Bonjour à tous chers lecteurs,
Nouvelles virée automnale avec plusieurs objectifs encore cette fois. Après un séjour express au Maroc le mois dernier, c’est un azimut tout différent, aux antipodes du Maghreb, qui me guide pour ces deux jours.
J’avais pu lire (dans air-journal.fr) il y a quelques semaines que la SAS exploitait pour encore quelques semaines ses derniers Boeing 737, avec un dernier vol prévu en date du 19 novembre, soit moins de deux semaines après le vol de ce jour. Cette sortie de la flotte de la famille des 737 avait été décidée au printemps 2018 avec pour objectif leur élimination totale fin 2023 ; les délais que s’étaient fixés le conseil d’administration de SAS ont donc été respectés. Le COVID-19 n’a pas précipité les choses.
Au moment où j’écris ces lignes, il en reste seulement trois à l’effectif : LN-RPJ, LN-RRA et LN-RRB. Il était grand temps de réserver un vol. Après quelques recherches, je vois que la paire de vols SK 837 et 834 (OSL - CDG et retour) est justement assuré avec cette machine volante. Bien que je ne sois pas fan de cette famille d’avions, ça cogite fort dans ma tête et je me dis que je peux combiner à la fois ce « quasi » vol d’adieu avec une fameuse cinquième liberté aux couleurs éthiopiennes qui relie deux capitales scandinaves. Quelques clics plus tard, me voilà nanti d’un CDG - OSL et d’un ARN (Stockholm) - OSL - CDG avec la SAS. J’ai bien sûr quelques craintes quant à un changement d’appareil, la flotte des 737-700 étant tellement réduite. C’est pour cela que j’ai réservé ce routing pour revenir à Paris, pour multiplier par deux mes chances de voler sur un Boeing aux couleurs de la SAS.
Enchainement de vols
- 1Paris CDG - Oslo OSL - SAS SK 834 - Eco - Boeing 737-700
- 2Oslo OSL - Stockholm ARN - Ethiopian ET 715 - Business - 777-200LR
- 3Stockholm ARN - Oslo OSL - SAS SK 843 - Eco - Airbus A320neo
- 4Oslo OSL - Paris CDG - SAS SK 837 - Eco - Boeing 737-700
Objectifs divers pour une virée serrée
Comme décrit plus haut, l’objectif « déclencheur » a été l’annonce de la fin imminente du 737 dans la flotte de la SAS. Mais dans les cibles que je me fixe généralement, il y a ceux d’ajouter de nouvelles compagnies et de nouvelles plateformes. N’ayant jamais encore mis les pieds à OSL et ARN, et n’ayant pas encore volé avec la Scandinavian Airlines System, je fais d’une pierre deux coups… et même trois coups en programmant en plus la cinquième liberté d’Ethiopian Airlines qui relie la capitale norvégienne à celle de la Suède. C’est rare que les planètes soient aussi bien alignées !
Pour en revenir à la SAS, ce n’est pas la grande forme financière, et ce depuis quelques années. La crise du COVID-19 n’a évidemment pas arrangé la situation et la compagnie s’est même placée sous le chapitre 11 de la loi sur les faillites des États-Uni, c’est dire… Depuis, ça va un peu mieux mais il reste du chemin à parcourir. L’Europe n’est pas à l’abri de la disparition de ses grandes legacies, on peut évoquer les cas de la Sabena, Alitalia, Swissair, Malev.
Voici un petit focus sur cette vieille compagnie qui a su traverser le temps et à qui on souhaite un bel avenir.
La Scandinavian Airlines System a été fondée le 1er août 1946, par la fusion progressive des compagnies aériennes norvégiennes, danoises et suédoises. À noter que la Finlande, bien que « scandinave », ne s’est jamais associée à ce mariage.
Dès les années 50, la compagnie se fait remarquer en ouvrant une ligne de Stockholm à New-York puis une de Copenhague à Los Angeles grâce à des DC-6 en passant par le Pôle Nord.
1965, la SAS est la première compagnie européenne à adopter l’informatique pour son système de réservation. Gageons que celui-ci ait évolué depuis !
En 1982, c’est l’arrivée des 747 dont le dernier sortira en 1997.
Dans les 80, la SAS est régulièrement primée pour sa ponctualité et elle est même classée meilleure compagnie au monde.
En 1997, aux côtés de la Lufthansa, la Thai Airways, United Airlines et Air Canada, elle font la Star Alliance.
C’est à cette époque-là aussi que le vent tourne, un vent de mauvais augure. Les compagnies low cost au premier rang desquels Ryanair ou bien évidemment Norwegian.
Comme pour tout le secteur aérien, la crise sanitaire de 2020 à des effets désastreux sur la compagnie qui se déclare en « faillite » en regard du droit américain.
2023, Air France-KLM rentre dans le capital de la SAS à hauteur de 150 millions d’euros. La compagnie scandinave sera-t-elle forcée de quitter l’alliance qu’elle a fondée ? En attendant, entre la rationalisation de la flotte (100 % Airbus en LC et en MC), la livraison d’A321neo pour les vols transatlantiques (et tant pis pour le confort à bord), on souhaite que les affaires reprennent pour de bon pour cette compagnie qui a marqué l’histoire du ciel européen et qui pourrait encore en écrire de belles pages à l’avenir.
La flotte de la SAS à ce jour est composée de :
- 6 ATR 42/72
- 4 A319
- 11 A320ceo
- 36 A320neo
- 3 A321neo (qui assurent des vols transatlantiques)
- 7 A330-300
- 3 A350-900
- 3 737-700 pour quelques jours encore.
- 15 CRJ-900.
Enfin, deux hubs principaux à Copenhague (CPH), l’autre à Stockholm-Arlanda (ARN) ; un hub secondaire à Oslo-Gardermoen (OSL).
DIRECTION CDG T1
C’est en low cost que je me rends dans la grande plateforme parisienne… non pas par la voie des airs, mais par la voie ferroviaire, à bord d’un Ouigo. Le pas est correct, mais pas de lecture.

Pas de lecture ? Si, il y a celle-ci, bien entendu. Elle est très enrichissante en plus d’être intéressante.

En tout cas, chemin faisant, je suis rassuré quant à l’objectif premier de ma virée. Ce sera bien un 737. Ouf !

Partis bien à l’heure de Lyon, nous arrivons un peu en retard suite à un signal d’alarme tiré sans raison. C’est pénible le public low cost.

Même quand je suis de passage uniquement pour le mode ferroviaire, je ne peux m’empêcher de baver rêver devant ce grand tableau.

Direction le VAL pour rejoindre CDG 1, notre claquos national.


Il n’y a pas foule, les opérations préalables devraient être une formalité.


Pour ce premier vol avec le SAS, je me devais de garder un souvenir cartonné. Je snobe donc la première ministre borne pour me rendre aux comptoirs. Et je suis le seul à quémander ce support, ça va donc très vite. Par contre, la préposée n’a jamais pu me sortir mon BP pour mon segment ARN - OSL de demain matin, malgré l’appui de sa manager. On verra ça plus tard.

La carte d’embarquement incomplète.

On continue le chemin.



Et l’endroit le plus insolite de CDG.
Ba moin en tuyau, dé tuyaux, twa tuyaux doudou…
Pffffff ! Mais où je vais chercher ça ?


Direction le satellite numéro 5.

J’aime bien ce passage aussi qui donne l’impression d’être dans un film des années 70.

Passage du PIF annoncé en cinq minutes. Pari tenu ?

Et moins de deux minutes plus tard, c’est réglé avec le sourire. Qu’est-ce que c’est calme aujourd’hui, à cette heure-ci. Paris tenu ? Paris vous aime, c’est écrit partout. Si si !
Pas le meilleur endroit pour spotter
Je tombe sur ce 767-300 aux couleurs d'Icelandair. Lui, j'aimerais bien le logger, mais quand je vois le montant s'un aller simple, ça refroidit un peu les ardeurs. Surtout que cette ligne, je l'ai déjà faite, mais en 757-200, il y a une vingtaine d'années.


Je surveille bien entendu l’approche de mon Boeing. Le voici au dessus du plat pays.

Autant en janvier dernier, pour partir à Dublin, j'avais pu apprécier le T1 et ses jolis points de vus. Mais le satellite numéro 5, c'est vraiment pas terrible. Voici donc ce que ça donne quand même…
On commence par cet A350-900 d'Air China B-1085, qui s'en va vers le seuil de piste pour partir vers Pékin, en vol CA 876.

Je me suis fait un peu surprendre par ce Dreamliner à la belle livrée pour les 75 ans de la compagnie. 787-9 HZ-ARE, en provenance de Jeddah, vol SV 127.

En provenance de Koweït-City, le vol KU 167 avec le 777-300ER 9K-AOD.

Plus local est cet A350-900 d'Air France qui arrive d'Abu Dhabi (vol AF 639). Il s'agit de la dernière ligne ouverte par la compagnie nationale.

J'en parlais plus, le voici sur le départ. 767-300 TF-ISW pour Keflavik, vol FI 543.

Et voilà l’objet de mes désirs qui s’aligne dans l’axe de la 27R.

Le voilà au loin…

… et enfin d’un peu plus près.

Voici le pedigree de ce futur retraité, finalement pas si vieux.

Bien que je ne sois pas fan des 737
Je dois l'avouer, je n'ai jamais été un grand fan de la famille des 737 ; ça ne fait pas de moi un "anti-Boeing", car j'adore les machines telles que les 707, 747, 777, à la rigueur les 787.
Le 737, je n'aime pas trop son nez, le fait qu'il soit au ras du sol, mais là, cette sortie imminente de la flotte m'a conduit à réserver ce vol. Et puis dans cette famille, ce ne sera que mon second vol en -700, le premier étant au dessus du Pacific, en avril 2014, de GUM à TKK, aux couleurs de United.
Avec cette première avec la SAS, j'engrange aujourd'hui ma 45e compagnie.
J'attends l'appel de la 5e zone.
Les priorités sont respectées, le vol est à l’heure, c’est très fluide, c’est un sans faute. Honnêtement, c’est un vrai plaisir que de prendre l’avion aujourd’hui au départ de CDG.

Les gueux du fond de cale sont enfin autorisés à embraquer.

Instants embarquement imminent.
Fuselage avec l'ancienne livrée SAS - un seul a porté la nouvelle livrée, le SE-RJX, stocké très récemment.

Ça bouchonne, ce qui me laissera un peu de temps pour…

… le second instant.

À bord d'un quasi retraité
Accueil tout sourire et discussion rapide. C’est le dernier vol en 737 pour le CCP.
Bon, on rentrant dans ce coucou quasi retraité, on voit bien que l’aménagement intérieur n’est pas du dernier cri. Ça sent la sortie de flotte. Pour autant, rien à redire en ce qui concerne la propreté de l’appareil.
Le siège, qui s’avérera confortable (pris en photo à l'arrivée). Moi qui suis exigeant sur cet aspect, je peux dire que ce type d’assise est acceptable. Comme quoi, Recaro peut réaliser du matériel convenable.

C’est même inclinable. Notez le petit logo SAS, cousu à la housse. Ça, je ne sais pas comment ça s’appelle, mais j’aime bien cette petite touche d’élégance aux couleurs de la compagnie.

Le pas. Correct, sans plus. L'appareil compte 141 places.

La tablette, d'une taille assez généreuse.

La patère, que j'ai découvert bien plus tard.

La pochette et son contenu.

Dans le détail.

Détail du BoB, dont le choix est assez contraint.



La safety card, recto et verso.


L'offre wifi que je n'ai pas essayée.
À noter qu'il existe un port USB. La charge n'est possible qu'en croisière ; la descente amorcée, la prise ne sera plus alimentée non plus.


L'ambiance générale à bord.

Instant F-OITN

Un indéniable côté rétro, mais j'aime bien.

La boucle, anonyme, qui en a vu.

Cette forme des hublots, si caractéristique.

Direction la Norvège
À 14h05, nous sommes au complet. Le reflueling est terminé depuis quelques minutes.
Nous repoussons à 14h05 et le taxiing débute à 14h09 avec un passage devant le calendos.

Bien que nous arrivons par la droite, nous cédons le passage à ce 737-800 d'ASL (F-HIXA) qui vient de se poser en provenance de Bejaia, vol 5O 388.

Un résumé du Moyen-Orient au contact du T1, avec deux 77W (Qatar Airways et Kuwait Airways) et un A388 d'Emirates.

À 14h16, nous sommes alignés sur le seuil de la 27 gauche et une minute plus tard, les gaz sont mis.
Et hop !

À la croisée de la Francillienne (A 104), de la D 317 et de la ligne nouvelle LN 3 de Paris à Lille et Calais.

À nos pieds, le nouveau terrain de jeu de Tango_Bravo388, la gare de Goussainville. Mais que c'est beau !

Puis entrée dans la purée de pois. M'est d'avis que le prof de géo sera en chômage technique aujourd'hui.

Sortie de purée à venir.

Et voilà !

La tête dans les nuages
Faute de paysage à regarder, de fleuves à deviner, de villes à nommer, de gares à trouver, on regarde le tapis nuageux. C'est moins exaltant, bien évidemment.
À 13h46, nous sommes en croisière au FL410.
Puis arrive l'heure du service.

Un premier passage du chariot. Café ou thé. C’est gratuit compris dans le billet.
Café ou thé, le choix est limité. Il n'est pas proposé autre chose, notamment solide. Le tout est servi avec le sourire.

Air to air avec un inconnu.

Puis l’hôtesse passe me revoir pour me servir un morceau de pizza. J’avais complètement oublié que j’avais réservé cette prestation.
Avec une pièce de 50 centimes d’euro, histoire de donner un peu l’échelle.


C’est servi très chaud. C’est correct mais un peu cher pour ce que c’est. Ce sera une partie de ma contribution pour redonner une meilleure santé financière à SAS.

Faute de paysage, on s'extasie sur ce qu'on peut.

Vu la couverture nuageuse, je me suis autorisé un petit black-out.
Deuxième passage pour le café. Vraiment, le personnel est souriant.
Gros plan sur le winglet.

À 15h42, TOD, top of descent.
À 15h46, un trou dans les nuages. Pas facile à trouver ce bled norvégien.

Il s'agit maintenant de réduire un peu la vitesse.

Retour dans la crasse



Norvège en vue !

Comme on peut le voir, il a neigé il y a quelques jours.


OSL - OSLO-Gardermoen
Nous nous posons sur la 01 droite.

Sortie rapide.

La météo n'est pas de la partie, et vu la lattitude, il fait déjà bien sombre. Pour les photos, ben voilà. Au loin, on distingue deux Dreamliner de Norse qui attendent des jours meilleurs.

Et sur cette photo, on peut voir le petit frère, le LN-RRB, celui qui aura les honneurs de clôturer dans quelques jours l'histoire des 737 de la Scandinavian Airlines System.

Le voilà une fois repoussé qui s'en va assurer un A/R vers BGO (Bergen), vols SK 273 et 280.

On en sacrifie pas à cet instant classique, même sous ces tropiques nordiques.

C’EST DANS LES VIEILLES CASSEROLES QU’ON FAIT LES MEILLEURES SOUPES
Je sors le dernier. Sortir, pas tout à fait. Je vais échanger quelques mots avec les PNT sur cette fin prochaine. Ils me confirmeront que c'est bien le LN-RRB qui sera désigné pour le vol d'adieu. Je leur indique que demain, je prends le vol vers Paris, soi la même rotation qu'ils viennent d'effectuer. Grâce à leurs applis internes, ils m'indiquent que ce sera bien un 737 et que c'est le fameux Romeo-Bravo qui sera déployé. J'ai donc de la chance.

Dernière vue de la cabine, bien vide. La journée n'est pas pour autant finie pour le Romeo-Alpha, puisqu'il y a encore une rotation vers BOO (Bodø) avec les vols SK 4122 et 4123. Pas de tout repos la vie d'un futur retraité !

Finalement, j'ai beau ne pas porter haut dans mon cœur ces 737, mais je dois bien avouer que cette (pas si) vieille casserole ne m'a pas laisser indifférent. D'une part, elle a marqué l'histoire du ciel européen et celle de la SAS. Mais à son bord, j'y ai trouvé une cabine certes austère mais confortable et propre. Les hublots sont larges et c'est dommage que je n'ai pas eu une belle météo. Dans l'ensemble, c'est une bonne expérience.
Le personnel était très avenant et agréablement surpris quand je leur expliquais les raisons qui faisaient que j'étais à bord de ce vol. J'ai trouvé ça appréciable - on ne peut pas dire que ce soit toujours le cas, nos voyages en mode avgeek étant parfois perçus comme suspects et accueillis parfois avec une forme de réprobation.
En ce jour du 8 novembre, le troisième 737-700 immatriculé LN-RPJ a cessé ses opérations. Et quand je regarde sur les derniers jours comment a été couvert ce même vol SK 934, je me dis que j'ai eu pas mal de chance d'avoir eu un Boeing. Il y a eu aussi des A320, des CRJ-900 ou même des 737-800, mais tout blancs.
Par ici la sortie
Je salue l'ensemble de l'équipage qui fait de même très chaleureusement.
Dernier regard sur ce nez si caractéristique.

Puis c'est le cheminement vers la sortie. Bien que je sois en correspondance, je choisis quand même d'aller prendre l'air dehors, avant de reprendre la suite de mon routing.
Le cheminement est assez long mais est cependant bien fléché.








Et me voilà dehors dans la fraîcheur d'une soirée d'automne norvégienne.
Notons qu'ici, on peut commander son taxi sur ces bornes.

Direction la gare - faut quand même pas oublier les fondamentaux ferroviaires. Ici un "Airport Express Train" ou en langue locale "Flytoget" qui relie en service dédié l'aéroport à la gare centrale d'Oslo en 19 minutes à la vitesse de 210 km/h avec des rames de type 71. Ça revient à 230 couronnes soit une vingtaine d’euros. D'autres moyens existent aussi, comme le bus.

Pour finir, le diagramme de mon vol, selon Flightradar24.

Merci de m'avoir lu.
Merci Greg pour ce FR.
Un super vol qui va rentrer dans les mémoires. Une très bonne prise pour ce B737-700 avant qu'il ne parte à la retraite. Un super vol avec un équipage au top, et content d'avoir un avgeek venu spécialement pour ce vol.
A bientôt pour la suite.
Merci à toi pour le commentaire.
Je ne sais si c'est une si bonne prise, mais je ne suis pas mécontent de mon coup. Le milieu aerien est un domaine qui évolue à grande vitesse et il faut être à l'affût de ce genre d'événements et surtout essayer de les exploiter au mieux.
Bons vols
Merci l'ami Lyonnais pour le (probablement) dernier report en 737 au couleurs SK. Entre 2 vols en 737 SK et une 5ème liberté avec Ethiopian, il faut dire que tu as été gâté ! Le thé / café gratuit est un plus par rapport à la simple bouteille d'eau d'LH.
À très vite pour la suite
Merci pour le commentaire.
J'en ferais encore un, pour le vol retour. Histoire de bien marquer le coup et d'une certaine manière, ma façon de rendre hommage à ces coucous.
Alors ce n'est pas gratuit, c'est compris dans le billet. Mais oui, on est bien d'accord, c'est un plus par rapport à une simple bouteille d'eau. Ça a un côté plus chaleureux, et je ne veux pas insinuer ici le fait que ce soit une boisson chaude. C'est plus sympa un thé ou un café.
Bons vols
Merci Greg pour le partage !
J'ai adoré le récit, les moments drôles et les phrases bien choisies, te lire est toujours un plaisir !
Joli log du 737-700, il fallait penser à le chercher celui là, pas de regrets pour moi, j'ai logé le 737-800 à la place. Tout comme toi, c'est un avion que je n'apprécie pas spécialement, il reste assez moche, même si c'est un avion mythique. Par contre je dirai pas non pour revoler sur un 732 !
A bord la cabine accuse son âge mais reste bien confortable. Pas grand chose à redire.
A bientôt pour la suite !
Merci pour ce FR.
Et pas seulement pour le fun d'avoir tiré le signal d'alarme du train.
J'avoue que j'ai du mal à comprendre car il n'y a rien de pire qu'un 767 niveau confort !
Quel dommage d'avoir connu FR.com sur le tard !
Pour les vols Schengen, certes. Pour les non-Schengen du T1, sans accès N°1, c'est beaucoup moins agréable.
J'ai pris un 777-200 NH hier (en configuration domestique) et la cabine était bien plus vintage avec en prime la connectique pour les écouteurs pneumatiques !
Les 737-500 LH étaient équipés de PSU encore plus vintage.
Tiré de FR24.com ?
Et un coup de pouce pour son intégration dans Skyteam. ;)
FFlyerCDG peut en dire quelque chose !
A bientôt.
Merci pour le commentaire number two.
C'est juste histoire de remplir ma vitrine en avions en 1/400e. Des heures de vol en 767, j'en ai pas mal, avec AC, AA et le summum de l'inconfort avec UX de MAD à HAV.
Eh oui, et quel dommage de ne pas avoir fait plus de photos, surtout avec les compagnies disparues, comme AOM ou la Lloyd Aéreo Boliviano.
On a hâte de voir le report !
Pour l'heure, de mon ressenti, pour le FL, de FR24 effectivement.
Bons vols
Bravo Greg pour cette prise ! Le 737-700 est un avion suffisamment peu courant et mérite ainsi amplement un détour avgeek, surtout quand il sert de préacheminement pour aller choper le 789 ET !
Cela me rappelle bien des souvenirs avec les derniers vols en MD-80 et 737-600 il y a déjà quelques années, toujours au départ de Paris.
En effet, les vols vers l'Islande sont hors de prix (bien malheureusement) mais au regard de la concurrence et si le 767 te dit toujours, ça vaut quand même le coup de casser sa tirelire. Et si l'Islande n'est pas ta destination finale, un vol vers les US ou le Canada via KEF devient par contre très vite très rentable tout en te permettant de combiner sur l'aller-retour tous les types en flotte ! (752, 753, 763, 7M9...).
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
Peu courant en Europe mais produit à 1287 exemplaires toutes versions confondues.
789 qui s'est transformé en 77L. Mais ça ne m'a pas dérangé, bien au contraire.
Quel dommage que je ne me sois pas penché sur le problème avant.
Et merci pour les conseils pour Icelandair.
Bons vols
Salut Greg et merci pour ce FR ! Un routing bien construit avec d'une part les deux vols prévus en 737 SK, ce qui multiplie les chances de l'avoir, et également l'inclusion de cette fameuse 5e liberté ET ! Je note d'ailleurs qu'elle est en 777, une chance que tu as eue car d'habitude c'est un 787.
Un vol très correct dans un avion qui certes fait un peu son âge, mais sans que ça soit synonyme d'inconfort ; et tu as eu la chance de tomber sur un bon équipage !
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
On s'arrache parfois les cheveux à monter des routings, mais là, ça a été ultra simple. Pour une fois, pas plus de stress que ça so ce n'est la crainte de voir le 737-700 remplacé par une autre machine.
Si on jette un coup d'œil à FR24, c'est assez mixé depuis plusieurs semaines. Jamais l'A359, mais une alternance 788/789/77L.
Quand en plus de l'objectif avgeek, le vol est agréable, que demande le peuple ?
Bons vols
Merci pour ce FR en mode nostalgie.
Un vol agréable grâce à un équipage pro et attentionné.
A bientôt !
Merci pour le commentaire.
Oui, je ne sais pas si c'est une généralité chez la SAS, mais sur les trois vols de ce routing, ça s'est bien passé.
Bons vols
Merci greg pour le FR 100% geek!
J'ai bien aimé l'humour et la bonne humeur du recit.
On voit pas si souvent le T1 de CDG ici. On voit pas souvent le 737-700 et la clairement on va en voir de moins en moins.
Les sieges on dirait des NEK avec un cote molletoné.
Merci pour le commentaire Christophe !
Faudrait-il créer un Goncourt report et pourrais-je y prétendre un jour ?
De l’autre côté de l’Atlantique, Southwest en exploite des palanquées. Mais en Europe, c’est une bête rare.
C’est exactement ce que je me suis dit.
Bons vols
Merci pour ce FR de passionné. Très bien rédigé et agréable à lire.
Merci pour le commentaire et les compliments.
Bons vols
Merci pour ce FR Greg!
Le dernier vol en 737 me tentait mais il a été rapidement plein.
Même si cela n'est pas le dernier dernier, c'est toujours sympa d'effectuer un vol comme le tien.
Nous nous sommes presque croisés à Oslo car j'en suis repartie le 6.
A bientôt
Merci pour le commentaire Noellie.
C’est bien souvent le cas. Je regrette d’ailleurs amèrement le dernier vol en 747 d’AF. Imposer de décrocher une place.
Oui, j’ai vu ça sur l’Airport meetup.
À bientôt