Avis du vol entre Manila et Abu Dhabi en classe Affaires avec Etihad Airways

ETD

EY - Etihad Airways

Vol effectué le 12 février 2024
EY423
18:45 09h 30m 00:15
Appareil Boeing 777-300ER
Classe Affaires
Siege 9K
SoraNoTabi
1,479 · 55 · 11 · 54

Bienvenu(e)s au troisième palier de notre aventure printanière 2024. 


Enchainement de vols


Les deux paliers précédents (résumés en un seul récit), n’eurent raison que pour nous remettre aux bras d’Etihad. 


CONSTRUCTION DU PARCOURS (pour les détails, cliquez ci-bas)


Contenu masqué : Cliquez pour afficher
Petite histoire : la grosse tranche intercontinentale de notre périple avait pour but rejoindre la Péninsule Ibérique (ou des hubs teutoniques), d’où il devrait être aisé d’atteindre notre destination finale. Pour des raisons évidentes [dimension/cout], elle fut à l’origine de toutes nos chimères.

Les premiers instincts nous menèrent à explorer des départs depuis MYJ ou Tokyo, en classe économique : les prix déployés par les moteurs de recherche s’avèreront astronomiques.
On diversifie les origines et on arrive à retrouver des aubaines ex-ICN ou ex-MNL. Pour le fun, juste par curiosité, on modifie la classe de voyage.

Et là, un vrai doute s’installe, car on tombe sur des connexions EY vers MAD, FCO ou BCN pour 1.600 EUR, en J. Plus bon marché que des vols en Y depuis le Japon…
Certes, les tarifs en économique chez Etihad sont plus bases encore et, en prime, il faut penser à regagner MNL ou ICN, mais… à des prix qui ne mettent pas en danger la peau de nos fesses, pourquoi ne pas se donner un petit plaisir (et traverser toute l’Asie et l’Europe en confort optimale) ?

Vous le savez déjà, on finira par craquer. 

Grâce au cloutage final, nous nous offrirons un déplacement MYJ-BCN (via MNL et AUH, mix Y et J) moyennant 2.000 EUR environs.


L’AVENTURE DE REGAGNER NAIA (MNL)


Des avertissements, j’en avais entendu par-ci et par-là : l’accès à NAIA n‘est pas des plus aisés.

Voyons voir tout ça !

Notre agréable hébergement se trouve à deux pas de la gare Pedro Gil, sur la ligne 1 du LRT manillais.
Une poignée de pesos et moins de 15 minutes nous suffisent pour atteindre la gare d’EDSA.


photo img20240212152802

En plus, à cette heure, la fréquentation est assez faible.
Le trajet s’est fait, donc, en confort.


photo img20240212152752

Jusqu’ici, tout se déroule nickel.

Au pied de la gare d’EDSA on retrouve une nuée de jeepneys qui desservent des destinations disparates, parmi lesquelles les alentours de T3 de NAIA (à deux pas de cette gare routière improvisée).

Retrouver la localisation des camionnettes idoines est à la portée de tous, y compris des néophytes comme moi, aidés par les grands gueulards en bas des escaliers.

Une poignée encore plus petite de pesos couvrira les frais. Mais ni le confort ni la rapidité feront partie du forfait-transport cette fois-ci. La ‘Pan-Philippin Highway’ en plein travaux, nous mettrons 40 bonnes minutes pour parcourir 2 kilomètres…

C’est dans ce no man’s land que nous sommes déposés par notre jeepney.


photo img20240212161159_1

AÉROGARE : ACCUEIL


Une petite marche salutaire nous emmène jusqu’à l’entrée du T3, où des succincts contrôles de sécurité ont lieu.


photo img20240212161606_1

Par la suite, il faudra monter au hall de départs.
La signalétique ici n’est pas vraiment facile à déchiffrer…


photo img20240212161928

En haut, tout est plus clairseme, plus facile à saisir.
On nous annonce qu’Etihad trouve refuge aux comptoirs de la zone C. 


photo img20240212162758

C’est-à-dire, en ce lieu.


photo img20240212162758_img20240212162754

Un peu de brouhaha bon-enfant, du côté de la classe économique.


photo img20240212162758_img20240212162830

Alors que le duché de la classe affaires semble dépeuplé.


photo img20240212162759_img20240212162145

Les formalités se dérouleront sous le soleil, le sourire et l’efficacité.

Merci, mademoiselle !

Nous procédons directement vers les contrôles sécurité & frontières.
Novice des classes avant, je n’eus pas des réflexes de m’enquérir sur l’existence de coupe-files.
 
Et, habitué à l’extrême fluidité des aéroports japonais, les 15 minutes+ pour franchir cette étape me semblèrent un tantinet longs. 


photo img20240212164141_1

Mais peut-être qu’il s’agit de scores conformes aux standards internationaux…

Notre porte cet après-midi [114] se trouve tout près de la sortie des contrôles mais, à cette heure-ci, elle demeure abandonnée. 


photo img20240212165116_1

Le percheron s’y repose, dehors.


photo img20240212165134_1

Bien accompagné de voisins équatoriaux. 


photo img20240212165143_1

Avant d’accoster notre roussin, nous estimons propice de prendre une douche et, éventuellement, de faire un petit gouter. 


photo img20240212165257_1

AÉROGARE : SALON MULTI-COMPAGNIES


Les ‘idéologues’ du ‘A Lounge’ et du ‘SilverKris’ ont fait un bon travail, lors de la mise en place de ces kakemonos. Mais ceux du ‘PAGSS’ ou du ‘Marhaba’, on dirait qu’ils ont chômé un peu.

Mince !!! Pas de douches au PAGSS ?!?!


photo img20240212165316_1

Voici le corridor amenant aux différents salons.
A gauche de l’image, en bas, la sortie des contrôles de sécurité. En haut, le food-court côté landside.


photo img20240212165533_1

Je suis attristé de ne pas avoir accès a celui-ci, car j’aurai tendance à imaginer qu’il s’agit d’un très bon salon, équipé de douches ?!? 


photo img20240212165614_1

Néanmoins, c’est seulement ici que nous serons acceptés.


photo img20240212165709_1

L’accueil est vraiment sympa, mais les premières sensations visuelles ne sont guère prometteuses.


photo img20240212165843

On ne sait jamais, alors on s’aventure : pardon, madame, y aurait-‘il des douches au salon ? 
-Yes, sir, straight ahead. They were just waiting for you.
-Superbe, salamat !


photo img20240212170009

1h 15min avant notre départ, on procède à se débarrasser des impuretés cumulées pendant cette journée affairée.
Les installations sont plutôt basiques mais rendent un service inestimable, surtout dans des climats chauds et humides comme celui de Manille.

15 minutes plus tard, je regagne, frais et pimpant, la salle de ravitaillement. 

Une reconnaissance approfondie ne révèle rien de folichon…


photo img20240212173542

Quelques dim-sum, d'aspect tristounet résument bien la tonalité du décor.
En vue de la maigre offre, on s’abstiendra de gouter.


photo img20240212173546

Le coin des boissons. Analoguement, sans grand lustre. 


photo img20240212173559

L'envers de la médaille de l'espace ravitaillement sert de réfectoire, ainsi que de balcon sur le tarmac. 


photo img20240212173559_img20240212175345

Mais il faudra attendre jusqu'au coucher du soleil pour pouvoir relever les stores.
Hélas, il est trop tard pour permettre aux capteurs de mon chiche appareil de portraiturer correctement le passage de ce A330 cantonnais. 


photo img20240212175306_1

Sous un autre angle et après maintes tentatives on réussit, tant bien que mal, à figer notre destrier sous une lumière tombante. 


photo img20240212175408_1

Je me limiterais à compléter le tour du propriétaire de cette 'salle d'attente bien équipée' et à siroter une infusion avant de descendre vers notre porte d'embarquement. 

Notre percheron, aperçu depuis l'étage inférieur.
(Entre-temps des voisins ottomans on rejoint notre écurie).


photo img20240212175958_1

L'embarquement est diligemment géré. 


L’AVION, LA CABINE


Nous franchissons le dernier contrôle et éprouvons une légère agitation en amont de notre voyage en J.

La porte d’entrée de la rossinante du jour.


photo img20240212180145

Et son fuselage, au crépuscule.


photo img20240212180149

Suite à des salutations solennelles, on pénètre dans une cabine très… mmmmh comment dirais-je… ambre.

Cabine qui semble bien entretenue mais qui montre son âge (avancée).
Un étroit couloir nous conduit jusqu’à notre siège.


photo img20240212180223

Où, évidemment, l’espace de vie est d’une taille remarquable. Surtout si l’on compare avec l’envergure des classes auxquelles je suis habitué.

Néanmoins, une fois assis, la sensation n’est pas d’amplitude.


photo img20240212180342_1

Nous faisons face à un écran qui rappelle celles équipant les stations de travail roulant au système d’exploitation Windows ’95.
 
A notre rangée, la cambrure du châssis ajoute un brin de largesse, mais le ressenti est toujours étriqué. 


photo img20240212180448_1

Alors qu’on était embarqué dans ces diatribes, un verre a retrouvé son chemin jusqu’à notre tablette.

Santé !


photo img20240212180449_2

Autres signes de la vétusté des équipements font surface : cette télécommande nous télétransporte aux téléphones portables scandinaves des années ‘90’s.


photo img20240212180449_2img20240212181605_4

MIAM !


Centrons notre attention sur de choses plus alléchantes.

L’offre alimentaire ce soir présente assez bien :
3 entrées, 4 plats principaux (2 viandes, 1 poisson et 1 pasta végétarienne) et 4 desserts.
En complément, un menu mignardises avec des sandwiches, de la salade ou du poulet.
On me chuchote que tout peut être servi au moment de notre choix.
 
C’est vraiment bien !


photo img20240212180925

Du coté des liquides, la liste est aussi longue et qualitative -j’oserais dire-.
(Bien que mes compétences dans la matière soient vraiment, vraiment limitées)


photo img20240212181108_4

Notre gentil PNC viendra prendre commande et s’intéressera à nos préférences d’horaires, ainsi qu’à des éventuelles envies d’apéritif.

La cabine est prête mais le commandant de bord nous annonce une légère attente avant notre décollage.
 
C’est un bon moment pour feuilleter le magazine de vol.


photo img20240212183226_1

Une revue pas vraiment passionnante, mais elle affiche une belle représentation du réseau d’EY (à l’époque, Osaka était dans leur viseur !).


photo img20240212183226_2img20240212182832

A bientôt, les Philippines ! Je vous quitte plein de beaux souvenirs.


photo img20240212190644

On s’envole avec 30 minutes de retard.

Et l’apéro -Gin & Tonic- arrive à une heure très civilisée : 19h45. 


photo img20240212194543_1

Le système de divertissement est aussi démodé qu’il le parait. 


photo img20240212194543_2img20240213042346

Alors, pour ce vol. on se contentera de recréations musicales (même la géovision sera désolante à regarder).


photo img20240212194543_3img20240213042434_1

A 21h15 des Philippines, l’entrée fait son apparition.
 
- Soupe de poireaux et pommes de terre (croûtons aux herbes).


photo img20240212211610_1

Je trouve distingué d’offrir du sel et du poivre de qualité, sur ce format.


photo img20240212212040_2

Entrée souple et revigorante.
Le rythme du dîner s’adapte à la convenance de chaque passager.
Comme plat principal on choisira l’agneau : Kebbé nayé (sauce yaourt et pignons).


photo img20240212213845_1

Bon et exotique -pour moi-, mais un peu rustique.
Je continue a déguster le Ribera del Duero, 2018.

Par la suite, on attaque le plateau de fromages.
Le Japon -notre chez nous- n’est pas réputé ni par la production ni par la distribution de produits laitiers succulents.
C’est pourquoi on est heureux d’être offert des fromages dignes de leur nom, même si ceux de ce soir sont loin d’être des laiteries artisanales.
 
La boulette duo de pain, servie d’office, est intéressante. En revanche, le pain à l’ail est certainement oubliable. 


photo img20240212215746

Le repas conclura avec un suave fondant au chocolat (à la crème anglaise) et un petit digestif autrichien…


photo img20240212222622

L’horloge marque 22h30 à Manille et je suis ravi d’avoir vécu cette agréable expérience culinaire a 30.000 pieds du sol.

Un peu de lecture prendra les devants du repos nocturne.


S’ALLONGER


Petite surprise lors qu’on prit l’horizontale… mon corps peine à rentrer dans l’espace alloué au siège déplié (pour référence, je fais 1.88m mais je ne suis pas de grand gabarit).
Finalement, il nous sera possible de retrouver du sommeil, mais le confort offert par cette configuration n’atteindra pas les niveaux imaginés.

Un peu plus de quatre heures d’allongement seront déchiquetées par les consignes nous invitant à préparer la cabine avant l’atterrissage. 


photo img20240213040818

A ce point, je m’en doute qu’il est trop tard pour se ravitailler. Toutefois, je m’enquiers sur la possibilité de profiter d’une boisson chaude caféinée.

On me dit de patienter et, entretemps, on m’amène une petite douceur.


photo img20240213042741

Ma demande sera dument correspondue, en dépit de l’imminence de notre arrivée.
Thumbs up !


photo img20240213042821

Le sol d’AUH est tripoté une demi-heure plus tard que prévu, en pleine nuit. 

Des vagues étincelantes nous accueillent dans le désert émirati.


photo img20240213044100

On fait nos adieux à notre siège (sans trop de regret) ainsi qu’au personnel de bord.


photo img20240213044640

D’une façon un peu moins exubérante que soupçonnée mais merci, en tout cas, de nous avoir amenée à bon port.


photo img20240213044750

Vite, on regagne ce genre de couloir qu’on retrouve dans les aéroports modernes, partout dans le monde.


photo img20240213045007

Nous conduisant aux contrôles de sécurité des correspondances, où nous arrêterons ce récit.


photo img20240213045413_1

Merci pour la lecture et pour des éventuels commentaires.

On se retrouve pour la suite de cette aventure printanière, bientôt.

Tout afficher

Notes des produits

Compagnie aérienne

Etihad Airways 7,8

  • Cabine6,5 / 10
  • Equipage8,5 / 10
  • Divertissements6,5 / 10
  • Restauration9,5 / 10
Salon

Independent PAGStop Lounge6,3

  • Confort6,0 / 10
  • Restauration6,0 / 10
  • Divertissements5,5 / 10
  • Services7,5 / 10
Aéroport de départ

Manila - MNL5,9

  • Fluidité6,5 / 10
  • Accès4,0 / 10
  • Services6,0 / 10
  • Propreté7,0 / 10
Aéroport d'arrivée

Abu Dhabi - AUH7,0

  • Fluidité9,0 / 10
  • Accès5,0 / 10
  • Services5,0 / 10
  • Propreté9,0 / 10

Conclusion

Un vol vraiment mitigé avec EY.

Il est vrai que les attentes, pour ce voyage en J, étaient plutôt grandes.

Du côté positif : la souplesse du service et la finesse du repas distribué. Pareillement, la disponibilité et l’amabilité de l’équipage (tout en gardant les distances).

Du côté moins positif : l’étroitesse et la vétusté du siège ainsi que du système de divertissement.

La cabine était, nonobstant, bien entretenue.

MNL fut caractérisé par un accès routier chaotique, un terminal moderne (T3), des contrôles à l’esprit nonchalant et un salon médiocre mais équipé de douches.

De AUH, il nous est seulement possible de juger les couloirs amenant aux sas des connexions.

Cette lecture vous a plu ?

Faites le savoir à l'auteur en l'applaudissant, il vous en sera grandement reconnaissant.

54 Applaudir

Les derniers avis de SoraNoTabi

Commentaires (11)

  • Merci pour ce report.

    C’est vrai que je n’avais pas pensé à combiner le métro et le Jeepney pour rejoindre l’aéroport mais ça offre une alternative plutôt correcte. Mais je vois que les problèmes de circulation persistent à Manille.

    Quel dommage ce vol en J. Honnêtement, je pensais que le confort aurait été d’un tout autre niveau mais là, force est de constater que la cabine ne correspond plus aux standards attendus.

    La prestation relève le niveau, mais c’est dommage que cette cabine vienne ternir le tableau général.

    Bons vols

    • Merci pour la lecture et pour le commentaire.

      mais c’est dommage que cette cabine vienne ternir le tableau général.

      Le ressenti du vol est bien condensé dans ces mots.

      Je ne garde pas de mauvais souvenirs de cette première rencontre chez EY, loin de là. Mais, on peut dire que les attentes ne furent pas correspondues.

      Et oui, la circulation à Manille est délirante.

      Merci encore et bons vols !

  • Merci pour cette nouvelle contribution.

    Les transports en commun ne sont pas le fort de Manille, la circulation y est démente pratiquement toute la journée, et tous les jours de la semaine.

    Il faut prévoir beaucoup de temps pour se rendre de son lieu d'hébergement, jusqu'à l'aéroport.

    Le terminal est lumineux et parfaitement entretenu.

    Le salon n'est pas terrible, heureusement il est équipé d'une douche.

    A bord, la cabine est dépassée, mais pour des nocices ça passe encore, le vol n'est pas très long.

    La prestation sauve les meubles, et le choix de fromages est impressionnant !

    Unvol mu figue mi raisin, mais on a vu pire.

    A bientôt !

    • Il faut prévoir beaucoup de temps pour se rendre de son lieu d'hébergement, jusqu'à l'aéroport.

      C'est très exact. À MNL les calculs ne doivent pas se faire sur des notions de distance, mais plutôt d'intensité de trafic.

      Les trois services de vin pendant le vol (Champagne, Ribera del Duero et Burgenland) furent très agréables. Du bon raisin et de la bonne figue, donc !

      Merci bien, Hervé, pour le commentaire.

  • nous mettrons 40 bonnes minutes pour parcourir 2 kilomètres…

    Je suis allé à Manila en 2016 et on m’avait prévenu de prévoir large pour arriver à l’aéroport. On m’avait dit que ça pouvait prendre “15 minutes ou 2h”. ^^

    Cette cabine, bien qu’encore en bonne état, commence à vraiment accuser les années. Par rapport à d’autres cabines du même âge, c’est pas trop mal, mais ça reste décevant pour un vol en J.

    J’espère que la suite était un peu mieux.

    Merci pour ce FR.

    • Par rapport à d’autres cabines du même âge, c’est pas trop mal,

      En effet, il se peut que le concept de cabine fut innovant, au moment d'être conçue. Et elle était maintenue dans un bon état.

      (pour rappel, notre avion affichait 18 ans, au moment des faits).

      Sans doute, le plus perturbant fut la longueur réduite du lit.

      La suite présente plutôt bien.

      Merci, Moritz, et très bons vols.

  • Merci pour ce FR détaillé,

    Effectivement cette cabine J est vraiment dépassée par rapport aux autres cabines d'EY que j'ai pu prendre récemment en 787-9, 787-10 et A350.

    Mais je crois que sur certains tronçons asiatiques ils utilisent essentiellement ces 777 qui ne devraient plus survivre longtemps.

    • Merci bien du commentaire !

      Par la suite, on aura l'occasion de tester des cabines plus récentes chez EY. Et la différence sera, effectivement, très notable.

      Merci encore et très bons vols !

  • Merci pour ce FR,

    Finalement le salon n'est pas si mal que ça, il a des douches.

    La cabine est assez âgée mais la prestation rattrape le coup et l'équipage aura assuré le service jusqu'au dernières minutes du vol avec ce café servi pendant la descente.

    A bientôt,

    • Les douches du salon furent vraiment salvatrices ce soir-là. Sans doute, le point le plus fort du salon pour moi.

      et l'équipage aura assuré le service jusqu'au dernières minutes du vol

      Leur professionnalisme fut digne d'acclamations. Un sans faute.

      Toujours merci !

      Et à bientôt.

  • Il faut prévoir beaucoup de temps pour se rendre de son lieu d'hébergement, jusqu'à l'aéroport.

    C'est très exact. À MNL les calculs ne doivent pas se faire sur des notions de distance, mais plutôt d'intensité de trafic.

    Les trois services de vin pendant le vol (Champagne, Ribera del Duero, Burgenland) furent très agréables. Du bon raisin et de la bonne figue, donc !

    Merci bien, Hervé, pour le commentaire.

Connectez-vous pour poster un commentaire.
Flight-Report

Bloqueur de publicité détecté

Flight-Report est un site gratuit qui héberge plus de 500 000 photos et 14 000 avis détaillés. Sans les revenus publicitaires, nous ne pourrions pas maintenir ce service en ligne.

Si vous appréciez nos services, nous serions reconnaissants que vous désactiviez votre bloqueur de publicités pour nous soutenir. Merci pour votre aide et votre compréhension !

Comment autoriser Flight-Report.com ?