Avis du vol entre Geneva et Montreal en classe Economique avec Air Canada

ACA

AC - Air Canada

Vol effectué le 15 septembre 2024
AC885
13:50 07h 50m 15:40
Appareil Airbus A330-300
Classe Economique
Siege 44A
Ticou
2,128 · 45 · 4 · 40

INTRODUCTION ET GENESE DU VOYAGE


Bonjour à toutes et à tous,

Durant l'été et l'automne 2023, ma copine et moi avons penché sur un voyage de deux semaines devant nous emmener au Canada. Je n'avais personnellement jamais mis les pieds dans ce pays, contrairement à elle il y a plusieurs années, que je me réjouissais de découvrir, que ce soit pour certains centres urbains et sa nature. Au programme, une arrivée à Montréal, puis après quelques jours sur place, un road-trip nous menant dans la province locale avec notamment visite de Québec, du village de Tadoussac (connu pour ses croisières aux baleines), avant de redescendre sur la mégalopole montréalaise et de partir en direction d'Ottawa et Toronto en Ontario.

Nous nous sommes assez naturellement tournés vers Air Canada, avec qui je n'avais jamais volé et qui me paraissait être une compagnie sérieuse, pour travers l'Atlantique. En effet, cette dernière propose notamment un vol direct entre GVA et YUL. Nous avons en revanche opté pour atterrir à Zurich au retour, cela nous permettant à nouveau d'avoir une liaison sans escale et de profiter quelques heures de plus de la principale ville de l'Ontario. Le prix au moment de réserver en décembre 2023 ? CHF 531.50 par personne avec une valise en soute de 23kg, en plus d'un sac à dos et d'un bagage cabine, pour un départ le 15 septembre 2024 ! Il va falloir être patient mais cela va également nous permettre de finaliser notre parcours et d'effectuer les différentes réservations.

Comme indiqué, je n'avais jamais encore volé avec Air Canada mais j'avais plutôt une bonne impression de cette compagnie vu les retours que j'avais eu. Et de toute façon, les canadiens n'ont pas la réputation de faire la grève… C'est donc avec une certaine surprise que le 10 septembre 2024, soit même pas cinq jours avant le départ prévu, je reçois un courriel m'annonçant que les pilotes et la compagnie n'ont toujours pas trouvé d'accord pour une nouvelle convention de travail et qu'il existe des risques de… grève dès le 18 septembre 2024 avec des répercussions mondiales à partir du 15 septembre 2024, date de notre départ ! Montée du stress garantie pour votre serviteur et sa copine.

Air Canada propose notamment de rebooker gratuitement sur d'autres vols mais celui du samedi est déjà complet et il nous est impossible de nous libérer professionnellement pour partir le vendredi 13 septembre 2024. Il va falloir croiser les doigts et espérer que tout se passe bien. J'essaie cependant de me rassurer en me disant que notre aéronef à destination de Montréal sera parti la veille du Canada et que les dirigeants voudront rapatrier tout le monde dans leur hub.


ENREGISTREMENT ET PREPARATIFS AU VOYAGE


Air Canada propose, comme de nombreuses compagnies, la possibilité de s'enregistrer 24 heures avant le départ. Je suis donc au taquet pour effectuer les démarches nécessaires et pour essayer d'obtenir deux sièges sur le côté gauche (pour avoir la meilleure vue à l'arrivée), de l'avion vu sa configuration en 2-4-2. Mission réussie avec des places en 44A et 44C. Petite crainte d'avoir fait une bêtise mais il n'y a pas de rangée B à cet endroit, ouf. Pour le reste, autant vous dire que les gens ont très rapidement réservé leur place.

Nous avions prévu de partir de la région lausannoise où nous vivons tous les deux le jour-même mais compte tenu de l'incertitude des grèves, nous avons décidé de dormir sur Genève dans la famille pour pouvoir être au plus près de l'aéroport s'il fallait soudainement utiliser des relations alternatives. La nuit qui précède notre départ n'est pas bonne pour ma part et je me réveille plusieurs fois. Je ne peux pas m'empêcher de vérifier que notre avion est bien en route et je crains de plus en plus un problème quand je vois qu'il est constamment retardé depuis Montréal. Au final, il partira avec plus de 3 heures de retard, mais au moins il décollera.


GENEVE COINTRIN (GVA)


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Compte tenu du retard annoncé au départ, au moins 2 heures, soit 13h30, nous nous rendons uniquement à 10h30 à GVA. La famille de ma copine a eu la gentillesse de nous laisser devant l'entrée en voiture au niveau du dépose minute. Le stress descend d'un côté mais l'excitation du voyage augmente ! L'enregistrement et le dépôt de ma valise (pesant 13kg) sont effectués très rapidement en 5 minutes avec une hôtesse très polie qui nous annonce que l'avion aura du retard. Je lui réponds que nous sommes au courant et que cela nous a passablement stressés vu le contexte global. Elle nous sourit et nous souhaite un agréable voyage.


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il est donc 10h30 et notre vol est censé partir à 13h30 vu le retard. Autant vous dire que nous avons clairement le temps devant nous. Quand nous voyageons, nous avons pour habitude de faire quelques réserves alimentaires chez un grand distributeur suisse. Ce dernier a d'ailleurs un magasin dans l'aérogare attenant à GVA mais surprise…


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Nous décidons donc de faire un aller-retour par Genève Cornavin, qui est la gare principale de la Cité de Calvin, pour constituer nos réserves. En effet, l'offre est bien plus grande et moins chère que dans les commerces de GVA et l'attente nous paraîtra moins longue. C'est donc après ce détour que nous revenons à l'aéroport à 11h37, soit bien suffisamment en avance. La sécurité est avalée en 5 minutes dans la deuxième salle qui permet de laisser ses appareils électroniques et ses liquides dans ses valises. Mon sac à dos est expulsé pour un contrôle subséquent mais il n'en sera rien après que l'agent de sécurité a examiné son écran de contrôle de plus près.


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Lors de nos derniers voyages à Genève, nous sommes toujours tombés sur un stand marketing typiquement suisse juste après la sécurité, à savoir un espace dédié à un chocolat qui avait encore il y a peu le Cervin comme emblème et un télésiège. Cette fois, nous avons le droit à de la publicité pour Alinghi, challenger pour tenter de défier Team New Zealand à la Coupe de l'America. Beaucoup moins de succès qu'en 2003 et 2007 pour les marins helvètes lors de cette édition 2024 !


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Quoi qu'il en soit, notre vol partira depuis la porte C61 se trouvant dans la "nouvelle" aile construite il y a quelques années maintenant et qui est notamment dédiée aux vols non-Schengen. J'apprécie particulièrement ce lieu et sa modernité. Passage du PAF aux machines automatiques en quelques secondes.


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L'aile C accueille évidemment les vols moyens et longs-courriers au départ de GVA. Il y a notamment le vol Delta à destination de New York JFK en plus de notre avion pour Montréal qu'il est temps de vous présenter. Ce dernier est donc un A330 portant l'immatriculation C-GHKW. Il a fait entièrement sa carrière sous les couleurs d'Air Canada depuis sa livraison en juin 2001 à la compagnie nationale. Il est cependant évident qu'il a eu droit à un retrofitting interne vu son âge avancé.


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VOL AC 885


L'embarquement prioritaire pour les familles avec enfant(s) commence à 13h08. Quatre minutes plus tard, le premier groupe est appelé. Ma copine et moi faisons partie du groupe 3 et c'est à 13h17 que nous avons droit de nous présenter à la porte. C'est toutefois la gabegie car plusieurs personnes (on parle facilement de plus d'une dizaine) essaient de passer outre les consignes et bloquent l'accès au point où il est nécessaire pour certains de jouer un peu des coudes. Heureusement que cela n'est pas nécessaire pour moi et nous pouvons accéder à la passerelle qui va nous mener à notre A330. Il y a toutefois une petite attente.


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Le fameux Instant porte et un fuselage shot avant de monter à bord. On voit d'ailleurs en fond d'image l'avion de Delta qui s'en va pour New York, la Big Apple étant une ville que j'aime particulièrement et que j'ai eu la chance de visiter à deux fois (2017 et 2022).


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Nous sommes poliment accueillis par l'équipage qui consulte mon boarding pass et qui m'indique de prendre le premier couloir pour me mener en zone économique. Il est 13h30 quand j'arrive à notre rangée (44A) et l'instant de vérité approche pour connaître le peu d'espace que j'aurai pour les prochaines heures. Ci-dessous, une photo prise en zone Y pour me rendre à ma place, d'autant plus qu'il y a encore peu de monde dans cet endroit de l'avion à ce moment, puis une image de la cabine.


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C'est joli et autant vous dire qu'on a hâte d'arriver et découvrir les beautés du Canada. Spoiler alert : nous ne serons pas déçus.


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Je vous parlais récemment du moment de vérité pour le pitch et autant vous dire, qu'en bon helvète, je suis surpris en bien ! A ce propos uniquement, sur mes derniers vols transatlantiques, j'avais eu une expérience assez pénible avec Americain Airlines. En revanche, j'avais trouvé que British Airways proposait un espace correct en Y. J'exclus volontairement un vol Swiss où j'avais payé un supplément pour me retrouver à côté d'un ami en sortie de secours et une autre liaison où j'avais été surclassé gratuitement par United. Pour information, je culmine à 1m93. On aperçoit sur la droite le genou de ma copine, bien plus petite, qui a une monstre place en comparaison avec moi et qui aime me répéter que j'ai le droit de venir dans son "espace vital" si je le souhaite.


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La cabine (qui sera quasiment complète en Y) se remplit peu à peu et nous avons le droit aux consignes de sécurité sur les écrans placés devant nous. J'ai assez bien aimé le film présenté qui varie entre magnifiques paysages (placement de produits bonjour) et scènes où les équipages d'Air Canada mettent en scène les comportements appropriés à avoir en tout temps et encore plus en cas de problème.


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Il est 13h50 précises lorsque notre A330 peut enfin repousser. Il est nécessaire de remonter quasiment tout l'aéroport sur notre gauche pour aller nous placer en bout de piste 04. Nous allons donc décoller au-dessus du Léman. Il est exactement 14h11 lorsque les nombreuses roues de notre mérou du jour quittent le sol suisse après une poussée de 38 secondes. La vue sur le lac est plutôt pas mal.


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Peu après le décollage, des écouteurs à la qualité probablement très moyennes sont distribués gratuitement à ceux qui en désirent. De notre côté, nous avons tous les deux pris nos casques qui peuvent manifestement se brancher sans souci. A ce propos, je note qu'il agréable de pouvoir le faire sans avoir besoin d'un adaptateur, même si les avons bien évidemment. Pour rester sur le plan "technologique", Air Canada a la très bonne idée de proposer le wifi gratuit pour les messageries usuelles à condition d'être inscrit à leur programme gratuit de fidélité. Il faut cependant indiquer son numéro de membre au moment de l'enregistrement, sinon cela ne fonctionne pas (expérience faite par un ami sur ce même vol quelques semaines après). Hormis une quinzaine de minutes après le décollage où le wifi n'était pas fonctionnelle, cela a marché comme espéré. C'est toujours rigolo de voir la réaction de ses proches lorsqu'on leur écrit à près de 10'000 mètres d'altitude.


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L'écran IFE est plutôt réactif et j'apprécie toujours jeter un coup d'oeil à la map monde. A ce propos, l'offre en matière de divertissement est assez complète et il y a suffisamment de films pour trouver son bonheur. En effet, il y a passablement de productions Apple TV, Disney +, Hayu et Max en plus de la sélection de films. De mon côté, je lance rapidement "Un petit truc en plus" qui a fait des millions d'entrées. Le service pour le dîner (pour les suisses)/le déjeuner (pour les français) commence alors qu'il est 15h00. Des menus assez habituels pour de l'éco comme vous pouvez le constater.


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Votre serviteur opte pour le fameux chicken. En toute honnêteté, c'était plutôt assez bon pour de la bouffe nourriture d'avion, même si je n'ai pas touché aux légumes. Tout cela sera agrémenté d'un verre de jus de pomme, tandis que ma copine opte pour un Sprite. Les radins d'Air Canada ne donnent cependant pas l’entièreté de la cannette, loin de là. Cela change de leurs homologues de United.


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Une fois sustenté, la suite du vol est relativement calme. Chacun vaque à ses occupations, la plupart du temps sur l'écran IFE, ou essaie de dormir. Je m'extirpe de ma place alors qu'il est 17h00 en Suisse, pour passer par le lieux d'aisance. Ce n'est malheureusement pas super propre et la chasse n'avait pas été tirée avant mon passage.


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Je profite de rester plusieurs dizaines de minutes à proximité du galley pour dégourdir mes jambes alors qu'il reste 4h30 de vol. L'espace proposé me convient mais il est vrai qu'on se sent assez vite engourdi. Quelques bouteilles d'eau et snacks sont disponibles. Cela n'est toutefois pas du niveau de Swiss (expérience faite sur un Zürich-Miami) mais cela a le mérite d'exister.


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Je retourne à ma place une trentaine de minutes plus tard. Je me sens passablement fatigué compte tenu de la nuit compliquée et du stress/excitation du départ. J'essaie donc de dormir pendant une heure environ mais dans les faits, je somnole plus qu'autre chose, d'autant plus que cela secoue pas mal. Dès lors, je décide à 18h45 (heure suisse) de lancer un nouveau film et je choisis Cocorico. Clairement pas mon meilleur choix (désolé de cette critique cinématographique si certains ont adoré cette œuvre). Il est 20h30 en Suisse, donc 14h30 au Canada, lorsqu'on nous propose un sandwich chaud au poulet. C'est assez moyen mais cela a le mérite de nous préparer à la cuisine nord-américaine.


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Après cet intermède culinaire, nous décidons d'explorer assez rapidement les jeux proposés par l'IFE avec ma copine. Nous tentons une partie d'échecs mais malheureusement, les annonces effectuées par le personnel naviguant commercial vu que nous nous rapprochons méchamment de Montréal, nous déconnectent à chaque fois. Tant pis pour cette fois mais je vous rassure, nous nous sommes vites remis ! J'en profite également pour ne pas oublier de prendre en photo les fiches de sécurité.


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Comme indiqué, l'approche sur YUL se précise gentiment mais sûrement. En regardant quelques vidéos sur YouTube et en lisant quelques flight-reports, j'avais noté que le côté gauche de l'avion offre généralement une meilleure vue. Montréal n'est pas une ville aussi iconique que New York et sa fameuse skyline mais il est possible d’apercevoir assez facilement le stade olympique construit pour l'édition de 1976 au nord.


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Nous avons droit à un atterrissage très doux, pas loin du kiss landing, alors qu'il est 15h36 au Québec. Le roulage est assez court et notre A330 trouve rapidement sa porte de débarquement. Vu les aéronefs aux alentours, pas de doute sur le pays où nous nous trouvons. Le personnel s'active très rapidement pour les opérations au sol. De notre côté, le débarquement est particulièrement lent et il nous faudra presque 15 minutes pour sortir de l'avion.


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AEROPORT INTERNATIONAL MONTREAL-TRUDEAU (YUL)


Nous débarquons par une passerelle  et je vous concède que cela fait particulièrement du bien à nos jambes. Nous ne ressentons pas forcément toute la fatigue emmagasinée en raison de l'excitation d'être enfin arrivés, avec un retard d'environ 2 heures. Notre voyage, préparé avec passion et amour, va enfin pouvoir se concrétiser ! Mais pour cela, nous devons cependant encore passer l'immigration qui se trouve à plusieurs minutes à pied. Notre progression est ralentie car il y a passablement de gens.





S'agissant de mon expérience en Amérique du Nord, j'avais uniquement connu le passage de l'immigration aux Etats-Unis (une fois à Newark, New York JFK et Miami). Pour Montréal, où nous nous rendons grâce à une autorisation de voyage électronique (AVE), j'avais vu sur internet qu'il y avait un système de bornes informatiques sur lesquelles il faut répondre aux questions habituelles, ceci avant d'avoir de brèves questions par un(e) employé(e) de l'administration canadienne. Pour notre part, le passage de l'immigration se passera en moins de dix minutes. Bienvenue à YUL !


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Nous devons encore récupérer nos bagages. Les écrans indiquent que ceux-ci seront distribués sur le carrousel 6. Nos valises n'ont cependant pas été aussi rapides que nous et il sera nécessaire d'attendre une petite dizaine de minutes supplémentaires, rien de bien insupportable.


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Après avoir récupéré nos effets personnels, nous passons encore tour à tour brièvement aux toilettes de l'aéroport. Chez les hommes, elles ne sont pas vraiment très propres. Puis, nous nous dirigeons en direction de la douane où nous remettons une longue fiche qui avait été imprimée par la borne de l'immigration. Nous nous retrouvons alors rapidement dans le hall principal de l'aéroport où il est possible d'acheter des titres de transport pour aller en ville. YUL n'est pas (encore) relié par le métro mais cela changera d'ici quelques années puisque les autorités sont en train de construire le "REM" pour rejoindre le centre-ville en 20 minutes seulement.


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LE VOL SELON FLIGHTRADAR24


photo gva-yul
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Notes des produits

Compagnie aérienne

Air Canada 7,6

  • Cabine7,5 / 10
  • Equipage8,0 / 10
  • Divertissements7,5 / 10
  • Restauration7,5 / 10
Aéroport de départ

Geneva - GVA7,9

  • Fluidité8,5 / 10
  • Accès8,0 / 10
  • Services7,0 / 10
  • Propreté8,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Montreal - YUL7,0

  • Fluidité8,0 / 10
  • Accès7,0 / 10
  • Services7,0 / 10
  • Propreté6,0 / 10

Conclusion

Pas mal d'inquiétudes pour votre serviteur avant même le départ compte tenu de ce risque de grève. En tentant de faire abstraction de cela et du retard du vol, le produit proposé par Air Canada était plus que correct pour un vol transatlantique . J'ai connu bien pire avec American Airlines notamment en matière de (non) place pour les jambes. Genève est toujours un aéroport assez fluide et il n'y a pas eu beaucoup d'attente à Montréal. Dommage cependant de devoir transiter en bus jusqu'à la ville et vivement l'entrée en service du "REM". Merci de m'avoir lu !

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Les derniers avis de Ticou

Commentaires (4)

  • Merci beaucoup pour ce FR très complet ! Une prestation très honorable d'AC malgré le retard et le stress de la grève. A bientôt !

    • Merci pour le commentaire. Toujours un plaisir de rédiger des flight-reports que j'essaie de rendre les plus complets possible !

  • L'avion n'est pas tout jeune mais la cabine a bien été modernisé et le vol a semblé confortable.

    Le retard n'est jamais agréable mais au moins vous le saviez un peu en avance

    Merci pour ce FR

    • Merci pour votre commentaire. La cabine était effectivement assez agréable. Vu le contexte, le retard n'était presque qu'un détail, nous étions tellement contents de partir après le risque de grève !

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