Avis du vol entre Firenze et Paris en classe Economique avec Air France

Introduction et trajet vers FLR

Ce récit est le trajet de retour d’une week-end à Florence.

L’avion ne semblait pas bien plein quand j’ai fait notre enregistrement en ligne 

Le meilleur moyen pour aller à FLR depuis Florence, c’est le tram, rapide et au tarif dérisoire

… et pour un tarif dérisoire : il n’y a ici pas de surtaxe pour les dessertes ferrées de l’aéroport – suivez mon regard !

FLR landside

Arrivée donc à FLR sans encombres

Quatre vols affichés seulement, et le nôtre n’y est pas encore

Enregistrement pour obtenir un BP papier à titre de souvenir

FLR airside

Et 10 minutes chrono plus tard, nous sommes airside

C’est dire qu’il n’y avait pas foule au PIF !

Cheminement vers le salon, que la signalétique bilingue traduit par « sala VIP » en anglais (?)

C’est un labyrinthe

… mais il est bien fléché,

… et beaucoup moins long que ces photos ne pourrait laisser penser : il ne s’est écoulé que deux minutes depuis la sortie du PIF.

Le salon de FLR

Décoration florale à l’entrée

Aperçu du mobilier

La table basse est équipée d’une prise secteur compatible types E/F et L, et de deux prises USB type A, fatiguées mais opérationnelles.

Ce panneau n’a pas été mis à jour : il est 18h30 passées quand nous sommes arrivés au salon !
On notera les consignes d’espacement et de capacité maximum, très datées Covid.

Emballage individuel de chaque article présenté sur le buffet

Trois yaourts et deux portions de salade de fruits par ci,

Quatre petites barquettes de salade…

Et trois sandwiches par là…

… le réfrigérateur est approvisionné en quantités symboliques de nourriture.

Celui de droite est beaucoup mieux rempli en bouteilles d’eau plate et pétillante,

… de jus de fruits et de sodas

… et de douze cannettes bière locale (Nastro Azzuro) ; à droite, c’est de l’eau en bouteilles de verre.

C’est paradoxalement plus fourni en alcools forts (avec des gobelets en plastique du plus bel effet, très datés Covid)

… deux bouteilles de chianti – avec de superbes flûtes de plastique

… et à droite, un incontournable bouteille d’Aperol

Que serait l’Italie sans une machine à café ?

Cela ne se voit pas d’ici

… mais le salon qui n’est pas immense s’est bien rempli

Les sanitaires, compatibles PMR, sont impeccablement propres

Notre vol est retardé de 10 minutes

Embarquement

Quand c'est l'heure d'aller en porte, passage le long d’un café qui n’attire pas les foules

Cheminement dans des zones quasi-vides

La piste de FLR en fait que 1560 mètres, et surtout, la proximité du Mont Morello à l’est impose des limitations de poids au décollage et de vent aux A320 et aux 737. Sans surprise, ce sont des A319 : Iberia en livrée OneWorld

… et Vueling

… ainsi qu’un E-190 British Airways qui vont assurer les autres vols de ce soir.

Descente vers le niveau du tarmac…

… où c’est assez rempli

C’était l’époque où le masque FFP2 était de rigueur

Tiens, il y a aussi un vol KLM !

Contrôle des BP

Le PAXbus encore vide

Voici l’A319 Air France

Embarquement par l’avant

Et par l’arrière

Instant porte

Fuselage shot avec le logo entier

… et avec le réacteur entier

Les PAX se distribuent vers l’avant et l’arrière de l’appareil en descendant du deuxième PAXbus

La cabine d'un A319 Air France

Carte de sécurité recto-verso

A 23 cm du bord de l’assise à l’aumônière, le pitch n’est pas généreux

Largeur standard entre accoudoirs dans un A32x

Prise USB en extrémité d’accoudoir, alimentée dès l’embarquement

Le minuscule piton censé servir de porte-manteau, à condition que la sangle de son vêtement ne soit pas trop grosse.

Des PAX optimisent le remplissage des coffres à bagages.

Embarquement manifestement terminé

Décollage

Remontée de la piste 05 pour décoller piste 23

Décollage piste 23

L’agglomération de Pistoia, quatre minutes plus tard

Un petit sandwich et une boisson – Mme a demandé un verre d’eau avec son café

Cours de géographie nocturne

Notre vol est manifestement en avance sur son créneau d’atterrissage, car il va faire un long aller-retour vers l’ouest (merci Flightradar24)…

…ce qui, avec le beau temps et la chance d’avoir choisi un hublot du bon côté, va me fournir une très belle vue sur Paris pendant le circuit d’attente vers l’ouest.

Ce réseau de routes circulaires, trop parfaites pour ne pas être modernes ?

Le plus grand cercle est celui de la route D344 qui délimite le périmètre de Disneyland Paris

Dans le quart inférieur gauche : Bussy Saint-Georges, et Torcy à droite

La tache blanche dans le tiers inférieur gauche est le chantier de la gare de Noisy-Champs, futur terminus des lignes 11, 15 et 16. Les taches noires au premier plan sont le parc du château de Champs-su6marne et le lac de Vaires-sur-Marne (à gauche) et le parc départemental de la Haute-Ile, entre la Marne et le canal de Chelles.

Paris plein cadre vers le sud, avec les gares de l’Est et du Nord au premier plan, et les îles de la Cité et Saint-Louis au centre

La Seine apparaît nettement par le double tracé lumineux des quais, régulièrement franchis par des ponts. Dans le quart inférieur droit, tout aussi nettement, le cercle lumineux de la Place de l’Etoile autour de l’Arc de Triomphe

La Place de l’Etoile au centre, et l’axe des Champs-Elysées et de l’Avenue de la Grande-Armée, jusqu’à la Porte Maillot à droite.

Le Palais des Congrès, devant le réacteur

Le tracé des voies dans le Bois de Boulogne

Herblay et Beauchamp à gauche, Franconville et le Plessis-Bouchard à droite, et la grande tache noire de la Forêt de Montmorency au fond, au-delà de Saint-Leu-la-Forêt.

Sarcelles, avec les zones d’activité illuminées de Villiers-le-Bel au bord droit de la photo

La gare de Villiers-le-Bel – Gonesse – Arnouville, au premier plan au centre

La zone de fret située à l’extrémité du doublet nord, séparée d’un centre logistique à gauche par la D317

Vue plus générale, avec au fond les lumières de Louvres ;

La voie rapide de desserte de CDG, depuis sa bifurcation de l’autoroute A1 au bord gauche de cette photo. Au centre et au premier plan, les bâtiments de l’extrémité sud-ouest du périmètre aéroportuaire

La zone de fret située à l’ouest du Terminal 2

Le Terminal 2, aperçu en se posant sur le doublet sud

Arrivée à CDG

Roulage jusqu’au Terminal 2F, dont voici le salon

Arrivée à côté d’un A321ceo Air France

Six minutes de retard sur l’horaire
(SIBT = Scheduled In Block Time, AIBT = Actual In Block Time)

Cet affichage destiné tant aux PNC qu’au personnel au sol est affiché sur deux panneaux différents

Il précise aussi que les bagages seront livrés sur le tapis 22 du terminal 2F.

Dernier coup d’œil à l’A319

Je n’aurais pas osé traduire « suivre le fil jaune » par « follow the yellow »

.. mais peu importe, car c’est cette signalétique qui nous concerne

Descente dans la salle de livraison des bagages ; si vous avez bien suivi, c’est sera sur le deuxième tapis à gauche

Paris ne vous aime pas beaucoup

Le cheminement va être très long, parce que la station de RER de CDG-2 est fermée. Faute de signalétique particulière, seuls ceux qui utilisent une application de transport peuvent savoir qu’il faut se diriger vers le terminal 1 pour atteindre l’autre station de RER.

Rétrécissement pour cause de travaux

Un A319ceo au contact

On continue

… pour atteindre le quai du CDG-Val

C’est un peu tard pour nous informer !

Tous les trains vont à Paris, d’autant plus qu’aucun ne va à CDG-2

Depuis la sortie de l’avion, il nous aura fallu 22 minutes pour atteindre ce quai !

Avec un peu (beaucoup ?) de patience, il est possible d’aller jusqu’à Saint-Rémy-lès-Chevreuse, à 50 km de là à vol d’oiseau. Comptez environ 1h20 de trajet, pas plus que pour atteindre beaucoup d’endroits dans Paris intra-muros, en raison des attentes aux correspondances de métro à cette heure indue.

Merci de m’avoir lu !