Bonjour à tous chers lecteurs et bienvenue dans ce report du dernier vol de ma virée lisboète.
Après ce court séjour dans la capitale portugaise, c’est avec un vol direct vers Lyon, sous les couleurs d’easyJet, que je rentre au bercail.
Là aussi, les horaires sont bien placés , ce qui me permet de largement profiter de ma matinée dans les belles rues de ville, avant qu’elles ne croulent sous les flots de touristes.
Pour commencer, rappel du routing.
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3U26733 - Économique - Lisbon - Lyon - A321neo - easyJet
Qu’il est aisé de se rendre à lis
Comme mentionné plus haut, les horaires du vol me permettent de largement profiter de ma matinée dans les rues de cette belle ville. Étant multi-hobbies, j’ai en plus de la passion pour le domaine aérien celle des transports urbains.
Et à Lisbonne, je suis plutôt gâté. Même si je les avais déjà empruntés lors de séjours précédents (2003 et 2005), c’est avec plaisir que je revoyage à bord des electricos, c’est-à-dire les vieux tramways grinçants et brinquebalants qui participent à donner une image marquante de la capitale portugaise. Je précise que je n’ai pas fait que ça, et que d’avoir erré au gré des ruelles à pied m’a conduit à d’autres sympathiques quartiers.
Puis, en fin de matinée , il s’agit de rejoindre l’aéroport. C’est chose facile, puisque le métro y va directement et chichement.

Histoire de rappeler qu’ici, c’est le premier pays au monde en production de liège.

Arrivée à la station « Aeroporto ».

Faux départ
Ce n’est pas la première que je vole avec easyJet ; c’est mon huitième voyage qui se profile avec cette compagnie ce jour. J’ai toujours pu apprécier l’efficacité de cette low-cost, de son personnel. La politique concernant les bagages a quelque peu changé mon opinion sur U2, mais voyageant bien souvent qu’avec un bagage à main (c’est encore le cas aujourd’hui), je ne vais pas trop me plaindre.
La nouveauté pour moi en ce jour, c’est de pouvoir emprunter un A321neo aux couleurs orangées. L’appareil était déjà affecté hier et depuis ce matin, je vérifie régulièrement que c’est bien toujours le cas. C’est l’OE-ISE qui s’y colle en ce jour. Dans la matinée, il fait un improbable aller-retour vers Bastia. Je ne savais pas qu’il existait une liaison directe entre le Portugal et la Corse.
Cette liaison vers l’Île de Beauté s’est bien déroulée, avec un léger retard au retour. Dans les escalators à la sortie du métro, je consulte encore une fois FlightRadar24, et là, stupéfaction : le départ est reporté de 13h15 à 15h00 !

Par acquis de conscience, je sors quand même de la station pour me rendre dans le hall de l’aéroport.


Je me rends au FIDS et aucune info dans ce sens-là. Qui croire ?

J’ai pris un ticket valable la journée, je décide de rebrousser chemin et de reprendre le métro jusqu’à Oriente où je mangerais sur le pouce pour bien moins cher et sans doute pas trop mauvais.
Une fois cette opération réussie avec brio, je reviens pour la deuxième fois à l’aéroport.

Et c’est parti pour le traditionnel cérémonial.

Passage du PIF. Il y a pas mal de monde, mais le temps d’attente est estimé à 10 minutes.

Et en onze minutes, l’affaire est réglée, professionnellement et courtoisement. C’est parfait.

Bon, le vol est toujours prévu à 15h00, il va falloir s’occuper dans un aéroport qui n’a pas vraiment bonne presse chez les avgeeks.

Traversé du supermercado.



Il y a des produits liquides à foison, mais ce n’est pas là que je vais craquer. C’est plutôt dans une brasserie où le liquide est bien plus frais en plus d’être sous pression. Un moment pour le moins bienvenu après ce que j’ai mangé.

Ça ne s’arrange pas du côté de mon vol… On vient de prendre encore 16 minutes, soit 2h01 de retard en prévision désormais.

La zone restauration est assez chargée sans être complètement saturée. La fréquentation de l’aéroport est assez soutenue en ce milieu de semaine.

Direction les toilettes, pas les mêmes que la veille. Aucune odeur, très propre. Il y a donc des disparités.

Quand le retard est une OPPORTUNITÉ pour le spotter
Première tentative à travers le pelliculage sensé limiter la chaleur. Pas mieux pour ce coucou grec. C’est évident que ça n’est pas acceptable en l’état. Je tente ma chance ailleurs.

Je finis par trouver des vitres translucides mais à la propreté douteuse. C’est toujours mieux que le pelliculage.
Malgré tout, il y a un soleil de plomb et à cette heure-ci, c'est plutôt à contre-jour, comme on peut le constater sur cet A330-900, habitué des lieux, qui va faire du béton toute la journée, arrivé dans la matinée de CNF (Belo Horizonte) en TP104 et qui ira dans la soirée à EWR (Newark) en TP207.

Je vais pouvoir tirer le portrait de cette curiosité, ou plutôt de cette rareté. Je ne connaissais pas l'existence de cette compagnie.
A350-900 EC-NOI arrivé la veille de PUJ (Punta Cana) en 3P 3154 et qui fera du béton jusqu'au 17 juin (quatre jours à l'arrêt) pour repartir vers VRA (Varadeo). loin d'être une utilisation optimale pour une si belle machine.

J'aime bien cette diversité de dérives.

Premier jet :
- A220-300 HB-JCD (avec lequel j’ai volé de CDG à ZRH en septembre dernier) LX2093 pour GVA (Genève).
- A320 OE-IVQ qui a fait une rotation vers PRG et qui s’apprête à rejoindre LGW (Londres-Gatwick) en vol U2 8514.
- HB-JPA, le doyen de la flotte des A321neo de Swiss, qui s’en retourne à sa base de Zürich, en LX 2085.
- A321 CS-TJF qui débute son taxiing avant de rejoindre par les airs MUC (Munich) en vol TP 554.
- A320 CS-TNW qui s’en va à AMS en TP 672.
- Finnair qui, après 4h19 de vol, arrive en provenance de sa base d’Helsinki en AY 1739 avec cet A321 OH-LZM.
- Ce 737-700 LX-LBT de Luxair qui repart vers Luxembourg en LG 3752.
- Emb 190 D-AWSI de German Wings qui bétonne lui aussi. Derrière, un anonyme 9H-SLF qui ira demain à Espargos (Cap-Vert) pour le compte de la TAP.
- A320neo CS-TVB qui va lui aussi à GVA, en TP 948.









En attendant, le retard s’épaissit…

… puis réduit…

… et là, clairement, ça pue. Cette annonce est l’antichambre de la suppression. Ça me rappelle deux expériences où le retard s’est aggravé, a fluctué, pour finalement aboutir à une suppression pure et simple.

Un premier appel a eu lieu donnant lieu à un instant Danette majeur, avec toute la tension qui va avec due à ce retard important. Puis, rien ne bouge, et de mon côté , je photographie encore et toujours jusqu’à ce que j’entende une clameur… non de soulagement, mais d’épuisement. Je vais aux nouvelles. Le retard est dû à l’indisponibilité d’un commandant de bord pour maladie. Sa remplaçante n’a pas encore eu l’entièreté de son temps de repos, il faut donc patienter encore.
À partir de là, ça veut dire deux choses :
- d’une part, mon vol n’a pas l’air supprimé, je serai chez moi ce soir.
- d’autre part, le retard atteindra peut-être les trois heures avec tout ce que cela suppose.
Les deux préposées de l’aéroport sont harcelées, mais surtout en recherche d’informations. Les pauvres…
La politique de l’emploi d’easyJet, ce n’est pas au personnel au sol (ou navigant) d’en faire les frais ou pire, d’en faire le SAV. Il y avait pas mal de retraités dans ce vol (le Portugal étant une de leur destination favorite) et c’est essentiellement cette tranche d’âge qui a été la plus virulente dans ses propos, en langue française, comme si l’ensemble du personnel de l’aéroport se devait de parler la langue de Molière. Ce genre de comportement colonialiste a le don de m’ulcérer au plus haut niveau.
En attendant, on attend.

Mais d’autres appareils passent sous mon objectif, on s’occupe comme on peut.
Ça, j'en vois pas tous les jours. A320 CS-TKQ en livrée "Natural" qui assure le vol S4 153 et s'en va vers HOR (Horta).

Plus classique, mais avec une immatriculation explosive, l'A320 CS-TNT qui arrive de BER en vol TP 553.

Je reviens aux nouvelles au comptoir et il se trouve que l’embarquement va enfin débuter. Je me retrouve le premier, encore qu’il faut bien entendu laisser passer les PMR, les familles et j’entends que ça fulmine derrière moi. Puis c’est au tour des Speedy boarding, et ils sont nombreux !
N’en pouvant plus, un retraité craque et commence à s’en prendre au personnel, en français. Puis il s’en prend à moi, vu que laisse passer des gens. Je lui explique calmement que ces passagers ont la priorité, mais que ça ne change pas grand chose, qu’il faudra bien attendre que tout le monde soit à bord, que l’avion ne partira pas sans lui, etc. Mais les explications que je lui ai distribué calmement ne l’ont pas apaisé pour autant. « Et vous avez toujours raison, gnagnagna », ce à quoi je lui répondu que oui, que la perfection était de ce monde et que je l’incarnais. Le retraité n’ayant plus rien à ajouter, je l’ai laissé à sa place et j’ai attendu mon tour qui n’a pas tardé à venir.
Bien plus pragmatique, j'échange avec un jeune couple de Français sur le niveau du retard, en leur disant que le temps commençait à jouer pour nous puisqu'on frôlait les trois heures de retard. Ils partageaient le même point de vue que le mien, car connaissant visiblement le droit européen sur ce sujet.
Transfert en PAXbus vers le point de stationnement.
Lui, je le connais, il m'avait amené au Cap-Vert en 2019.

Puis on arrive au pied de la bête.



Instant dérive.

L'instant fuselage, mal négocié.

J'avais tout misé sur l'instant porta.

À bord de l’A321neo d’easyjet
C’est un appareil récent, livré au pire moment, puisqu’en pleine crise sanitaire. Depuis les choses ont évolué, et easyJet peut exploiter au mieux le plein potentiel de cette machine.

La PNC m’accueille avec un visage crispé ; en lui faisant un large sourire, elle me l’a rendu, mais je comprends qu’elle a plus été victime de regards foudroyants que bienveillants. Comme je la plains…
Voici donc la cabine de ce jeune appareil où les PAX n'en finissent pas de s'installer.
À noter qu'Hugo, alias Scorph a fait très récemment une description complète de ce coucou, puisqu'il a volé récemment de Lisbonne à Toulouse avec le même type de machine, plus précisément l'OE-ISB. J'aurais bien aimé avoir moi aussi le sierra bravo, puisqu'il est reproduit au 1/400e.
Le report en question : https://flight-report.com/fr/report/62421/easyjet-ec6743-lisbon-lis-toulouse-tls/

Vue général du siège 38F.

Configuré à 235 sièges sur 40 rangés, on voit bien ici l’illustration de l’exiguïté de la cabine. C’est hyper dense.

Instant « tête en l’air ».


Je l’ai vu plus tard, mais les sièges sont équipés d’une patère.

La tablette.

Le contenu de la pochette surprise.

The safety card.


Ce qui reste du menu…




À 16h18, boarding completed.
De longues minutes passent, il fait très chaud, des PAX s’énervent. L'APU ne semble pas en service.
Et là, stupéfaction : l’annonce pré-enregistrée des consignes de sécurité est diffusée mais sans que les PNC ne fassent la gestuelle, les démonstrations.
À 16h38, nous repoussons.
Finalement, une vraie démonstration a lieu. La première a été sans doute une erreur de manipulation dans les dispositifs d’information au PAX.

De LIS à lys
Le taxiing débute à 16h44. Il sera assez court, puisque le seuil de la piste 03 n'est pas bien loin. Il faut néanmoins attendre son tour. La piste étant unique, c'est bien souvent une alternance atterrissage / décollage.
À 16h51 nous sommes alignés et une minute plus tard, la manette des gaz se voit appliquer la position TO/GA.

On commence à prendre les airs avec cette vue sur l'embouchure du Tage, traversée par le pont Vasco-de-Gama. Cette étendue d'eau est aussi appelée Mer de Paille.


Cette première partie du parcours, sur le territoire portugais, consiste à remonter ni plus ni moins la vallée du Tage. Malheureusement, le ciel est loin d'être limpide.






On ne voit pas trop l'ambiance à travers cette photo, mais j'aime assez cet éclairage aux couleurs d'aesyJet.

Nous passons la frontière avec l'Espagne, dont voici la première vue. Je dois vous avouer que j'en ai particulièrement ch### pour retrouver ce bled bien pommé.

Le genre de ciel qui ne permet aucun suivi, aucun repérage.

Nous passons à l'aplomb de Valladolid dont nous voyons ici les faubourgs.

On remonte la vallée du Douro.

On aurait pu penser, compte tenu de la valeur du retard qu'easyJet aller payer sa tournée. Que nenni ! Il faut débourser pour obtenir, ce n'est pas négociable. Les affaires n'auront pas été trop mauvaises.

Cette vue m'a donné beaucoup de fil à retordre, mais j'ai fini par retrouver ce massif grâce à Google Earth.

La vallée de l'Èbre, à la frontière de la Rioja et de la Navarre.

À nouveau, une couverture nuageuse ou laiteuse. J'ai pas de bol, alors que les Pyrénées sont presque là.



Voici enfin les Pyrénées.

C'est terrible de voir si peu de neige.

Nous passons en France et la première vision est sur une célèbre ville thermale.



Par endroit, ça bourgeonne. Pas moyen d'avoir un ciel dégagé.

Nous passons pratiquement à l'appoint de la Ville rose.

Puis c'est la traversée du 31-81-12 alternée de cumulonimbus.






Là, très très facile à reconnaître, et de loin. Ça en dit long sur ses mensurations.

Les Causses, l'Aubrac, de bien jolis coins, puis c'est la Lozère.





Et encore un joli charlie-bravo en formation.

Vient donc le tour de l'Ardèche et sa partie septentrionale.




La vallée du Rhône après laquelle nous obliquerons plein nord.

À la maison, il y en a trois qui m'attendent de pied ferme et qui suivent avec attention mon périple. Voici une capture d'écran du téléphone de mon épouse à ce stade du vol.

LYS en approche
Le Vercors avec des orages en formation.

La plaine de Bièvre.

On a bien perdu de l'altitude. On en va tarder à pouvoir lire l'heure sur les montres des passants.




Et pourquoi pas une vue vers l'Ain ?

Prise de contact avec le sol imminente…


C'est chose faite !

Taxiing très court. Nous nous sommes posés avec 3h09 de retard.
Il ne s'agit pas de traîner et d'autres PAX sont bien en galère eux aussi. S'ils ont des correspondances à LIS, ils doivent angoisser.

L'instant qu'on ne présente plus. Il s'agit maintenant d'évacuer rapidement 235 PAX.

Étant en font de cale et la passerelle ayant été connectée à l'avant, j'en profite pour voir ce qui se passe dehors.
Cet A321-100 F-GMZD repart vers CDG en AF7369 tandis que l'A319 F-GRHZ arrive de NCE en AF1697.

Pas rancunier pour un sou, je vais échanger avec les PNT. On me propose de faire le retour, j'accepte volontiers. J'ai beau avoir quelques notions, le résultat ne serait pas extraordinaire.
Je quitte donc l'A321 neo en saluant PNC et PNT et en leur souhaitant un bon retour mais surtout bien du courage pour affronter les passagers du retour qui ne doivent pas être spécialement heureux de la régularité de leur vol en cette belle soirée.


Direction la sortie et le Rhônexpress. Étant bon dernier, c'est très fluide.


Et passage par la PAF obligatoire. Même si c'était très rapide, aucune attente, je ne comprends pas qu'on inflige cette "humiliation" aux PAX de vols en provenance de certaines zones de l'UE. C'est méprisant pour les états "visés" par cette mesure discriminatoire.
Une belle lumière se reflète sur la façade du T1.

Contre-jour dans le hall de la gare.

Le Rhônexpress est bien surchargé, avec pas mal de mes compagnons d'infortune.

Je ne peux finir ce récit sans présenter la trace approximative laissée dans le ciel du sud-ouest européen.

Et pour clore cette journée, je lève les yeux vers le ciel (comme souvent). Je vois ce vol et je dégaine l'appi FR24. Il s'agit du vol TP551MUC - LIS avec l'A321 CS-TJF, le même que j'ai photographié quelques heures auparavant. Joli clin d'œil pour conclure cette journée.
La question viendra vraisemblablement : j'ai fait la démarche dès le lendemain, et j'ai reçu l'indemnité moins d'une semaine après. Pas de soucis de ce côté. Ma virée se retrouve largement remboursée.
Merci de m'avoir lu.

Merci pour ce FR fort complet.
Et félicitations pour la recherche des noms de tous les villes/bourgs/villages survolés! ?
A bientôt
Merci pour le commentaire.
Sa rédaction s'est étalée sur plusieurs jours, dès que je trouvais un peu de temps.
C'est parfois un travail fastidieux, très long, mais qui me permet d'approfondir mes connaissances.
Bons vols.
Merci pour ce FR.
Easyjet, ça passe encore quand le ciel est sans nuage.
Je plains les pax qui n’ont pas été avertis de l’annulation de leur vol de vendredi à cause de la grève du personnel de GVA…
J’ai souvenir que BESMRS avait mentionné que cela était plus ou moins illégal.., et que les plaintes seraient recevables.
A bientôt.
Merci pour le commentaire.
Il y a bien un moment où ils ont été avisés, soit par mail, soit par texto. En tout cas, c'est toujours un exercice difficile pour le personnel au sol de gérer frustration et colère des PAX.
Mouais. Ça fait des mois que ça dure. Si c'était illégal, il y a longtemps qu'ils auraient arrêté.
Bons vols.
Je me permets de douter de ces affirmations catégoriques ;)
Merci pour ce FR.
Le retour a été semé d'embuches avec ce retard à répétition. Toutefois, tout fini bien car tu as fini de rejoindre LYS et surtout, tu n'as pas dû batailler pour obtenir le dédommagement.
Les gens sont parfois exécrables et se permettent de tout dès qu'ils ont payé un billet d'avion, ou autre. La nature humaine est ainsi faite...
À bientôt
Merci pour le commentaire.
Honnêtement, dans mon cas, ça m'a permis de manger en ville, de spotter, d'arriver à la maison pas si tard que ça et de toucher l'indemnité. C'est presque carton plein !
C'est pour ça que je n'hésite pas à leur rentrer dedans dès que je le peux, en généralement, ça les déstabilise et ça les calme.
Bons vols.
Salut mon acolyte de région ! Je compatis pleinement pour l'important retard que ton vol a subi... Mais l'important c'est qu'au final tu aies pu regagner tes pénates sain et sauf ! Un remboursement rapide + une visite dans le cockpit bien méritée en guise de consolation, que demander de mieux ? Me concernant, il y a plus d'un an j'ai déjà fait l'amère expérience de l'annulation de dernière minute de mon vol Bordeaux - Lyon mais avec Air France, heureusement la compagnie a trouvé une solution certes peu convaincante pour arriver à destination. Il y aura toujours des passagers agités dès qu'il y a un pépin et que l'on se trouve dans l'incertitude.
A bientôt
Merci pour le commentaire.
Je n'avais aucun doute là-dessus. J'ai une confiance profonde dans l'aviation civile européenne et easyJet n'est pas exclu de ma considération.
Ça se finit très bien, on est bien d'accord.
Les gens qui n'ont aucun sang froid devraient surement rester chez eux.
Bons vols.
Merci Greg pour le partage !
Et bien, tu as eu raison de retourner en ville tellement LIS est bien desservie, mais tu aurais pu rester plus longtemps ^^
Au final 03H09 de retard, ça paye l'escapade !
Le 321neo est une belle bête, quand tu penses que Wizz réussi à y mettre 239 sièges, encore 4 de plus qu'U2. LH est une petite joueuse puisqu'elle en met 200 ^^
A bientôt !
Hello Greg et merci pour ce récit qui vient parfaitement compléter cette virée Portuguaise. Quelques soucis de retard qui te permettent de basculer du bon coté de la ligne des 3 heures et de faire une opération blanche sur cette virée. Ton porte feuille appréciera celui d'Easy un peu moins...
Les bases Portuguaises d'Easy semblent être un point sensible de la compagnie entre les difficultés de l'aéroport de LIS + les grèves à répétitions des PN d'Easy au Portugal les chances de retard sont malheureusement importantes...
Merci pour le clin d'oeil... ce sera à mon tour de t'en faire un dans euh ... quelques temps ^^ car j'ai refais un LIS-TLS à bord d'un A321neo d'Easy, OE-ISE sur le siège 38F il y a quelques semaines ^^
Parfaitement d'accord à Toulouse c'est les Bruxelles et Charleroi uniquement qui y ont droit ...
Félicitation pour l'identification des lieux survolés tout au long du Fr ça doit prendre un temps fou je l'avais fait quelque fois par le passé j'ai vite abandonné ^^
Bon vols
Merci Greg pour ce récit entre LIS et... LYS!
L'aéroport de Lisbonne n'est pas super agréable en effet. Cela dit tu as échappé au Terminal 2 très low cost où l'attente aurait été davantage désagréable que ce soit pour toi ou nos compatriotes râleurs lol
Vols vers Bastia? Il y a pas mal de gens d'origine portugaises en Corse ;)
Gros retard bien indemnisé comme Easyjet était tenue de la faire, et vol agréable dans cet A321 neo récent. Me concernant je ne l'ai toujours pas pris chez les oranges ^^
A bientôt.
Salut Greg et merci pour le FR du portugal! on se suit!
Arrivée à l'aéroport très facile.
S'il est aussi gros qu'un sac de courses alors ça passe lol
Je n'ai encore jamais pris l'A321neo non plus mais en règle général je trouve les NEO beaucoup plus silencieux.
une très jolie séance de spotting.
Et comme tu le dis on le voit surtout sur la tranche d'âge dite papyboomer qui s'arrange souvent le droit de faire des remarques qu'eux mêmes n'aimeraient pas recevoir.
Mais je te rassure ce n'est pas que les français, les anglais sont bien pires à ce niveau. Mais sinon le personnel aurait du leur dire que s'ils s'attendaient à des excuses suivies de champagne et petit-fours en guise d'attente, fallait pas prendre une low-cost.
AHAHAHAHHA j'adore!!
Les nouveaux sièges planches à pain en mode cuir.
J'aime bien tes indications sur les photos.
ahhh parfait! un tour en A321Neo gratuit!