Bonjour à tous, je vous retrouve pour la suite de mon routing. Le Vietnam se rapproche mais nous ne sommes qu’à la moitié du trajet aller.
Pour les explications sur le routing et sur ces vols Etihad je vous renvoie vers les FR précédents.
Cette liaison n'avait pas été reportée sur FR depuis 2017 (en éco) et 2015 (en Business) donc il est temps d'actualiser tout ça.
LE ROUTING
Enchainement de vols
- 1
- 2
- 3Vol N°03 : EY418 - AUH-KUL
- 4Vol N°04 : AKXX - Parfois il vaut mieux s'en tenir à ce qu'on connait
- 5Vol N°05 : VNXX - La station balnéraire
- 6Vol N°06 : VNXX - Direction la capitale
- 7Vol N°07 : MHXX - Pas de disparition à déplorer
- 8Vol N°08 : EYXX - Cabine surprise
- 9Vol N°09 : EYXX - Mon retour à bord du mythique A380
- 10Vol N°10 : AFXX - Vol utilitaire
LE REPORT
Après quelques visites dans Abu Dhabi, j'ai vraiment très chaud, il est 14h30 lorsque je décide de retourner vers l'aéroport. Je me trouve au Emirates Heritage Village lorsque je commande un Uber.

Il y a pas mal de circulation, et surtout une grande fumée noire s’échappe d’un incident sur le bas-côté, ce qui fait ralentir tout le monde.
Il est 15h10 lorsque je suis déposée devant le terminal.

Le chauffeur me dépose tout au bout, car normalement la consigne à bagages devrait être dans ce coin-là.

Pour rejoindre les arrivées je n'ai qu'un ascenseur à prendre.

Après une petite attente et le paiement des 55 dirhams (en carte), me voici repartie avec toutes mes affaires.
Je remonte au terminal des départs et me dirige vers le comptoir de check-in Etihad, dédié à la Business. Il est 15h30, et même si je n’ai pas besoin de récupérer mon boarding pass, je voulais tout de même aller y faire un tour pour voir s’il n’y avait pas d’accès prioritaire pour la PAF et le PIF.


L’espace est immense et vide. Je suis accueillie par un jeune homme qui me délivre un nouveau boarding pass tout propre aux couleurs d’Etihad et qui m’indique que la porte a changée (en même temps depuis hier soir, ce n’est pas très étonnant).

Le petit nouveau :

Il voulait déchirer mon ancien boarding pass, mais je tiens à le conserver car il y avait mon CDG AUH dessus. Il a l’air embêté, alors il rature et déchire juste le code-barres. Le pauvre, il semblait si gêné. Avant de me laisser filer, il m’indique où se trouve le lounge, près de la porte C27. C’est bien noté. Il me demande aussi si j’ai bien mon autorisation pour entrer en Malaisie, je lui réponds par la positive, j’avais pris soin de la faire hier avant de partir, car on ne peut la faire qu’à 3 jours du départ au plus tôt.
Il y a effectivement un passage pour la PAF et le PIF juste derrière les guichets, c'est parfait. Les e-gates sont toutes disponibles devant moi, j’ai l’embarras du choix. Il ne me faudra que quelques secondes pour traverser.

Juste derrière, le PIF s’enchaîne, là encore, ils n’attendaient que moi. Je demande si je dois sortir les liquides, électroniques, etc., on me dit non, juste l’ordinateur. Parfait, ça m’arrange vu le bordel qu’il y a à présent dans mes sacs.
Il est 15h38 lorsque j’arrive airside, au cœur du duty free. Oui, oui, vous avez bien lu, j’ai mis 8 minutes à tout traverser. C’est vraiment top, et ça me permet aussi de juger mon heure de retour pour dans deux semaines.



Direction le Etihad lounge.

Après 10 minutes de marche, me voici devant le Etihad Business Lounge. J’en avais entendu beaucoup de bien, voyons voir si sa réputation est justifiée.

L’hôtesse qui m’accueille me souhaite la bienvenue et m’indique que le buffet du déjeuner est encore disponible pendant 40 minutes, mais qu’après il fermera pour ne rouvrir qu’à 18h avec le dîner. On me signale aussi que le salon est silencieux, il n’y a aucun appel, il faut donc surveiller l’heure et prévoir le temps nécessaire pour se rendre à sa porte.
Le lounge est composé de 3 niveaux : 3, 5 et 6. Ne me demandez pas où est passé le 4, je ne sais pas. Tous les niveaux sont accessibles avec des escalators.

Direction le 5ième étage pour visiter un peu :


On y trouve pas mal de stations avec de quoi grignoter :




Le lounge est tout en longueur, avec beaucoup, beaucoup, beaucoup de places assises, aussi bien des fauteuils que des banquettes. Il y a vraiment très peu de monde, alors sur autant d’espace, il est facile de se trouver un coin sans personne.



Le buffet et l'espace bar se trouvent au bout :


Le buffet est très complet, avec beaucoup de plats chauds, des desserts dignes d’un restaurant étoilé.














Le bar est très chouette !

Je me pose finalement dans un espace entièrement vide du lounge pour prendre un petit goûter.

Je suis absolument fan de l'ice tea !

La vue sur le tarmac est un peu triste, il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent :

Vers 17h30, je décide d’aller explorer les autres niveaux. Direction le niveau inférieur avec de jolis canapés :


Il y a une salle de jeux et également une salle pour les familles.


La salle de jeux me donne envie de faire un baby-foot, mais vu que je suis seule ce ne serait pas très drôle.
Je me dirige à présent vers les douches pour profiter d’une bonne douche bien méritée. Aucune réservation n'est nécessaire, il suffit de se présenter et d'attendre que quelqu'un soit présent car ce n'est pas toujours le cas.

Il n’y a pas grand-chose à disposition dans la salle de bain, mais on y trouve en revanche un sèche-cheveux et ses embouts.

Petit détour par les toilettes, très classes :

Il est 19h quand je commence à rassembler mes affaires. L’aéroport est grand et ma porte, A3, semble se situer assez loin.
L’aéroport entier est en mode silencieux, seules les portes d’embarquement ont des annonces vocales. Il faut donc être attentif à son heure d'embarquement, mais en échange, les lieux sont calmes.


On se croirait dans un grand centre commercial avec toutes ces enseignes lumineuses dans tous les sens.
Ce qui aurait été bien, c’est d’indiquer le temps pour rejoindre chaque porte, parce que je suis un peu dans le flou concernant la porte A3, qui semble me faire faire le tour du terminal.

Il me faudra finalement 10 minutes pour la rejoindre.

Il est 19h30, il n’y a pas grand monde et la porte est très grande. Il y a largement de la place pour tout le monde et, qui plus est, on y retrouve des stations de charge.

Mon avion de cette nuit est bien là :

À 19 h 45, la porte est déclarée « ouverte » et un message nous indique de rester assis et d’attendre d’être appelés par notre numéro de rang avant de se présenter.
Il est finalement 20h quand les rangs Business sont appelés par un petit cri d’une hôtesse au sol qui aura du mal à faire porter sa voix. Un type pensait me passer devant et esquiver l’étape de la présentation du passeport, mais il sera freiné net.

Après une petite passerelle, l'avion est en vue.


Je serai la première à pénétrer à bord. Notre 787-900 de ce soir a exactement la même configuration que mon vol de la veille.
Je suis saluée par l’équipage qui m’indique de prendre à droite.


Il s’en est fallu de peu pour que je goûte à la nouvelle cabine (à 3 lettres près dans son immatriculation, et il a réellement volé sur cette route la semaine passée). On verra au retour !
Je prends place en 7C ce soir, c’est-à-dire que je suis dans le sens inverse de la marche. La console est contre le hublot et mon siège est plus près du couloir. Ce n’est vraiment pas ce que je préfère, mais il ne restait que ça au moment où j’ai pris mes billets. C’est aussi ça le risque de réserver au dernier moment.


L’intimité est absolument pourrie. Je pourrais trinquer avec mon voisin du couloir. J’ai une vue parfaite sur M. 8G et sur son écran, ainsi que sur mon voisin en 7E.

Un léger brise-vue est disponible sur les sièges comme le mien, qui donnent sur le couloir. C’est mieux que rien, mais pas fameux.

Sur mon siège se trouvent le sur-matelas, le coussin et la couverture.

Une jolie petite trousse est déposée sur la console. Elle est différente de celle d’hier, mais elle contient les mêmes produits : baume à lèvres, brosse à dents, dentifrice, masque, boules Quies, crème hydratante et brume parfumée, toujours de la marque ESPA.

Le menu est aussi présent et je constate avec plaisir que ce n’est pas le même qu’hier, c’est un bon point.

Voici le programme pour ce soir :


Dans le rangement sur ma droite, la bouteille d’eau et le casque.


Globalement je trouve qu'il y a plus de petits espaces cachés que dans le siège qui est dans le sens de la marche.

La petite loupiote, toujours du meilleur effet :

J’aperçois des sur-matelas passer pour la First. On peut dire que ce n’est pas le même niveau qu'en J.
À 20h16, on vient enfin me voir pour me proposer un verre de bienvenue. Au choix : jus de citron, jus d’orange ou champagne. Vu mon état de fatigue, j’opte pour le jus d’orange.

Un oshibori sera distribué dans la foulée.

Le commandant de bord se présente à nous et nous indique un vol de 6h30 et de bonnes conditions.
Mon hôtesse vient se présenter et prendre ma commande. Je n’ai pas faim et j’ai vraiment sommeil. Je préfère sauter le repas et ne prendre que le fromage et le dessert. En apéritif, j’opte pour un mocktail à la pêche et eau gazeuse. Je trouve l'hôtesse gentille, mais sans aucune interaction personnalisée.
Les ceintures de cet appareil ne sont pas équipées de boudins, petite différence avec mon précédent vol.
À 20h50, la passerelle est retirée et nous débutons notre pushback, enfin pour moi, c’était plutôt le pushfront.

Les consignes sont diffusées:

Distribution de chaussons :

Pendant ce temps, la chef de cabine passe dans les rangs et demande de débarrasser les consoles et de monter les sacs qui sont à nos pieds. Je connais les procédures, mais dans la réalité, ce n’est que très rarement appliqué, sauf aujourd’hui visiblement. Cela me fait un peu chier parce que je n’ai pas eu le temps d’attraper mon casque et je me retrouve donc sans musique pour le décollage (scandale !).
La chef de cabine surveille que toutes les petites lumières vertes en bas des sièges soient allumées, cela indique que le siège est en bonne position.
Je me saisis rapidement du casque de l’IFE, qui n’est pas de mauvaise qualité, sauf que là, une seule des deux oreillettes fonctionne. Je n’ai vraiment pas de chance.
Notre roulage sera assez long et me laissera le temps d’apercevoir au loin un mérou australien, mais je n’aurai pas le temps de le prendre en photo. Dommage.
Il est 21h09 lorsque nous décollons… et ça fait toujours aussi bizarre dans le sens inverse.
La lumière est très sympa dans la cabine durant le take-off.
Nous n’aurons pas le privilège d’avoir un survol d’Abu Dhabi, car nous partons dans la direction opposée.





L’IFE présente toujours un large choix de films, séries, jeux, émissions télé.






Perso je me branche sur la géovision :


Le siège peut être orienté avec les boutons manuels et les commandes de l’écran tactile. On peut y gérer aussi la lumière, l’obscurité des hublots (tout comme le petit bouton présent en dessous de ce dernier).


La petite télécommande pour jouer/contrôler l'IFE :

La cabine est rallumée tout de suite après le décollage. Il faut dire qu’il est seulement 21h, par rapport à hier, c’est une heure raisonnable pour lancer le service.
Je tapote quelques lignes sur mon clavier en étant un peu endormie, mais je voulais attendre mon petit repas avant d’essayer de dormir. Je passe mon fauteuil en position semi-allongée, ma position préférée, et comate en attendant mon snack.

À 21h32, on vient déjà m’apporter l’apéritif. Point négatif : le mocktail est dans une petite bouteille à la base et il m’est versé dans le verre devant moi. Pas très Business Class, je trouve. Bien sûr, la boisson est accompagnée d’une coupelle de noix de cajou et d’amandes chaudes.
J’en profite pour glisser un mot concernant le casque qui ne fonctionne pas, et il me sera changé sur le champ.

Une demi-heure plus tard, on me demande de confirmer que j’ai bien commandé le fromage et le gâteau et si je les veux séparément ou en même temps. Je réponds la deuxième option, car j’ai envie d’en finir pour vite aller dormir. Pour rappel, ma nuit précédente était aussi à bord d'un avion et je n'ai pas fermé l’œil. Malgré ma demande, ça traîne, c’est long, très long.
À 22h20, mon plateau de fromage arrive, mais pas le gâteau. On me dit qu’il est en train d’être chauffé et qu’il sera prêt dans 5 minutes. Dans une assiette sont élégamment déposés 3 bouts de fromage, une petite grappe de raisins, 3 crackers et de la confiture. Tout cela accompagné d’un verre d’eau. Je me dépêche de manger en espérant pouvoir me reposer bientôt.
Le plateau est inutile, mais il est pourtant présent, ce n’est toujours pas très classe.
Les 5 minutes s’éternisent et je ne vois toujours pas la couleur de mon gâteau. Je commence à piquer du nez, mais pendant ce temps, les PNC s’affairent à courir un peu partout dans la cabine.

À 22h45, mon gâteau arrive enfin. Et bien finalement, j’aurais dû m’abstenir, car je ne l’ai pas trouvé très bon.

Je rassemble mon plateau vide et pars aux toilettes en me disant qu’en revenant, il aura sûrement été débarrassé…
On retrouve toujours les produits ESPA au petit coin :

A mon retour, plateau toujours présent.
Il est 23h15 et j’attends toujours. Quelques passagers font des appels aux hôtesses et resteront un petit moment dans l’attente que quelqu’un se présente.
Je n’ai pas envie d’attendre plus longtemps, alors je dépose mon plateau sur la console et range ma table pour pouvoir m’allonger (photo prise avant le décollage donc sans le plateau)

Il est 2h45, heure d’Abu Dhabi, lorsque je me réveille. Nous sommes au large de Phuket. J’ai tout de même pu dormir deux bonnes heures d’après ma montre, c’est déjà pas mal, me connaissant.
Il y a un ronflement de dingue dans la cabine, un type devant s’en donne à cœur joie, une vraie machine !


Entre-temps, la cabine est passée en mode nuit, mais je ne sais pas à quelle heure, car à 00h30, lors d’un de mes courts réveils, tout était toujours allumé.
Après quelques courtes turbulences, il sera demandé à tout le monde d'attacher les ceintures, mais finalement, il ne se passera rien.
L’hôtesse passe me voir et me demande si je souhaite quelque chose avant l’atterrissage. Je demande alors un cappuccino et une madeleine. Je l’avais remarquée hier soir dans le menu et j’étais curieuse de savoir à quoi elle pouvait ressembler.
Je serai rapidement servie, mais je vais vite déchanter. La madeleine est la pire que j’ai pu manger de ma vie. Sortie tout droit d’un sachet, elle avait une consistance très bizarre et était toute froide et dure.
Par rapport à mon premier vol, personne ne s’est donné la peine de faire un petit cœur dans le café cette fois.

À 03h05, heure d’Abu Dhabi et 06h05, heure de Kuala Lumpur, notre commandant nous annonce un début de descente d’ici 10 minutes, avec une arrivée prévue pour 07h50, soit 20 minutes en avance sur l’horaire prévu. À l’arrivée, 28°C, mais je n’y goûterai pas car je repars directement sans sortir de l’aéroport.
Je me branche sur les infos qui indiquent que le pape est mort :

Une douce lumière envahit la cabine …

et les hublots obscurcis laissent deviner les lueurs extérieures.

Un oshibori est distribué et le menu récupéré. Ça sent la fin… sauf pour le ronfleur qui ronfle toujours. Mais réveillez-le, bon sang !

Quelques vues se dévoilent par le hublot puis un message s’affiche sur chaque IFE, demandant comment s’est passé le vol.
Les rangées de palmiers commencent à apparaître, signe que KUL n’est plus très loin.




Il est 07h50, heure locale, lorsque nous nous posons à Kuala Lumpur, tout en douceur.


En raison de l’humidité extérieure, le hublot est tout embué, il va donc être difficile de spotter quoi que ce soit, mais je devine plusieurs appareils Malaysia Airlines.
C'est l'heure de se dire au revoir.

La passerelle est attachée et nous sommes libérés sans aucune salutation de l’équipe, trop occupé à discuter. Décidément, ce vol ne restera pas dans les annales.

Une file Business First nous permet de prendre un parcours un peu différent pour rejoindre les arrivées. Nous sommes au niveau des portes C, qui sont éloignées. Je m’en souviens, car j’étais déjà partie de là-bas aussi.

Passage par un petit salon :

… avant de rejoindre un bus très agréable.

Nous rejoignons le terminal des arrivées assez rapidement ;

Nous arrivons vite devant la PAF et ses e-gates par dizaines. Vu que les Européens peuvent passer par là, cela m’évite une immense queue, car de l’autre côté, ça a l’air de bouchonner sévère.

Seul inconvénient, pas de tampon, snif. Mais en quelques minutes, ce sera terminé et je pourrai vite rejoindre le carrousel à bagages.

Il est 08h30 quand ma valise pointe le bout de son nez au tout début de la livraison des bagages. Mon porte-étiquette est complètement explosé et mon tag Priority a disparu… Mais qu’est-ce qu’ils ont fait de ma valise pendant l’escale à Abu Dhabi ?!
Il me reste à présent à passer un dernier scanner pour rejoindre les arrivées. La file sera fluide et je serai landside en un rien de temps.

Le premier SMS que je recevrai en rallumant mon téléphone m’indiquera que mon vol Vietjet de tout à l’heure est retardé de 2h, puis un second qui annonce 3h de retard… ce n'est que le début des problèmes. Que vais-je faire ?
Pour le découvrir il faudra lire la suite !
Merci pour ce FR
Oui, il y a même du pain qui - bien que sous plastique pour conserver le moelleux - me donne envie
Et l'agencement des couleurs ... il y a de l'artiste
Moi aussi sans sucre.
Le problème de ce manque d'intimité, c'est surtout quand on travaille et que c'est un sujet sensible. Bon, en ce qui me concerne je coupe le Wifi, le Bluetooth et j'ai un écran de confidentialité de la mort au cas où.
J'aime cette option fromage ET dessert... même si ce dernier s'avère décevant
C'est pas le même niveau de prix non plus.
Je me méfie des gâteaux sur les compagnies du moyen orient et indienne. Ils sont malades de sucre.
Un type ou une nana (ma belle-mère ronflait comme un sonneur). En plus, malheureusement,, celui qui ronfle n'y peut rien. L'opération (découpe d'une partie du voile du palais) peut résoudre le problème mais au moindre raté, on se retrouve avec voix modifiée voire une voix de canard. Après il y a des sprays mais étant moi-même ronfleur ça ne marche pas très bien.
A bientôt,