Avis du vol entre Paris et Milan en classe Economique avec Air France

Bonjour à tous,

Bienvenue dans cet aller retour “pirate” des plus rapide à Milan avec un routing simplissime. 

L'histoire en coulisse.
En fait, ce WE du 15/02, j'ai déposé Mme à CDG car elle part de son côté en Inde.
Quitte à être à CDG, je me suis donc demandé en amont où je pourrai aller au plus simple et au moins cher.
Et c'est LIN qui a remporté la timbale grâce à un bon tarif (~ 150 €, acheté moins d'un mois avant) et au fait que je n'y suis pas allé depuis plus de 10 ans ! 
Ce sera donc une escapade en parallèle du voyage de Mme dont l'aventure se trouve ici.

CDG

Après avoir laissé Mme à l'entrée de  la PAF du 2C, je n'ai plus qu'un petit trajet à faire pour me retrouver au parking 2EF.
J'aurai pu tout faire à pied depuis le P2C, mais si vous avez lu le FR du CDG-DEL, vous savez pourquoi cette optimisation n'a pas eu lieu dans mon esprit…
Quelques photos signature du 2F avant les couloirs.

On est samedi soir, et clairement, ca ne se bouscule pas.
Pourtant, c'est le premier samedi des vacances scolaires en IdF.

L'hôtesse qui attend le chaland à l'entrée de la zone SP est désœuvrée tout comme sa collègue du PIF.

Lequel PIF est désert.

Airside

Passage record en moins d'une minute puisque je n'ai qu'un modeste sac à dos.

Au tableau, on peut constater que j'ai une avance certaine, logique puisque Mme décollait à 19h30.
Dans les faits, ici, il est 18h20.

Je pars donc me poser au salon pour diner et patienter.

Ici aussi, le temps semble suspendu et il n'y a pas grand monde.

Au point qu'avant de m'assoir, je vérifie la présence d'avion !

Puisque les avions sont bien là, allons dîner.
Il y a largement de quoi faire dans un ordre de boisson à la logique toute personnelle.
Le plat, dont j'ai omis de noter le nom, était très bon, et dans ce désert relatif, je n'ai manqué de rien.

Le temps file un peu comme dans un film et donc, quoi de mieux qu'un cocktail avec vue ?
La carte laisse suffisamment d'options pour s'éloigner des boissons habituelles.

Je jetterai mon dévolu sur le canadien qui, en dépit de l'absence de sirop d'érable (rupture de stock…), était particulièrement fameux.
Au point qu'il m'accompagnera pour les occasions suivantes.

Le temps change vite et de mon sentiment cinéma exalté, je commence à trouver le temps longuet.
Mais, outre l'animation du suivi du vol de Mme qui aura décollé avec du retard, une petite agitation se fait jour à mes côtés car une pax ne sentant pas bien, a fait appel aux pompiers.
Au final, plus peur que de mal, mais il aurait été bienvenue de lui proposer une salle à l'écart pour sa prise en charge et les vérifications de ses secouristes. N'ayant aperçu la situation qu'après l'arrivée de la cavalerie (étonnamment, pas d'agent AF en sus), je ne sais pas exactement si c'est elle qui a décidé de rester à sa table avec armes et bagages. Tout finira bien néanmoins.

Le widget se lance 30 min avant l'embarquement. 
Je décide donc d'aller un peu me dégourdir les jambes bien que la porte ne soit pas lointaine.
Auparavant, mon tour du salon m'aura permis de croiser l'assistant numérique du jour.
Perso, je ne l'ai pas encore vu rouler, mais en objet fourbe, il doit se mouvoir dans mon dos.
Méfiance ! 

Pour la porte, ce sera donc la F34.
Ici, l'atmosphère est un peu plus rassurante, il y a enfin du monde.

Cabine et vol

Aujourd'hui, c'est vol en A220.

C'est bien lui derrière la passerelle.

L'embarquement est lancé avec quelques minutes d'avance.

Je suis parmi les premiers pour immortaliser.

L'accueil en porte sera chaleureux.

Ce soir, je suis côté F, ce que j'apprécie moins qu'en A.
Pourquoi je suis là ? Et bien parce que le vol est complet.
Je suis alors particulièrement content du tarif que j'ai pu accrocher.

L'environnement fait bonne figure (l'avion est très récent) et tout fonctionne.
Il y a de la miette cachée dans les dessous mais sporadique.

Par la fenêtre, on charge notre avion est les pax s'engouffrent dans l'oiseau voisin.

Ca bouge ensuite au loin mais pas encore pour nous.

Fin embarquement annoncé à 21h17 suivi d'un push back à 21h23 (on part en avance !).
Le taxi débute à 21h29, direction le doublet sud.

Notre décollage intervient à 21h38, on dépote clairement.
D'ailleurs, une légère avance à l'arrivée est prévue.
Quel silence en cabine !

Puisque tout fonctionne, usb et wifi, profitions en.

à 21h43, la lumière revient, suivie à peine 5 minutes plus tard par le début du service.
Il n'y aura pas de choix de sandwich mais ce dernier, au fromage, est plutôt bon.

Arrivée

L'arrivée se profile rapidement car à 22h09 le captain nous annonce un toucher à 22h40.
Peu après, les lumières de l'Italie sont bien là.
à 22h30, annonce atterrissage.

Le toucher, un peu sec, intervient à 22h40 tout pile comme prévu.
Le taxi sera particulièrement bref car à 22h44, on sera au parking.

La passerelle sera mise en place dans la foulée.

Une fois dans le terminal, il ne me reste plus qu'à chercher mon chemin pour le métro.
Et ce chemin est particulièrement simple et rapide.

Rapide car à 22h57 (achat de billet inclus à 2,2€ le trajet - imbattable pour le centre ville), je suis dans le métro.
Je ne peux donc mettre que 10 pour l'accessibilité !

C'est parti pour un bref séjour mais quelques visites sont bien au programme.

A bientôt.