Bonjour à toutes et tous.
Voici le vol du retour d'un voyage où nous étions partis dans l'urgence avec achat des billets la veille du départ.
Nous sommes arrivés le dimanche en fin d'après-midi afin de profiter d'une petite journée avec ma filleule qui vit la-bas depuis un an.
Surprise (enfin non car nous étions informés) le lundi matin: après 10 jours de dégel et de températures printanières, voici le retour de la neige avec une dizaine de centimètres tombés dans la nuit et au petit matin. C'est d'ailleurs une semaine de froid (-15°C) qui est annoncée. Cela ne nous a pas empêché de faire un petit tour dans les rues de Montréal, autour de l'avenue mont Royal où réside ma filleule.


Le temps passe vite et nous devons rendre la voiture pour 17 heures. Et, pour être honnête, nous sommes "maganés" de cette grosse semaine, n'avons pas tout à fait la tête à visiter plus Montréal (qui me laisse assez froid d'ailleurs). Nous disons au-revoir à la demoiselle qui nous aura accueilli cette nuit et journée vers 15h30 et filons vers l'aéroport.
Le temps de faire le plein à côté de la zone aéroportuaire, nous voici arriver par les petits axes vers la plateforme.

Il n'aura fallu qu'à peine 5 minutes pour rendre la voiture chez Hertz et nous voici à traverser le parking vieillot et bien peu accueillant.


L'accès de fait par l'étage des arrivées, aussi nous prenons l'ascenseur avec le chariot des valises pour gagner celui des départs. Si Paris nous aime, Montréal sait aussi se faire accueillant !

Bien qu'il soit un peu plus lumineux, YUL m'a toujours fait penser à Orly sur sa zone publique. Assez étroit, bas de plafond, pas de première fraicheur loin de la.

Direction les bornes pour éditer les tags bagage. Nous revenons avec deux valises supplémentaires et 65 kg (il nous restait 11 et 12 kg dans nos valises de départ. Nous aurions pu ramener bien plus d'affaires, mais cela imposait un transport par container et des coûts qui s'envolaient (plus de 1000 € pour les 2 valises et 2 grandes malles - poids autour des 100 kg). Non merci, nous avons fait quelques concessions que nous n'aurons pas à regretter.

Tags bagages et BP version papier nous sont vite remis. Mais il n'est pas encore 17h10 et nous ne pouvons donc pas nous soulager de nos valises.

Nous cherchons donc une place pour s'assoir un peu en attendant … chose pas facile du tout !
L'aéroport tente quelques déco en exploitant les piliers en place. pas sur que ce soit une réussite, même si c'est toujours moins moche que du béton.

Nous finirons par déposer nos bagages. Air transat m'aura fait pinailler pour 1 des 4 valises qui dépasse de … 100 grammes ! Et obligé d'ouvrir pour retirer (et mettre en valise cabine pour la peine) car il ne prennent pas en compte la moyenne des 2 valises à mon nom … alors que nous avions gardé une marge volontairement (ma seconde valise pesait 21 kg).
Sans perdre de temps et puisque je n'ai pas pris de photo supplémentaire, direction les contrôles. En cheminant, nous passons devant le grand FIDS avec un plan de l'aérogare.



Nous aurons passé les contrôles de sécurité sans attente. J'ai failli partir sans mon pc … qui n'était pas sorti sur la droite ligne mais a du subir un contrôle supplémentaire. Rien de méchant même si cela peut surprendre.
Nous marchons vers la jetée internationale. Quelques points de restauration sont présents. Les plafonds sont bas, l'ensemble est peu lumineux et peu amène.


Après avoir de nouveau scanné notre carte d'embarquement pour quitter la zone canadienne, nous voici accueilli par le duty free et autres boutiques.
La disposition est à l'ancienne, avec les échoppes à gauche et droite du chemin nous menant vers les portes d'embarquement. Nous ne sommes pas obligés de traverser le temple de la consommation.


Les FIDS sont assez peu nombreux de façon générale, mais leur taille est assez imposante.

Dehors, la part belle est donnée aux dérives à la feuille d'érable, ancienne ou "nouvelle" génération (nouvelle depuis déjà quelques années).



Le bout de la jetée est plus dédiée à Air Transat. On retrouve également les compagnies européennes entre les portes 52 et 59.


Ce 777 Air France partira à 20h10. Je raterai de peu son petit frère au décollage, passant juste au dessus de lui quelques secondes avant. Dommage pour la photo.

Depuis la veille, notre porte annoncée était la 56, où nous nous sommes posés. Cependant rien ne laissait présager un départ de cette porte. Une heure avant le départ stationnait toujours un A320 d'Air Canada et les différents totem autour de la porte étaient bien ceux de la compagnie nationale. Aussi nous n'avons pas été surpris lorsque l'annonce radio nous invitait à rejoindre la porte 68.

Nous voici alors dans l'espace dédié à Air Transat. Et nous n'y perdons pas au change! C'est bien plus spacieux, lumineux, moderne. En tout point plus agréable.


Nous y trouvons même un espace pour les plus jeunes.

Pas de doute possible, c'est bien ici que nous partons ! … Seulement, il n'y a aucun avion à la porte. A moins de 30 minutes de l'embarquement théorique, c'est un peu étrange.

Un petit aparté sur les possibilité de charge de ses appareils électroniques: elles sont finalement assez restreintes. Pas de prises aux sièges mais des bornes avec 4 prises et 4 recharges par induction. Il faut compter une station de recharge pour 40 à 50 sièges environ.

Les annonces radio pour faire venir les passagers de notre vol à la porte 68 sont fréquentes et assez nombreuses. Et à 15 minutes de l'embarquement et après une énième annonce pour rejoindre la porte 68 … Et bien on 'envoie tout ce petit monde porte 59 !
Comme s'ils ne le savaient pas avant. Pour info, la porte 59 se situe juste en face la porte 56 où nous nous trouvions plus tôt.
Là, notre avion est bien présent et nous attend.

L'embarquement reste ponctuel mais un peu chaotique.
Les zones seront strictement respectées, le préposé appelant les passagers zone par zone (il y en a juste 9 … et nous sommes la 8e ^^). Les passagers à haute contribution, les familles les membres du club Air Transat etc seront soumis aux mêmes règles.
C'est bien de faire respecter tout cela, mais du coup ça n'avance pas ! Sans compter un nombre impressionnant de BP qui bipent.
Pour ma gouverne et à leur décharge, les portes seront fermées à l'heure et nous repousserons de façon très ponctuelle.
C'est donc dans les derniers que nous embarquons, ce qui est assez logique puisque nous serons à l'avant de l'appareil.


La nourrice est aveugle. Les tentatives de fuselage shot seront peine perdue.


Il reste néanmoins l'instant précieux que celui de la porte.

Présentation de notre A330-300, âgé de 23 ans et qui aura appartenu à feue XL Airways avant.
Je suis surpris de constater que la même immatriculation avait déjà été donnée à un autre appareil avant.



L'accueil à bord est de nouveau quelconque. Pas froid ni désagréable mais il manque cruellement de chaleur et de sourire.
Rangée 17, juste devant les moteurs. Les coffres à bagages sont vides à notre niveau, nous pouvons nous installer tranquillement. Nous apprendrons avant le décollage que l'avion n'est pas complet ce soir. cela permettra à certains de pouvoir se coucher sur plusieurs sièges.

L'embarquement se termine tranquillement.
L'espace à mon siège est relativement spacieux. Je peux étendre mes jambes facilement et pourrait même trouver des positions plutôt confortables pour dormir.


Petite vue sur notre environnement extérieur avec un A350 LH qui partira pour MUC.



Présentation du contenu de la littérature de bord.



La cabine est fin prête. Nous allons partir très prochainement même si les portes sont encore ouvertes à ce moment.

Un petit mot sur l'IFE qui reste une déception pour moi. L'offre de films n'est pas récente et finalement limitée. Côté musique ce n'est pas mieux. Je découvrirai plus tard que sous le menu télévision, le choix est plus imposant avec des concerts, des reportages etc.
Vous remarquerez que, comparé au vol aller, les écrans sont accessibles dès notre montée à bord.



Le temps d'immortaliser le PSU et nous voila les portes fermées.

Nous n'avons pas encore commencer à repousser que les consignes de sécurité sont lancées.

21h09. Nous voila donc partis.


La cabine se pare de couleurs violacées.

Nous roulerons vers la 24R qui sera notre piste d'envol.

Canada Rouge au départ pour Orlando.

Quelques appareils TS sur le tarmac.

Peu avant de nous aligner, nous passons à proximité d'un site de maintenance AC.

Nous voici en piste prêts à nous élancer.


Mieux qu'une image, une vidéo. Comme à l'accoutumée, vous pouvez visionner le décollage.
La vue sur Montréal la nuit est très sympathique.


Ayant décollé vers le sud, nous ferons un demi tour pour prendre notre cap européen.



La cabine sera rallumée et le service pourra débuter … près d'une heure après décollage tout de même.

Le plateau tel que servi. Aucun menu disponible. Seul le choix entre lasagnes ou parmentier de légume est proposé à la voix.

Et après les boissons servies et les opercules enlevés.
Le portions sont toujours congrues. C'est aussi à ce niveau que la compagnie fait de sérieuses économies.

Après ces agapes, une petite balade digestive vers l'arrière de l'appareil est bienvenue. La cabine est déjà bien endormie.

Je ferai également un sérieux dodo pour me réveiller un peu plus loin que la mi-vol.
Notons que la géolocalisation est toujours aussi approximative.


A l'approche des côtes irlandaises, nous pouvons profiter des premières lueurs du jour.

Et de belles lumières sur le moteur droit.


Elle sera relativement furtive, mais l'espace de quelques minutes, c'est la Lune que nous pouvons admirer.



Malheureusement, la magie ne durera pas. Il ne reste à voir que l'océan de nuages et notre moteur à voir.


Un peu moins de deux heures avant atterrissage, la cabine est rallumée assez brutalement.

Le temps d'une prise du winglet que l'on nous distribue ce qui servira de petit déjeuner.


Le service des boissons tarde un peu alors je vous remets du moteur !

Et voila avec un café et jus de pommes.

Tout cela est bien vite avalé et je retourne à mon hublot. Le paysage ne varie pas.


Nous avons tout de même la chance d'apercevoir (et c'est un grand mot) Cardiff.


Ce qui est bien au dessus de l'Angleterre et à cette heure, c'est qu'il y a pleins d'avions qui volent. Reste à pouvoir en capter un.

Et tadaaaa ! Bon ok ce n'est pas fameux … Je ne devine même pas la compagnie.

De ma place, je ne peux pas deviner la compagnie ni même ce qui est sur la dérive. Au mieux, selon les lumières et reflets, je pourrais penser à une dérive Corsair …. ce qui est hautement improbable à cette latitude, la compagnie n'effectuant pas encore les rotations vers YUL.
Le traitement photo, plus tard, laisse quant à lui entrevoir la compagnie singapourienne.

Nous volons à 40.000 ft contre 35 ou 36.000 pour celui de Singapore Airlines. En si en plus nous amorçons notre virage pour rejoindre Paris, et bien cela donne un joli croisement de routes … et une jolie photo air to air.

Il restera quelques traces, ici et la, alors que nous quittons l'espace britannique.

Nous sommes à 35 minutes de l'atterrissage et n'avons pas encore pénétrer l'espace français que notre descente est déjà amorcée. Nous nous retrouvons rapidement à 30.000 ft.

Une dernière vue sur le winglet, bien mieux mis en lumière.

La frontière française est bien marquée.

Un petit mot sur nos compagnons deux rangées devant nous.
Tout d'abord cette adorable boule de poils qui aura passé tout le vol sur les genoux de son maitre, sans bouger ni manifester une quelconque impatience.
Juste derrière, une autre petite boule version félin, dans son panier de voyage. Il aura poussé quelques miaulements lors de la descente, sans doute incommodé par le changement de pression. rien de méchant et c'était bien moins bruyant qu'un enfant qui aurait pleuré pour les mêmes raisons.
Ses propriétaires ont pris son panier de transport sur leurs genoux pour quelques caresses réconfortantes, sans jamais sortir le chat de ce sac de transport. Et bien ils se sont fait littéralement engueuler par une hôtesse, leur expliquant que c'était "un privilège" pour le chat de voler en cabine, que des voyageurs pouvaient être allergique, qu'il devait être mis immédiatement au sol et qu'elle ne tolèrerait pas que cela se reproduise !
Rien pour le chien sur les genoux tout le long du voyage.
J'ai été sans doute autant outré que les passagers propriétaires du chats estomaqués par cette remarque pour le moins déplacée à mon sens.
S'ils n'acceptent pas les chats en cabine, alors il faut les faire mettre en soute ou sinon et bien il ne faut rien dire. D'autant que l'animal a été adorable lui aussi et qu'il n'a jamais été sorti de son panier de transport.
Au passage, je note qu'à nouveau les membres d'équipage ont gardé un visage fermé, rarement souriant et ont évité autant que possible les interactions. Bref, à oublier même si le job est fait.

Nous arrivons sur la région parisienne, le paysage, lui, ne bouge pas.

Un dernier virage pour nous retrouver dans l'axe de la piste, juste avant de baisser les flaps.

Nous passerons sous la couche nuageuse, décidément bien basse.


Mauregard.

Et nous voici à poser les roues sur la 27R.



en vidéo, cela donne ça.
Sortie de piste et passage devant le T1.

Etihad au poste.

En voila un qui a du se perdre …

Et un autre que j'aimerai bien prendre dans un proche avenir.

Il parait que les States partent dans tous les sens …

L'ange des airs.

Nous sommes ainsi à notre parc de stationnement. Etant à l'avant de l'appareil, la sortie sera rapide (avant même les pax business) et nous monterons dans le premier bus.
Au revoir bel appareil, bien confortable.

L'immigration sera passée en un clin d'oeil et les bagages récupérés dans le quart d'heure suivant. Belle note de fluidité pour CDG !

Les données du vol pour terminer. c'est ainsi que s'achève ce petit périple québecois.



Ce voyage au Québec a été symbolique et à grande émotion pour nous. Cela a été aussi beaucoup de travail et de démarches administratives. C'était surtout un devoir du coeur, et quelque part une chance, de pouvoir accompagner notre père dans ses derniers jours.
Ainsi va la vie, la Nature reprend ce qu'elle donne et notre chemin continue, sous un regard bienveillant depuis la haut.
Une page se tourne dans nos vies, une page va également se tourner sur ce site car il est à peu près évident pour moi que vous venez de lire mon dernier récit. D'autres voyages aériens auront lieu, c'est sur. Mais tout ou presque a été dit sur ce site et je ne vois pas ce que je pourrais apporter de plus. Cela ne m'empêchera pas de vous lire, ici et la, de façon anonyme comme je le fais depuis pas mal de temps.
Bonne route et surtout bon vols à vous toutes et tous.
Et merci de votre lecture ^^
Merci pour ce FR (et l'aller), que vous avez eu bien eu du courage à rédiger dans le contexte qu'on comprend à la fin de celui-ci.
Par -15°C, ce n'est pas surprenant ^^
Air Transat offre une prestation correcte, même si l'équipage semble s'être trompé de vocation et que le catering paraît un peu léger. Celui-ci était-il payant ou inclus dans le prix du billet ?
Superbe air to air avec SQ ! Et globalement de bien belles photos extérieures.
Je me renseignais justement sur Air Transat et votre FR est tombé à pic pour me donner une idée de la prestation à date. Il y a donc toujours un intérêt à rafraîchir notre amie la BDD ;-)
A bientôt !
Bonjour et merci pour les lectures et le commentaire.
Par -15°C, ce n'est pas surprenant ^^ ==> 😂J'avoue, je ne l'ai pas vue venir
Le catering est compris dans le prix du billet. Il existe, en complément une offre BOB assez ... dissuasive ^^. Les quantités ne sont pas folichonnes. Dans les circonstances qui étaient les nôtres, nous n'avions pas le plus grand des appétits, aussi cela nous a suffit.
Comme expliqué sur le premier volet, nous avons failli voler sur Air Canada. A lire le récit d'Akivi, je ne regrette pas le choix d'Air Transat lorsque j'aurai à retourner au Canada dans quelques semaines.
Au plaisir de lire vos récits ;)
Merci pour ce récit d'un voyage particulier.
Merci Christophe pour la lecture et le petit mot.
Merci Erik pour ce FR.
Je comprends très bien la situation de ce vol ayant eu la même expérience personnelle.
Et dommage de perdre un contributeur qui proposait des FRs de qualités.
Vol aux standards d’Air Transat : rien de génial mais ça fait le job.
Je suis choquée par le comportement envers les passagers avec le chat versus ceux avec le chien.
A bientôt en lecture !!
Merci Valérie pour ton passage sur ce récit.
Comme tu dis et comme tu avais pu le vivre au travers tes vols, TS fait le job sans plus si ce n'est une cabine plutôt agréable avec un bon pitch.
Une semaine plus tard, je ne comprend toujours pas cet emportement de l'hôtesse. Les deux animaux ont été en tout point adorables. rien ne justifie une telle colère.
Merci encore pour tes petits mots :) et au plaisir de lire tes prochaines aventures.
Merci Erik pour le partage, je suis désolé pour ton papa, j'avais bien cru comprendre en lisant l'aller que ça n'allait pas être un séjour plaisir au Canada.
La configuration en 2-4-2 est bien plus agréable que celle en 3-3-3.
Pour les animaux en cabine la règle est pourtant claire : ils ne doivent pas être sortis de leur sac de transport, chat ou chien. L'attitude de l'équipage est grotesque.
Triste aussi de lire que c'était ton dernier récit, ceux ci étaient toujours fort agréables à lire, je n'essaierai pas de te faire changer d'avis mais penses y :)
A bientôt !
Merci Stephan pour ton attention. Ce voyage devait bien arriver un jour. D'une certaine façon, nous étions préparés et je suis heureux de l'avoir fait dans le sens où cela aurait été un grand manque de ne pas pouvoir lui dire au revoir.
Mais revenons à l'aérien ^^
Je suis fan des A330 pour la configuration 2-4-2. les sièges duos sont un vrai luxe.
Je ne rajoute rien de plus sur les animaux, j'en ai reparlé plus haut.
Ne jamais dire jamais n'est-ce-pas.
Au plaisir de suivre tes vols, en première ou bizz ... Sur LH et surtout toutes les autres compagnies ah ah.
Merci Stephan.
Merci Erik pour le partage.
Ça change pas mal de l'expédition aux Comores.
YUL ne semble pas très agréable.
Pinailler pour 100g de bagage : très mauvaise pub pour Air Transat.
Le grand angle de la photo du duo de sièges (un bon point quand on voyage à 2) donne un espoir d'espace que la photo suivante, avec un bagage entre les jambes, douche un peu.
6h30 de vol, un repas qui se fait attendre, bof bof. Au moins, on ne cherche pas à dormir l'estomac lourd !
Un équipage dans un mauvais jour. Et si le chat la griffe, c'est la Santé pour le propriétaire?
Joli !
Toutes mes condoléances et je te souhaite tout le courage nécessaire pour franchir ce difficile cap.
Il faut savoir s'arrêter dit-on. Je crois surtout qu'il faut avoir envie de partager une histoire pour publier. Par moment, c'est moins le cas.
A bientôt, ici ou ailleurs.