement et me barre sans t'expliquer", ça, c'est un grand non.
Et niveau propreté c'est pas ouf, mais pas mauvais non plus.
A Lyon... Les notes parlent d'elles-même. Seule la note service mérite la moyenne, car quand même des agents au niveau de la récupération bagages, et des commerces une fois arrivé landside.
8 Commentaires
Comme quoi il n'y a pas qu'à ORY et CDG que c'est le bazar, LYS n'est pas en reste hélas!
Les délices de Mme Hadriche ont l'air ... délicieux!
Avec un peu d'aide (siège XL en issue), un vol TO devient plus agréable, même si on reste sur une low-cost. Et faire un FR a l'avantage d'occuper un peu le temps ^^
Je crois que la maladie des aéroports bordéliques s'étant bien plus loin que Paris, malheureusement !
En effet, ils l'étaient ^^
A bientôt !
Clairement, si le vol s'est bien passé, le début et la fin furent épuisants... De quoi apprécier son chez soi ensuite !
J'étais bien stressé en effet, j'ai même été chercher sur internet si d'autres avaient eu pareil mésaventure...
Et oui, je trouve aussi TO au-dessus. Déjà, ce que j'apprécie, c'est la relative clarté des prix, on a un prix de base et il augmente de manière assez logique. Pas comme les autres low-cost comme U2 où les prix sont toujours différents, parfois de 72 centimes, et où je me demande comment ils sont calculés...
Je pensais aussi que MIR serait un peu plus desservie. C'est là qu'on voit que c'est vraiment une destination ultra saisonnière (après... Vu comme les vols sont blindés hors saison, il y aurait peut-être moyen d'en avoir un peu plus ?)
Hors période hub AF, dur de deviner en voyant le tarmac qu'on est dans le 4e aéroport français... Ya de la diversité, mais plus de code barres en vue.
Heureusement que TO a une belle base installée là bas, sinon ça serait vraiment mort pour voler AF/KLM...
A bientôt !
Quelle aventure ce vol, bon j'ai souri en te voyant repartir prendre une citronnade au lieu d'attendre à l'aéroport, pas mal comme idée !
L'histoire du passeport est quand même incroyable, on aurait pu te donner une explication et je peux imaginer à quel point c'est stressant.
A bord, sans commentaire, du TO pur jus, qui fait le taf. Merci pour toutes ces explications détaillées au départ.
LYS est une honte absolue en matière d'arrivée, comment est ce que le gestionnaire de l'aéroport peut laisser faire ça ? Qu'il n'aie pas la main sur le nombre de fonctionnaires (la c'est la PAF qui est coupable il ne faut pas être sorti de St Cyr pour savoir que deux agents pour 360 passagers c'est impossible) mais pour les bagages c'est fort de café.
Merci beaucoup et à très vite !
L'idée venait de ma collègue tunisienne, elle est plus habituée au "laxisme" bienvenu de la Tunisie, et à ne pas se stresser pour si peu :P
Pour le passeport, oui, j'étais bien stressé... Surtout en voyant défiler les autres passagers sans le moindre soucis, et moi qui restait bloqué. Bref...
Totalement aberrant pour LYS oui, surtout que ça n'est pas un incident isolé, j'ai déjà vu les bagages des pax venant du Maghreb être livrés avec plus d'une heure de retard... Alors qu'à côté, les bagages des vols AF ou KLM sont en général assez rapidement livrés. C'est très "deux poids deux mesures".
Et même si pour le staffing de la PAF, c'est la préfecture qui est en cause, LYS pourrait prévoir le coup en améliorant l'attente, avec des agents, des filoguides qui vont plus loin... Bref. Vinci n'aime pas trop faire d'effort, comme dans tous leurs aéroports.
A bientôt :)
Sympa le petit voyage avec collegues. Effectivement l'aeroport est tout blanc.
Effectivement!!
Donc un aeroport sans passerelles en meme temps avec un tel soleil ça fait plaisir d'embarquer à pieds... enfin par bus.
C'est quoi cette blague? Il ne fallait pas prendre le numero 110?
Ça c'est le cote sympa de la porte TO.
C'est vrai qu'un magazine en 2023 et encore plus sur une low-cost c'est rare... je me demande si c'est pas la seule!
Tres jolies photos au decollage. Comme tu dis pour le deuxieme terminal, le covid a du passer par là
Ouais michel et augustin c'est ptete ce qu'il y a de mieux au final.
Oui tu peux t'estimer heureux avec seulement une petite 15aine de minutes vu le bordel..
Le voyage était très sympathique, je n'ai pas fait de bonus par manque de temps (et motivation), mais il y a matière à y passer du temps !
Embarquement par bus non climatisé, il va sans dire. Ca doit être une fournaise en plein été ^^
Je suppose que les agents savaient qu'il y avait un soucis avec le BP au Seq Number 110... Mais bon, ça n'excuse pas cette façon de faire. Il y a des hauts parleurs dans un aéroport, faire une annonce en appelant Monsieur Kethu avant l'embarquement ça ne coûte rien...
C'est la seule LCC à ma connaissance à avoir un magazine en tout cas ! Après, je ne connais pas les low-cost exotiques de l'autre bout du monde ^^
Des Michel et Augustin, du saucisson de Normandie une petite bière artisanale, ya moyen de se mettre bien chez TO ^^
Clairement, le passeport français était une bénédiction dans ce cas là...
A + !
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