Bonjour à toutes et tous,
Je vous retrouve pour le dernier segment de ce voyage, à savoir le retour long-courrier sur la métropole.
Je vous avait laissé à la sortie de mon A320 en provenance de FDF. Comme a l'aller, pas de circuit de correspondance disponible à Cayenne, il nous faut donc ressortir pour réentrer après s'être fait contrôler les documents de voayges.
L'accès au PIF est également gardé par un policier disposant du listing passager.
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3
- 4CAY-CDG
Un fois l'ensemble de contrôle passé en une dizaine de minute, nous voici à nouveau air-side.
L'espace n'est pas grand et rapidement saturé lors de l'afflux de gros porteur.

Le salon sera également bien rempli si bien qu'aucun invité ne sera autorisé avant le départ du vol pour Paris.
Cette "interdiction" n'étant pas appliqué en période creuse avec les vols en A320 pour Fort-de-France et Bélem notamment.

Ayant déjà déjeuné et prévu de me restaurer à bord, je me contenterais d'un petit goûter champagne/cannelé.

Notre avion, arrivé à l'heure de Paris, viendrait s'arrêter juste sous les fenêtres du salon pour le plus grand plaisir des avgeeks.
L'embarquement sera lancé dès le nettoyage terminé. Cela permettra notamment de spotter quelques appareils rares sur les terres européennes !

Instant porte, même si celle-ci restera close.

Je vérifie au passage que mon siège est prêt à m'accueillir.
Cela semble le cas, parfait !


La cabine est bien connue ici, mais je vous en remets le cliché.

Notre départ se fera de nuit, la soleil se couchant très rapidement à cette latitude.
Pas de photo du décollage donc, d'autant plus que face à la mer il n'y eu pas grand chose à voir …

Le repas sera servi dans les 30 minutes suivantes.
Si la mousse de crabe fût bonne (bien qu'indiqué en tant que "crevettes sautées" sur le menu), le coleslaw était sans intérêt.
Le poisson était frais et iodé, cela est à mon goût mais une sauce aurait pu être proposée.
Idem pour le fromage, pâte dure ok mais le camembert à visiblement mal vécu le passage au frais.
RAS sur le dessert, très bon.





Dans l'ensemble donc un repas plutôt bon et léger - parfait avant de dormir - mais qui ne restera pas comme une explosion culinaire.
Le digestif permettra néanmoins de faire passer le tout avant de sombrer dans le sommeil.

Je dormirais bien 5h et me réveillerais pour le petit-déjeuner.
Ce dernier était frais et bon également.

Un dernier tour de la cabine et nous nous préparons pour atterrir.

A défaut de départ, j'ai tenté quelques clichés de l'arrivée sur Paris.
CDG s'éveille et nous accueille ensommeillé. Le passage de la PAF sera rapide, la livraison bagage un peu moins (35mn).




Merci pour votre lecture,
A très vite !
Merci pour ce FR
Beau spotting d'une rareté. Un Antonov 12BK. Avion de 1966 avec un train renforcé pour atterrir sur des terrains de fortune. La dernière fois que j'en ai vu, c'était à Luanda à l'occasion d'un voyage pro (et sacrément épique) pour un client en 2002 (juste après le mort du très regretté et très démocrate Joseph Savimbi ...). Pour ceux qui seraient tentés, il y eu un très bon reportage sur les Boeing 727 qui livraient du carburant aux mines en Angola (Tankers en plein ciel) qu'on trouve sur Youtube : https://www.youtube.com/watch?v=g_7dNId8wx8
J'ai noté qu'il ne faut pas fantasmer sur le catering du vol retour !
Merci pour le message !
En effet, sans connaître le type avion j'avais deviné que c'était un oiseau rare :)
Pour un vol de nuit cela fait "le taff" si c'est bien exécuté, mais on est loin de l'art de la table que l'on peut retrouver au départ de CDG.
Merci pour ce FR
Le salon de Cayenne me ramene un mois en arrière
L'offre catering, est très en dessous du vol aller