Avis du vol entre Djerba et Tunis en classe Economique avec Tunisair Express

Bonjour à toutes et tous.

Ce vol devait être mon unique expérience avec Tunisair express, mais la vie de travelgeek étant semé d’embuche, ce sera donc ma deuxième expérience avec cette compagnie

Pour les explications, il est bon de se référer aux vols précédents, c’est facile avec le routing ci-après.

Alors, celle-ci sera un chouia meilleur mais pas non plus, dans la catégorie, bonne.

Non ce serait trop simple.

Alors que nous sommes à Djerba, en mode vadrouille, mes amis reçoivent, par mail, une notification que le vol UG11 est décalé à 22 :45.

Et comme pour le UG10, Miss Bretzel, peut toujours attendre d’avoir l’information, allez savoir pourquoi.

Quoi qu’il en soit si j’avais été seule, je me serais rendu à l’aéroport pour l’horaire d’origine et j’aurais eu droit à une longue attente.
Car sur FR24, aucun changement.

Le nouvel horaire ne nous arrange pas beaucoup, mais bon il faut faire avec.

On décide de rester à la piscine, puis de manger chez notre hôte, la cuisine de la maman étant extraordinaire.

Puis ce sera un taxi pour rejoindre l’aéroport.

Aéroport international de Djerba-Zarzis

Une vue du terminal (photo prise deux jours avant lors de la restitution de la voiture de location).

Et celle-ci lors de la récupération du véhicule.

Nous voilà un peu plus de deux heures avant le vol.

Il y a pire que nous, les pauvres lyonnais devaient décoller avec Tunisair à 07 :05 et l’embarquement est à peine en cours…

UG9 affiche également un nouvel horaire, et heureusement pour nous il n’a que 45 minutes de retard.

Moi je note le vol Nouvelair pour Basel, c’est chez moi !!

Pour accéder au terminal il y a un scanner des valises derrière ces panneaux vitrés.
La décoration est typiquement djerbienne.
D’ailleurs en ce même jour Djerba est rentré à l’Unesco, un point de plus dans ma longue liste de « déjà fait ».

Évidemment il n’y a pas grand monde.

Les comptoirs sont vides.

Mais alors vraiment vide. Il va falloir que nous attendions un agent.

Et plutôt que de faire le pied de grue, nous allons trouvez des sièges.
Un car de touriste dépose sa cargaison de « biscottes » (ne pas s’en offusquer, merci c’est du second degré)^^ Enfin ici on pourrait dire des Biscotti, car c’est le vol pour Rome.

Niveau architecture, l’aéroport est très agréable, haut de plafond et très lumineux (même artificiel)

Nous voyons deux passagers repartir des comptoirs, l’enregistrement a donc ouvert.

Notre passage sera rapide, et j’hérite d’un hublot.

Un passage aux commodités pour juste vous montrer le panneau « women » qui représente justement une tenue djerbienne.
J’apprécie cette mise en avant de la culture spécifique de l’île.

En cas de problème nous pourrions allez ici, mais ce ne sera pas nécessaire.

Contrairement à Tunis, l’enregistrement se fait au niveau international, mais pour la suite c’est au bout du couloir après les arrivées.

C’est-à-dire : ici…. Bon il n’y a pas foule.

Mais alors vraiment pas.

D’ailleurs c’est fermé.

On décide donc de faire demi-tour et de se poser à côté d’un point de recharge pour nos appareils énergivores.

Nous ne serons pas les seuls à avoir la même idée.

Un agent en uniforme se dirige vers la zone domestique, nous supposons (comme nos voisins) que cela signifie que la porte magique va être ouverte.
Eh bien oui.

Nous pouvons attendre maintenant ici, dans cette grande salle.

Quel calme…

J’observe notre avion qui arrive, il est 23 :00.

Mais personne en porte.

Je compte les passagers et nous sommes à peine 14 paxs.
Et même si l’avion n’est pas loin, nous devons monter dans un bus.
Qui n’est pas un inconnu pour nos amis parisiens.

Ici aussi les photos d’avion ne sont pas les bienvenues, alors je fais vite.

A BORD DU VOL UG11 A DESTINATION DE TUNIS

La cabine.

Avec 14 passagers, je suis tranquille, pas de voisins.
Le pas me va bien.

Encore une fiche qui finira chez des collectionneurs.

A 23 :20 nous décollons en mode bleuté.

J’ai une vue sur le moteur et l’hélice.

Pour le reste du vol je bouquine, il n’y aura aucun service.

Puis nous arrivons sur Tunis.
Je m’essaye à quelques photos de nuit.

On se pose bien brutalement, aucun doute nous sommes au sol.

Aéroport international de Tunis-Carthage

Roulage assez rapide vers le point de stationnement des deux ATR.

A minuit 15 on monte dans un deuxième bus (avec visiblement le même fournisseur).

Depuis le bus, la photo de la dérive est mieux.

Nous faisons quelques mètres, puis nous entrons dans le hall du carrousel.

Nous n’avons que 35 minutes de retard, on ne va pas se plaindre, même si l’horaire est pour moi difficile.

La livraison sera rapide, mais avec aussi peu de passager on ne s’attendais pas à autre chose.

Direction la sortie, avec un goût de déjà-vu.

On prend le premier taxi pour notre hôtel, ce n’est qu’un stop pour dormir, car nous revenons à l’aéroport dès le lendemain matin pour récupérer notre voiture de location.

Merci pour la lecture et les commentaires.

Place maintenant au bretzel bonus, juste en dessous.

BRETZEL BONUS