Avis du vol entre Bastia et Paris en classe Economique avec Avion Express

Bonjour à tous et bienvenue dans ce FR ! Après une semaine sous le soleil Corse, bien agréable en ce début avril avec notre déficit de soleil plus au nord, il est temps de rentrer. Ce vol sera un peu plus original que d'habitude avec un nouvel affrètement, qui sera donc après un terrible suspens celui d'Avion Express ^^.

Le rappel du routing :

Nous n'arrivons pas avec une grande avance devant l'aérogare :

Heureusement et habituellement en cette saison, il y a très peu de monde et nous pourrons déposer les valises dans la foulée. Le vol affrété est bien mentionné sur l'écran :

En 3 semaines, les destinations n'ont pas beaucoup varié : on est encore en arrière-saison :

C'est tout vert pour nous :

Je me demandais à quoi servait ce bureau et son urne et j'ai ma réponse : c'est une enquête de la chambre de commerce de Bastia :

Un ATR se prépare au loin :

Tandis que notre cher A320 Avion Express tout-en-blanc arrive depuis Marseille :

C'est LY-VEL, A320 de 21 ans qui officie déjà depuis quelques mois sur les vols XK pour pallier certaines indisponibilités :

Le camion du catering rempli de canistrelli arrive :

Entrainement des pompiers ? En tout cas, ce n'était pas pour un water salute ;-)

L'embarquement est lancé 10 minutes après l'horaire théorique de départ, notre affrètement est toujours indiqué mais de manière quelque peu discrète :

Ce tout récent ATR 72-600 devra encore attendre quelques heures pour repartir sur Nice

Quant à nous, nous embarquons comme d'habitude directement depuis le tarmac, avec une vue de choix sur les reliefs corses :

Comme AirExplore, nous avons le droit à une livrée toute blanche. J'aime bien le fait que l'entrée du réacteur soit chromée !

Instant porte…

La vraie identité de notre avion est indiquée, mais de manière plutôt discrète au plus grand désarroi des AvGeeks :

Entrée dans la cabine, les sièges paraissent épais :

Le pas par contre est vraiment, vraiment petit, je l'avais vu sur un FR d'AirBretzel mais c'est encore plus… petit en vrai ^^ :

Et c'est confirmé au moment de s'asseoir, j'ai rarement, voire jamais été aussi proche du siège devant :

Bon, ça me fera moins de distance pour subtiliser la safety card ;-) :

Heureusement, l'avion n'est pas plein et nous n'aurons personne sur notre triplet :

Personne devant non plus, mais pas moyen d'enlever ces sièges assez gênants ;-) :

Nous nous en allons avec plus de 30 minutes de retard de notre point de stationnement :

Un Beech King Air 260C, dans un coin ou pas mal d'AvGeeks se sont fait plaisir 3 semaines auparavant :

Impossible de ne pas identifier la piste :

Décollage sous un paysage corse bien vert :

L'ambiance est toujours aussi… serrée en cabine :

L'étang de Biguglia et Bastia un peu plus loin :

Un petit bout de la place Saint-Nicolas, et du monde au port de Bastia :

On longe désormais le Cap Corse :

Mais par pour longtemps avec l'habituel virage vers l'ouest :

Une vue sur le golfe de Saint-Florent puis la Méditerranée :

Petit passage aux toilettes où ce distributeur de savon a migré dans le lavabo :

C'est maman qui s'occupe exclusivement du bébé, que voulez-vous notre Airbus est vieux jeu ^^ :

La langue italienne ne trahit pas la compagnie d'origine de cet avion, Spanair, à qui l'avion a appartenu jusqu'à la cessation des activités :

Retour en cabine, bien clairsemée :

Instant F-OITN aux accents un peu vintage :

La prestation est servie bien aux couleurs d'Air Corsica :

Les nuages pendant notre traversée des Alpes n'offriront malheureusement que ce petit répit :

Ce n'est que plus tard que ciel se découvre au niveau de la Bourgogne, où une petite bourgade fait son apparition :

Dont voici le monument le plus connu, alias le stade de l'Abbé Deschamps (non, pas le sélectionneur) qui abrite l'AJ Auxerre, club indissociable de notre Guy Roux national :

Ma tournée aérienne de stades de foot compte donc maintenant une nouvelle entrée… mais toujours pas le stade Bonal !

Nous continuons avec Sens, toujours en Bourgogne :

Ces champs sont jolis à voir depuis notre hublot :

Tout comme ces plans d'eau qui entourent la Seine, en Seine-et-Marne :

L'aérodrome de Nangis Les Loges :

Le château des Boulayes datant de 1785 :

Le Haras de la Bourbonderie en Seine-et-Marne toujours :

Le domaine de Grosbois que j'ai zieuté maintenant de nombreuses fois depuis mon hublot :

L'instant Ben :

Un petit passage au dessus des voies du RER C et des trains depuis Austerlitz :

Atterrissage avec vue du Concorde du Musée Delta à Athis-Mons, c'est la première fois que je l’aperçois :

Le virage de sortie de piste se fera de manière très brutale et inattendue, sans savoir pourquoi :

Vue sur un des 330 Air Caraïbes en livrée "défraichie" ^^ :

Je préfère la livrée Skyteam de ce bon vieux triple 777 AF :

Notre 330 est accompagné des voisins DOM-TOM habituels :

Plus rare pour mes yeux à Orly, cet A330 Azul qui remplace le 350 :

Et l'A350 French bee, pour moi une des plus belles livrées d'Orly, en plus d'être un des plus beaux avions :

Nous nous garons à côté de cet A319 AF avec un peu moins de 30 minutes de retard :

Une petite pub pour l'Astrolabe sur le chemin des valises :

Les nôtres arriveront assez rapidement après quelques minutes d'attente :

S'en suit ensuite le cheminement vers le point de rencontre des VTC, que j'ai pris en photo étape par étape suite à ma galère à mon retour de Corse précédent. Le tout est d'arriver à rejoindre la sortie 10a au niveau des arrivées, qui ensuite permet de rejoindre facilement son chauffeur VTC sauf si celui-ci a préféré aller se pointer au niveau des départs comme ça m'est déjà arrivé ^^

Le tracé du vol :

Merci pour votre lecture, à tout de suite pour le bonus et à bientôt pour une série de vols aux États-Unis !