Avis du vol entre Manchester et Toulouse en classe Economique avec ETF Airways

Bonjour à tous et bienvenue à bord de ce report dernier leg de mon petit périple av-geek afin de voler une première et sans doute dernière fois à bord du Boeing 757 de Jet2.com.

Introduction

Nous sommes la première semaine de Janvier quand je trouve mon programme de vols bookés entièrement vide. En effet des voyages sont prévus à des horizons plus ou moins lointain mais rien de concrétisé pour le moment. Pour remédier à cela quoi de mieux qu'une petite escapade av-geek j'avais quelques idées en tête au nord du Royaume-Uni mais j'avais du mal à trouver une combinaison fiable et pratique dans le créneau imparti.
En effet ma compagne partait elle une semaine en Argentine pour le travail la 3ème semaine de Janvier #jalousie alors autant prévoir cette escapade sur les mêmes dates.

Bref je jetterais mon dévolu sur le Boeing 757-200 de la compagnie loisir britannique Jet2.com qui effectuaient ses derniers vols au service de la compagnie lors de cette saison hiver principalement sur des destinations ski (Genève, Grenoble) depuis leur base de Manchester mais pas uniquement avec tous les samedi un vol vers Alicante sur la Costa Brava. Et le samedi en question le tarif était plutôt bon 75£.
Pour rejoindre Alicante rien de plus simple Ryanair propose des vols directs le vendredi après-midi pour en peine plus de 20€. Le retour se fera lui aussi étonnamment en direct avec TUI en effet le dimanche matin lors de la saison hiver la compagnie aérienne du voyagiste britannique effectue plusieurs rotations depuis différentes grandes villes du Royaume-Uni à destination des stations de ski Pyrénéennes (Londres, Birmingham mais aussi Manchester) je prendrais donc ce vol, pas l'option le plus économique (90£), mais de loin la plus rapide et pratique !

Ce qui nous donne le routing suivant:

La ligne entre MAN et TLS est extrêmement saisonnière et n'a de raison d'être que pour les vols charter ski desservant les stations de sport d'hiver des Pyrénées et particulièrement Andorre. TUI opère donc tous les dimanches de décembre jusqu'à la fin Mars Toulouse depuis de nombreux aéroports aux quatre coins de UK. La plupart de ses vols sont assurés par le voyagiste britannique TUI (Thomson) comme c'est la cas de mon vol du jour.
Dans le passé Flybe opérée quelques vols par semaines en ERJ ou Dash-8 mais ces vols avaient rapidement cessé avant même la faillite de la compagnie régionale britannique.
Coté report on remarquera avec surprise que cette liaison a déjà était reporté dans l'autre sens il y a 2 ans par Sebal, le vol était alors opéré par les Boeing 767-300 de TUI.

Départ matinale depuis MAN T2

Après un réveil bien trop matinale et une nuit tout de même bien reposante à l'Ibis budget situé à une petite centaine de mètres du T2 je me dirige vers l'aéroport. Si vous devez faire un night stop à l'aéroport de Manchester je conseille cette option qui reste vraiment abordable. L'hôtel et récent, propre et plutôt bien foutu rien de fancy et les chambres sont petites mais cela n'a pas vraiment un problème quand on dort ^^.
Il ne faut traverser que 2 passages piétons et marcher environ 100m en suivant cette petite famille de skieurs devant moi. 

Par ici l'entrée même si à pied on arrive au niveau des arrivées.

Un petit coup d'ascenseur et me voila devant les comptoirs de TUI où il n'y a pas encore grand monde, Les agents aimables me demanderont ma destination et m'indiquerons avec le sourire la file à prendre pour récupérer mon BP.

Je tomberais avec un agent très sympa ayant des origines africaines il me parlera d'ailleurs en français. Je lui demanderai s'il est possible d'avoir un hublot, l'attribution automatique m'ayant offert un couloir, il pianotera et s'excusera de ne pouvoir m'offrir que le dernier rang. C'est très bien pour moi car un des avantages du 737 est que même au dernier rang il y a un hublot.
Vraiment un check-in 5 étoiles !

C'est donc tout content que je me dirige en direction des départs, passage devant d'autres comptoirs d'enregistrements / dépose bagages de TUI.
En parlant de dépose bagages la file pour les bagages hors gabarit sera tout simplement impressionnante !

Et cela s'explique facilement en effet de très nombreux vols partent en direction des stations de skis, Turin, Chambéry, Grenoble, Innsbruck, Kittila ou encore Genève et les anglais ramènent donc leurs propres skis.

Pas de bagages à enregistrer et encore moins de paires de ski (ca c'est pour le week-end prochain). Je file donc vers les contrôles de sûretés. En chemin on croise quelques zones en travaux, apparemment le terminal 2 est en voie d’agrandissement/rénovation.

Une partie a visiblement déjà été rénovée mais l’on y trouve plutôt les comptoirs réservés aux majors comme Qatar qui assure un vol matinal vers Doha en 777.

Manchester à investi dans les fameux scanners 3D qui permettent de tout laisser dans le sac y compris les liquides. Ce qui permet en principe un gain de temps.
Toutefois j'aurais le droit à un contrôle très complet en effet l'agent demandera à qui est ce bagage et commencera à me poser des questions d'où je viens, où je vais, pourquoi… Puis qui a t'il dans mon sac comment est-il rangé à l'intérieur (on parle d'un cartable Eastpack hein pas une valise de 100L) est-ce bien moi qui est fait mon bagage. Au final il semblerait que mon sac d'appareil photo avec 2 batteries à côté l'une de l'autre et fait un "beug" sur la machine. L'agent et son collègue ouvriront le sac avec précaution et confirmerons ce qu'ils avaient observé à l'image et me rendront mes affaires après avoir effectué un test explosif (par sécurité ^^).
Bref une fois le doute levé l'agent sera beaucoup plus souriant et sympathique et nous discuterons même un peu aviation, les anglais sont vraiment des fanas c'est juste incroyable.

Bref après cet épisode ou j'ai eu l'impression de mettre en alerte la sûreté aérienne britannique je me retrouve dans les couloirs de l'hôpital de Manchester … à non on me dit qu'il s'agit bien du terminal 2.

Il faut ensuite monter d'un étage pour rejoindre le niveau des départs où l'on trouve la galerie commerciale avec bien entendu la traversée du duty-free obligatoire.

A certains endroits ca ressemble plus à un mall qu'à un aéroport

L'offre de restauration est plutôt variées et il est plaisant de voir tous les commerces ouverts à 5h00 du matin pour acceuillir les premiers vols de la journée.

Je me dirige vers la jetée des portes A où je vois pas mal d'appareil de TUI à la gate, je sais aussi que cette zone est à la fois plutôt calme et spotter friendly. En chemin on peut voir quelques dérives au smiley du voyagiste britannique.

N’étant pas encore bien réveillé je m’éloignerais du tumulte des boutiques et des odeurs de café mélangé au lard grillé pour rejoindre la jetée des portes A celle qui accueille habituellement les vols longs courriers.

On peut y voir ce Boeing 737-800 de TUI qui s'apprête à partir pour un long vol pour Boa Vista au Cap-Vert pas moins de 6h20 de vol au programme.

On peut aussi voir de nombreux appareils de Jet2.com, avec ce Boeing 737-800 qui s'envolera en direction des Alpes françaises et Chambéry.

J’aperçois aussi cet Airbus A319 d’Air France à destination de Paris De-Gaulle.

À ses côtés est parqué mon appareil du jour, à savoir cet oiseau plutôt rare un Boeing 737-800 de la compagnie charter croate ETF Airways. Côté pedigree la machine à rejoins les rangs de la compagnie Croate à l’été 2021 avec une carrière déjà bien remplie avec ses 23 années au compteur il a commencé en Allemagne chez Hapag & Lloyd qui sera reprise après de multiples évolutions par TUI fly. Après 15 ans à trimballer des touristes Allemands notre Boeing rejoindra l’Argentine et les rangs de la low-cost Andes pendant près de 2 ans avant de revenir en Europe chez ASL Airlines.

Les plus observateurs auront remarqué le petit nom de baptême « Voyager » à noté qu’un autre appareil de la flotte porte le nom « Entreprise » qui fait un peu pensé au naming utilisé par la NASA.

Petit point explicatif sur ETF Airways, il s’agit d’une petite compagnie (elle dispose de 3 avions uniquement) pratiquant principalement des vols en ACMI ce qui veut dire qu’elle opère des vols pour le compte d’une autre compagnie avec son avion et son équipage. Ce qui est le cas de mon vol du jour qui à un numéro de vol Tuifly UK et est commercialisé par TUI. A noté que depuis ses débuts chez ETF notre Boeing du jour n’en a pas souvent porté les couleurs… en effet il a fait une saison d’été complète aux couleurs de la compagnie du Kosovo « Mywings » et depuis le début de la saison été 2024 il a été repeint aux couleurs de Jet2.com pour un nouveau contrat de location.

Jet2.com toujours en Boeing 737-800 cette fois aux couleurs argentés qui s'envolera lui dans la matinée vers Athènes.

TUI opèrera bientôt uniquement une flotte de Boeing 737max-8 , ce dernier est sur le point de repousser en direction de Turin.

Un peu de variété avec l’arrivée de ce Boeing 777-300ER de Qatar en provenance de Doha.

Le Terminal se rempli progressivement pour les premiers vol du jour, je verrais quelques passagers courir en direction du bout de la jetée pour l’un des 2 vols matinaux pour Turin opéré par TUI.

De mon côté je prendrais position devant la porte accueillant mon 737 du jour avant même que cette dernière ne soit affiché sur les écrans.

L’embarquement commencera dans les temps et il sera réalisé par des agents à l’uniforme TUI, l’équipage prendra rendez-vous devant la portes une quinzaine de minutes plus tôt. On retrouvera un équipage complet d’ETF (2 PNT et 4 PNC) mais il y aura aussi 2 PNCs aux couleurs de TUI pour le représentation commerciale d’ailleurs les annonces seront très clair en ce sens une fois à bord.
L’embarquement commencera dans l’ordre même si dans ce cas précis uniquement les familles avec enfants étaient prioritaires.

Notre appareil du jour se rapproche et mon côté av-geek se félicite de ce bel ajout involontaire à mon flightlog.

Bon forcément quand l’on embarque parmi les derniers il n’est pas rare que cela bouchonne quelques peu dans la passerelle.

Si l’avion est aux pleines couleurs ETF Airways (avec au passage un logo simple mais réussi), le matériel de piste et lui bien aux couleurs de TUI.

Instant porte pour notre leader des contributeurs.

L’accueil à bord sera réalisé par le chef de cabine Croate et la PNCette en représentation commerciale de TUI sera souriant et aimable. Les autres membres d’équipages ETF seront un peu moins souriants mais très pro avec un équipage à dominance masculine.
La cabine sera elle en excellent état avec des sièges un peu Old school parfaitement rembourrés.

Je rejoins mon siège, on notera les têtières ajustables, je suis le premier de ma rangée à arriver mais elle sera rapidement complétée par mes copaxs.

Le pas reste tout de même correct même à la dernière rangée.

La cabine se remplira progressivement jusqu’à ce qu’il n’y ait plus aucune place de libre à bord, un vol rentable pour TUI.

Le plafonnier d’ancienne génération sur notre appareil du jour pour notre spécialiste F-OITN.

J’ai beau être assis au dernier rang de la cabine je peux bénéficier d’un hublot parfaitement aligné, un des avantages des Boeings 737-800.

De ma place je peux voir les bagagistes qui chargent les soutes de nombreuses houses pour matériel de ski. Rodo_AF serait il à bord ? En tout cas un salue appuyé au personnel de piste dehors dans la froideur de cette matinée de janvier qui répond présent pour que les passagers puissent partir en vacances.

Nous repousserons avec quelques petites minutes de retard mais aussi devant un bel alignement de dérives des voyagistes britanniques.

Lors de notre roulage nous verrons cet Airbus A320neo d’Easyjet qui s’envolera en fin de journée vers Cracovie. Ou ce Boeing 737-800 de la low-cost Turque Pegasus, enfin il n'en porte plus que les couleurs. En effet cet appareil était en cours de changement de propriétaire avant de rejoindre les rangs de Jet2.com dont il porte déjà l'immatriculation.

Après un roulage long mais sans attente nous arrivons au seuil de la piste 24 où nous sommes immédiatement autorisés à décoller.

Nos PNT ne se font pas prier et poussent nos 2 réacteurs CFM56 à leur puissance de décollage.

Et notre Boeing ne tardent pas à s’arracher du sol pour grimper dans la noirceur du ciel Mancunien à cette heure encore matinale (il faut dire que nous ne sommes qu’à la fin du mois de janvier…)

Flying to the moon qui me permet de vous faire une vue détaillé de notre winglet logoté.

En cabine l’ambiance est au repos et de nombreux passagers tentent de finir leur nuit. 

Mais progressivement le jour fait son entrée à travers le hublot, même si la lune est encore présente à l’horizon. 

Il y a du mouvement dans le galley signe que le service ne va pas tarder à commencer. Il est donc temps de jeter un œil au menu proposé. Certains de mes voisins attaquerons à la bière à 8h du matin. Je veux bien qu’il y ait des céréales dans la boisson houblonnée mais tout de même… Sans surprise comme à leur habitude les passagers britanniques feront honneur à la vente à bord qui connaîtra lors de ses 2 passages un franc succès.

N’ayant pas pris de petit déjeuner je céderais moi aussi aux sirènes du BOB en prenant une formule petit déjeuner avec un thé et un muffin pour 4 livres, je serais servi par le steward de TUI qui sera souriant et aimable.

Le muffin aux myrtilles est le même que celui servit chez Easyjet.

Nous traversons le channel, pour arriver au dessus du territoire français au niveau des côtes normandes.

En cabine le jour c'est levé mais de nombreux passagers continuent de somnoler pour certain ou de siroter leur bière.

Pas grand chose à voir sur notre route à cause d’une faible brume, il faudra faire confiance à Flightradar24.

Quelques détails sur le contenue de la pochette, si l'on retrouve bien une safety card aux couleurs ETF, le reste du contenu est purement aux couleurs de l'opérateur commerciale à savoir TUI. On y trouve le menu du Bob et la brochure de la vente à bord avec là aussi de beaux modèles réduits. Ce n'est pas vraiment surprenant l'appareil opère pour TUI pour toute la saison hiver 2023/2024.

Le reste du vol sera calme et notre début de descente sera annoncé au dessus de la Dordogne.

Nous traverserons les méandres du Lot

Avant d'arriver à la confluence entre Garonne et Tarn situé à proximité de Moissac, une confluence des 2 rivières qui permet le refroidissement de la centrale nucléaire de Golfech situé en aval et dont on aperçoit les tours de refroidissement au loin.

De notre coté nous prendrons plutôt la direction de l’amont de la Garonne qui nous amènera en direction de Toulouse.

Au loin on peut voir quelques sommets faiblement enneigées des Pyrénées. Il faut dire qu’en ce début de saison les conditions d’enneigements étaient vraiment très limitées sur tout le massif et mes copaxs ont sans doute dû faire du ski-bar ou du ski-cailloux.

Nous sommes en finale qui sera plutôt turbulente et mouvementée avec en prime un changement de piste de dernière minute, on peut voir que l’air est encore humide se matin des vortex de vapeur d’eau se formant à certains endroits de l’aile de notre Boeing.

Ce sera la 14L ce matin, ce qui prendra un peu de cours les spotters locaux dont notre membre Cliper31.

Posé ferme sur le tarmac et décélération à l’aide des freins et aérofreins tandis que l’on peut voir les hangars et même quelques appareils Beluga d’Airbus du côté droit de la piste. Nous dégagerons sans attendre la piste par la gauche.

Direction les terminaux que l’on aperçoit déjà au loin signe que le roulage sera court.

Direction le hall D utilisé pour tous les vols hors Schengen, et il y a du monde ce dimanche matin ! On retrouve de nombreux autres Boeing 737 de la TUI en provenance de plusieurs villes du Royaume-Uni.

Nous sommes à peine stationné qu’un autre vol Britannique arrive pour être parqué à nos côtés il s’agit d’un Airbus A319 de British Airways en provenance de Londres Heathrow.

Les opérations au sol commencent sans attendre, le pétrolier est en place et les bagagistes vident eux les soutes bien remplis de notre appareil. On retrouve donc la montagne de housse de ski…

N’étant pas spécialement pressé je serai le dernier à quitter la cabine désormais vide avec les salutations de l’équipage en porte.

À Toulouse aussi les opérations de débarquements s’effectuent au contact avec un jet-bridge pour tous les vols TUI.

Dernière vue sur notre oiseau de métal du jour, une belle prise pour le moins involontaire…

Les salles d’embarquement des portes 40, qui sont elles très souvent utilisées par les vols Ryanair et qui permettent d’effectuer des embarquements mixte Schengen / non-Schengen (l’appareil arrivant par exemple du Maroc et devant repartir vers l’Espagne ou l’Italie et inversement)

Nous aurons le droit sans surprise à un contrôle de la PAF, j’avais un peu peur que cela prenne beaucoup de temps vu l’armada britannique stationné au hall D. Heureusement non, beaucoup de points de contrôles ouverts et des agents en nombre suffisant. Seul point noir à TLS 0 sas parafe et pas de séparation en fonction des types de passeports. A la sortie l’office du tourisme d’occitanie mets les fiertés locales à l’honneur.

Même le Beluga XL y a droit !

Un gros bouchon c’est formé devant la zone de livraison des bagages hors format qui est proche de la sortie ce qui cause un peu de chaos pour sortir groundside. Si cela ne pose aucun problème le reste de l’année, il faut reconnaître que la zone n’est pas vraiment adaptée pour recevoir les charters ski de l’hiver.

En effet tout les dimanches matin d’hiver c’est le changement de semaine des stations pyrénéennes Andorre en tête pour accueillir nos voisins d’outre-Manche. Avec jusqu’à 8 vols dédiés depuis les quatre coins de UK, Toulouse est vraiment la porte d’entrée aérienne des stations de skis voisines. Pour ma part je virerais à droite, pas de ski au programme de cette fin de week-end.

Les arrivées du matin même si les 3 autres vols TUI avant nous ont déjà disparu de l’écran. On remarquera le vol Qatar pour Doha qui ne fêtera malheureusement pas ses 1 an la liaison étant suspendue à la fin de la saison été.

Du côté de la zone publique à l’opposé de la zone réservé aux voyagistes c’est plutôt calme, et je quitterais rapidement le terminal n’ayant aucun bagage à attendre.

Oui mais voilà depuis de nombreux mois maintenant la liaison en tram de et vers l’aéroport et suspendu du fait des travaux de la future ligne de métro Toulousaine et quelques kilomètres de là. Réouverture prévu pas avant 2026… bien dommage pour une liaison ouverte il y a 6 années à peine. Des bus de substitution existent mais ils sont souvent pris dans les bouchons aux heures de sortie des bureaux.

Vue de la devanture de l’aéroport Dominique Baudis sous le soleil timide de ce début janvier. Je retournerai quelques heures plus tard en voiture à l’aéroport chercher ma compagne arrivant de son long voyage pro en Argentine.

C’est ici que ce termine ce report et cette série, j’espère qu’elle vous aura plus. Je m’excuse pour mon retard de publication qui ne cesse de se creuser et qui donne des récits un peu décalés dans le temps, bon vols à tous !