Avis du vol entre Budapest et Amsterdam en classe Economique avec KLM

Bonjour à tous,

C'est le jour J, l'objet du voyage à BUD est à porté de pied !
Le musée Aeropark que je vous laisse découvrir en bonus. 
Après cette visite avec une météo plus que favorable, direction à pied vers le terminal de BUD ce qui prendra une grosse dizaine de minutes.

BUD

Ce matin, en me réveillant, tous les checks étaient au vert.
Le vol de Mme pour revenir de Delhi et mon vol à moi, en double !
Le musée ouvre à 9h donc j'avais bien 2 h de visite devant moi facile.
Selon mon estimation vu la taille du site, cela devait être suffisant. 

Moralité, après ma petite visite des plus agréables, et quelques minutes de marche, je fais ma première approche piéton d'un aéropport un jour de départ.

Le gros building, c'est l’hôtel, et caché derrière, le musée.

Avant de rentrer dans le terminal, Je vérifie mon placement, me remonte d'un rang sur le prochain vol pour plus d'espace aux jambes et constate une offre de surclassement pour le AMS-CDG pour 12700 miles ou 99 euros (de mémoire les euros) sur 'feu' mon vol en A318 où la reprog a fait sauter mon hublot…
Au diable, l'avarice, ce sera J et hublot.
Une fois passées ces étapes OLCI en plein soleil, entrons. 

Il y a de la vie mais le passage PIF s'annonce éclair.

AIRSIDE

Eclair ai-je dit ?
Instantanée en fait.
Tant mieux, ca me donnera l'occasion de manger un morceau car le grand air, ça creuse. 

En traversant le duty free, je trouve un intrus !
C'est pas VIE ici ! 

Dans le hall, l'activité est plus soutenue.

En allant jeter un oeil à la fenêtre, je tombe sur un Cayenne…
Les terminaux sont devenus des concessions car c'est assez courant d'y voir des voitures exposées. 

L'objet de mon détour était plus logique.

Direction le salon dans le sens opposé.
Avec cette vue d'en haut, vous pouvez reconstituer mon petit parcours. 

J'irai donc jeter un oeil en terrasse.

Je suppose que de l'autre côté c'est une terrasse publique ou juste le toit…

Quand on est motivé, on touche toujours au but.
En fait, qui dit salon bondé, dit probablement départ en masse à un moment.
Comme prévu, le reflux a eu lieu et je peux entrer m'installer sans souci. 
Ca s'est joué en 15 min à peine. 

L'objectif est de casser la croûte car je ne fais pas confiance à KL pour me rincer à bord.
Il y a largement de quoi se faire un déjeuner flash dans ce petit salon. 

L'avion du jour sous vos yeux ébahis, à l'age plutôt avancé mais qui présentera bien en cabine.

Un quart d'heure avant d'embarquer, je file jeter un oeil à ce qui se passe.
Les avions immortalisés au parking sont sur le départ. 

J'aurai peut être pu prendre le AF mais, tout de même c'etait tendu et puis, je me serai ennuyé comme un rat mort à CDG.

Direction la porte. Cette partie du Terminal est bien moins lumineuse.

Les files sont constituées mais l'embarquement n'est pas encore lancé.

En effet, à l'extérieur, le débarquement est toujours en cours.
Si vous débarquez du KL à l'arrière, c'est paxbus.
Comme voisin de porte, ce sera LOT.

Le temps que tout soit prêt, contemplons les awards.
Finalement, chacun fini par avoir le sien grâce au découpage régionaux.
Ici on parle donc du Best Airport in Eastern Europe.

EMBARQUEMENT ET VOL

Revenons aux choses sérieuses, 12h30, l'embarquement est lancé.
On fera un petit stop passerelle quand même face à l'avion.

Instant porte et fuselage shot.

En cabine, on passe rapidement les 2 rangs de J pour trouver ce royal 6F, dernier rang d'éco confort.

Le gain de pas est intéressant car notre vol est complet et je devrai garder mon manteau avec moi.
La cabine présente bien même si elle est un peu âgée. 
Le constat aurait pu être clinique si le pied de notre siège (avec les prise usb) ne faisait pas un peu trop cracra.

Le chargement est à l'œuvre et les chariots à bagages plutôt originaux avec leur canopée.

Plus loin , c'est QR qui roule.

A 12h55, embarquement terminé et notre avion est bien plein comme un oeuf.
Les 1h45 de vol annoncées m'inquiète un poil, la faute à un passager à mes cotés quelques peu sans gêne et dont le coude et bras n'arrêtent pas d'empiéter sur mon espace vital… Lui, il est à son aise !
Finalement, le captain nous annonce une dizaine de retard au push car il y a de la paperasse à remplir pour un scratch fait sur la carlingue par un équipement de piste.
euh…
A 13h12, fermeture de la porte et annonce de notre captain : on est safe, on peut y aller.
Toutes les blagues potaches associées aux voitures rincées avec leur vendeur tout sourire à côté disant "elle est nickel" me reviennent à l'esprit…
Le push a lieu à 13h15.
Dans les annonces, on a pèle mêle le rappel qu'on ne peut pas prendre de photo sans autorisation des PNC, qu'il faut rester zen pour les correspondances (une grande majorité des pax le sont, dont bibi : 80 % ! dixit la chef de cabine).
On devrait tout recevoir pour ce qui est des portes 10 min avant l'atterrissage.
Ayeeeezzzz confiance ! Pensez au scratch.

13h21, début taxi.
Dehors, un oiseau plutôt rare pour moi.

La tour vous permettant de juger de la qualité de mon hublot et de toute la ruse qu'il faudra mettre en place pour la suite des photos.

Seuil de piste après 3 min chrono de taxi.

On n'y trainera pas : décollage dans la foulée.

Clairement, l'hiver n'est plus ce qu'il était côté néige…

On est bien lancé, les prises fonctionnent, et dehors, tout est bleu.

En attendant la suite, petite vue rapide de la littérature de bord.
On peut s'étonner de la présence toujours à bord d'un magazine.

13h40, au dessus, toujours des terres hongroises, c'est début du service.

Nous avons donc droit au sandwich KL à la littérature quasi lyrique !
Ne l'ayant pas croisé depuis un moment, je l'ai trouvé bon.

A 14h45, les infos de correspondance comment à arriver.
On sera au parking en D77. Je suis en C5 donc il y aura un peu de marche.
Pour BOD, ce sera B6 et c'est la correspondance la plus chaude apparemment en timing.
Avec un peu d'ennui, la lutte pour l'accoudoir et un poil de candy crush, le vol défile plutôt vite.
Dessous, qui dit éolienne et champs tout propret dit : on arrive.

Ca sent de plus en plus l'arrivée.

Finale avec toucher en douceur à 15h09 avec une freinage tout en douceur pour remonter toute la piste, notre belle polderbaan.
De fait, cela donne du corps à l'annonce en amont des 10-15 min de taxi.
Nombreux sont ceux qui rongent leurs freins! 

En attendant, je me renseigne sur mon vol suivant.
Il est bien en vol depuis CDG, ouf.

Le taxi sera donc longuet mais lumineux.

Dernier virage, on est posé.
Instant danette du futur.

15h25, je quitte l'avion.

Je tente une petite vue du loyal destrier du jour avant de marcher vers la porte suivante sans panique.

Sans panique, c'est vite dit, car le couloir est quand même king size.

Mais je me rassure avec le visuel sur ma porte à l'horizon.
Ca va passer crème.

5 min plus tard, je suis à l'approche de la porte du salon.

Mais ne tentons pas le diable, et continuons vers notre porte qui n'est plus très loin désormais.

A bientôt pour la suite.