Avis du vol entre Paris et Libreville en classe Premium Eco avec Air France

Bonjour à tous,

Nouveau déplacement au Gabon avec un routing assez simple en Premium Economy.
Pendant le séjour le protocole de service en cabine Premium Economy sera modifié ce qui nous permettra de comparer entre les deux vols.

Je suis déposé à CDG en voiture, un nouveau marquage au sol avec stationnement en ligne est en place et remplace l'ancien stationnement en épis. Je ne suis pas convaincu par l’efficacité de ce nouveau système de dépose-minute, cela m'a paru très lent et assez embouteillé

Entrée dans le terminal

La fréquentation aujourd'hui :

Les nouvelles bornes libre-service que je n'avais pas encore vu.

Le FIDS et les différents temps de parcours vers les satellites. Moins de 25 minutes annoncé pour arriver aux portes M, c'est donc très fluide aujourd'hui.

Il y a quelques personnes dans la queue pour déposer des bagages dans la zone SkyPriority.

Néanmoins j'attendrai seulement 6 minutes pour accéder à un comptoir

On vérifiera mon passeport et mon visa et ma valise sera rapidement enregistrée.

Direction la PAF

Les sas PARAFE de la file SkyPriority sont fonctionnels mais je ne comprends toujours pas pourquoi passeports US/UK/Autres  et passeports UE ne peuvent pas être mélangés.

Il faut ensuite prendre le petit train automatique vers les portes L. Il n'y a pas beaucoup de monde à bord.

La vue sur les moyens-courriers stationnés aux portes K.

Vue sur le Hall L

Montée vers le PIF sur un escalier roulant, cette partie du terminal est spacieuse.

Comme vous pouvez le voir il y a très peu d'attente dans les différentes files.

PIF passé en 4 minutes. le temps de parcours est de 12 minutes soit 6 minutes de moins que le temps annoncé par ADP. C'est une bonne performance.
On arrive en face de ce panneau qui montre les vols au départ et le plan du hall avec les différentes boutiques détaxées.

La décoration du terminal est très parisienne.

Les espaces d'attentes sont bien aménagés et rappellent les parcs dans Paris. Il y a de faux arbres, du mobilier d’extérieur, de la fausse pelouse et du parquet. Un babyfoot est disponible.

Les sièges normaux sont équipés de prise électriques. Le nombre de sièges présents est adaptés à la capacité des longs-courriers.

Au bout du hall se trouve le fameux chat endormi et un espace propice au spotting.

Un babybus.

Un Embraer

L'appareil du jour : un Airbus A350-900 baptisé Pointe-à-Pitre.
L'A350 remplace progressivement les A330 vers le Gabon. C'est un net progrès.

Direction le salon, il faut repasser par la zone commerciale pour arriver à l'ascenseur vers l'étage supérieur.

Le salon est au bout de ce couloir.

Le salon est bien rempli mais j'arriverai à trouver une place tranquille assez loin des espaces de restauration.

Il y a différents espaces, cette œuvre d'art se trouve entre les toilettes et des zones à l'écart.

Le magazine Envols est disponible sur un présentoir circulaire.

La vue sur la route et le hall K est assez obstruée.

Le service du petit-déjeuner est sur la fin.
Mon choix pour le petit déjeuner : 

Le service du déjeuner est en train de se mettre en place.
Le buffet froid : éléments pour salade composée, charcuterie et fromages.

Le buffet est maintenant disponible pour le déjeuner :

Le buffet chaud :

Les pâtisseries : tarte aux pommes, financiers, gâteaux au chocolat par le chef Alain Ducasse, …

Mon choix :

L'offre était complète et les différents plats et pâtisseries de bon niveau pour un salon. KLM pourrait s'en inspirer.

Il est temps de partir, un autre ascenseur nous ramène dans le terminal.

Une autre zone duty free est disponible

Nous retrouvons notre appareil qui n'a heureusement pas bougé.

L’embarquement se fait par zone. Il n'y aura que deux minutes d'attente en passerelle.
Fuselage shot

Instant porte :

Mon siège au premier rang de la cabine Premium Economy :

La vue depuis le hublot, j'adore la finesse de l'aile et le winglet avec l'emblème de l’hippocampe ailé que l'on retrouve aussi sur le moteur.

Une bouteille d'eau est disponible dans la pochette devant le siège.

La notice de sécurité

La télécommande (tactile) de l'écran et les boutons de manœuvre du siège.

L'espace pour les genoux est bon mais on ne peut pas allonger complètement les jambes car il n'y a pas de siège devant nous

Une caméra sur la queue permets de suivre l'avion.

L’appareil est repoussé

Nous croisons cet avion d'Air Arabia.

Une vidéo promotionnelle pour les 90 ans d'AIr France est difusée.

A proximité du seuil de piste

Je continue à suivre l'avion sur l'écran de la caméra de queue.

D'autres appareils attendent pour décoller dont un 737 d'AIr Algérie.

Nous pénétrons sur la piste.

Alignement sur la piste

Décollage

Au-dessus du terminal 1

Nous prenons de l'altitude

Le service débute environ une heure après le décollage. La tablette pliable se trouve dans l'accoudoir.

Le personnel de cabine est très serviable, champagne et jus de tomate me seront servis. En plat je prendrais le traditionnel parmentier de canard de la Premium Economy que je trouve très bon. L'entrée et le dessert seront correct mais sans plus. Le pain ne sera pas chaud, c'est dommage. Les couverts sont en bois.

Nous quittons les côtes françaises au début du repas.

Un air-to-air indéterminé : 

Le plateau est débarrassé, l'équipage propose boissons chaudes et digestifs.

Je fais un tour à l'arrière, les toilettes sont propres.

Porte arrière gauche, nous voyons le désert du Sahara par le hublot.

La cabine Economy n'est pas complète.

Il fait plus sombre à l'avant, la quasi-totalité des caches-hublots sont fermés.

Sur ce vols l'IFE a beaucoup moins de films que d'habitude.

Le vol se poursuit et la luminosité décroit à l'extérieur.

Le seconde prestation aussi connue sous le nom de "Sac Bon Appetit" est servie. C'est décevant, et peu apetissant. Il aurait été mieux de faire un petite boite avec un chaud qui tiendrait dans le même volume. Aussi, c'est le même repas en Premium et en Eco.

l'avion descend vers Libreville

Atterrissage

Nous arrivons à la porte 1 comme d'habitude.

Derniers regards vers ce siège sous un éclairage rouge.

Passage par la classe affaires.

Débarquement, les formalités se font à l'étage au-dessous. Dans l'ordre il y a le contrôle sanitaire, le contrôle du passeport puis enfin le contrôle d'immigration. La queue s'allonge assez vite, en général l'avant de l'avion passe en dix minutes alors que l'arrière fait jusqu'à 45 minutes ou une heure de queue.

C'est un peu le bazar en salle de livraison bagages, les deux tapis sont utilisés en parallèle car ils sont assez petits et il y a beaucoup de bagages.

Il y a des sacs et des colis un peu partout.

Je parviens finalement à récupérer ma valise et à quitter le terminal. L'agent qui contrôlait que l'étiquette bagage correspondait au reçu bagage n'est plus en poste depuis le changement de président. En revanche les douaniers seront bien plus détendus ils ne contrôleront que les plus gros bagages et me laisseront passer sans problème, leurs collègues de Port Gentil ne seront pas aussi agréables.

Je me dirige vers la partie domestique de l'aéroport ou c'est bien plus calme pour prendre mon vol domestique.