Avis du vol entre Paris et Vienna en classe Economique avec Air France Hop

Bonjour à tous,

Aujourd'hui, pour ce WE de milieu de vacances scolaires d'hiver, je pars en vadrouille façon 7 familles à Vienne.
En effet, ce n'est pas moins que le trio grand-père, père et fils qui se lance à l'assaut de la ville impériale.
Faut dire qu'on avait un bon de sortie "XL" puisque Mme est en Inde (pour son routing à elle, c'est ici).

Pour ce WE, nous avons prévu de démarrer les visites dès le vendredi (mon père et mon fils n'ayant jamais été à Vienne) et en renard des tarifs, j'ai trouvé mon bonheur avec un vol partant aux aurores du T2G.

T2G

Qui dit vol à 7h du matin et précautions personnelles, nous voilà à l'ouverture du Terminal.
Et ce au sens propre, car on a vu le préposé à l'ouverture de la porte du T2G à l'œuvre.
Au FIDS, on est également les premiers à décoller aujourd'hui ! 

Chemin faisant (nous devrons enregistrer un bagage une fois les comptoirs ouvert), je dois vous avouer que la veille, j'ai devisé jusqu’au bout de la nuit en bonne compagnie et de fait, n'ayant pas réussi à tenir l'heure de Cendrillon, ma nuit fût très (très très) courte.
Aussi, si le fiston et le paternel ont les yeux qui piquent, moi, je suis en lutte totale. 
Et ce terminal "fourmillant d'activité" ne m'aide pas à me réveiller…

J'arriverai néanmoins à retirer nos boarding pass et autres étiquettes bagages sans boulettes.
Auparavant, à l'OLCI, l'upgrade était proposé à 249 euros ou 14100 miles… Le ratio euros / miles étant des plus bizarre, je me suis demandé si le 249 euros ne s'appliquait pas pour nous 3 car cela pique comme tarif pour une J de si bon matin sur E190.
On zappera bien sûr cette option.

Après quelques errements, le temps de nous débarrasser de la valise, nous voilà post PIF à 05h25 (!).
Nous avons donc l'heure de marge salutaire devant nous pour aller au salon et prendre un petit déjeuner. 

Le terminal est plus que clairsemé…

Salon

On fera un petit tour dans le dit hall puisque ni mon père, ni copax junior n'ont eu l'occasion de passer par ici précédemment.
Le salon parait lui aussi endormi mais à 05h30 tapantes, nous y sommes accueillis.

Pour le coup, on a le choix côté place.
Ayant la tête un peu dans le c…, je suis impressionné par les agents tous déjà actifs et forts souriants de si bon matin. 

Autre point appréciable, tout est déjà prêt au buffet.
Nous allons donc prendre le petit déjeuner que nous avons laissé filé à la maison pour gratter chaque minute de sommeil avant le taxi. 

Quelques pax nous rejoignent au compte goutte, et notre séjour au salon sera des plus calme.
Après quelques vitamines et autres sucres, une petite excitation pour le vol se fait jour dans notre petite troupe. 

L'avion du jour est dévoilé et ce sera une première pour mon père qui n'a jamais volé sur Embraer.
Il n'y a pas d'âge pour une première fois.
Une petit retard semble existé mais pas de panique. 

Direction l'avion

Nous levons le camps peu avant 06h30 direction la porte.

Pas d'hésitation, tout le monde prend à gauche de toute façon.

En porte, c'est plutôt calme.

L’embarquement est lancé dans les temps et à 06h37, nous sommes sur le tarmac.

La rampe de l'appareil d'à coté m'interpellera.
Je ne me souviens pas avoir déjà vu cela. 
C'est plutôt pratique en fait. 

Pour nous, c'est le traditionnel escalier.

Fuselage shot et instant porte.

Le baptême E190 démarre officiellement pour le paternel.

Et voici notre cabine. 
Nous sommes au départ sur le rang 10.
Mon père et mon fils sur un duo et moi au couloir de l'autre côté.

Je démarre la revue de mon environnement.
J'aime bien l'espace en E190 mais cela vient avec un prix, celui de l'absence l'usb et de wifi pour le moment. 
Mais je suis à l'aube du "drame"… 
En effet, un pax faisant un bon 1,9 m et plus à la carrure de rugbyman s'installe à mes côtés.
Le sentiment d'espace s'est envolé, et je crains d'un coup le vol misère. 

Mais à 06h50, l'annonce salvatrice de fin d'embarquement retentit. 
Au soulagement de mon voisin d'infortune et du mien, je migre au duo 11AC qui est libre. 
Le pax à cote de moi n'arrivait pas à passer ses jambes en mode perpendiculaire, c'est vous dire la taille de son fémur.
Il voyagera telle une amazone après mon déménagement. 
Le push back intervient à 06h58 pour un décollage à 07h10.

Trou noir

Alors, si vous avez bien lu au début, j'ai eu une nuit très courte avant ce vol, donc ce qui devait arriver arriva, j'ai dormi comme une masse.
Je raterai le service, mais mes copax me feront au débriefing, l'annonce d'une distribution de petits gâteaux sablés avec proposition d'eau/café/thé/jus d'orange et pomme.  
Je me réveillerai peu avant l’atterrissage ce qui nous amène donc en finale suivie d'un toucher à 08h35. 

La tour saluant une beauté.

Par la suite, je note plus que grues que de dérives, quoique…

D'un sursaut, je me dis qu'il manque une photo de notre cabine bien remplie malgré quelques trous.

Dernier virage !
Alors sachez que le contact passerelle sera très viril, au point que je me demande s'il est possible d’abîmer un avion avec les dites passerelles. 

08h48, nous partons direction les bagages.

Ici aussi, la "robotique" prend de plus en plus le dessus.

Comme d'hab, AF se parque loin et la marche est un peu longuette jusqu'au tapis.

Nous récupérons le numéro du tapis en route.

La livraison bagage sera poussive…
On aurait du faire plus consciencieux pour éviter l'enregistrement et ne voyager qu'avec du cabine…
Car il est 09h25 quand on quitte enfin VIE pour rejoindre le centre ville soit 50 min après le toucher : très moyen.