Pour mon 200e flight report, j'ai le plaisir de vous partager une belle exclusivité sur FR, avec la découverte de la cabine business du tout nouvel A321neo d'ITA Airways.
Après la ligne LHR-FCO, l'appareil est positionné sur CDG, pour mon plus grand bonheur. Et pour ne rien gâcher, les tarifs AZ en business sont plutôt raisonnables. C'est donc une bonne occasion de se faire plaisir et découvrir cette cabine que l'on a pas l'habitude de voir sur nos lignes moyen-courrier européennes, où la norme est désormais la planche à repasser et le siège milieu neutralisé.
Je m'arrange donc pour choisir des horaires qui me permettent d'attraper l'A321neo à l'aller comme au retour.
Last but not least, le tarif est identique que l'on prenne Rome pour destination ou toute autre destination intérieure italienne. J'en profite donc pour réserver un petit week-end à Trieste, ce qui me permettra une autre exclusivité, cet aéroport n'ayant pas encore été reporté sur la version française du site.
Jusqu'à la veille du départ, je redoutais un swap d'appareil, mais fort heureusement il n'en sera rien, et ce sera bien l'un des 4 A321neo de la compagnie qui sera aligné.
C'est parti !
L'arrivée à CDG
Je décide d'arriver de bonne heure à CDG, notamment pour profiter du nouveau salon Extime que je ne connais pas encore. Le trajet en RER se fait sans problème, ce qui mérite d'être noté (sauf que le train direct annoncé sur les horaires officiels n'est jamais passé à Gare du Nord).
La queue que vous voyez à gauche est celle pour acheter un ticket de RER. Nous sommes un banal vendredi matin de mars, on se demande comment ça va se passer pour les JO dans 5 mois…

Le Grand Charles est toujours là, fidèle au poste.

Direction le terminal 2B/D, puisqu'ITA bien que faisant partie de Skyteam, n'est semble-t-il pas la bienvenue au 2F. Le positionnement de la compagnie vis-à-vis de l'alliance n'est pas très claire, même si depuis quelques mois les membres Flying Blue peuvent enfin gagner des miles et des XP sur les vols AZ (pour ma part j'attends encore à ce jour le crédit correspondant).
Les travaux battent leur plein, on espère qu'un jour on aura un aéroport qui ne sera plus un chantier permanent.

ça bosse dedans…

… et dehors.

Je ne suis pas un grand fan de ce terminal, il faut faire une longue marche pour rejoindre le point d'embarquement.

Le FIDS est coloré, même si l'orange pré-domine. Czech Airlines est la seule autre compagnie de Skyteam reléguée au 2B/D. La marque des pestiférés sans doute ?

J'arrive aux comptoirs AZ qui sont déserts.

S'il y a bien une chose que Skyteam a réussi à imposer même aux plus récalcitrants, c'est la signalétique et le parcours SkyPriority.

Les comptoirs d'accueil ressemblent plus à des bornes de self check-in qu'à des comptoirs d'enregistrement humain, mais c'est bien une agente en chair et en os (et très souriante) qui me recevra et m'éditera mes BP pour Trieste.


Pour une raison que j'ignore, il y a un rapide contrôle visuel des BP pour passer airside et rejoindre le PIF. C'est d'autant plus inutile que des portiques automatiques se chargent du contrôle des BP. Cela crée une longue file pour y accéder.

Puis direction l'étage pour rejoindre le PIF.

J'ai la bonne surprise de trouver celui-ci désert.

Je me dis que ce sera une formalité vite expédiée, d'autant plus qu'ADP a enfin installé des scanners qui n'imposent plus de vider ses sacs.
Bon, ça c'est la théorie, car en pratique, le système n'est pas vraiment au point. Pratiquement tous les bacs passent au contrôle manuel, et les agents, indolents, prennent tout leur temps pour faire leurs contrôles. L'un des préposés, dans un éclair de lucidité, se rendra compte qu'il y a un problème, et viendra récupérer une partie des bacs pour les repasser au scanner. Miracle, cette fois-ci, mes affaires passent sans encombre. Ce petit manège aura tout de même duré un bon quart d'heure. Il n'y a bien que CDG pour réussir à rendre les contrôles plus longs avec ces nouvelles machines. Encore une fois, je me demande ce que ça va donner dans 5 mois…
Me voilà donc airside et je peux enfin profiter du voyage, le plus pénible étant derrière moi.
La sortie du PIF est gratifiée d'une belle vue sur les pistes, avec en arrière-plan le siège d'Air France. Croatia au repoussage.

A320neo d'Aegean au contact.

Je traverse le dutyfree sans trop m'attarder, les prix ne sont vraiment plus intéressants.
La rotonde est agréable, avec de nombreux magasins et restaurants animés.

L'accès menant au salon est situé juste en face.

Direction le 3e étage.

Le salon Extime
L'accès est agréablement aménagé, avec une belle luminosité.

L'entrée est soignée.

Je suis invité à entrer. La première impression est très bonne, avec ce vestibule qui sépare le salon de l'entrée.

L'ambiance "appartement parisien" est agréable, avec de la décoration et un ameublement de qualité.


Après un premier espace de repos, on arrive sur la zone principale, avec au fond à droite la partie restauration.


La décoration fait la part belle aux orchidées, présentes en nombre.

On trouve un dernier espace au fond du salon.


C'est joli, bien aménagé, bien décoré et avec de nombreuses places assises disponibles.

Voici l'espace restauration. Je trouve les luminaires très réussis.

C'est encore l'offre de petit déjeuner qui est disponible. Avec du chaud.



Et du froid.


Rien que du classique, mais très correct.
Les alcools sont disponibles en libre-service.

La bonne nouvelle viendra de la présence d'un champagne, que je connais par ailleurs. Les hôtes ne s'y tromperont d'ailleurs pas et le flux des bouteilles de champagne sera incessant pendant tout mon séjour au salon.

Pour les plus raisonnables, de nombreux softs sont également disponibles, dont ces petites bouteilles très pratiques.

Une petite mise en bouche italienne sucrée avec ces tiramisu.

Vers midi, c'est l'offre de déjeuner qui prend le relais.


Souhaitant me réserver pour la restauration en vol, je me contenterai d'une légère collation.

Santé à tous les FRistes !

Je prendrai aussi d'autres bulles, italiennes cette fois et plus sobres.

Les toilettes sont modernes, RAS là-dessus.

Bref, un salon très réussi et agréable, d'autant qu'il aura été très peu rempli durant mon séjour. Un bémol toutefois pour le personnel, certes présent mais peu affable. Il aura été plus occupé par la visite d'une de leur cheffe qui aura retenu toute leur attention, plutôt que par les clients.
Comme vous pouvez vous en doutez, jusqu'à la dernière minute, je redoutais un changement d'appareil et je piste mon vol. L'A321neo se confirme, même si un léger retard se profile.

Avant midi, les doutes sont levés, ce sera bien un A321neo, celui-ci a déjà décollé de Rome.

L'embarquement était prévu à 13h05, soit une heure avant le départ, ce qui est bien sûr énorme pour un vol MC. Je me presse d'autant moins qu'à 13h notre oiseau du jour est en approche sur CDG.

L'embarquement
Le temps passe toujours vite dans un endroit agréable, et il finit par être temps de rejoindre ma porte d'embarquement.

Mais qui voilà donc ?

La livrée ITA, on l'aime ou on la déteste, personnellement je la trouve superbe, surtout sous ce beau soleil.

Il est 13h15 quand notre pépère vient se garer au contact, autant dire que l'embarquement ne va pas démarrer tout de suite.

Pourtant une longue file s'est formée.

Tous les passagers s'agglutinent depuis l'entrée SkyPriority et il faudra attendre le dernier moment avant qu'un agent ne vienne y mettre bon ordre en orientant les passagers dans la file idoine.

L'embarquement est lancé vers 13h35, soit 30 minutes avant le départ théorique.

Le jetbridge vitré permet de profiter pleinement de notre bel appareil.

La livrée se prête parfaitement au fuselage shot.

Comme c'était souvent le cas chez Alitalia, nous aurons un équipage senior sur ce vol. Le chef de cabine exige de chaque passager à voir la carta d'imbarco. Etrange requête, surtout sur un vol MC.

La découverte de la cabine
Alors voici donc l'objet de ce voyage, la toute nouvelle cabine de l'A321neo d'ITA Airways.

A contre-courant de ce que pratique la concurrence, ITA a en effet fait le choix d'équiper ses A321neo d'une véritable cabine business, en configuration 1-1 et équipée de 6 rangées, et d'une cabine Premium Eco dédiée, configurée en 2-2 sur 3 rangées. SkyteamCHC a d'ailleurs reporté cette dernière cabine récemment.
Ces appareils ne sont pas (malheureusement) destinés à des vols courts pour CDG ou LHR, mais bien à des vols MC longs ou LC courts, en particulier le Moyen-Orient ou l'Afrique. Alternative intéressante pour une compagnie qui n'a peut-être pas l'assise économique nécessaire pour y déployer ses gros porteurs.

A l'heure où j'écris ces lignes, ITA a reçu 4 appareils, le tout premier en octobre 2023 et le plus récent en janvier. Aujourd'hui, c'est sur EI-HXB, âgé d'à peine 3 mois, que je volerai donc.
Bon, il faut bien l'admettre, le premier effet est vraiment waouh, en particulier avec le premier rang qui offre un espace XXL.

J'ai eu de la chance, le 1F était encore disponible à la réservation, je ne me suis pas fait prier.
Le rendu d'ensemble est très flatteur, il faut dire que l'appareil est tout neuf.

L'absence de siège devant le premier rang permet de disposer d'une banquette d'une taille impressionnante.

Partons à la découverte de ce bel espace. Un rangement est disponible au-dessus, avec miroir de courtoisie et de quoi accrocher le casque (absent sur ce vol).

Sur le côté, une petite loupiote, la télécommande et les commandes de siège.

Le siège est bien fini, avec le rappel du nom de la compagnie et des couleurs italiennes sur la têtière.

La configuration fait toutefois que l'IFE occulte l'un des deux hublots. Pas dramatique en soi, mais on perd un peu en luminosité.

Les plus observateurs l'auront remarqué, la mauvaise surprise viendra de la tablette, déjà cassée. Je suis bien évidemment contrarié et en réfère à la PNC qui me confirme la chose et se montre désolée. Je lui demande si je peux changer de place, mais la cabine J est full. Le CC m'indiquera plus tard qu'il y a pas mal de casse déjà.

Bon, cela ne doit pas m'empêcher de profiter de l'instant présent, on est tout de même très bien installé ici.

La banquette invite vraiment à convier un voisin.

Mais la consigne est claire, elle n'est pas faite pour s'asseoir.

Je profite que l'embarquement soit terminé pour me lever et faire quelques photos un peu plus larges. C'est vraiment un cocon.

L'intimité est très préservée, les cloisons sont assez hautes pour ne pas voir ses voisins. Le moodlighting bleu est activté. Cet appareil est également équipé des cabines dernières cabines Airbus Airspace, avec une largeur un peu plus importante et des coffres à bagages optimisés (pour autant que les passagers pensent à mettre leurs bagages sur la tranche).

La cloison avant assure également l'intimité avec les PNC assis pendant les phases d'atterrissage et de décollage.

Le PSU est moderne, comme il se doit pour un avion neuf.

Toutes les connectiques nécessaires sont également disponibles (une prise classique est également située sur la tablette).

Toutes ces émotions allaient presque m'en faire oublier mes devoirs de FRistes. Voici donc le vomitobag et les consignes de sécurité.

Jetons un coup d'oeil à l'IFE. Celui-ci n'est pas disponible en français, mais ce qui me surprend plus, c'est qu'il le soit en portugais (?) et pas en arabe (alors que l'appareil est plutôt destiné au Moyen-Orient).

Le contenu est bien rempli, en tout cas bien trop pour un vol de moins de 2 heures, même si en l'absence de casque fourni par AZ, difficile d'en profiter sur ce vol.

Déception, avec la géovision qui n'est pas disponible. Panne ou économie budgétaire ?

Le wifi est également disponible, mais l'utilisation d'internet est payante, même pour les messages. Comptez tout de même 4,66 € (sic) pour pouvoir consulter vos messages, je m'en passerai sans problème pendant 2 heures.

Le flight report
Une fois l'embarquement terminé, le chef de cabine passe propose un verre de bienvenue. Je ne me souviens pas d'avoir eu cette proposition sur un vol MC européen jusqu'ici, bravo AZ ! Choix d'eau ou de jus de fruit seulement et verre en plastique, mais l'intention est à souligner.

Il va être temps de partir. A nos côtés, un A320 de la Royal Jordanien vient d'arriver.

Puis c'est au tour d'un A320 de Czech Airlines de venir se garer à côté de nous. Malgré la "vénérabilité" des 100 ans de la compagnie vantée par sa livrée, CZA ne me tente pas vraiment.

Le départ est maintenant proche et il est temps d'attacher la ceinture. Le siège dispose d'un système 3 points, mais je n'ai pas vu mes voisins s'en servir ni les PNC le leur imposer.

Les consignes de sécurité sont lancées sur l'IFE. Celles-ci sont dynamiques, en mode Jeux olympiques.

C'est sous un beau soleil printanier que nous passons au large du 2F.

Puis le terminal 2E.

Aujourd'hui, nous décollerons du doublet sud, sur la 26R.

Tiens, un A330 cargo de la CMA-CGM, dont le partenariat stratégique avec Air France a été brutalement dénoncé par les deux parties il y a deux mois.

Le décollage se fera donc vers l'ouest. Le siège étant orienté à 45° par rapport à l'axe de l'avion, la poussée au décollage a tendance à pousser le passager sur le côté plutôt qu'au fond du siège, ce qui crée une sensation étrange à laquelle on n'est pas habitué.

Vue sur le T1, qui fête ses 50 ans.

Par contre, je trouve dommage qu'AZ n'ait pas logoté le winglet, ils n'étaient plus à ça près sur la peinture, non ?

Nous poursuivons notre ascension. Le moodlighting reste activé.

Je profite de l'extinction du signal lumineux pour me lever et mettre le siège en mode lit. Pas de doute, il est bien plat.

L'accoudoir côté couloir peut s'abaisser (d'ailleurs les PNC ne l'ont pas demandé pour le décollage comme c'est le cas sur Air France par exemple dans les cabines Best), mais l'accoudoir côté hublot est fixe.

Petit tour aux WC, celles-ci sont de taille standard, je les aurais imaginées un peu plus grandes.


Le service se met en route. Celui-ci se fait au trolley, en commençant par le fond de la cabine J. En l'absence de tablette fonctionnelle (je n'ai pas essayé par moi-même), le chef de cabine dépose le plateau comme il peut sur la console. C'est bof bof, mais bon. Vous noterez que le verre d'accueil n'a toujours pas été débarrassé.

Au menu : lasagnes (chaudes) pour le plat principal.

Salade césar en entrée et tiramisu en dessert. Les croûtons de la salade étaient mous, dommage.

Pour accompagner ce repas très italien, j'arrose le tout de prosecco, servi dans une petite bouteille individuelle.

Je demande un verre de rouge. J'ai la bonne surprise de voir celui-ci servi à la bouteille. Celui-ci est de bonne tenue, et le millésime 2017 est intéressant.

Par contre le CC veut me servir le vin dans un gobelet en plastique, je lui explique que j'aurais tout de même préféré un verre en verre. Il me dit qu'il doit lui en rester un du service précédent. Il revient du galley avec un second verre brandi comme un trophée, on sent que tout est calculé au plus juste.
Les couverts sont en métal, mais de qualité moyenne. Le bon sens a incité ITA à recycler ceux de la défunte Alitalia.

Dans l'ensemble le repas est correct. Ce n'est pas très pratique de manger sur la console, mais pas si compliqué que ça non plus, d'autant que je profite d'une vue superbe. Nous abordons les Alpes, avec ici le lac du Bourget et le Rhône.

Les montagnes sont encore enneigées, c'est magnifique.

Je reste scotché au hublot, ce qui n'est pas facile car celui-ci est assez éloigné du fauteuil.


Hélas le ciel se voilera en arrivant sur l'Italie, mais j'en aurai bien profité. Le survol des Alpes par beau temps est toujours un moment fort d'un vol entre Paris et l'Italie.

A la fin du repas, le chef de cabine passe proposer des douceurs…

… ainsi qu'un digestif. J'opte pour le limoncello. Dommage que celui-ci soit servi dans un gobelet en plastique, je n'ose pas redemander un verre en verre…

Je sirote mon limoncello au-dessus du Piémont.

Nous ne tardons pas à atteindre la côte ligure.

Puis le Cap Corse et l'île de Capraia, magnifiques sous cette lumière déclinante.

L'île d'Elbe.

Avant la fin du vol, je décide d'aller faire un petit tour à l'arrière. Voici la cabine Eco, presque pleine. Pratiquement tous les passagers profitent de leurs casques personnels pour utiliser l'IFE. Cet appareil est vraiment configuré pour du LC.

Puis la Premium Eco, reportée par SkyteamCHC comme je le disais plus haut. Il n'y a pas de rideau de séparation avec la Y. Un siège comme celui-ci ferait le bonheur de tous les voyageurs en business MC européenne. A priori la W n'est pas commercialisée en tant que telle par AZ, il s'agit d'une option siège payante, avec le même service qu'en Y.

Retour en cabine avant. C'est vrai que ça fait un peu drôle de trouver ces sièges dans un narrow-body. A noter toutefois que si l'espace est sur-dimensionné au premier rang, le passage pour accéder au siège n'est pas très large aux autres rangées. Il faut bien trouver quelques défauts…

Le temps de cette petite promenade et nous voilà arrivés au-dessus du Latium.

Je profite des derniers instants de ce vol.

Nous voilà désormais en approche ; l'occultation du premier hublot est tout de même un peu dommage.

Un autre appareil descend sur FCO parallèle à nous.

Bienvenue à FCO !

On trouve quelques oiseaux intéressants sur le tarmac, comme ce 737 d'Aeroitalia, déjà reporté sur le site, mais aussi les vieux 777 d'Alitalia.

Nous venons nous garer au large. Dommage pour la fluidité, mais parfait pour profiter de la vue sur l'appareil. Je ne le sais pas encore, mais cet A220 est mon prochain appareil pour TRS.

Allez, un dernier regard à ce beau siège, si tout va bien j'en retrouve un tout pareil dans deux jours !

Je profite de l'ouverture de la porte par le chef de cabine pour voler une photo du cockpit. Auparavant j'ai un peu discuté avec lui, en demandant s'il est possible d'avoir une compensation pour la tablette inopérante. Il m'explique que le problème a été signalé, qu'il a fait un rapport et que la compagnie reviendra vers moi, mais il me dit que je peux en complément contacter le service client. Bon, à ce jour, aucune news d'AZ.

Prise de congés avec l'équipage, le bus est déjà là.

Nouveau fuselage shot, cette fois-ci sous le soleil romain.


L'arrivée à FCO
En chemin, nous passons devant les 777 d'Alitalia. Je ne comprends pas qu'on laisse ces appareils faire du béton depuis tout ce temps, c'est bien triste. je repense à mon premier voyage au Japon en 2019, avec AZ. C'est d'ailleurs cet appareil qui m'avait ramené de NRT.

ITA a bien avancé dans le renouvellement de sa flotte et le relooking des appareils mais il en reste encore pas mal aux anciennes couleurs d'Alitalia.

Le bus nous dépose au terminal vers 16h20, avec un tout petit quart d'heure de retard.

Rien de bien méchant pour mon vol à destination de TRS, prévu dans un peu plus d'une heure.

C'est ici que je vous laisse, je vous dis à très vite pour la suite vers TRS en A220.
Merci pour ce FR très intéressant. Donc si je comprends bien il faut se dépêcher pour avoir cette cabine. Tu sais pourquoi d'ailleurs elle n'est pas de suite mise en ligne sur les destinations MC, les équipages sont déjà formés au 320...?
Dommage l'IFE sans casque. Je te trouve personnellement un peu sévère pour la restauration comparé à ce que tu aurais eu sur LH, BA, KL ou AF sur la même ligne.
Dommage aussi pour l'équipage. Perso j'ai fait deux voyages sur AZ en CC et les deux ont été effectivement très mauvais aussi. Espérons que LH relèvera tout ça elle qui sait faire si bien sur ce point (et uniquement celui-ci dommage...).
A bientot
Merci Vincent pour le commentaire.
J'avoue ne pas avoir d'explication probante sur l'alignement de cet appareil sur CDG et LHR, peut-être pour que les PNC s'approprient la cabine ?
Pour la restauration, c'était bien, mais pénalisé par quelques imprécisions. A force on finit par devenir trop exigeant peut-être ^^
Les PNC d'AZ en MC ont toujours eu la réputation d'être particulièrement mauvais, contrairement au LC. Il n'y a pas bcp de raison que cela change avec ITA...
A bientôt.
Merci Stéphane pour le partage et bravo pour le 200e ainsi que l'exclue !
Une très très belle cabine mais avec déjà pas mal d'inop, c'est dommage. Sinon le produit est vraiment top.
Petite rectification, point de winglet chez Airbus, des wingtips ou des sharklets, mais non, winglet c'est pas pour les A32X.
Dommage ces gobelets plastique qui font un poil tâche :(
A bientôt !
Merci Stéphane pour le commentaire.
Ton 200e FR doit te sembler bien loin ;-) Quant à l'exclue, je suis étonné que personne sur le site ne se soit jeté dessus plus tôt, tant le produit est atypique.
Merci pour le correctif sur les winglets et autres sharklet.
A bientôt.
Merci Stéphane pour cette exclu et félicitations pour de numéro 200
Le siège est confortable et l’espace est grand mais on se sent quand même enfermé, je trouverai même la W plus attrayante mais les goûts et les couleurs…
Dommage pour la tablette hs
Même si on sait que l’avion n’est pas destiné aux liaisons européennes, c’est une belle prise et les vues d’en haut sont très belles.
À bientôt.
Merci Michel.
La sensation d'enfermement est possible aux autres sièges, mais je peux t'assurer que l'espace au premier rang est juste wow...
La W est effectivement très qualitative, et parfaite si l'on voyage à deux.
A bientôt !
Merci pour le FR Steph
Cabine qui va me plaire pour mes futurs MC coté Afrique
Merci mon Nico.
Hâte de te relire à nouveau ;-)
A+