Après une agréable journée à profiter du TWA Hotel, il est temps de prendre le chemin du retour.
L'aller avait été upgradé en J mais le billet initial était bien en W, une classe de voyage qui, chez SK, bénéficie d'une classe tarifaire particulièrement intéressante avec 150% de la distance parcourue en miles (en tout cas chez TK). Nous avons bien profité de la J à l'aller, maintenant, place à la découverte de cette premium Eco made in SAS.
Le trajet n'est pas très long, puisqu'il nous suffit de passer du T5 (où se trouve le TWA) au T7 (d'où part notre vol).


Pour cela, rien de mieux que l'Airtrain.


Le Terminal 7 de JFK
Nous voici donc au T7.

L'extérieur présente plutôt bien. Rien ne laisserait présager à première vue qu'il est prévu de le détruire en 2026 pour permettre l'extension du futur terminal 6. Les panneaux lumineux donnent un premier aperçu de la faune qui le fréquente. On trouve du bon (ANA, Alaska) mais on voit déjà que c'est le terminal des compagnies un peu marginalisées ou sans alliance (Icelandair, Condor, Aerolineas Argentinas). On pardonnera à Aer Lingus, car le T7 était historiquement le terminal de BA, qui l'a quitté il y a peu pour rejoindre le T8. Quoi qu'en disent les annonces officielles, il semble peu probable que le gestionnaire du T7 investisse beaucoup dans ce terminal dont les jours sont comptés.

A notre arrivée, le terminal est désert.

Les comptoirs sont plutôt bien fléchés - ça sent tout de même le terminal des laissés pour compte. Mais que fait donc ANA ici ?

Voici les comptoirs SAS. Autant dire qu'il n'y a aucune attente pour être accueilli. Enfin, accueilli est un bien grand mot au vu de l'amabilité de l'agente. Il faut dire qu'il est 22h, notre embarquement est prévu dans une heure et tous les pax ou presque sont déjà passés airside. Nous avons la confirmation qu'il n'y a pas de salon pour les passagers SAS, ce qui est tout de même étonnant.

La TSA et le PIF sont passés rapidement, direction la zone airside.

Vue sur le PIF que nous venons de passer, l'affluence est faible à cette heure-ci.

Nous voici airside. Les vols de la soirée (et du lendemain matin). AS a tendance à dominer le FIDS. Je note les horaires de la muerte du vol ANA : arrivée à JFK à 22h50, départ pour HND à 2h00. Pire que notre vol SAS !

65 US$ (+ les taxes) pour un salon américain ? Je crois qu'on a tous la réponse à cette question.

Petit moment sympa : en sortant du PIF, nous tombons sur notre équipage SK de ce soir, qui n'est autre que celui qui nous a amené ici la veille ! Les PNC nous reconnaissent et nous engageons un peu la discussion. Elles sont bien sûr étonnées de nous retrouver sur ce vol et nous annoncent qu'elles officieront en W ce soir, ce qui nous permettra de les retrouver. Comme le dira Opoman, cela laisse augurer un bon vol avec des attentions particulières.
Je vous propose la visite du T7, qui n'est sans doute pas le meilleur terminal de JFK.
On trouve comme partout des boutiques de vente d'alcool, comme ici JW.

Mais je préfère ces flacons-là sans hésiter.

La zone d'embarquement est plutôt grande, mais très basse de plafond, ce qui ne la rend pas agréable. Il y a la possibilité de se restaurer, mais ce n'est pas très qualitatif.


Voici notre porte d'embarquement, pour l'instant déserte. Juste à côté, se fera l'embarquement du vol Norse pour Berlin, dont on voit l'équipage.

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la salle d'embarquement est bien remplie.

Nous cherchons un endroit tranquille pour nous asseoir mais ce n'est pas simple.

Sauf à consommer dans un point de vente.

Certains ont commencé leur nuit…

Par curiosité, j'aimerais bien savoir quelle est l'offre de salon ici. Aer Lingus opère son salon en propre, mais celui-ci est fermé.

Aucun vol n'étant prévu, le salon AS est également fermé.

Voici un autre salon, indépendant celui-ci (le fameux salon à 65 US$ l'entrée).

C'est tout de même un comble : les passagers LO, ET ou même Condor y ont accès mais pas les passagers SK ou NH. Cela m'étonne beaucoup de la part de la compagnie japonaise. On voit là les lacunes dans les synergies d'alliance : cela n'aurait-il pas été plus intelligent et logique d'avoir une offre commune pour les compagnies *A qui opèrent ici ? On peut d'autant plus le regretter que le "bloc" ET/LO/SK/NH/AC aurait pu avoir une capacité de négociation plus importante qu'avec des accords compagnie par compagnie.

Pas grand chose à spotter depuis le terminal. Notre appareil est à peine visible.

Maigre consolation avec cet Embraer d'AC Express.

Décidément, ce T7 offre une bien piètre expérience, pas vraiment la hauteur de l'idée qu'on se fait d'un grand aéroport comme JFK. On aime NY, mais pas le T7…

L'embarquement
Il ne nous reste qu'à attendre patiemment notre boarding. Juste à côté, le vol Norse pour Berlin a commencé son embarquement. De nombreux pax sont refoulés, car l'affichage indique qu'il s'agit du vol pour Paris (qui embarquera peu après juste à côté). La fin de l'embarquement donnera lieu à un spectacle qui fera sourire tout le monde : l'agente de handling Norse ânonnera des "Berlin ! Berlin !" pendant de longues minutes.

Les agents du check-in SK ne tardent pas à arriver, toujours aussi peu souriantes. L'embarquement débute vers 23h30, avec les PMR.

Puis l'embarquement est ouvert pour les pax prioritaires. Mon ami Opoman récupère d'ailleurs dans le jetbridge, après le scan des BP, ses achats duty free. Une procédure sans doute destinée à éviter la consommation "sauvage" d'alcool avant l'embarquement, mais que je n'ai vu nulle part ailleurs.

Un premier couloir aveugle…

… est suivi par un deuxième couloir aveugle…

… avant d'accéder à un jetbridge également aveugle.

Le fuselage shot me fait comprendre que nous embarquerons de la porte 1L.

Accueil par l'équipage en porte.

Le flight report
Nous traversons la cabine business. Personnellement, lorsque je voyage en J, je préfère éviter de voir défiler toute la cabine…

En l'occurrence, ce soir ce ne sera pas le cas, puisque nous voyageons en W, séparée de la J par le galley, dans lequel nous croisons l'une des PNC qui nous reconnaît et nous lâche un souriant "Hey it's great to see you again !". Une effusion qui sera vite tempérée dans les faits par la nature scandinave de nos hôtes.
La cabine W est assez grande, puisque configurée en 2/3/2 sur 8 rangées, soit 56 sièges tout de même.

Cela fait une bien longue cabine W, à laquelle on est pas forcément habitués. Cela étant, Air France a opté pour une cabine W de 48 sièges dans ses nouvelles configurations, ce qui traduit l'intérêt croissant pour cette classe de voyage.

SK a retenu le siège MiQ de Collins Aerospace, un recliner sans coque fixe. Sur chaque siège sont disposés oreiller, couette et trousse de confort.


Des écouteurs sont par ailleurs déjà présents sur les tablettes centrales. C'est moins qualitatif que les casques que l'on trouve en W sur d'autres compagnies.

J'ai déjà vu cette marque d'eau sur une autre compagnie.

Les patères sur le bulkhead permettent d'accrocher nos vestes. Pratique, sauf que les PNC nous demaderont de les ranger pour le décollage, ce qui fait perdre l'intérêt même de la patère.

Le pas est correct, mais il n'est pas possible d'étendre ses jambes complètement.

Les consignes de sécurité.

Terminons le tour de mon environnement avec les commandes de siège : côté droit deux boutons, l'un pour l'IFE (encastré dans l'accoudoir) et l'autre pour le repose-jambe.

Côté gauche le bouton l'inclinaison du siège, ainsi la commande de la lumière et l'appel PNC.

Une prise est disponible dans le montant du siège (pas intuitif à trouver d'ailleurs).

Enfin, une tablette cocktail rétractable se trouve dans l'accoudoir central.

Si l'on passe à la "trousse" de confort, celle-ci rivalise avec celle distribuée en business sur LH.

Le contenu est indigent, mais on y trouve l'essentiel.

Nous n'allons pas tarder à repousser. A nos côtés, un 737 Alaska Airlines et un 777 ANA.

La cabine W est bien pleine, mais étonnamment les coffres à bagages sont bien vides.

Nous repoussons pratiquement à l'heure, avec quelques minutes de retard. De ma place côté hublot (que m'a aimablement laissé mon comparse), j'ai une vue imprenable sur le Rolls Royce Trent 772-60B, à la couleur rouge délavée typique de SK. Contrairement à plusieurs compagnies (LX ou NH que j'ai empruntées récemment par exemple), les premiers rangs de W ne sont pas positionnés sur l'aile et offrent donc une meilleure vue.

L'éclairage passe en mode moodlighting pour le décollage.

Le roulage durera une dizaine de minutes (plutôt rapide pour JFK), avec un décollage en piste 13L, qui offrira une belle vue sur Long Island (à défaut d'une vue sur la plate-forme aéroportuaire).

Un vol jusqu'à CPH rallonge un peu la durée du trajet par rapport à un départ de CDG ou LHR, avec 7h38 de vol prévues ce soir.

Rapidement, les PNC tirent les rideaux du galley pour préparer le service. Notons la paroi du bulkhead couleur bois, qui donne une touche scandinave. Quant au bidule qui pendouille au bout du câble rouge, c'est juste la rallonge de mon voisin. L'effet esthétique est discutable, je vous l'accorde, mais nous manquons cruellement de prise USB à nos places pour recharger nos appareils.

Aucun menu ne sera distribué, c'est dommage. Je me rabats sur l'IFE, en me disant que celui-ci s'y trouve peut-être, mais non. En revanche j'y apprends que SK propose un service d'apéritif dissocié du repas.

Etant au premier rang, nous bénéficions d'un service rapide puisque servis les premiers. Je demande un vin blanc, et la PNC me propose de goûter les deux disponibles.

L'apéritif sera mis à profit pour partir à la découverte de l'IFE. La géovision offre une belle définition, mais il n'est pas possible de naviguer à sa guise sur la carte, c'est frustrant.

L'offre de film est correcte, sans être mirobolante (77 films proposés).

Nous trouvons enfin la prise USB, disponible sur l'écran (et donc non utilisable avant le décollage).

Puis vient le service du repas. Il y avait un choix de plat, mais je ne me souviens plus de l'autre option. La salade est fraîche, le plat est léger pour un vol qui part si tardivement, cela me convient tout à fait. En revanche, on ne voit ni entrée ni dessert comme vendu dans la réclame de l'IFE (cf. plus haut). Par contre contre le contenu est en porcelaine et le verre en verre.

Le pain est chaud, ce qui le rendra mangeable…

Ah si, voilà le dessert : cette microscopique tranche de cheddar, accompagnée de ses irrésistibles crackers.

Une fois le "dîner" terminé, petit film et petit dodo. Lorsque j'ouvre un oeil, nous passons au large de l'Islande.

J'aurais bien dormi plus, mais je me trouve réveillé 10 minutes plus tard par l'allumage de la cabine pour la seconde prestation. Il reste alors presque 2 heures de vol. C'est beaucoup trop tôt !

Nous avons le choix entre un plat sucré et un plat salé, j'opte pour le sucré : cinnamon rolls with cream cheese glaze and candied pecans. Que j'accompagne d'un café et d'un jus d'orange.

C'est chaud et plutôt bon.

Nous arrivons en vue des côtes danoises vers 13h15 heure locale, après 7 heures de vol.

Vue sur le RR Trent en pleine action.

Nous abordons le Danemark par l'Agger Tange, dont la longue plage de sable se détache nettement.

Puis nous survolons le Limfjord, cette mer intérieure qui coupe la péninsule du Jutland.

Le temps est bien dégagé et les paysages sont magnifiques.

La ville d'Aarhus, la deuxième ville du Danemark après Copenhague.

L'île de Samsø.

Nous abordons la côte occidentale de l'île de Sjælland, où se trouve Copenhague. Les vues sont vraiment magnifiques.

Le fjord de Roskilde, qui entre profondément dans les terres de l'île de Sjælland.

L'aéroport de Roskilde.

Nous arrivons sur la côte est de Sjælland, en vue de Copenhague.


Superbe vue à l'atterrissage sur la plage de Sdvestpynten.

La ville de Copenhague est bien visible.

Cet Embraer SK devra attendre avant de décoller.

Nous voici revenus à CPH, avec au loin le terminal hors Schengen, où l'on devine les dérives EK, ET et TG.

Après un court roulage nous venons nous garer au terminal dédié aux vols US.

Un dernier regard à ce siège W, plutôt confortable.


Il est temps de récupérer nos affaires, qui portent encore les signes de leur passage au TWA Hotel ;-)

Une seule passerelle sera installée, en 2L.

Après le débarquement des passagers Business, c'est à notre tour de quitter l'appareil, sous les salutations cordiales de l'équipage. Les PNC auront été très souriantes avec nous, mais sans attention particulière.

Le débarquement est l'occasion de voir enfin le museau de 'Bele Viking', qui nous a conduit à bon port.

Autant dire que ce n'est pas la folie aux portes E de CPH…

Direction la PAF, à travers de grands couloirs déserts.

Deux files s'organisent, mais ce sera rapide vu qu'il n'y aura que les passagers de notre vol.

10 minutes seulement après avoir débarqué, nous voici en zone Schengen - ça change d'AdP !

Dans l'autre sens, personne non plus. Il faut dire que l'utilisation d'une zone dédiée pour les vols US, couplée à la faible fréquence des vols, optimise la fluidité.

Nous voici donc en zone Schengen, pas beaucoup plus peuplée.

Direction le salon SK, que nous n'avons pas eu l'occasion d'essayer à l'aller faute de temps.
Merci de votre lecture, et à très vite pour le dernier opus.
Bonjour
Et merci pour ce FR. Globalement SK fait le job pour cette liaison, même si les horaires ne sont pas vraiment adaptés.
Et on oublie le T7 à JFK pour tous ses aspects (pas de salon SK, bas de plafond, etc...)
Il y a quelques années (voire le siècle dernier), j'ai eu la même procédure à HNL
Bien trop tôt effectivement, et à la lecture des FR cela tend à se généraliser
A bientôt
Philippe
Merci pour ce commentaire. Comme vous dites, SK fait le job, c'est vrai qu'il aurait été intéressant de la prestation proposée sur un vol de jour.
Effectivement, l'allumage des cabines bien avant l'arrivée tend à devenir la règle, c'est d'autant plus dommage sur des vols TATL courts.
A bientôt.
Merci pour ce nouveau récit Stephane. Un terminal en fin de vie et pas de salon : le voyage ne commence pas très bien et c'est assez incompréhensible que SAS ne propose pas de salon au départ d'une destination comme New-York.
A bord c'est beaucoup mieux avec une cabine confortable. le catering n'est pas si mal pour de la W et j'apprécie que l'accent soit mis sur le petit déjeuner compte tenu de l'horaire. L'horaire de retour empiète beaucoup sur le jour d'arrivée et un départ plus tôt serait plus agréable à l'aller comme au retour.
Merci Christophe.
En fait SK dispose de son propre salon à EWR, sa base naturelle à NY, mais effectivement c'est étonnant que les compagnies *A ne se soient pas mises d'accord pour proposer une offre commune de salon à leurs passagers.
Comme tu dis, catering correct pour de la W.
Parfaitement, un départ quelques heures plus tôt ne ferait pas perdre bcp de temps à NY et permettrait de gagner du temps le lendemain.
A bientôt.
Hello Stéphane, content de lire ton ressenti de ce vol.
Le T7 est sympa, si tant est qu'on reste à l'extérieur serais-je tenté de dire :)
J'avais zappé le corner Macallan; l'endroit le plus agréable du terminal!
Cette cabine J est toujours aussi belle, et j'y aurai bien posé mon séant, et la W est assez importante en nombre de sièges comme tu le soulignes.
Ce siège m'a semblé assez étroit, malgré mon gabarit "contenu" si je peux dire :)
Notre prise USB sur ce rang 1 étant sur l'IFE, impossible de l'utiliser pendant le roulage, donc solution de secours avec ma configuration sur l'écran central !!
Les prestations sont moins convaincantes que devant le rideau, il n'y a pas à dire.
Belles photos à l'approche.
Merci encore pour ce récit et je pense que tu finiras la rédaction de ce routing avant moi (même si tu l'as commencé après...)
Merci amigo.
Le T7 est sympa, je n'irai pas jusque là quand même, même si effectivement l'extérieur ne laisse pas présager de la nullité de l'intérieur.
J'ai du mal à te croire...
J'aurais bien fait le retour aussi en J, mais je ne suis pas certain que l'upgrade aurait justifié son coût, vu la prestation semble-t-il très légère qui a été servie.
On s'attend à mieux quand on voyage en W, mais ça reste une prestation Y améliorée.
A bientôt !
Merci Stéphane pour le partage de ce vol retour !
Le T7 est en effet l'enfant pauvre de JFK, après le T1 n'est pas beaucoup mieux, toujours blindé, mais là on est franchement au bord du gouffre.
"Only" 60$ l'entrée au salon pour un "day pass" de "3H" ... Ca fait cher de l'heure et encore je présume que c'est HT.
A bord jolie et grande cabine W, j'aime bien.
Je présume que comme le petit déjeuner est servi chaud, c'est le diner qui fait office de collation ce qui explique l'absence d'entrée et de dessert.
A bientôt !
Merci Stephan de ton commentaire.
Oui, c'était HT. Vraiment n'importe quoi.
Effectivement, le pdj est chaud, ce n'est pas illogique au vu des horaires. Mais dans ce cas il ne faut pas annoncer entrée et dessert sur l'IFE.
A bientôt !
Si j'ai été pas très loquace sur le vol aller, tu m'excuseras d'être moins expansif sur ce report
Il faut dire que le terminal 7 et l'horaire, pas de la muerte, mais presque donnaient déjà un aperçu peu flatteur de ce que pouvait être le vol.
Plus de 50 sièges Premium Economy, il y a de quoi rester dubitatif devant une si grande cabine. D'ailleurs, avec la venue des low-cost sur les longs-courriers et notamment les TATL, la tendance n'est-elle pas justement d'aller vers le haut de gamme?
Mais au fait, et ce Star Gold?
Merci Stéphane
Merci Bernard pour le commentaire.
Pour ma part je t'ai trouvé plutôt loquace ;-)
Au premier rang, ça ne gêne pas. Je pense que la W, bien tarifée et avec un service suffisamment différencié de l'Eco, a vraiment du potentiel. A voir dans la durée !
Renouvelé haut la main ?. La reprotection sur LH au retour de JNB a bien aidé quand même...
A bientôt.
Curieux d’avoir Aer Lingus dans ce terminal alors que tout IAG est au T8.
50+ sièges en Premium c’est beaucoup mais si elle était pleine, c’est que SAS a le marché pour. Le siège à l’air bien, suffisamment confortable. Le legroom aux autres rangées est similaire ou plus restreint?
Merci pour ce Fr
Merci Moritz pour le commentaire.
Curieux surtout qu'Aer Lingus ne soit pas parti en même temps que BA.
Je pense qu'il y a un vrai marché pour la W et pour en remplir de grandes cabines, pour autant que le tarif soit adapté et la prestation suffisamment différenciée de la Y.
Je n'ai pas trop fait attention pour le legroom aux autres rangées, mais de mémoire ça avait l'air correct.
A bientôt.