Bonjour à tous les FRistes du monde !
Et bienvenu(e)s à ce petit saut de puce qui conclut mon long acheminement vers le nord de l’Europe (depuis le sud du Japon).
Le récit s’augure succinct, en vue d’une correspondance in extremis, de la très courte durée du vol et d’un maigre assortiment en images (mea culpa !).
COURSES A HEL
Reprenons là où nous nous étions arrêtées :
Il reste un peu moins de 40 minutes jusqu’au départ théorique du prochain vol et j’aimerais manger quelque chose avant d’y embarquer.
Y-arriverai-je ???
On vient de traverser le seuil de la porte 14.

Sous le joug de la trotteuse, je dois, tout d’abord, déceler la porte d’embarquement de mon prochain vol.
NOTE : Un positionnement éloigné compromettra mes appétences de ravitaillement sous les auspices d’AY…
Repéré sans peine ! Pour notre envol vers ARN on a hérité de la porte 20.
D’après les écrans de Vantaa, c’est 3 minutes de marche et un petit ‘Go to gate’ en vert.

Je décide de mettre en réserve mes connaissances de la langue de Shakespeare et lancer le pari d’une visite au salon.
Cela nécessite d’un sprint jusqu’au grand tournant de cet aéroport en forme de V, (où le salon Schengen d’AY devrait s’y trouver).
Une montée de marches suffit pour gagner accès a un espace très lumineux mais très couru.
Cette simple -mais bonne- assiette de pates aura mérité le petit pugilat aux alentours de l’espace ravitaillement.

Elle fut accompagnée de pain, de jus de pomme et d’une belle vue. Et elle fut mangée débout, car il y a des comptoirs prévus à cet effet (et les places assisses étaient toutes prises).
Rassasié, je rebrousse mon chemin avec un deuxième sprint. Pour arriver à une porte affichée en rouge, mais qui vient à peine de débuter l’embarquement.

vers l'avion
Voici notre deuxième destrier du jour (jumeaux du premier).

On se met dans la file, qui avance très vite.

La passerelle est très pop, ce qui permet des amusettes.

Voici son caractère général.

Et de nouvelles amusettes.

dans l'avion
La cabine est identique au vol précèdent, mais son remplissage est beaucoup moindre.

J’hérite d’un siège qui, en dépit des apparences, est confortable.

Et qui dispose d’un pas conséquent.

Mais il n’est pas en de très bons termes avec les hublots.

Pour autant les vues ne sont pas bloquées.

On fait nos adieux à nos voisins.


Ainsi qu’à l’aérogare de Vantaa. On se retrouve dans moins d’une semaine !


Le roulage est rapide et la piste de décollage est à nous.

en vol
Le parc industriel aux alentours de l’aérogare de Vantaa.


En route vers l’ouest (pile-poil)


Je m’aventure à dire qu’on survole l’archipel entourant l’ile de Kimito, commune finnoise suédophone. La présence de la Suède se fait sentir.

Etant donne le maigre remplissage de la cabine, le service de collation sera plié en un tournemain.
Jus de myrtilles et eau plate me seront offerts, avec grâce mais un certain empressement.

Petit virage afin d’accoster les vraies cotes suédoises.

La merveilleuse forêt nordique.


C’est à peine 30 minutes après le décollage qu’on aperçoit les plaines d’Arlanda.

Le sol s’approche.


Une relique aéronautique.

L’étang précédant le tarmac.

Le tarmac, lui-même.

accueil mysigt
Une autre relique, floue cette fois.

Et c’est Arlanda, Terminal 2, porte 63 pour nous cet après-midi.

Merci pour vos efforts Mr. LZM.


De toute évidence, on est les bienvenus.

Un carrousel, qui n’est pas le nôtre.

Celui-ci, pourtant, fut notre destrier.

Et, au fond, nos valises roulent déjà sur le tapis nr. 2 (belle efficacité).


Même avant de franchir la sortie, des renseignements détaillées sur les connexions régionales de transport public sont affichées (encore efficace).

Ceci conclut ce court et plaisant vol au-dessous de la mer Baltique (Skärgårdshavet / Saaristomeri).
Merci pour la lecture.
Je vous souhaite de très bons vols à tous et toutes.