C'est parti pour un nouveau séjour asiatique, à destination de la Corée.
Cela faisait un moment que le Pays du Matin Calme nous faisait de l'oeil (enfin, calme, pas tant que ça au vu des derniers événements politiques qui ont agité le pays en décembre). Nous prévoyons notre voyage bien en avance, avec la traditionnelle chasse aux billets d'avion. Je vous passe les tortures que j'ai infligées à Google Flights, avec des départs rocambolesques d'OSL, de MXP ou de BUD, on va finir sur un très traditionnel combo AF/KL au départ de Paris en W. Ce n'est pas le tarif du siècle, mais c'est pratique et au final bien moins cher qu'avoir à gérer un pré-acheminement et une nuit d'hôtel à Pétaouchnoque.
Ce sera donc :
Enchainement de vols
- 1Paris CDG > Séoul - AF - Premium - A350-900
- 2Séoul > Amsterdam - KL - Premium - B777-200
- 3Amsterdam > Paris - AF - Eco - A321
Nous aurons 15 jours pour découvrir la Corée du Sud, un pays magnifique et très différent du Japon (c'est sans doute évident pour ceux qui connaissent mais je pensais que ce serait plus proche). Nous avons sillonné la péninsule coréenne, mais j'ai dû me résoudre à n'emprunter aucun vol intérieur, notre itinéraire ne s'y prêtant guère.
Côté bonus, ce premier opus sera consacré à Séoul et le retour aux autres lieux visités dans le pays.
Départ directement de CDG donc, où je vous retrouve par un gris matin d'octobre. En ce dimanche matin, nous avons retenu l'option VTC, qui nous dépose directement devant l'entrée SkyPriority.

C'est la foule des grands jours, mais j'ai toujours autant de plaisir à retrouver ce grand hall 2E avec son immense plafond voûté.

Le tableau des départs, avec les temps de trajet pour rejoindre les différentes zones du 2E. Aujourd'hui, je pars du M, que je ne connais pas malgré mes nombreux passages ici.

Comme à mon habitude, je vais aux comptoirs pour retirer nos BP (ne pas trop faire confiance aux BP électroniques, et puis c'est plus simple à tendre que d'ouvrir l'appli AF alors qu'on prend des photos pour un FR, non ?).

Mais n'ayant pas de bagage à enregistrer pour ces 2 semaines en Corée, ce sera le bandit manchot qui m'octroiera le sésame.

Pendant ce temps, une miss pleine de paillettes et aux talons aussi hauts que sa jupe est courte suscite une petite animation.

Direction la PAF, qui réserve toujours des surprises à CDG, qu'elles soient mauvaises ou bonnes. Force est de constater que ce matin c'est très calme, on en pardonnerait presque aux PARAFE, toujours inopérants.

5 minutes plus tard, nous voici en direction du LISA pour rejoindre le hall M. 29 minutes ? cela n'est pas de bon augure pour le PIF.

L'estimation était un peu exagérée mais pas si fausse, car il faudra 20 minutes pour arriver à l'incontournable dutyfree situé après le PIF.

Je découvre donc le hall M. L'éclairage (des néons disséminés derrière des grilles) me rappelle celui d'ORY 3.

Une fois n'est pas coutume, nous nous promenons un peu avant de rejoindre le salon AF.

Salon que je ne connais pas, donc, et dont l'entrée donne le ton avec ces murs blancs aux décors arborés.

Ce salon est bien connu ici, mais j'apporte mon écot avec cette visite qui me permet d'en appréhender les espaces.

Ces "arbres" sont du plus bel effet et apportent une touche particulière à cet endroit.

C'est encore assez peu rempli, mais cela ne durera pas.

L'espace bureau est déjà presque complet.

Tout au fond, c'est beaucoup plus calme et il est possible de se faire un café.

Les grandes baies vitrées apportent une belle lumière naturelle, même si aujourdhui c'est surtout la grisaille qui domine.

Entre le verre teinté et les barres, difficile de spotter. J'arrive à attraper DL en livrée spéciale.

Comme les autres salons de CDG, on trouve un espace Clarins…

… qui comme dans les autres salons est toujours aussi inaccessible.

Le rayon de la presse papier ne brille pas par sa diversité, mais il faut dire que l'application AF Play permet d'accéder à un choix très large sous format numérique.

Les FIDS permettent de suivre les départs. Notre vol est bien prévu à l'heure.

A notre arrivée, l'offre de petit déjeuner commence à laisser la place à celle du déjeuner.

Rien à dire, il y a du choix.


Le choix de vin est là aussi, mais il manque encore le champagne.

Normal, il n'était que 10h59. Sollicitée, une préposée m'indique que ça arrive. Et ça arrive effectivement à 11h et des poussières.

L'occasion de trinquer à ce voyage !

C'est à ce moment que des agents AF passent avec un chariot pour proposer champagne et amuse-bouche aux passagers.

L'attention est sympa, et en plus c'est bon.

Impossible de quitter le salon sans goûter ce Saint-Emilion grandu cru de 2016. AF est sans doute la seule compagnie au monde à proposer des vins de ce niveau dans un salon business.

Je tente aussi le baba au rhum. Certes ce n'est pas le plat de Ducasse servi au salon la Première, mais c'est bon quand même.

Le temps au salon passe vite, entre grignotage et préparation du voyage. Je passerai d'ailleurs au comptoir du salon pour faire imprimer un document, ce service est pratique et peut être fort utile.
Nous quittons le salon vers 13h, soit une heure avant le départ théorique de notre vol. Il n'y a pas grand monde dans le hall.

La décoration est sobre, mais ce grand tableau végétal égaie l'ensemble.

Un peu de spotting, avec une faune très nord-américaine.


Tout au bout de la jetée, se trouve notre oiseau du jour. Je note que l'A350-900 et le B777-300 ont le même point de stationnement.

Les files sont bien organisées et des agents filtrent les passagers en vérifiant zone d'embarquement et passeport.

Note classe de voyage nous autorise à emprunter la zone 2, même si la Premium ne figure pas sur le panonceau.

Notre voisin de devant est lui tout à fait éligible à la zone 1, au vu de son statut "2 million miler" chez Delta. Il faut en faire des vols, quand même, pour faire un million de miles (d'autant que la classe tarifaire la plus basse de DL n'est plus éligible au décompte des miles).

L'embarquement est lancé vers 13h15 et nous sommes dans les premiers à emprunter la passerelle.

Nous voici arrivés en porte, dans les pas du "2 million miler passenger".

Fuselage shot sous un ciel bien gris.

L'accueil en porte est sympathique et nous prenons tout de suite à droite. Ceci permet de découvrir de visu la nouvelle business d'AF. La cabine est belle et on aurait bien aimé avoir un bip magique en porte…

L'espace au premier rang est vraiment incroyable.

Pour ce vol, ce sera en Premium, avec ces nouveaux sièges que j'ai eu l'occasion d'essayer quelques semaines plus tôt. J'avais été convaincu par le confort pour un vol de nuit de 6 heures vers AUH, voyons ce que cela va donner sur un vol beaucoup plus long.

Voici la vue sur le premier rang. L'espace pour les jambes est intéressant et deux hublots sont accessibles. Fait notable : pas d'IFE logé dans l'accoudoir, mais des écrans sur le bulkhead (quoiqu'un peu hauts).

La cabine est configurée en 4 rangées, aménagées en 2/4/2. Nous avons pris à la réservation le duo de sièges au deuxième rang.

Le pas est très correct. Il y a de la place pour les jambes, même si le repose-pied et le montant du siège de devant obèrent un peu l'espace.

La tablette centrale est pratique pour poser ses affaires. En dessous, on retrouve une bouteille d'eau, la télécommande de l'IFE et les commandes du siège.

Ainsi que le casque.

De l'autre côté, se trouve la tablette.

Pour la faire sortir, appuyer sur le bouton (oui, ça paraît évident, mais sur le moment, on cherche…).

Elle est de bonne taille et surtout bien stable.

Le PSU est sobre et moderne.

L'armement cabine comprend une couette sous blister.

Et un coussin.

Terminons le tour de ce siège par la têtière, large et ajustable.

Faisons un test Horatius (tiens, ça fait longtemps que je ne l'ai plus vu celui-là, il parlera aux contributeurs vétérans du site ;-).

L'IFE est déjà actif. L'écran est de belle taille.

Il est un peu réfléchissant, mais en vol cela ne m'a pas trop gêné.

L'occultation du hublot n'est plus physique avec un traditionnel cache coulissant, mais se règle avec ces boutons.


L'heureuse surprise que nous avons eue en arrivant à nos sièges, c'est de trouver ce sympathique petit mot de la part de notre chef de cabine. Ce n'est pas grand chose, mais cela fait toujours plaisir.


L'inconvénient de la Premium, c'est qu'on est juste au niveau de l'aile, donc ce n'est pas terrible pour la vue.

La cabine se remplit tranquillement et sera complète.

Je profite de la fin de l'embarquement pour filer aux toilettes avant que ce ne soit la ruée. C'est propre, forcément.

Ce sont les toilettes de l'éco (même si de nombreux pax W tenteront, parfois avec succès, de remonter vers la business), donc pas de produits superflus.

En revenant à mon siège, je vois que la cabine Y est aussi bien remplie.

Tout comme la W donc, dont voici une vue d'ensemble.

Le chef de cabine vient nous saluer et nous le remercions pour son petit mot. Celui-ci nous demande si on nous a bien informés du problème de notre siège en porte. Ah, non, quel problème ? C'est le repose-pied de Madame qui ne marche pas. Il nous indique qu'il remontera le problème et reviendra un peu plus tard pendant le vol pour proposer un dédommagement de 15.000 miles, que Madame acceptera volontiers. Le problème de repose-pied n'était pas si flagrant, mais la proactivité de l'équipage a été remarquable et l'offre de dédommagement particulièrement généreuse.
Nous repoussons à 14h10, avec 5 minutes de retard. On retrouve le 787 de Westjet aperçu tout à l'heure. J'ai guetté le verre d'accueil, censé avoir été introduit en Premium, mais pas l'ombre de celui-ci.

Le roulage vers le doublet sud nous impose étrangement de faire tout le tour du terminal dans le sens antihoraire, en contournant le terminal 2 (beaucoup d'AF bien sûr, mais aussi DL et au fond à droite un A350 d'Air Mauritius).

Puis de longer le 2F et le 2B/D avant de rejoindre le doublet sud, pratiquement en face de notre point de stationnement initial. Tiens, El Al vient en gros porteur à CDG.

De fait nous ne décollons que 20 minutes après le push back.

Nous retrouvons le ciel bleu au-dessus des nuages.

C'est parti pour 11h de vol.

La caméra extérieure offre une belle vue sur l'appareil. On devine d'ailleurs la borne wifi.

Les trousses sont distribuées après le décollage. Le format est pratique et le contenu plutôt complet.

Nous recevons également une lingette rafraîchissante, identique à celle distribuée en business moyen-courrier.

Le verre de bienvenue est en fait un apéritif dissocié du repas. Ce sera champagne !

Santé à tous les FRistes !

Ce winglet brillant sous le soleil est magnifique !

Les cartes d'immigration sont également distribuées en début de vol.

Le service du repas démarre environ une demi-heure après le service du verre de champagne.

Voici le plateau tel que déposé. C'est dommage que les snacks apéritifs ne soient pas distribués en même temps que le champagne, pour l'apéritif justement.

Le menu est disponible sur ce minuscule bout de papier. Celui-ci étant remis sur le plateau, cela oblige le PNC à annoncer le choix à chaque passager. Dommage de ne pas avoir de menu plus grand format et remis avant le passage du chariot, d'autant que celui-ci n'était pas disponible sur l'IFE.

La présentation des couverts se rapproche de celle de la business, c'est très agréable, c'est une bonne chose qu'AF ait enfin abandonné les couverts en bambou pour les couverts en métal.


En entrée, ce sera donc artichauts et noisettes, personnellement j'adore l'artichaut donc ça me va très bien.

Pour le plat, j'ai choisi le poulet aux pruneaux et aux asperges. C'était très bon.

Le fromage et le pain ne seront pas mémorables et les feuilletés au pavot seront gardés pour plus tard.

Le repas se termine avec un Paris-Brest tout à fait fréquentable.

Pour accompagner ce repas, je demande du vin au PNC qui s'occupe de nous. Celui-ci me propose du Saint-Estèphe, je ne peux refuser et celui-ci revient rapidement de la cabine avant avec ce verre généreusement rempli.

Je conclus ce repas avec un café et un digestif (ou plutôt deux), proactivement offerts par notre PNC. Nous allons arriver en mer Noire.

Le soleil décline rapidement et ce sont déjà les dernières lueurs du jour. Ce winglet est décidément très photogénique.

A ce beau voyage qui s'annonce !

La suite du voyage se poursuit tranquillement, grâce notamment à une belle offre de film sur l'IFE. En milieu de vol, l'équipage passe proposer ces glaces. C'est, je crois, une nouveauté sur le service en Premium.


Allez, il est temps de faire dodo, la nuit sera courte ! L'interdiction de survol de la Russie nous impose un important détour par le sud, cela se voit bien très bien ici.

Je me réveille alors que nous nous approchons de Pékin.

Le soleil s'est levé, nouvel instant winglet.

Si la prestation a été jusqu'ici de bon niveau, on arrive au point faible du service avec ce second repas, identique à l'éco et bien trop léger. La présentation n'est déjà pas en elle-même très aguichante.

En soi, les produits ne sont pas mauvais (sauf le pain, juste immangeable), mais que de plastiques ! Et c'est tout de même bien léger, près de 8 heures après la fin du premier repas.

Nous sommes désormais proches de l'arrivée.

Au-dessus des nuages, émergent les montagnes de Chine du nord-est.

Je suis l'approche sur l'IFE, l'arrivée est désormais proche. Notre CDB slalome dans les couloirs aériens.

Malheureusement, je ne profiterai pas beaucoup des paysages extérieurs, étant donné l'épaisse couche nuageuse.

Nous sommes alignés pour l'atterissage.

C'est dans une belle purée de pois que nous finalisons notre approche sur ICN.

Bien qu'il soit déjà 10 heures du matin à Séoul, le brouillard est toujours présent. Pour autant il n'empêche pas de constater qui est le patron ici, avec de nombreux gros porteurs KE.


Ce A330 mériterait d'ailleurs un petit coup à la station de lavage.

Légère fantaisie dans le paysage des dérives avec cet Indonésien.

KE opère encore des 747, même si j'ai l'impression qu'en l'occurrence il s'agit d'une version cargo.

Comme au Japon, les agents de piste ne manquent pas de panache avec leurs uniformes.

Nous venons nous parquer près de cet A321neo.

Il est temps de dire au revoir à ce siège, il faut dire qu'il est très confortable et que j'y ai passé onze heures sans en sortir avec les lombaires endolories.

Je pense qu'à refaire je prendrais les sièges du premier rang, qui n'ont pas à subir l'inclinaison du siège de devant et qui profitent de deux hublots.

Débarquement sous les salutations cordiales de l'équipage. Notre adorable PNC sera bien sûr venu nous saluer avant la fin du vol, l'occasion de le remercier, il aura été top de bout en bout.
Dernières vues sur notre bel A350.


Plutôt sympa, nous sommes accueillis par quelques mots de français.

Nous avons une bonne marche pour rejoindre les contrôles de sûreté.

Je prends le temps de spotter ce superbe 777.

Nous voici arrivés à la PAF, fort heureusement il n'y a pas grand-monde.


Les formalités sont rapidement expédiées, l'efficacité coréenne n'a rien à envier à celle des Japonais.

Nous nous retrouvons landside à peine 15 minutes après être sortis de l'avion. Pour rejoindre le centre de Séoul, le plus simple et le plus économique reste le métro.

Mais avant cela, il nous faut acheter et charger une carte T-Money, indispensable pour les transports publics coréens. C'est chose faite dans un konbini idéalement situé à proximité de la gare.

Il existe deux types de train desservant Séoul : les express (qui coûtent assez cher) et les all stop trains. Devant de toute manière effectuer une correspondance sur le trajet, c'est ce dernier que nous empruntons.

Comme souvent en Asie, c'est moderne, propre et efficace.

Cette ligne dessert également l'aéroport de Gimpo, ce qui peut être pratique en cas de correspondance avec changement d'aéroport.

Ce FR se termine sur cette maquette sympa dans le métro séoulite faisant la promotion de la compagnie coréenne à bas coûts T'way, qui dessert d'ailleurs Paris.

Merci du partage Ateon.
Guerre surpris de la prestation que j'ai eu 2 semaines avant ton vol.
Seul l'appareil diffère, surement en rapport avec la saison IATA.
Merci pour le commentaire.
La prestation ne change pas fondamentalement sur ces lignes LC.
Votre vol était en 777 ?
En 300er effectivement.
Merci pour ce récit. :)
Dans l'ensemble un bon vol. Des progrès notables, mais il y a encore du travail.
Je savais pas que les IFE en première rangée ont été fixées à la paroi. Un bon point en effet.
Si la première prestation semble qualitative, la seconde est tout simplement indigne. En plus d'être idigne pour de la Premium Eco, c'est encore du "Do it yourself".
Il y avait d'autres choix, à part le champagne ?
Même pas ; ce 747 est un civil. La mention CARGO apparaîtrait le cas échéant.
Ce n'est pas ce que j'ai eu à mon dernier voyage...😜
Joli bonus coréen, qui rappelle certains bons moments.
A bientôt. ;)
Merci pour ce commentaire.
Oui, parce que comme beaucoup je n'aime pas les IFE logées dans l'accoudoir.
Seul le champagne était proposé par le PNC, mais je suppose qu'il n'aurait pas refusé un verre d'eau ou un jus de fruit.
Il est donc encore possible de les attraper !
Mince alors, peut-être un mauvais créneau horaire ?
A bientôt !
Merci pour le partage Stéphane,
Les amuses bouche sont une belle surprise au salon, je trouve l'idée originale.
A bord ces sièges sont à des années lumière des coques, au moins ceux ci sont confortables !
Des belles attentions de l'équipage, c'est toujours agréable.
Après côté catering, je radote à nouveau, mais c'est très loin d'être premium. C'est un plateau qui était servi en éco avant covid. Au début l'entrée était vraiment premium avec du foie gras, du saumon, des crevettes. Maintenant c'est une salade améliorée. Le sachet de crackers sur le plateau sur un vol de cette durée, c'est un no go pour moi aussi. Avant covid j'ai souvenir de vrais services apéritifs même en éco. Je fais l'impasse de commentaire sur le sac final ^^
Merci aussi pour ce très beau bonus coréen !
A bientôt !
Merci Stephan pour le commentaire.
Très sympa les amuse-bouche, et en plus c'était bon.
La premium s'est bien améliorée, qu'il s'agisse du siège ou du catering, mais c'est vrai que "avant c'était mieux". La grosse tache reste tout de même ce sac "bon appétit".
Le FR retour est prêt, il ne me reste plus qu'à faire le bonus !
A bientôt.
Merci pour le partage
Le service Champagne et amuse-bouche dans le salon est une très bonne idée.
Ces sièges sont tellement plus confortables que ceux des autres appareils de la flotte, enfin un modèle qui s'incline.
Nous sommes parfaitement d'accord sur l'offre de restauration et la nécessité de se démarquer de la classe économique.
Tellement vrai
Je découvre ceci, bon ajout au protocole de service.
Bonus très sympathique,
A bientôt,
Merci pour le commentaire.
Le siège apporte un réel confort. Etonnamment, Swiss a tout de même fait le choix de sièges coques sur sa (plus si) nouvelle W.
AF a essayé d'apporter une touche plus différenciante qu'auparavant à sa W, mais il y a encore un peu de travail.
A bientôt !