Avis du vol entre Rome et Paris en classe Economique avec Transavia

Intro

Depuis plusieurs mois j'ai accéléré mes voyages aériens à la découverte, notamment des "pays de l'est", et particulièrement de la Pologne dont je suis tombé amoureux ! Les villes sont splendides en plus d'être peu onéreuses.
Je souhaite aller à Zakopane, située au pied du massif le plus important du pays, les Tatras, dans les Carpates polonaises.
Cette ville de seulement 27 000 habitants, que l'on dit aussi la "Chamonix polonaise" est la 3ème destination de Pologne (avec 3 millions de visiteurs par an) après Varsovie et Cracovie.
J'ai une fenêtre de tir assez courte de 6 jours en septembre.
Seulement voilà, les billets au départ de France sont plutôt chers.
Je demande conseil à l'ami Gben, qui a toujours de bons tuyaux à partager et il m'aidera à construire un routing "alambiqué" au départ de FCO.
1) ce sera mon 1er routing alambiqué, et j'adore être hors des sentiers battus !
2) ça me permet de me rendre et de profiter de plusieurs destinations, dont un après-midi plage,
3) et ça me permettra d'avoir de l'avance en XP pour dans 2 ans, car pour cette année c'est déjà ok

Après 3 nuits passées à Zakopane, qui était le but de mon voyage, il me faut maintenant rentrer par le chemin inverse !
Arrivée la veille à Rome, j’entame le dernier tronçon pour rentrer à Paris.
Voici le routing :

Il faut me rendre a FCO

Mon vol étant en fin d'après-midi, j'ai profiter de cette journée pour me balader dans le centre historique. J'ai quand même fait 11 km à pied !
A l'heure prévue, je me rends à la gare pour prendre le Leonardo Express en espérant que j'aurai plus de chance que la veille au soir.
Eh bien non, le hall de gare est bondé et tous les trains accusent de longs retards. A ce que j'ai compris, il y aurait eu un mort sur les voies….

Il y a eu aussi une longue queue aux distributeurs de tickets (il faut d'abord trouver le bon car tous les distributeurs ne vendent pas du Léonardo !). Ensuite, ce distributeur n'est pas du tout intuitif car il faut rechercher comme destination : "Fiumicino" pour qu'on vous propose l'aéroport. Car si on tape "Aéroport", "Airport" ou encore "FCO", l'automate ne connait pas !
J'ai toujours pensé que les concepteurs, d'une manière générale, devaient faire tester leurs produits par des utilisateurs étrangers (au produit) pour voir si c'est intuitif ou pas…
Bref, je fini par obtenir un ticket et monter in extremis dans le train.
Me voici arrivé à l'aéroport.

a la sortie, un FIDS permet de connaitre son terminal et de s'y rendre.

Pour moi ce sera le T1. Il y a du monde !

J'y suis presque.

Il faut descendre d'un étage.

Les comptoirs TO sont vers le milieu du terminal. Devant moi, il y a une équipe sportive turque.

Bonne nouvelle : il n'y a aucune attente !

ou presque.

Le sésame est obtenu rapidement. Je demande si je peux mettre également mon deuxième bagage en soute. L'hôtesse me répond que oui. Puisqu'il faudra que j'en récupère un, autant mettre les deux et rester libre.
Il me semble que ce n'est pas le nombre de bagage qui compte, mais le poids. Mais pas sur…

Direction le PIF, qui sera passé rapidement car il n'y a pas besoin de tout sortir de ses bagages.

Passage par ici : je commence à connaître le chemin !

Les produits italiens sont mis en valeur. La cinquecento n'a pas bougé depuis 4 jours !

C'est ici qu'il faut aller : soit à gauche….

Soit à droite. Et comme les vols ne sont affichés que 2 heures avant il faut patienter ici. Sauf si on connaît les lieux. En l'occurrence c'est à droite que partent et arrivent les vols AF et TO.

La grande baie vitrée permet de voir les avions sur le tarmac.

On peut aussi jouer aux échecs !

Il a l'air de s'ennuyer celui-là !

Des avions en veux-tu en voilà.

Ma porte étant en A70, c'est par là.

Pas de volontaire aujourd'hui ?

KL pour AMS.

Les œuvres d'art du site antique d'Ostie sont toujours là, elles aussi.

J'arrive enfin, après une bonne marche, dans le hall.

Ma porte est tout au fond à gauche. La signalétique est efficace.

Mon destrier arrive de Paris - ORY.

Tandis qu'en face, AF est en partance pour CDG

En plus d'être efficace, le graphisme est beau.

Pendant que je regardais AF partir, l'embarquement a débuté et je me retrouve très loin.

Fuselage shots.

Et instant porte.

A bord

Me voici installé.

la pochette contient la notice.

Les bons plans shopping.

Et le menu. (et sans doute le magasine).

Fermeture des porte.
Chouette, c'est encore Casper qui m'accompagne.
Du coup, mon voisin, qui a passé tout l'embarquement au téléphone, à régler des problèmes de cœur à haute voix,  en en faisant profiter une partie de la cabine, et en répétant sans cesse "je m'en bas les c……" migre au siège C.
Dommage que je ne fus pas sur l'autre rangée où j'ai retrouvé mes voisins du vol aller. On aura l'occasion d’échanger après le débarquement.

On repousse.

Il y a du trafic.

C'est parti.

Le décollage est face à la mer.

Avec la ville de Fiumicino.

C'est l'heure de l'apéro : alors un peu de champagne pour fêter mon routing réussi !

Le soleil commence à baisser ce qui donne de belles couleurs.

Nous traversons les Alpes.

Et ça sent la fin avec Nemours.

Forêt de Fontainebleau et de la Commanderie.

Achères-la-Forêt.

Maisse, près de Milly-la-Forêt.

Étampes.

Échangeur d'Ablis.

Forêt de Clairefontaine. On aperçois le centre national de Football, et Rambouillet au loin.

Limours.

Gometz-la-ville.

Les Ulis.

Nationale 118, avec Mondétour à gauche, et la zone d'activité de Courtaboeuf à droite.

Villebon-sur-Yvette et le plateau de Saclay au fond.

Palaiseau.

Vue sur Paris avec la tour Eiffel et la tour Montparnasse.

Posé. Il nous reste à rejoindre le terminal.

ORY

Au contact.

Pour finalement….

prendre le pax bus !

Les bagages arriveront 10 mn plus tard.

Le vol selon FR24

Petit bonus de Rome

je m'offre une petite balade le long du Tibre, Ici le magnifique pont Sixte.

L'incontournable place Saint-Pierre et sa Basilique.

Château Saint-Ange (ou mausolée d'Adrien) et le pont Saint-Ange.

Je poursuis vers la place Navona avec la fontaine du maure. Elle est construite sur les ruines du stade de Domitien.

Puis vers le Panthéon qui ne se trouve pas très loin. Il fut construit sous Agrippa, au 1er siècle avant JC.

Dans le même secteur se trouve la célèbre et magnifique fontaine de Trévi.

Un passage par la Trinité des Monts.

En bas de laquelle se trouve la place d'Espagne avec la magnifique fontaine Barcaccia, œuvre du Bernin (en fait "des" Bernin, père et fils !).

Afin de me rendre au Colisée, je passe par le monument à Victor Emmanuel II, monument dédié au 1er roi d’Italie et aux soldats de la 1ère guerre mondiale. il est raillé par les romains sous le nom de "machine à écrire".

Et enfin le Colisée, sous toute ses formes !

Avec, à proximité, l'arc de Constantin.

Je ne pouvais pas conclure sans une (deux) Cinquecento !