Avis du vol entre Bangkok et Shanghai en classe Affaires avec China Eastern

Bonjour à tous,

Toutes les bonnes choses ont une fin, notre séjour en Asie aura été une réussite, mais l'heure de rentrer au bercail sonne …

Le premier segment de retour en Europe commence par un vol entre Bangkok et Shanghai, l'ami Michel et son épouse sont rentrés une journée avant moi, ils ont volé à bord d'un Airbus A350, le jour suivant, MU a positionné un Airbus A330, c'est parfait pour  compararer les deux publications.

Arrivée à Suvarnabhumi

D'habitude je prends le train express pour me rendre à l'aéroport, cette fois-ci j'utilise les services de Grab, j'ai pris mes précautions avec plus de 3 heures d'avance, nous atteindrons le terminal au bout d'une heure de route, ( dû à un bouchon causé par un camion remorque, tombé en panne sur l'autoroute ! ). Normalement 35 à 40 minutes suffisent pour rejoindre BKK depuis le quartier de Asoke.

Je demande au driver de me déposer au milieu du bâtiment.

J'entre au hasard par la porte N°3

Comme toujours, l'aérogare bruisse… Mon vol est indiqué à l'heure, mais c'est surtout le lieu d'enregistrement qui m'intéresse.

MU opère des comptoirs F, tout comme Aircalin qui accueille ici sa clientèle à destination de Roissy ou de La Tontouta.

La file concernant la classe économique est bien remplie.

L'enregistrement

Une agente positionnée devant le panneau Sky Priority dirige les pax vers les comptoirs idoines.

Aucune attente dans la queue, la gentille préposée s'occupe de mon cas avec dextérité et courtoisie, ma valise est étiquetée jusqu'à Madrid.

Connaissant le chemin pour me rendre au fast track, je croise cet imposant gardien du temple, et passe devant les comptoirs du groupe Lufthansa.

La signalétique est efficiente, il suffit de lever les yeux…

Le fast track se situe au fond du terminal.

BKK airside

Le passage au PIF et à la PAF ne traîne pas, 7 minutes pour franchir les deux "obstacles". Côté piste, c'est tout aussi vivant.

Le conditionnement des bouteilles de la célèbre marque Champenoise est original.

Après quelques emplettes je me rend vers le salon que m'a indiqué la demoiselle ayant procédé à l'enregistrement de ma valise.

Il s'agit d'un des lounges gérés par TG, je m'étonne qu'elle ne m'ai pas envoyé au salon AF ! Mais peut être est t'il fermé ?

Le Royal Orchid Lounge du concourse E

C'est ici que ça se passe !

L'accueil par une discrète employée est plutôt empathique. La salle est presque vide et surtout très silencieuse.

Ici un coin pour travailler, travailler en vacances ? Beurk !

Il est possible de se reposer allongé lors d'une longue escale.

Le salon est tout en longueur.

Une offre presse papier est disponible.

Allons faire un tour au buffet, le choix en vin est très limité. J'ai zappé les alcools, mais ce n'était de toute façon pas terrible.

Fontaine à jus, large palette de crèmes glacées, fontaine à eau et réfrigérateur contenant des softs et de la bière.

Deux sortes de soupes sont disponibles.

Evidemment le riz ne manque pas.

Légumes sous cloche.

Curry de poulet épicé.

Rondelle de viande, je ne me souviens plus de quel animal il s'agissait.

Mini salade-bar et fruits frais.

Des desserts et des sandwiches.

La spécialité locale que je n'aime pas, une sorte de pâte de riz fourrée avec de la purée de haricots rouges sucrée, quelle horreur…

Spring Rolls végétariens, Quiches espagnoles, olé ! Tartelette aux pommes, Pâte frite chinoise…

Oeufs et salade.

Ma très raisonnable sélection…

Une glace à la fraise, ( mon parfum préféré ) pour faire passer les sandwiches et la quiche.

Mon avion n'est pas encore arrivé.

Eva Air et Singapore sont de bons amis au sein de la Star Alliance.

Un petit tour aux toilettes avant de quitter les lieux, elles sont propres.

Un cadeau pour mon mari.

Les documents afférents au voyage.

Cette fois-ci le zozieau est bien accroché à la passerelle, il faut y aller !

Cheminement du salon à la salle d'embarquement

Je constate que le salon Air France est bel et bien ouvert, mais je n'ai n'ai plus le temps de passer le visiter, l'embarquement débute dans les 5 prochaines minutes.

Je continu ma progression dans le couloir.

MU opère de la salle d'embarquement F5

Le beau destrier du jour.

Il porte une sympathique livrée.

L'embarquement

L'appel est lancé immédiatement après mon arrivée dans le hall, les priorités sont respectées.

Ce sera la première entrée à gauche pour Bibi.

Court fuselage shot et instant porte.

La vie à bord

L'accueil de la part d'une hôtesse est diligent. Je suis dirigé avec courtoisie vers mon siège.

La cabine commence à datée, mais reste confortable pour un vol de jour d'environ 4h30.

Le jeune homme assis sur le siège devant la cloison est un employé de la compagnie.

Le pas(tèque), convient parfaitement.

Les PNC sont très actives et plutôt sympathiques.

Une mini bouteille d'eau a trouvée son emplacement, à côté de la zapette.

Platine composée des boutons de réglage du fauteuil.

L'IFE est de bonne taille, les rangements centraux contiennent les écouteurs.

Mini tablette pratique pour poser les verres d'accueil par exemple, la cabine est pleine, j'ai pour voisin un américain enrhumé…

Des serviettes chaudes sont déposées sur la tablette.

Un joli sac contenant des mules est distribué.

La littérature de bord.

Le magazine papier Eastern Airlines, "Connections".

La carte du réseau, l'Amérique du Sud et l'Afrique sont délaissées…

Toutes les grandes villes chinoises sont desservies par MU.

Sac vomito.

La fiche sécurité.

Lors de l'installation, le menu des boissons se trouvait déjà dans un rangement.

En revanche le menu du déjeuner manquait, les PNC désigneront les plats chauds et prendront les commandes oralement.

Le pseudo casque qui n'a pas sa place dans cette cabine.

Les coffres z'à bagages sont décorés.

Le plafonnier se montre sobre.

Trois hublots par rangée de sièges, on a vu pire…

Le Captain indique un départ à l'heure, avec 4h15 de vol, la météo sera bonne sur la route, nous repoussons avec un peu d'avance.

Si le programme de l'IFE est très réduit, la définition de la Géovision est en revanche de bonne qualité.

Le service débute quinze minutes après le décollage, une deuxième fournée d'oshibori est proposé. Mon voisin n'est pas loquace et renifle toutes les trois minutes, ce qui me désespère, il ne doit pas savoir se qu'est un mouchoir !?

A table !

Le chariot des boissons est de sortie, il faut commander en même temps l'apéro et la boisson que l'on souhaite pour accompagner le repas.

Une nappe en tissu est dressée sur la table.

Un couple de PNC assurent le service de la cabine avant.

J'ai choisi un verre de rouge pour l'apéritif et le repas.

Les petits pois et noix de cajou mériteraient d'être présentés dans un ramequin.

Le plateau tel que déposé sur la tablette.

Les couverts sont en métal.

L'entrée s'avère rafraichissante.

Le plat chaud est relativement bien présenté, il s'agit de boeuf en sauce avec de la purée de pommes de terre, brocoli et patate douce, j'ai bien aimé.

Des fruits frais font office de dessert.

Choix de pain, j'ai pris celui "façon Bretzel"

Après ces agapes, le passage aux commodités s'avère nécessaire, l'endroit est propre.

On n'oublie pas notre Katia.

Rien de telle qu'une sieste pour digérer. Le voyage au dessus des nuages se déroule paisiblement.

Atterrissage et débarquement

La nuit est tombée sur Shanghai.

Le roulage sera long, les chinois se lèvent dès que l'avion stoppe devant la passerelle. La température extérieur dans l'Est de la Chine n'a rien à voir avec celle de Bangkok, à peine 9° dehors !

Nous quittons rapidement l'avion et je commence un très long cheminement vers la suite de mon voyage, avec un changement de terminal à la clé.

Tout ceci sera expliqué dans le prochain opus. Merci de m'avoir lu, à bientôt !