Avis du vol entre Port Elizabeth et Cape Town en classe Economique avec FlySafair

Bonjour à toutes et tous.

Après une formidable journée, nous sommes déposés à l’aéroport par notre sympathique guide.

Nous sommes largement en avance, la route a été plus rapide au retour.
Un dernier coucou à notre véhicule du jour (sûrement du même âge que l’aéroport).

Aéroport international Chief Dawid Stuurman

L’architecture de l’aérogare n’est pas des plus heureuse, un cube point barre.

Le nom complet de l’aéroport.

Vous vous demandez tous de qui il s'agit  (merci wiki pour la réponse):

David Stuurman était un chef khoi et un activiste politique qui s'est battu contre l'administration coloniale néerlandaise et britannique. Sa carrière active en tant que chef Khoi a duré vingt ans et les trois guerres Xhosa qui se sont déroulées au cours de cette période.

Cela n’est pas très vivant à l’intérieur. J’ai mon BP sur mon téléphone, je laisse donc mes camarades allez aux comptoirs pour récupérer un BP papier pour leur collection.

Flysafair c’est du Low Cost, mais c’est suffisant pour une telle distance. le prix du billet ? 1652ZAR.
De plus il est possible d’acheter de nombreuses options pour agrémenter le vol.

J’opte pour un siège au hublot (même si l’intérêt est limité pour un vol de nuit), mais au début de l’avion pour en sortir plus vite.
Je craque également pour l’embarquement prioritaire (le prix est dérisoire), mais soyons réaliste, cela n’a pas vraiment d’utilité n’ayant pas de bagage cabine. Je passe pour le reste, notamment un accès salon, même si à 13€ c'est un très bon prix (je ne pensais pas que l'un de nous allais y aller).

Un regard au FIDS, les destinations sont des hubs : JNB, CPT et Durban.

Pour s’occuper landside, on trouve un café et un magasin de sucrerie.

Bref, pas grand-chose.

Étant au complet, nous nous dirigeons vers les contrôles de sécurité.

Affiche exotique, avec ces chapeaux que l’on ne voit pas tous les jours.

Le contrôle est rapide.

L’espace airside est en rectangle, avec des belles baies vitrées.

Si on a faim, un café avec des sandwichs, ou des muffins.

Ou un stand de snacks (assez classique)

FR24 indique que notre vol sera en retard, mais cela n’apparait pas sur le FIDS.

L’attente ferra monter le stress d’un de nos camarades qui n’a pas du tout envie de rater son vol du lendemain matin et qui regarde s’il reste de la place sur le vol Airlink qui part 15 minutes après le nôtre.

Finalement plus de peur que de mal, notre avion quitte enfin le CAP , il ne reste plus qu’à attendre son arrivé.

L’embarquement commencera par l’appel des clients prioritaires (c’est indiqué sur mon BP)
Un de mes camarades se joint à moi et se fait passer pour mon mari, demandant à embarquer ensemble même si lui n’a pas l’option, cela lui sera accordé.
Quant à faire passer le reste du groupe pour nos enfants, cela ne marchera pas… (on se demande bien pourquoi)
Nous recevons un petit carton rose indiquant que nous avons été contrôlés.

La file « normale » sera de l’autre côté.

Bien la suite c’est en pédibus.

Deux avions Flysafair, il ne faudrait pas se tromper…

Deux airlink juste après.

Je suis la file.

La lumière est encore belle en ce début de soirée.

Escalier à l’avant et à l’arrière.

Fuselage shot.

a bord du vol fa135 direction cap town

La cabine, avec ce siège 1B qui n’est pas opérationnel.

Pour moi c’est ici.

Les amateurs de « safety card » sont forcément déçus, à moins de s’occuper à la décoller.

La carte du BOB.

J’avoue ne pas être tenté.

Le pas est très bon.

Le plafonnier.

Je suis chanceuse, pas de voisin au milieu alors que le vol est bien plein.

Un FRiste en action. Sauriez vous reconnaître de qui il s'agit ?

Puis le grand vide niveau photo, n’ayant pas de matière à en prendre.

Aéroport international du Cap

On atterrie à CPT, après un petit crochet.

Pas de passerelle, on se parque au large.

Cem Air, à tester un jour.

Bon alors il vient cet escalier, ou pas ?

Les passagers restent à leur place, ce qui n’arrive pas souvent.

On déparque par rangée de 5, une PNC boque le couloir pour faire respecter cette organisation.
Le bus (en version j'ai abusé des bons vins sud africains) nous attend.

Le pilote du soir.

On attendra le deuxième bus et nos deux derniers camarades.

Direction la zone de récupération Uber.

Ce sera la folie avec un monde fou, et évidemment des prix qui s’envolent et des chauffeurs peu enclins à prendre la course, et qui attendent que le prix flambe avent de se bouger.

Je serais la dernière à quitter CPT, direction Bokaap, et bien heureuse d’aller me coucher.

Un Bretzel bonus sur cette aventure sud-africaine à la suite pour les curieux.

Merci pour la lecture et les commentaires.

bretzel bonus